La Guerre des Étoiles

La Guerre des Étoiles

La Guerre des étoiles

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La Guerre des étoiles
STAR-WARS

Un univers de fiction
M31 Lanoue.png
« Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine... . »[1]
Genres
Science-fiction, Space opera
Thèmes
 -   La chevalerie

 -   L'animisme et la vie après la mort
 -   La relation filiale
 -   Films de cape et d'épée

Origine
Pays d'origine États-Unis États-Unis
Support utilisé Film
Auteur George Lucas
Langue de création Anglais
Année de création 1977
Inspirations Contes anciens
Sanskrit
Public
 -   Lecteurs de Science-fiction
États de développement
 -   Le terrain d'action se situe dans une galaxie différente de la nôtre.
Supports couverts
 -   Bande dessinée

 -   Film d'animation
 -   Jeu de rôle
 -   Jeu de société
 -   Jeu de cartes à collectionner
 -   Roman
 -   Film
 -   Jeu vidéo
 -   Jeux de figurines
 -   Dessin animé
 -   Fanfilm
 -   Fanfiction

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 -   Catégorie Wikipédia dédiée
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meta : Projet:La Guerre des Étoiles

La Guerre des étoiles ou Star Wars (en version originale[2]), est une épopée cinématographique de science-fiction créée par George Lucas, emblématique d'un genre que l'on nomme space opera, constituée de six longs-métrages réalisés entre 1977 et 2005.

La saga est prévue à la base pour être une triple trilogie, soit neuf films. Mais Georges Lucas choisit de commencer par réaliser le quatrième épisode, plus à la portée des moyens de l'époque en effets spéciaux, et plus susceptible d'intéresser le public au reste de la saga. L'Épisode IV : Un nouvel espoir sort en 1977 (en fait, le roman adapté du film est sorti en 1976 ; ce roman comporte quelques différences et informations supplémentaires contraires à ce que montrent les suites). Les deux autres épisodes de cette trilogie sont réalisés peu après, mais avec une fin n'appelant pas à de suite. Ce n'est qu'en 1999 que sort l'épisode premier selon l'ordre chronologique de la narration mais quatrième film à sortir sur les six qui seront produits au total.

La série connut un succès phénoménal partout dans le monde et engendra une très importante communauté de fans. Pour expliquer ce succès malgré le manque de moyens (le budget était relativement modeste, les acteurs presque inconnus), les facteurs suivants sont souvent avancés :

  • les effets spéciaux, supervisés par Ken Ralston, étaient réellement novateurs, avec notamment la participation de John Dykstra (qui a également participé au premier film de Star Trek), qui avait développé une nouvelle manière d'animer les maquettes des vaisseaux en coordonnant leurs mouvements par ordinateur (Dykstraflex) ;
  • le film a développé un univers cohérent, avec, comme préoccupation constante, autant la création d'une ambiance que l'action proprement dite ;
  • la musique, composée par John Williams, introduit des thèmes récurrents et des leitmotivs (procédé classique mais renforçant la cohérence) ;
  • de nombreux produits dérivés (maquettes de vaisseaux, figurines…) ont été commercialisés, notamment pour financer les suites du film (Lucas avait réussi à obtenir que les droits des produits dérivés lui reviennent après une année d'exploitation par la Fox) ;
  • la distribution du film s'était déroulée en même temps que celle de Carrie au bal du diable de Brian De Palma en 1975. George Lucas fut même obligé d'hypothéquer sa propre demeure pour financer le film. L'acteur Alec Guinness accepta de jouer le rôle de Obi-Wan Kenobi pour presque rien, décidant, de cette façon, d'être rémunéré sur les futures recettes du film à sa sortie en salle (il s’agissait aussi d’un calcul : il avait anticipé la réussite commerciale du film);
  • enfin, Lucas ayant étudié l'histoire des religions et des civilisations, notamment à travers les ouvrages du mythologue Joseph Campbell[3], a bâti sa première trilogie à la manière d'une tragédie antique (avec un héros victime de ses passions), et la seconde sur le principe d'initiation, récurrent dans toute mythologie, et qui leur confèrent un propos et une profondeur allant au-delà du simple blockbuster[réf. nécessaire].

Le succès de la saga permit à George Lucas de se bâtir un empire financier : Lucasfilm, sa société de production, a pu réunir les moyens financiers suffisants pour produire des films à gros budgets, Industrial Light & Magic (ILM), son entreprise d'effets spéciaux, a perfectionné de manière notable les techniques en matière d'effets visuels, et Lucas a même fait construire un studio d'enregistrement pour les bandes son en 1987, le Skywalker Sound, (auquel on doit la fameuse certification THX) dans son ranch (le Skywalker Ranch). Il garde une maîtrise totale sur l'utilisation des personnages de ses films et sur les produits dérivés (à titre d'anecdote, la traduction française du jeu de rôle Star Wars fut retraduite en anglais pour vérifier que l'esprit n'avait pas été trahi, un procédé déjà utilisé, mais à l'inverse, pour les traductions d’Astérix).

Les films de la trilogie originale ont été plusieurs fois modifiés, avec une nouvelle sortie en vidéo, et une version encore différente en DVD, utilisant parfois des éléments de la prélogie (le spectre d'Anakin Skywalker à la fin du Retour du Jedi est remplacé par une version impliquant l'acteur jouant Anakin Skywalker dans la prélogie). Ces modifications provoquent d'incessantes polémiques parmi les fans, la plus importante ayant donné naissance au slogan « Han shot first ». En France, le nom du premier de ces films a également été changé afin de respecter la nouvelle nomenclature imposée par les épisodes tournés plus récemment : la Guerre des étoiles est devenu Star Wars : épisode IV - Un nouvel espoir.

Sommaire

L'univers de la Guerre des étoiles

L'univers de la Guerre des étoiles est un savant mélange de Rome antique, de mythologie et de haute-technologie. On y retrouve également certains clins d'œil à la mythologie japonaise à l'époque des samouraïs (Voir le casque de Dark Vador).

L'action se déroule il y a très longtemps dans une galaxie lointaine et est le théâtre d'un affrontement incessant entre le Bien et le Mal. Le Bien est défendu par l’Ordre Jedi, une caste de sages-guerriers aux nombreux pouvoirs psychiques (télékinésie, prescience…) qu'ils tirent de ce qu'ils nomment la Force. Mais celle-ci participe d'une dualité présentant un Côté Clair (ou lumineux), utilisé par les Jedi, et un Côté Obscur.

Les tenants du côté obscur sont les Jedi noirs, dont notamment les Seigneurs des Sith, appelés ainsi car, il y a très longtemps, ils avaient à leur service le peuple Sith. La colère, la haine, la peur peuvent mener les Jedi vers le côté obscur de la Force s'ils ne sont pas capables de dominer ces pulsions.

