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Margency
La mairie, château du Petit-Bury
DétailAdministration Pays France Région Île-de-France Département Val-d'Oise Arrondissement Sarcelles Canton Canton de Soisy-sous-Montmorency Code commune 95369 Code postal 95580 Maire
Mandat en coursJean-Pierre Camus
2008-2014Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Vallée de Montmorency Site web http://www.mairie-margency.fr Démographie Population 2 857 hab. (2007) Densité 3 968 hab./km² Gentilé Margencéens Géographie Coordonnées Altitudes mini. 55 m — maxi. 125 m Superficie 0,72 km2 Margency est une commune française située dans le département du Val-d'Oise et la région Île-de-France.
Autrefois simple hameau dépendant d'Andilly, Margency a obtenu son autonomie communale en 1789. D'un petit village situé sur le flanc méridional de la forêt de Montmorency et voué à l'arboriculture, la commune est devenue depuis les années 1960 un lieu à vocation essentiellement résidentielle avec la poussée de l'urbanisation dans la grande couronne parisienne.
Sommaire
Géographie
Margency est une petite commune à caractère résidentiel située dans la vallée de Montmorency, à 18 kilomètres au nord de Paris. Elle se situe à flanc de coteau, bien exposée au sud, couronnée par la forêt de Montmorency. Le ru de Corbon, qui, provenant de la forêt, alimente le lac d'Enghien la traverse. Elle est limitrophe d'Andilly, Eaubonne et Montlignon.
Margency est la seconde plus petite commune du département du Val-d'Oise en superficie après Vaudherland.
Hydrographie
Le territoire communal est traversé par un petit cours d'eau : le ru d'Enghien, qui constitue en partie sa limite occidentale avec Eaubonne. Il alimente les étangs du parc de Maugarny (en limite de Montlignon) puis du parc de Bury.
D'une longueur de 14,2 kilomètres, il naît en forêt de Montmorency au nord-ouest de la commune et se jette dans la Seine après avoir traversé, canalisé pour l'essentiel, les territoires de Montlignon, Eaubonne, Enghien-les-Bains et Épinay-sur-Seine et alimenté l'étang de la chasse, en amont en forêt, puis le lac d'Enghien en aval[1].La commune est alimentée en eau par la station de traitement de Méry-sur-Oise, gérée par la société Veolia Environnement. L'eau potable à Margency est de très bonne qualité bactériologique, contenant peu de nitrates, étant peu fluorée et devenue relativement peu calcaire depuis la mise en place de la nanofiltration en 1999 à l'usine de distribution[2]. L'eau distribuée est d'origine superficielle, provenant de la filtration des eaux de l'Oise[3],[4].
Réseau de communication
Les voies les plus importantes qui traversent la commune sont une route départementale et deux voies communales.
La route départementale 144 relie Montmorency à Saint-Leu-la-Forêt par le nord de la vallée de Montmorency. Après avoir coupé le tiers septentrional de Soisy-sous-Montmorency et le sud d'Andilly, elle traverse entièrement la commune d'est en ouest et se poursuit à travers Saint-Prix. Deux voies communales supportent un trafic dépassant les cinq mille véhicules par jour : la rue des Maquignons au sud en limite d'Eaubonne, et la rue d'Eaubonne, qui relie cette commune au centre de Margency. Ces infrastructures terrestres ont un impact assez limité en termes de pollution sonore selon la réglementation[5]. Les principales voie routière sont classée de catégorie 4, de niveau modéré, seule une petite portion de la D 144 au centre de la commune étant classée de catégorie 3[6].
La commune n'a jamais été traversée par aucune ligne de chemin de fer, en revanche, elle se situe dans l'axe des pistes de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, situé à une quinzaine de kilomètres à l'est, dont les avions en survol provoquent d'importantes nuisances acoustiques comme dans la quasi-totalité des communes du sud du Val-d'Oise.
Climat
Margency comme toute l'Île-de-France est soumis à un climat océanique dégradé. Il se différencie du climat de Paris intra-muros par un écart de température de quelques degrés, particulièrement notable au lever du jour, et qui a tendance à s'accentuer au fil des années. Cet écart, de 2° en moyenne mais qui peut atteindre 8° par une nuit claire et un vent faible, s'explique par la densité urbaine qui augmente la température au cœur de l'agglomération. La température moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec +4 °C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec +19 °C (moyenne journalière)[7].
Mois Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Année Températures maximales moyennes (°C) 6 7 11 14 18 21 24 24 21 15 9 7 14,8 Températures minimales moyennes (°C) 1 1 3 6 9 12 14 14 11 8 4 2 7,1 Températures moyennes (°C) 4 4 7 10 14 17 19 19 16 12 7 5 11,2 Source : Climatologie mensuelle - Aéroport de Roissy, France[8] Héraldique
Les armes de Margency se blasonnent ainsi :
D'azur à la bande d'or accompagnée en chef d'une coquille et en pointe de trois billettes rangées en bande, le tout du même ; au chef aussi d'or chargé de trois alérions d'azur
Le blason associe les armes des familles propriétaires à différentes époques de terres à Margency : les alérions de la famille de Montmorency, les billettes de la famille de Saveuse et la coquille de Jean-Jacques de Barillon, seigneur de Maugarny.
Histoire
Le nom de Margency provient du celte marg, terre grasse, dont dériverait l'anthroponyme gallo-romain Margentius, et du suffixe gallo-roman -acum, le domaine de.
Le lieu est cité une première fois en 1125 sous le nom de Merafin ou Migafin. Margency est mentionné sous son nom actuel le 3 juin 1360 dans un aveu « foi et hommage » puis en 1367 lors de l'acquisition du fief par Nicolas Braque, maître d'hôtel du roi.
Le hameau, peut-être une paroisse, appelé Migafin est probablement détruit au début de la Guerre de Cent Ans, disparaissant complètement de tous les actes postérieurs ne désignant plus que Margency. En 1470, Andilly compte 416 habitants et Margency seulement dix[9].
Bailliage de la seigneurie de Montmorency au XVe siècle, la seigneurie passe en 1528 à Antoine de la Postelle. La seigneurie passe en 1623 à Louis de Saveuse, descendant d'une ancienne maison de Picardie, puis à sa veuve Madeleine Viole en 1653. En 1731, un roturier, Adrien Cuyret, greffe en chef du Châtelet, achète pour 57 000 livres la seigneurie et le fief de Margency, consistant en « un château ou maison seigneuriale, grande cour et basse-cour avec colombier et pressoir, jardin en parterre et potager clos de murs... attenant le tout à l'église et contenant 14 arpents, 64 perches 7/12 » (soit environ 5 hectares) « ...moyenne et basse justice. Droit de patronage et nomination de la cure du dit Margency ». Son fils, Adrien Quiret, surnommé « Monsieur de Margency », lui succède en 1749. Mais il rencontre des problèmes financiers et loue la seigneurie au couple Verdelin, propriétaires d'un hôtel particulier rue Vivienne à Paris. Amant de madame Verdelin, Marie-Madeleine de Bremond d'Ars, il fait la connaissance du cercle fréquentant Madame d'Épinay au château de la Chevrette à Deuil, constitué par Madame d'Houdetot, Grimm, Saint-Lambert ou encore Jean-Jacques Rousseau[10].
En 1762, la seigneurie est achetée pour 69 000 livres par Nicolas Claude Thevenin, écuyer, secrétaire du roi, Trésorier receveur général. En 1780, la seigneurie passe à son fils, Jean-Jacques Thevenin, fermier général[11].
Au XVIIIe siècle, Charles Nicolas Pignatelli devient seigneur de Margency par mariage avec la duchesse douairière de Duras qui a hérité de la seigneurie. Margency est érigée en commune autonome en 1789.
Le village au XIXe siècle vit de ses tuileries. Mais comptant une population de moins de deux-cents habitants, une superficie très limitée et avec près d'un tiers de son territoire occupés par des résidences secondaires, la gestion municipale s'avère difficile. Pendant tout le XIXe siècle, la municipalité refuse toute dépense d'intérêt général (assainissement de la vallée de Montmorency), étale au maximum celles qui se révèlent indispensables (bornes fontaines, éclairage), s'en remet à la charité privée pour le secours aux pauvres et indigents, et profite des services financés par les communes voisines pour l'éducation par exemple. Par ailleurs, la plupart des bâtiments publics sont des dons à la commune (lavoir, mairie)[12].
Margency est occupé par les prussiens en 1870, qui cherchent à y loger plus de mille hommes dans le village qui ne compte pourtant alors que 174 habitants. La commune est devenue depuis les années 1950 une petite ville à caractère résidentiel, à l'orée de la forêt de Montmorency. Avec ses 72 hectares, elle est une des plus petites communes du Val-d'Oise.