Voir l'article détaillé Chronologie de la saga Star Wars.
Voir l'article détaillé Chronologie de la Guerre des étoiles.
Voir l'article détaillé Force (Star Wars).
Voir l'article détaillé Personnages de la Guerre des étoiles et les Pilotes de la Guerre des étoiles
Voir l'article détaillé Planètes de la Guerre des étoiles.
Voir l'article détaillé Technologie de la Guerre des étoiles.
Voir l'article détaillé Organisations de la Guerre des étoiles.
Voir l'article détaillé Escadrons de la Guerre des étoiles.
Voir l'article détaillé Évolution de l'univers de la Guerre des étoiles.

Peuples et espèces

La galaxie qui constitue l'univers de la Guerre des étoiles est constituée de nombreux peuples.

La race humaine est globalement la plus répandue : la majorité des colons présents sur Tatooine sont humains ; sur d'autres mondes comme Naboo, Corellia ou encore Alderan, les humains constituent l'espèce dominante ; les clones (ou stormtrooper) constituant l'armée de la République puis celle de l'Empire, ont été créés par millions sur un modèle humain (Jango Fett).

Dans la première édition de la trilogie, non-remasterisée, la limitation des effets spéciaux imposait d'avoir des races extraterrestres principalement humanoïdes, avec des costumes facilement réalisables. Lors de la sortie de la trilogie en 1997, ont été ajoutés par ordinateur beaucoup d'autres personnages non-humanoïdes, principalement sur des plans larges.

Parmi les espèces jouant un rôle important dans les films, on trouve :

  • des Gungans, sortes d' « hippo-escargocéphales » au corps humanoïde, natifs de Naboo (exemple : Jar Jar Binks) ;
  • des Neimoidiens, financiers corrompus, avides de pouvoir, natifs de Cato Neimoidia (exemple : Nute Gunray) ;
  • des Wookiees, créatures humanoïdes poilues de stature imposante (2,20 m à 2,80 m), natifs de Kashyyyk (exemple : Chewbacca) ;
  • des Ewoks, sortes d'oursons, originaires de la Lune sanctuaire d'Endor (exemple : Wicket);
  • des Jawas, des petites bêtes encapuchonnées avec des yeux jaunes brillants : ferrailleurs, ils capturent des droïdes pour les revendre;
  • des hommes des sables, terribles guerriers du désert de Junland sur Tatooine menant parfois des raids sur des villes. Peuple nomade, ils vivent en tribus dans les montagnes ou les dunes du désert. (exemple : A'Sharad Hett);
  • des Zabraks, humanoïdes avec de petites cornes sur le crâne. (exemple : Dark Maul);
  • des Mon Calamari, peuple aux traits aquatiques vivant sur Mont Calamari (monde océanique)(exemple : Amiral Ackbar);
  • des Mandaloriens, humains autrefois en guerre avec l'ancienne république(exemple : Jango & Boba Fett)...

Aussi, il existe de nombreuses races humanoïdes qui peuvent ne différer de la race purement humaine que par la couleur de la peau, celle des yeux, ou d'autres caractères morphologiques qui n'en font pas des êtres fondamentalement différents des humains (exemple : les Chiss ou les Anzati). Enfin, dans une certaine mesure, les droïdes, des robots intelligents, peuvent être considérés dans l'univers comme des peuples à part entière. Il y en a une infinie variété.

Il y a aussi d'autres espèces moins connues comme les Selkaths sur Manaan, les Hutts qui constituent l'empire du crime (ils sont surtout sur Nal Hutta qui signifie joyaux de gloire en Hutt), les Twi'Leks sur Ryloth...

Certains êtres ou droïdes sont présents en exemplaire unique, sans que l'on sache quoi que ce soit sur leur peuple (du moins si l'on se restreint aux films) ; c'est le cas, par exemple, du biodroïde Kaleesh Grievous, démoniaque général affilié à la Confédération des Systèmes Indépendants. Bien qu'étant un cyborg, il n'accepte pas le nom de droïde et c'est pour cela qu'il n'aime pas particulièrement les membres de la Fédération du commerce.

C'est également le cas de Yoda, le plus grand et le plus sage des maîtres Jedi. L'origine de son espèce est inconnue, et l'on aperçoit seulement une fois un être de cette même espèce, Yaddle, également maître Jedi. On peut en déduire que c'est une espèce particulièrement réceptive à la Force.

Voir article détaillé Espèces de la Guerre des Étoiles.

Traduction

Le titre original de la saga est Star Wars ; certains estiment que la traduction littérale est Guerres des étoiles ou même Guerres de l'étoile ; Star peut également être interprété comme un adjectif, ce qui donne Les Guerres stellaires (d'ailleurs les Star Destroyers de l'histoire sont traduits destroyers stellaires en V.F. ; quoiqu'il existe des variantes de traduction, comme croiseurs interstellaires ou superdestroyers — voir plus bas). Le titre français n'est donc pas une traduction littérale, mais dans d'autres langues la traduction est encore plus éloignée (en espagnol, il a été traduit par La Guerra de las galaxias c'est-à-dire La Guerre des galaxies)[4].

De la même manière, la sous-saga Clone Wars s'appelle en français La Guerre des clones (on pourrait traduire littéralement Les Guerres des clones) et dans l'épisode IV le terme Clone Wars a été traduit par La Guerre noire (Note: Le nom "Guerre des clones", ne fut utilisé qu'une seule fois à la fin de l'épisode II, par Yoda lorsqu'il s'entretient avec Obi-wan quand celui-ci pense que tout est fini : "non, De commencer la guerre des clones vient" (reprend Yoda) ; il est probable que le nom "Guerre noire" fut inventé a l'époque par les traducteurs français).[réf. nécessaire]

Le titre « La Guerre des étoiles » fut utilisé en France, y compris pour certains produits dérivés (les premières éditions des premiers romans de l'univers étendu emploient ce titre[5]). Mais à partir de la sortie de « l'édition spéciale » de la trilogie originale (en 1997), l'utilisation de « Star Wars » devint la règle y compris en France. L'expression « La Guerre des étoiles » désigne alors surtout le premier film, et non la saga entière.

La traduction des noms posa souvent problème. Le premier film proposa certaines modifications (Chewbacca en Chiktabbak, son diminutif devenant Chico) qui furent abandonnées dès le deuxième film. Dans le générique de fin de la version VHS française de 1977 d’Un nouvel espoir, on peut remarquer que Mark Hamill alias Luke Skywalker, est crédité Luc Courleciel. D'autres noms furent utilisés dans la traduction de toute la trilogie, mais abandonnés lors de la traduction de la prélogie (R2-D2 en D2-R2, C-3PO en Z-6PO). Les romans de l'univers étendu sont divisés : la plupart emploient les noms originaux des robots, mais très peu utilisent le nom original Han Solo au lieu de Yan Solo. La traduction du livre La Guerre de l'essaim emploie les noms C-3PO et Z-6PO dans le même chapitre. Dans la version française, Darth Vader fut remplacé par Dark Vador. Le remplacement de Darth par Dark a ensuite été étendu à tous les Sith, l'ordre dont fait partie Vador. Le sens de Darth n'a jamais été précisé.