Démographie
La population de Margency est restée relativement stable autour de deux-cents habitants de 1790 à 1920. Elle amorce alors une lente ascension avec le lotissement progressif d'une partie du territoire communal, et est presque multipliée par trois entre 1968 et 1982 suite à l'édification du lotissement pavillonnaire du parc de Maugarny et à la construction d'immeubles. L'évolution démographique a trouvé une certaine stabilité depuis, la totalité du territoire étant urbanisé depuis la fin du XXe siècle.
Tableau démographique du XXe siècle
Administration
Margency fait partie de la juridiction d’instance de Montmorency, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[15],[16].
Tendances politiques
Politiquement, Margency est clairement une commune de droite.
Au référendum sur le traité constitutionnel pour l’Europe du 29 mai 2005, les Margencéens ont approuvé à une très forte majorité la Constitution Européenne, avec 63,66 % de Oui contre 36,34 % de Non avec un taux d’abstention de 24,86 % (France entière : Non à 54,67 % ; Oui à 45,33 %). Ces chiffres sont contraires à la tendance départementale du Val-d'Oise (Non à 53,47 % ; Oui à 46,53 %) mais suivent la tendance régionale francilienne de façon encore plus marquée (Oui 53,99 % ; Non 46,01 %)[17].
À l’élection présidentielle de 2007, le premier tour a vu se démarquer nettement en tête Nicolas Sarkozy avec 45,16 %, suivi par François Bayrou avec 22,58 %, Ségolène Royal avec 16,95 %, Jean-Marie Le Pen avec 5,74 %, enfin Dominique Voynet avec 2,13 %, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 2 %. Le second tour a vu arriver largement en tête Nicolas Sarkozy avec 65,35 % (résultat national : 53,06 %) contre 34,65 % pour Ségolène Royal (national : 46,94 %) avec 88 % de taux de participation[18].
Les maires de Margency
Liste des maires successifs[19] Période Identité Étiquette Qualité 1997 2014 Jean-Pierre Camus[20] UMP 1969 1997 Bernard Leclerc Période Identité Étiquette Qualité 1959 1969 Gaston Legouais 1947 1959 Victor Letellier 1945 1947 Henri Brochard 1944 1945 André Debure Comité local de libération 1941 1944 Raymond Richard Délégation spéciale 1933 1941 André Debure 1931 1933 Victor Letellier 1929 1931 Julien Manceau 1927 1929 Théodore Lefebvre 1927 Denfert - Rochereau 1924 1927 Théodore Lefebvre 1917 1924 Charles Brador 1908 1917 Albert Marinier 1882 1908 Maurice Muret 1872 1882 Jules Gilet 1854 1872 Louis Muret 1830 1854 Jean-Baptiste Lefranc 1816 1830 Louis-Paul Dubost 1801 1816 Joseph Nicolas Chollet 1798 1801 Nicolas David Agent municipal élu 1795 1798 Pierre Rousselet Agent municipal élu 1793 1795 Charles Tréon Officier public 1792 1793 Pierre Legendre Toutes les données ne sont pas encore connues. Budget et fiscalité
Le budget prévisionnel voté le 22 mars 2007 se montait à un total de 2 787 724,54 euros[21].
Avec un taux de taxe d’habitation de 13,45 % en 2006, la pression fiscale pour les particuliers à Margency est dans la moyenne du département. Il faut y ajouter 2,39 % pour la part syndicale, soit 15,60 % au total. Le taux départemental du Val-d'Oise était fixé la même année à 5,88 % de la valeur locative. À titre de comparaison, ce taux (part syndicale incluse) était de 15,87 % à Soisy-sous-Montmorency, 14,57 % à Eaubonne ou de 17,11 % à Montmorency, communes voisines de population équivalente[22],[23].
Sécurité
Le taux de criminalité de la circonscription de police de Montmorency (incluant Soisy-sous-Montmorency, Andilly et Margency[24]) est de 52,24 actes pour 1000 habitants (crimes et délits, chiffres 2005), ce qui en fait le plus faible du département du Val-d'Oise, très largement inférieur aux moyennes nationale (83/1000) et départementale (88,15/1000). Le taux de résolution des affaires par les services de police est de 28,18%, très légèrement inférieur quant à lui à la moyenne départementale. À titre de comparaison, le taux de délinquance dans les circonscriptions de police voisines atteint 66,26/1000 à Ermont, 81,11/1000 à Deuil-la-Barre, 107,37/1000 à Sarcelles et 137,75/1000 à Enghien-les-Bains, ce dernier étant le plus élevé du Val-d'Oise[25].