La traduction des noms de vaisseaux pose les mêmes problèmes : la version traduite de la Croisade noire du Jedi fou traduit « Star destroyer » par « superdestroyer » pour désigner des destroyers stellaires longs de moins de deux kilomètres, alors que ce terme est habituellement réservé aux vaisseaux de plus de cinq kilomètres (« Super Star Destroyer » en version originale). Le vaisseau de Solo, en version originale « Millenium Falcon », fut appelé « Millenium Condor », « Faucon Millenium » et « Faucon Millénaire ».

Le sabre laser, ou sabrolaser, s'appelait dans la version originale « lightsaber ». Le roman « Young Jedi Knights: Lightsabers » s'appelle en français « Les Jeunes Chevaliers Jedi : les sabres de lumière ». Le nom français ne doit d'ailleurs pas être interprété comme une description techniquement exacte de l'arme : la lame n'est pas nécessairement un laser, et sa nature exacte est inconnue. Les erreurs de traduction sont allées jusqu'à traduire « lightsaber » par « vibro-lame », ce qui est pourtant une arme très différente dans l'univers de Star Wars[6].

Filmographie

Article détaillé : Star Wars (films).

Les premiers films de la saga qui furent réalisés étaient d'emblée numérotés épisodes IV, V et VI, le projet ayant toujours été de réaliser une trilogie décrivant l'avènement de l'Empire. Ces trois films constituent donc la trilogie originale. Les épisodes numérotés I, II et III ont été réalisés bien plus tard (l'utilisation des expressions « première trilogie » et « deuxième trilogie » est donc assez confuse quant à savoir si on parle de l'ordre chronologique de réalisation ou de l'histoire). Ils sont appelés en anglais la Prequel trilogy, trilogie préquelle. Les fans français ont inventé le néologisme prélogie pour les désigner. Enfin, le projet original prévoyait également une troisième trilogie, mais au sens strict, ce projet a été avorté. Les trilogies sont ici présentées dans l'ordre chronologique d'un point de vue interne à l'univers.

Prélogie

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  • 1999 : épisode I : La Menace fantôme (The Phantom Menace), réalisé par George Lucas : deux chevaliers Jedi, Qui-Gon Jinn et Obi-Wan Kenobi, doivent protéger la reine Padmé Amidala dont la planète Naboo a été envahie par les troupes de la Fédération du Commerce; durant leur fuite, ils croisent Anakin Skywalker, un jeune esclave, sur la planète Tatooine.
  • 2002 : épisode II : L'Attaque des clones (Attack of the Clones), réalisé par George Lucas : dix ans plus tard, la République menace de s'effondrer sous l'action de séparatistes menés par le Comte Dooku. Alors que le Sénat s'enlise dans un débat sur la création d'une armée de la république, la sénatrice Amidala, principale opposante à ce projet, est la cible d'un attentat. Obi-Wan Kenobi, et son padawan Anakin Skywalker, sont chargés de sa protection.
  • 2005 : épisode III : La Revanche des Sith (Revenge of the Sith), réalisé par George Lucas : la guerre fait rage dans toute la Galaxie, entre l'armée des clones de la République, menée par les Jedi, et celle des séparatistes. Le Chancelier suprême Palpatine porte de mieux en mieux son titre et installe lentement, mais sûrement, une dictature depuis les trois ans que dure la guerre des Clones, se faisant voter chaque jour de nouveaux pouvoirs exécutifs et s'attirant la franche hostilité de l'Ordre Jedi, véritable organe exécutif de la République. Il charge Anakin Skywalker d'être son représentant auprès du conseil Jedi, et le fait pencher vers le côté obscur en jouant sur son ambition, sa frustration de ne pas être nommé maître Jedi malgré ses pouvoirs, et surtout sa peur de perdre Padmé Amidala, enceinte de lui.
    Ce dernier épisode aboutit à l'apocalypse : l'Ordre Jedi, vingt-cinq fois millénaire, est anéanti, et Palpatine proclame l'Empire. Le jeune Anakin devient Dark Vador, le puissant bras droit de l'Empereur. C'est le début d'un règne de vingt-trois ans de terreur.

Trilogie originale

  • 1977 : épisode IV : Un nouvel espoir (Star Wars: a New Hope), réalisé par George Lucas : Luke Skywalker, jeune fermier sur Tatooine, rêve de devenir pilote ; son destin bascule lorsque son oncle Owen achète deux droïdes (R2-D2/D2R2 et C-3PO/Z6PO), qui se sont échappés d'un vaisseau diplomatique d'Alderaan : leTantative IV capturé par l'Empire. R2-D2 contient des informations capitales pour l'Alliance rebelle. Luke, aidé par l'ermite Ben Kenobi, le contrebandier Han Solo et son fidèle ami Chewbacca, vont tenter de délivrer une Sénatrice, la princesse Leia.
  • 1980 : épisode V : L'Empire contre-attaque (The Empire Strikes Back), réalisé par Irvin Kershner : l'une des bases principales de l'Alliance rebelle, située sur Hoth, est repérée par l'Empire. Les rebelles s'enfuient ; Luke Skywalker décide de suivre une formation de chevalier jedi auprès de maître Yoda sur Dagobah, tandis que Leia et Han Solo se réfugient chez celui qu'ils croient être un ami, Lando Calrissian, administrateur des mines de gaz de Bespin… C'est dans cet épisode que Dark Vador dit à Luke la phrase : « Non, je suis ton père », qui curieusement est plus célèbre sous la forme erronée « Luke, je suis ton père »[7] »
  • 1983 : épisode VI : Le Retour du Jedi (Return of the Jedi), réalisé par Richard Marquand : l'empire s'est lancé dans la construction d'une nouvelle station spatiale orbitale de combat, l'Étoile de la Mort, arme suprême plus puissante encore que l'Étoile Noire. Renseigné par de faux informateurs corrompus par les forces impériales désireuses d'attirer la flotte rebelle dans une embuscade, l'Alliance Rebelle va chercher à la détruire. Mais pour cela, il faut neutraliser son champ protecteur, dont l'émetteur se trouve sur la lune forestière d'Endor, lieu de vie des Ewoks, où l'attendent des légions entières des meilleures troupes impériales. C'est dans cet épisode que Dark Vador tue son maître qui était sur le point de tuer Luke, et le paye de sa vie.

Troisième trilogie

Initialement, George Lucas avait prévu trois trilogies (neuf films) mais finalement, il a renoncé à écrire une suite : l'histoire prévue pour l'épisode VI telle qu'elle aurait dû être pour permettre une suite est très différente de celle qui fut finalement réalisée[8], ce qui signifie qu'à la sortie de l'épisode VI, la troisième trilogie était déjà annulée.

Le site officiel s'explique ainsi : « À une période, il fut question que George ait besoin de neuf films pour raconter l'histoire de la famille Skywalker. Mais ayant travaillé davantage le déroulement de l'histoire, il s'est rendu compte depuis bien longtemps que l'histoire qu'il souhaitait partager pouvait tenir en six films de deux heures. Le mythe de la saga aux neuf épisodes, en revanche, refuse de mourir… et il semble clair qu'il ne mourra jamais. Mais George affirme que l'histoire sera complète avec six films, constituant une seule saga. Il avoue même n'avoir rien d'autre à raconter au-delà de la destruction de la seconde Étoile de la Mort. »

De nombreuses rumeurs présentèrent des scénarios possibles pour la troisième trilogie[8]. Il y eut également une certaine confusion lors de la création de l'univers étendu de la Guerre des étoiles : la trilogie de romans de Timothy Zahn, La Croisade noire du Jedi fou, fut le premier média qui raconta l'histoire de la saga après l'épisode VI. Elle fut donc interprétée par certains comme étant la fameuse troisième trilogie, d'autant que certains éditeurs entretinrent la confusion (les éditions Pocket numérotaient les novélisations de la trilogie originale de 1 à 3 et la trilogie de Timothy Zahn de 4 à 6[9]).

Éléments caractéristiques d'un épisode de Star Wars

On retrouve dans les six films de la saga des éléments communs :

  • Le logo de la 20th Century Fox en version courte suivi du logo de Lucasfilm Limited. Ces deux logos ont été remplacés par des versions plus récentes à dater de la sortie des Éditions Spéciales des épisodes IV, V et VI. Mis à part les logos des deux sociétés de production, il n’y a absolument aucun crédit d’aucune sorte pendant le générique des six films. Le jingle de la 20th Century Fox est joué pendant que les deux logos sont à l'écran. C'est à la sortie de l'Épisode IV que cette fanfare, tombée à l'époque en désuétude, a été à nouveau utilisée régulièrement par la Fox ; cette musique est, en effet, totalement dans le style (ainsi d'ailleurs que dans la même tonalité de si bémol majeur) de la bande sonore écrite par John Williams et en fait une sorte d’introduction naturelle.
  • Le texte écrit en bleu sur fond noir « Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine.... » : cette phrase, à l'attention du spectateur, permet de souligner le caractère intemporel des films (Il y a bien longtemps) ainsi que de lui faire accepter le fait que l'univers de Star Wars est différent du nôtre et ainsi de l'y faire rentrer plus facilement (dans une galaxie lointaine, très lointaine....). Cette phrase rappelle également l'introduction classique de certains contes de fées (Il était une fois…). On note la présence de quatre points au lieu des trois points de suspension prévus par la typographie française (les quatre points sont corrects en typographie américaine). Qu'il s'agisse à l'origine d'une erreur ou non, la tradition a été conservée.
  • Un logo STAR WARS jaune qui s'éloigne à l'écran sur un fond noir étoilé. Ce logo a commencé à être utilisé dans la version française des films à compter de la sortie de l'Épisode I et a été finalement intégré aux versions DVD des épisodes IV, V et VI en remplacement du logo LA GUERRE DES ÉTOILES d'origine. L'apparition du logo STAR WARS coïncide avec le début de la fanfare commune aux six épisodes (qui débute par un accord de si bémol majeur caractéristique).
  • Le texte jaune défilant présente la situation dans laquelle se trouve la galaxie au spectateur au moment de commencer l'épisode. Ce texte permet de préciser les évènements qui se sont déroulés entre les épisodes et ainsi de comprendre les enjeux de l'épisode qui va suivre. Cette manière de présenter est en fait un hommage à la série Flash Gordon qui débutait par un texte défilant identique et qui résumait l'épisode précédent.
  • Tous les films de la saga débutent de la même manière. Tout d'abord il y a un plan extérieur d'un vaisseau spatial, presque toujours suivi d'une vue intérieure de ce même vaisseau. Dans l'Épisode I, il s'agit du Radiant VII, la navette républicaine qui amène les deux Jedi sur Naboo. Dans l'Épisode II, il s'agit du vaisseau privé de la sénatrice Padmé Amidala lors de son arrivée à Coruscant tandis que dans l'Épisode III, il s'agit du chasseur Eta-2 d'Anakin Skywalker s’engageant dans la bataille spatiale au-dessus de cette même planète. Dans la seconde trilogie, on voit la corvette Corrélienne Tantive IV pourchassée par le Dévastator dans l'Épisode IV. Dans l'Épisode V, il s'agit du destroyer impérial le Vengeur larguant des sondes et pour finir dans l'Épisode VI, il s'agit de la navette de classe Lambda du seigneur Dark Vador qui se dirige vers la seconde Étoile de la Mort.
  • Les volets de transition entre les scènes : ceux-ci sont également un hommage aux serials du samedi matin dont Lucas était fan dans sa jeunesse (on retrouve notamment ces fameuses transitions dans Willow, film écrit et produit par Lucas).
  • Les phrases « que la Force soit avec toi » (May the Force be with you), et « j'ai un mauvais pressentiment » (I have a bad feeling about this) : la première est devenue célèbre à travers le monde entier, la seconde se remarque moins dans la version française à cause du manque de cohésion des traductions entre les différents films (traduite soit par « j'ai un étrange pressentiment », soit par « cela ne me dit rien qui vaille ») et on peut l'entendre entre autres ( en VO ) au commencement de l'épisode I dans la salle de réunion, c'est alors Obi-Wan qui la prononce, dans l'épisode II dans l'arène de Géonosis, et c'est cette fois Anakin qui la prononce, puis dans l'épisode III au commencement lors de l'attaque du vaisseau amiral droïde, et c'est encore une fois Obi-Wan qui est en charge de cette phrase. Dans la seconde trilogie, on note qu'on peut l'entendre plus souvent ( toujours en VO ) : De la bouche de Luke lorsque l'équipage du Faucon Millenium découvre l'Etoile Noire ( Ep. IV ), par Han dans la fosse à ordures ( Ep. IV ), par la princesse Leïa dans l'estomac du ver géant sur l'astéroïde ( Ep. V ), par C-3PO dans le temple de Jabba ( Ep. VI ) et enfin à nouveau par Han lorsqu'ils sont capturés par les Ewoks ( Ep. VI ).
  • Chaque épisode contient au moins un duel Jedi où interviennent les principaux protagonistes: Obi-Wan, Dooku, Yoda, Palpatine, Dark Vador et Luke. La plupart des combats s'effectuent au sabre laser, mais il arrive que les combattants utilisent la Force pour projeter l'ennemi ou pour attaquer l'ennemi grâce à un faisceau de lumière bleue comparable à des éclairs. La plupart des duels sont des événements clés dans le déroulement de l'intrigue et les héros n'en sortent jamais indemnes : Dark Maul tue Qui-Gon Jinn avant de mourir à son tour de la main d'Obi-Wan, qui prend alors la relève de son mentor et devient maître d'Anakin (Épisode I) ; Anakin tue Dooku après un premier échec où il perdra sa main (Épisodes II et III) et devient le nouveau héros de la République tandis que Palpatine élimine les Jedi et chasse Yoda (Épisode III), Anakin devenu Dark Vador tue Obi-Wan (qui se laisse tuer, cependant) après un premier échec où il perd ses jambes, ses bras, et son visage (Épisodes III et IV), puis Luke bat Vador en lui coupant la main (bien sûr, main cyborg) après un premier échec où il a perdu la sienne (Épisodes V et VI).
  • Les dernières scènes sont uniquement musicales : il s'agit là encore d'un hommage aux serials du samedi matin.
  • Les crédits de fin sont toujours écrits en bleu sur un fond noir étoilé. La bande sonore est toujours constituée d'un medley des thèmes majeurs de l'épisode ou de la série et commençant systématiquement par le thème, très connu, de John Williams.