Dans le cadre d'une politique menée par la communauté d'agglomération, cinq caméras de vidéo surveillance ont été implantées sur le territoire communal, et deux autres devraient l'être courant 2008 rue Henri Brochard (protection du cimetière) et au parc de la Tuilerie[26].
Économie
La commune est presque exclusivement résidentielle, ne comptant que quelques rares commerces (une boulangerie et un bar-tabac) et entreprises[27]. Ses principales activités économiques, exclusivement tertiaires, sont constituées par le centre thérapeutique pédiatrique de la Croix-Rouge, qui employait 300 salariés en 2003, et par le collège-lycée privé Notre-Dame de Bury, qui avec 1 400 élèves, employait 120 enseignants et 60 employés en 2003. La commune emploie par ailleurs 26 employés municipaux, titulaires et auxiliaires.
L'unique entreprise industrielle ayant existé à Margency est Coultronics, filiale française de la société américaine Coulter, spécialisée dans les méthodes automatiques de diagnostique médical dont elle fut l'un des leaders mondiaux. Créée en France en 1962, elle s'installe à Margency en 1966 et connaît une croissance rapide, passant de 30 employés en 1967 à 650 en 1988 dont 400 dans la commune. Une unité de production d'instruments de précision pour les laboratoires d'analyse médicaux est créée dans le jardin du pavillon qu'elle occupe (rue Legendre) à la fin des années 1960, et s'étend jusqu'à occuper 6000m2 de terrain vingt ans plus tard. Mais concurrencée par de nouvelles entreprises de pays émergents, l'entreprise connaît plusieurs plans sociaux puis est rachetée par la société Beckam, qui cède les terrains à un promoteur immobilier en 1996[28].
Parcs et espaces verts
Malgré une surface limitée, Margency compte pas moins de quatre parcs. Huit hectares sur les soixante-douze que compte la commune sont occupés par des parcs, soit 11 % de la superficie totale. La municipalité a par ailleurs participé pour la première fois en 2007 au concours départemental des villes et maisons fleuries. Il faut noter en outre que la commune se situe en lisière méridionale de la forêt de Montmorency, d'une surface de plus de deux-mille hectares[29].
- Parc de la Mairie (doté d'une aire de jeux)
- Parc de la Renaudière (rue d'Eaubonne)
- Parc de la Tuilerie (avenue Georges-Pompidou)
- Parc Istel (rue Charles-de-Gaulle)
Transports
Aucune gare ne dessert la commune. Des lignes de bus des Cars Rose permettent de relier la commune aux villes des environs et à la gare la plus proche : 38.01 vers la gare d'Ermont-Eaubonne, 38.02 (Montsoult-Montmorency) auxquelles il faut ajouter la ligne 16 des TVO qui relie les hôpitaux d'Eaubonne et de Montmorency.
Monuments et lieux de visite
L'église de la Nativité de la Sainte-Vierge fut édifiée en 1548 et devait probablement être à l'origine la chapelle particulière du château. Elle abrite une toile de style flamand du XVIIIe siècle représentant la sainte Famille, ainsi qu'un confessionnal, également du XVIIIe siècle.
Le château du Grand-Bury (1, avenue Georges Pompidou) est l'œuvre de l'architecte Louis Visconti et date de 1834. Devenu l'une des résidences d'Alfred de Musset qui y reçoit George Sand, il fut acheté en 1939 par les pères maristes du collège Sainte-Marie de Sierck-les-Bains en Moselle qui s'y installèrent pour protéger leurs élèves de combats probables. L'ensemble du château et du parc est devenu depuis l'établissement scolaire Notre-Dame-de-Bury.
L'ancienne mairie (1, rue Henri-Dunant). La maison qui l'abrita, datant probablement de la fin du XVIIIe siècle, fut donnée en 1842 à la commune par son maire, Jean-Baptiste Lefranc, propriétaire de Maugarny, pour en faire la mairie. Il y fait d'abord ajouter un clocheton et une horloge symboles de cette fonction. La mairie, trop à l'étroit, déménage au château du Petit-Bury en 1978.