Lieux de tournage

Les épisodes IV, V, et VI ont été filmés principalement aux studios d'Elstree, à Hertfordshire, en Angleterre. Les temples Mayas de Tikal, au Guatemala, servirent de décor à la Base Rebelle sur Yavin IV, dans l'épisode IV tandis que certaines scènes de cet épisode furent filmées au Parc national de la Vallée de la mort. Les scènes d'extérieur sur la planète de glace Hoth dans l'épisode V furent filmés à Finse, en Norvège. Enfin, les scènes sur la lune d'Endor, pour l'épisode VI, ont été tournées dans le parc d'État de Humboldt Redwoods, dans le Comté de Humboldt, en Californie.

L'épisode I fut filmé aux Leavesden Film Studios alors que les épisodes suivants le furent à Sydney, en Australie. Une scène de l'épisode II a été tournée à Séville, en Espagne[10]. Dans ces deux épisodes, le palais italien de Caserta servit de décor au palais de Theed sur Naboo ; d'autres scènes censées se dérouler sur cette planète furent tournées au lac Como, en Italie également.

Enfin, les scènes qui se déroulent sur la planète Tatooine ont été filmées près de l'île de Djerba, en Tunisie, à Tataouine (ce qui explique le nom de cette planète fictive, « Tatooine »), pour presque tous les films. Les scènes présentant la maison de l'oncle Owen, ont été filmées au village troglodyte de Matmata, toujours en Tunisie, une partie des décors a été préservée et est visitable dans ce village du sud tunisien. Pour l'épisode VI, les dunes de sable du désert de Yuma, en Arizona, servirent de lieu de tournage alors que cette planète n'apparaît pas dans l'épisode V.

À la fois la trilogie originale et la prélogie ont demandé dix années[11] de travail (respectivement 1973 - 1983 et 1995 - 2005), la production de chaque film durant en moyenne trois ans.

On remarquera que le paysage d'Alderaan dans l'épisode III est directement tiré de clichés de l'Oberland bernois en Suisse. Cependant, aucune scène n'a été tournée dans ce pays, si ce n'est les vues des lacs de Naboo prises au lac de Come, en Italie, non loin de la frontière helvétique.

Pays

Italie, Australie, Tunisie, Espagne, États-Unis, Norvège, Guatemala et Angleterre. canaries

Séries d'animation

L'univers de Star Wars a fait l'objet de plusieurs adaptations en animation.

Ewoks

Ewoks raconte les aventures de Wicket et de sa tribu dans les forêts d'Endor, remplies de créatures étranges, et de magie. Tout cela se situant quelques années avant les événements du Retour du Jedi. Il y a peu de lien avec les films et l'univers originel de Star Wars, la série est plutôt destinée aux jeunes enfants.

Listes des épisodes 
  1. (1.01) : Les arbres qui pleuraient
  2. (1.02) : Le Village hanté
  3. (1.03) : La colère des Flogs
  4. (1.04) : Sauver Deej
  5. (1.05) : Les Jindas, gens du voyage
  6. (1.06) : L'Arbre de lumière
  7. (1.07) : Le Maléfice des Jindas
  8. (1.08) : Le Pays des Gupins
  9. (1.09) : La Pierre d'ombre et de lumière
  10. (1.11) : Les Trois Leçons
  11. (1.12) : La Moisson bleue
  12. (1.13) : Asha, le fantôme rouge
  13. (2.01) : La Cape de cristal
  14. (2.02) : La Plante magique
  15. (2.03 : Les Créatures de la nuit
  16. (2.04) : Princesse Latara
  17. (2.05) : Le Raïque
  18. (2.06) : Le Maitre du totem
  19. (2.07) : Un cadeau pour Shodu
  20. (2.08) : La Nuit de l'étranger
  21. (2.09) : Lanadac
  22. (2.10) : Le Premier Apprenti
  23. (2.11) : Marchands en herbe
  24. (2.12) : Guerrier et magicien
  25. (2.13) : Le Sceptre des saisons
  26. (2.14) : La Proue porte-bonheur
  27. (2.15) : Le Rival de Baga
  28. (2.16) : La Hutte des horreurs
  29. (2.17) : La Flûte tragique
  30. (2.18) : C'est bien ma chance
  31. (2.19) : Norky la petite peste
  32. (2.20) : Quelle soirée
  33. (2.21) : Malani la guerrière
  34. (2.22) : Les Ewoks contre-attaquent

Droïdes

Article détaillé : Droids: The Adventures of R2-D2 and C-3PO.
  • Années de diffusion : 1985 (États-Unis)
  • Saison 1 : 14 épisodes
  • Studios : Nelvana

Divisé en 3 cycles, plus un épisode d'une heure, Star Wars: Droids raconte les aventures de R2D2 et C3PO, et de leurs différents propriétaires, 15 ans avant qu'ils ne rencontrent Luke Skywalker, alors que l'Empire étend sa domination et que l'Alliance Rebelle commence à s'organiser.

Liste des épisodes
  1. Le Trigon Un (partie 1) - La Sorcière blanche
  2. Le Trigon Un (partie 2) - L'Expédition
  3. Le Trigon Un (partie 3) - Trigon 1
  4. Le Trigon Un (partie 4) - Les Courses de Boonta
  5. Les Pirates et le Prince (partie 1) - Le Prince perdu
  6. Les Pirates et le Prince (partie 2) - Le Nouveau Roi
  7. Les Pirates et le Prince (partie 3) - Les Pirates de Tarnoonga
  8. Les Pirates et le Prince (partie 4) - La Revanche de Kybo Ren
  9. Les Pirates et le Prince (partie 5) - Les Émissaires de l'Empereur
  10. Le Trésor de la planète cachée (partie 1) - La Queue de la comète Roon
  11. Le Trésor de la planète cachée (partie 2) - Les Jeux de la planète Roon
  12. Le Trésor de la planète cachée (partie 3) - Tempête sur Roon
  13. Le Trésor de la planète cachée (partie 4) - La Forteresse de glace
  14. Heep le destructeur

Clone Wars

Article détaillé : Clone Wars (dessin animé).

Série d'animation traditionnelle, réalisée par Genndy Tartakovsky.

  • Années de diffusion : 2003-2005 (États-Unis)
  • Saison 1 : 10 épisodes de 3 minutes (30min) ;
  • Saison 2 : 9 épisodes de 3 minutes et le dernier de sept minutes (34min) ;
  • Saison 3 : 5 épisodes de 12 minutes (1h).

Les épisodes ont été par la suite montés ensemble et se présentent sous la forme de 2 épisodes d'une heure chacun, l'un contenant les saisons 1 et 2, l'autre l'intégralité de la saison 3.

Clone Wars relate les évènements se déroulant entre les épisodes II et III. La première partie se déroule juste après L'Attaque des Clones (Anakin Skywalker et Obi-Wan Kenobi ont gardé la même apparence) tandis que la seconde partie se passe 3 ans plus tard, juste avant le début de La Revanche des Sith. La première partie montre au spectateur divers affrontements de la Guerre des Clones et introduit de nouveaux personnages en la personne d'Asajj Ventress, une Jedi Noire prometteuse et du Général Grievous jusqu'alors inédit. Alors que ce dernier reprend son rôle dans La Revanche des Sith, Asajj Ventress n'apparaît que dans les séries relatives à la Guerre des Clones. La seconde partie influe directement sur La Revanche des Sith car elle explique la capture du Chancelier Palpatine par Grievous et se termine exactement au moment où le troisième film débute.

The Clone Wars

Deuxième série télévisée se déroulant pendant la Guerre des clones, elle est entièrement réalisée en images de synthèse.

Le pilote a été diffusé au cinéma le 27 août 2008 en France (il s'agit initialement d'épisodes spécialement montés et adaptés pour le cinéma) et il doit être suivi de plusieurs saisons de 22 épisodes chacune. En France, c'est M6/W9 qui détient les droits de diffusion. Dans cette série on retrouve les personnages de Clone Wars (Anakin, Obi-Wan, Mace Windu, Yoda, Grievous, Asajj Ventress, Dooku, ...) ainsi que de nouveaux personnages comme Ahsoka (l'apprentie d'Anakin), le commandant REX ainsi que le fils et le neveu de Jabba le Hutt. La série est à ce jour en cours de diffusion. Le graphisme du dessin animé est très différent du film, et l'histoire n'est pas la même, mais on reconnait bien les personnages.

Études

Lucas a bâti ses deux trilogies sur des principes récurrents dans notre civilisation. La première trilogie peut être assimilée par son propos et ses nombreuses références aux peplums à une tragédie antique. Le héros Anakin Skywalker, est un héros tragique, victime de ses passions. Débordé par son amour filial, par sa révolte contre un système en faillite, mais surtout par son amour pour la belle Padmé Amidala et son arrogance, autant de passions qu'il ne sait pas maîtriser, Anakin se laisse progressivement entraîner vers le Côté Obscur, et finit par détruire tout ce pour quoi il a toujours œuvré, et tous ceux qu'il a aimés.

La seconde trilogie, au contraire, est bâtie d'une façon très académique sur le principe d'initiation, avec beaucoup de références aux westerns, aux films d'explorateurs, d'arts martiaux et certains contes de fées. Le héros, incomplet, doit aller chercher au fond de ses forces obscures, les maîtriser pour pouvoir vaincre réellement. Ainsi, après la victoire partielle de l'épisode IV, Luke part sur la planète Dagobah, un endroit perdu, où autant de symboles, tels que l'épisode crucial de la grotte, où il s'affronte véritablement lui-même (« cet endroit est l'antre du mal » lui dit Yoda, son maître), mais aussi la ressemblance avec le décor du ventre du monstre dans lequel se retrouvent ses amis au même moment nous indique qu'il effectue une introspection. L'épisode VI, Le Retour du Jedi, est étrangement calqué sur l'épisode IV, avec une autre « Étoile de la Mort ». Mais Luke a, cette fois, accompli son introspection, vaincu ses démons, ce qui lui permet de vaincre l'Empereur, non par la force, mais par le renoncement.

On peut ajouter qu'on retrouve chez Luke dans l'épisode V la même arrogance naïve que son père. Sachant ses amis en danger, et malgré les multiples mise-en-gardes de ses maîtres (Yoda et Obi-Wan), Luke se précipite dans le piège qui lui est tendu par l'empereur. Il ne fait pas confiance à ses amis, et donc il estime qu'ils ont besoin de lui alors qu'en fin de compte il ne changera rien à leur situation et aggravera la sienne. Il s'agit donc également pour Luke de renoncer à sa vanité, au sentiment de sa propre importance. En cela il devra suivre l'exemple d'Obi-Wan qui a renoncé au combat contre Vador dans l'épisode IV. Cette scène serait donc initiatique, on pourrait y voir la dernière leçon d'Obi-Wan.

Deux scènes, chacune à la fin de chaque trilogie, illustrent l'endroit et l'envers du propos. Dans la première, Anakin arrive au moment où Windu s'apprête à achever Palpatine. Cédant à sa colère, il tranche la main de son supérieur et bascule définitivement du côté obscur. Dans la seconde, Luke Skywalker, qui a renoncé à tuer son père est aux prises avec l'Empereur. Alors que celui-ci s'apprête à le détruire, Dark Vador intervient et assassine son maître, marquant la défaite du côté obscur. L'une est donc le pendant de l'autre, et elles illustrent la différence entre le destin des deux personnages. Anakin était donc bien l'élu qui devait détruire les Sith puisqu'il tue l'empereur et Vador.

On peut voir en Luke et Anakin les deux types de héros, confrontés à la même tâche. Anakin est un héros tragique, il est victime de ses passions. Luke au contraire réussit à les vaincre et devient un Jedi accompli. Ainsi, loin d'être grossièrement manichéenne, l'œuvre, centrée sur les héros, nous (ré)enseigne le principe de la dualité de l'être humain, posé par les philosophes grecs, mais présent dans tous les cercles de cultures. Chaque homme a un côté clair et un côté obscur, et celui-ci, assimilé aux passions, à l'irrationnel et à nos « forces intérieures » doit être maîtrisé et harmonisé avec le côté clair.