Le château du Petit-Bury fut édifié en 1910 à l'emplacement d'un pavillon du domaine de Bury. Il a été agrandi en 1977 afin d'accueillir les services de la mairie. La grille en fer forgée qui orne l'entrée du parc provient du château Leroux, comme le rappellent les « L » entrelacés du médaillon central. Elle fut rachetée par la commune et transportée à cet emplacement en 1978. La mairie et son parc furent acquis pour un franc symbolique auprès de promoteurs immobiliers lors de la construction des immeubles l'entourant[30].
Le château de la Croix-Rouge (18, rue Roger Salengro) fut construit à la demande d'Henry de Davillier en 1860, achevé en 1870 et inauguré par... les troupes prussiennes. Il est typique des constructions du Second Empire. Il fut acquis en 1943 par la Croix-Rouge pour y héberger des enfants malades.
Personnalités liées à la commune
Alfred de Musset et George Sand séjournèrent à Margency, au château du Grand-Bury.
Enseignement
Deux établissements scolaires publics dispensent l'enseignement à Margency : une école maternelle, une école primaire et un établissement privé.
L'école maternelle, Le Petit Prince (3ter, rue Louis-Muret), compte quatre classes, un dortoir et une salle de jeux ; l'école élémentaire Saint-Exupéry (rue Henri-Coudert) compte huit classes, une salle informatique et une bibliothèque. Le collège et lycée Notre-Dame de Bury (1, avenue Georges-Pompidou) ouvert en 1939 compte 1 500 élèves[31].
La commune relève de l'académie de Versailles. Les écoles sont gérées par l’inspection générale de l'inspection départementale de l’Education nationale de Soisy-sous-Montmorency (17, avenue du Général-de-Gaulle). La circonscription fait partie du bassin d'éducation et de formation d'Enghien-les-Bains.
Sport, culture et cultes
La commune à vocation essentiellement résidentielle ne possède qu'une vie culturelle assez limitée. Mais elle possède néanmoins un tissu associatif, les douze associations culturelles et sportives que compte la commune se réunissant pour beaucoup au pavillon des Arts (1-3, rue d'Eaubonne)[32].
Margency compte une salle des Fêtes (Gilbert-Bécaud) qui accueille quelques manifestations, (concerts, expositions), ainsi qu'une petite bibliothèque municipale installée dans l'ancienne mairie. La commune possède des courts de tennis couverts et en plein air ainsi qu'un terrain de pétanque.
Un office religieux catholique se déroule à l'église de la Nativité de la Sainte-Vierge de Margency le samedi à 18h et un autre le jeudi à 8h à la chapelle de l'école Notre-Dame de Bury, sauf pendant les vacances scolaires où il a lieu à 9h à l'église de la commune.
Notes et références
- SANDRE - Cours d'eau : ru d'Enghien
- Site de la DDASS95
- l'Atlas de l'eau en Val d'Oise Voir
- SEDIF - Méry-sur-Oise
- Prévention du bruit des infrastructures de transports terrestres - Législation et réglementation
- Classement sonore des infrastructures terrestres du Val-d'Oise
- Météo France - Climatologie
- aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle distant de 15 kilomètres à l'est en plaine constitue la station de référence pour le département du Val-d'Oise. L'
- Histoire de Margency, p 36
- Ibid., p 28-29
- Ibid., p 29 à 31
- Ibid., p 75 à 76
- http://cassini.ehess.fr/ Population avant le recensement de 1962
- INSEE: Population depuis le recensement de 1962
- Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
- Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
- Scrutin du 29 mai 2005 sur la constitution Européenne - Margency
- Scrutin présidentiel de 2007 - Margency
- Ibid., p 112
- Site officiel de la préfecture du Val d‘Oise-liste des maires (doc pdf)
- Site municipal - Budget
- Site officiel de la direction générale des Impôts
- Taxe.com - Margency
- Préfecture et services de l'État dans le Val-d'Oise
- Le Figaro - Délinquance : Palmarès 2005 du Val-d'Oise
- Site municipal - Margency aujourd'hui
- Site municipal - Artisans-Commerçants
- Histoire de Margency, p 110
- Site municipal - Nature
- Ibid., p 76
- Site municipal - Vie Scolaire
- Site municipal - Vie associative
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Bibliographie
- Alexandre Nicolon, Histoire de Margency, Corlet éditions, ISBN 2-913328-46-6, 2003, 128 pages.
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