George Lucas s'est appuyé, pour construire la trame narrative de la trilogie originale de Star Wars, sur les idées de l'anthropologue Joseph Campbell, notamment sur sa théorie du monomythe, exposée dans le livre Le Héros aux mille visages (The Hero with a Thousand Faces)[3].

Autour de l'univers de fiction

Pastiches et parodies de Star Wars

  • La série animée américaine Les Griffin dédie un épisode complet à Star Wars, qui parodie l'épisode IV et s'intitule Blue Harvest (Saison 6, Épisode 1). La trame de l'opus est rigoureusement respectée, et les personnages sont représentés par les héros de la série.
  • La série télévisée américaine Robot Chicken a réalisé un double épisode spécial en 2007 dédié à Star Wars.
  • Il existe un film parodiant Star Wars réalisé par Mel Brooks (Spaceballs, titre français : La Folle Histoire de l'espace).
  • Un clin d'œil à George Lucas a été réalisé dans un court métrage très primé qui imagine comment G. Lucas a pu être inspiré en écrivant le scénario de Star Wars : George Lucas in Love.
  • Les éditions Bragelonne, spécialisées dans la science-fiction et la Fantasy, ont récemment fait paraître la parodie La "Der" des étoiles, d'Adam Roberts, auteur de science-fiction déjà connu pour ses parodies du Silmarillion et du Seigneur des anneaux.
  • Il existe un moyen-métrage de 30 minutes réalisé par Steve Oedekerk, intitulé Thumb Wars (La Guerre des pouces). Au lieu des acteurs, ce sont des pouces avec des yeux et une bouche qui jouent. Tout l'univers Star Wars est parodié, comme par exemple le héros qui s'appelle « Luke Groundrunner ».
  • Les Nous C Nous ont fait une mini série : La GueGuerre des étoiles (sketch en trois parties enregistrées en public).
  • Les Minikeums ont réalisé un cinékeum pastiche de Star Wars intitulé La GueGuerre de l'espace.
  • Le Gottferdom Studio a fait une parodie pour leur numéro d'avril 2006 dans laquelle Dark Vador est le TCM (Terrible Complot Mondial) qui veut empêcher les auteurs du Lanfeust Mag de sortir le journal à temps.
  • Arleston et Tarquin dans leur bande-dessinée Lanfeust des Étoiles (tome 8, « Le Sang des comètes ») font se transformer, le temps d'une image, Thanos Pathacelce (le méchant) en Dark Vador.
  • Polaris Productions a réalisé un court-métrage parodique An Everyday Jedi nous présentant un Jedi utilisant ses pouvoirs à des fins plus que discutables.
  • L'entreprise chocolatière Ferrero a présenté dans ses œufs en chocolat « Kinder Surprise » et « Kinder Maxi » en 2002 dans les pays germanophones une parodie de Star Wars réalisée en étroite collaboration avec Lucasfilm.
  • Dans la série française Kaamelott, le Roi Arthur joue dans son lit avec son épée magique Excalibur en faisant comme si c'était un sabre laser dans l'épisode Le Monde D'Arthur (Livre II). Puis Perceval va sur Tatooine en passant par une porte dimensionnelle et ramène un sabre laser (apparemment celui d'Obi-Wan dans l'épisode IV) dans l'épisode Stargate II (Livre III).
  • Il existe deux chansons de rap west coast Star Wars Gangsta Rap, mettant en scène les personnages dans les passages les plus célèbres des films.
  • Le groupe de rap français IAM a également sorti en 1997 un titre intitulé "L'empire du côté obscur" où le chanteur se pose en maître du côté obscur de la force
  • Les Robins des Bois et Jamel Debbouze ont fait un sketch en reprenant les personnages de Star Wars à l'école durant l'appel de la classe.
  • Une parodie écologique Store Wars reprenant Cuke Cucumber et ses amis.
  • Un film turc de 1982 : "Dünyayi kurtaran adam" utilisait illégalement des extraits de Star Wars en incrust en guise d'effets spéciaux. La mauvaise réalisation de ce plagiat flagrant en a fait un film comique culte pour les amateurs du genre qui l'ont rebaptisé "Turkish Star Wars".
  • Les Simpsons font de nombreuses allusions à Star Wars : Homer spoile "l'Empire Contre-Attaque" quand en sortant du cinéma il dit à haute voix devant les spectateurs qui attendent pour entrer dans le cinéma "Ça alors, j'aurais jamais pensé que Dark Vador puisse être le père de Luke". Il déclare ensuite son amour à Marge en lui disant "Marge, t'es aussi belle que la Princesse Leïa et aussi intelligente que Maître Yoda".
  • La série Futurama présente bon nombre d'allusions à Star Wars; les policiers se servent de sabres laser en guise de matraques dans plusieurs épisodes ainsi que dans le film Bender big score où il y a une reconstitution humoristique de l'attaque de l'étoile de la mort.
  • Le Casque de Dieudonné dans Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, et on voit aussi un sabre laser trouvé par Pasunmodplus l'adjoint de Brutus dans Astérix aux Jeux Olympiques.
  • Le Président des États-Unis Tug Benson et Saddam Hussein se livrent un duel au sabre laser pendant une scène de Hot Shots! 2.
  • Le méchant de Toy Story 2, l'empereur Zurg, se prend pour Dark Vador.
  • On peut apercevoir dans l'épisode de la série Avez-vous déjà vu... ? Un chauffeur de taxi extraterrestre 2 vaisseaux de Star Wars
  • Dans l'épisode 5 de la première saison de la série telévisée Scrubs, JD imagine le Dr Cox et le Dr Kelso livrant bataille au sabre-laser respectivement en tant qu'Obi-Wan Kenobi et Dark Vador.On aperçoit également les autres personnages de la saga parodiés eux aussi: Chewbacca (l'homme d'entretien), Han Solo (Chris Turk, le meilleur ami de JD), Princesse Leia (il y en a deux: Carla et Elliot) et enfin JD en Luke Skywalker. Cette parodie est censée imager la dispute entre les deux supérieurs de JD. Le Dr Cox est sanctionné par une suspension provisoire du Dr Kelso après avoir pris la décision de traiter un patient non assuré. Cet évènement permet à JD de comprendre que s'occuper des patients est ce qu'il y a de plus important pour un médecin. Le sacrifice du Dr Cox est similaire à celui d'Obi-Wan, permettant à JD de retenir cette leçon, prenant ainsi le parti de son mentor.
  • Dans le film La Nuit au musée 2 Dark Vador fait son apparition lorsque Kahmunrah reçoit la candidature de bras droit de trois " méchant " du cinéma.

Inspirations

George Lucas s'est inspiré de nombreuses œuvres ou événements réels pour construire son univers. Cependant comme tout y est conceptualisé, il est abusif de voir dans tel ou tel élément la critique d'un élément particulier de notre monde. Ainsi l'Empire Galactique représente le concept du régime totalitaire.

Plus généralement, la création de ce qui compose l'univers de la Guerre des étoiles s'inspire de cultures de notre monde, afin de créer un sentiment de familiarité. Par exemple l'architecture de la ville de Theed sur Naboo rappelle celle de Venise, celle de Geonosis rappelle des termitières, celle de Coruscant rappelle les gratte-ciel de New York, etc. Il en va de même pour les costumes, décors, véhicules et autres accessoires. L'Airspeeder XJ-2, véhicule du Sénateur Bail Organa dans l'épisode III, par exemple, est directement inspiré de l'AC Cobra.

Une « récurrence historique »

Dans la saga, le passage structurant d'une institution républicaine inefficace et divisée mais plus ou moins démocratique (un sénat représentatif) à un empire autoritaire qui ne garde que des apparences de démocratie (sénat croupion et empereur) renvoie à plusieurs grands pans de l'histoire qui constituent de véritables "topoi" comme :

  • la république romaine en guerre civile qui est reprise en main et profondément altérée par le dictateur César puis l'"imperator" Octave-Auguste à la charnière de notre ère
  • les expériences républicaines chaotiques de la révolution française (1792-1799) se terminant par le régime autoritaire et d'"ordre" d'un de ses "fils", Napoléon Bonaparte (1799-1815), sacré empereur en 1804
  • la faible république démocratique de Weimar (1919-1933), en proie aux crises économiques, sociales et politiques qui permettent à Hitler et aux nazis de prendre le pouvoir avec le thème de la remise en ordre du Reich.

Le Japon médiéval

George Lucas reconnaît s'être inspiré de la Forteresse cachée d'Akira Kurosawa ; il connaissait d'ailleurs Kurosawa puisqu'il a coproduit (avec Francis Ford Coppola) un de ses films, Kagemusha (L'Ombre du guerrier).

Certains costumes sont inspirés de cette époque, comme les robes des Jedi qui font penser aux kimonos et l'on peut entrevoir l'armure des samouraïs à travers l'aspect de l'armure portée par Dark Vador ou les coques de protection des Stormtroopers impériaux. Ceci est particulièrement évident en observant les croquis de pré-production du premier film (l'épisode IV) montrant les évolutions de la phase de conception de ces armures[12].

La philosophie des Jedi est très proche de celle des budo modernes, et notamment de l'aïkido. La technique de frapper en dégainant le sabre s'inspire du iaido. La Force, énergie baignant l'Univers et liant les êtres entre eux, se rapproche étrangement de la notion de ki (énergie vitale) et des expériences mystiques du shintoïsme, du bouddhisme ésotérique shingon et des shugenja (ascètes mystiques japonais).

De plus nous pouvons constater que Kenobi (Obi-wan kenobi) signifie « ceinture et épée » en japonais.

Le IIIe Reich

Né juste après la Seconde Guerre mondiale, Lucas s'est inspiré du nazisme pour créer son empire :

  • dans l'épisode IV, les tourelles du Millenium Falcon rappellent des scènes de cette guerre.
  • Les uniformes des officiers impériaux sont directement inspirés de ceux de l'Allemagne nazie - à l'exception des képis qui rappellent plutôt ceux des officiers japonais des années 1930 et 1940 -.
  • Les casques de l'empire, aussi bien ceux des Stormtroopers que celui de Dark Vador par leur évasement vers le bas sont eux aussi largement inspirés par les casques allemands des première et deuxième guerres mondiales.
  • dans l'épisode III, Palpatine qui porte le rang de Chancelier s'attribue celui d'Empereur, tout comme Hitler qui était Kanzler (chancelier) devient Führer (guide).

Les États-Unis d'aujourd'hui

Pour sa nouvelle trilogie, Lucas s'est inspiré des États-Unis contemporains envers lesquels il est très critique :

  • L'Alliance Inter-Corporations, la Fédération du Commerce en particulier, sont une extrapolation des lobbies qui contrôlent la politique américaine et mondiale. En cela, la demande d'aide de la reine Amidala dans La Menace fantôme est représentative des embrouilles bureaucratiques fomentées par les lobbies.
  • La faiblesse du Sénat et sa démocratisation sont aussi une extrapolation du sénat américain et de l'assemblée de l'ONU.
  • Une armée puissante qui peut intervenir partout dans la Galaxie comme sur le monde.
  • La phrase d'Anakin Skywalker « si tu n'es pas avec moi, alors tu es contre moi » dans l'Épisode III rappelle celle de George W. Bush concernant sa guerre contre le terrorisme. Ce à quoi Obi Wan rétorque que « seuls les Sith sont aussi absolus ».

On peut également remarquer une analogie entre le mouvement séparatiste et la Guerre de sécession qui a eu lieu aux États-Unis de 1861 à 1865 (11 états du sud avaient proclamé leur indépendance vis-à-vis des États-Unis, en formant les États Confédérés d'Amérique. Ceci déclencha la guerre qui se termina par la défaite des confédérés et leur retour dans l'Union).

Autres inspirations pour les costumes

Les costumes royaux et coiffures que portent les reines de Naboo semblent largement inspirés des costumes d'apparat que portaient jadis les femmes indiennes et les souveraines chinoises. Le maquillage blanc est aussi des plus semblables. La plupart des costumes utilisés pour les scènes ayant lieu dans la ferme où Luke fut recueilli, sont des costumes répliques de vêtements portés par les peuples des régions rurales d'Afrique de l'Est (Éthiopie, Soudan, Égypte). La tenue très légère portée par la princesse Leia dans l'épisode VI est une référence appuyée à La princesse de Mars d'Edgar Rice Burroughs, inventeur du style space opera.

Inspiration pour le générique de début ainsi que pour la musique de la marche de Darth Vader

Le célèbre déroulé de générique de début de Star Wars semble inspiré par celui du film français "Les disparus de Saint-Agil" réalisé en 1938 par Christian-Jaque[réf. nécessaire]. La musique de la marche de Darth Vader est également très proche de celle de la musique du film de Jaque.[réf. nécessaire]

Tous les thèmes musicaux puisent leur inspiration dans des thèmes célèbres ayant de fortes connotations : en cela, la marche de Vader est très semblable à la Marche Funèbre de Frédéric Chopin. Le thème de la célébration (la remise des médailles à la fin de l'épisode IV) est calqué sur le thème traditionnel du mariage dans les églises, et plusieurs autres musiques sont inspirées des Planètes de Gustav Holst.

Adaptations

Article détaillé : Star Wars (bande dessinée).

L'univers de la Guerre des étoiles, inspiré par plusieurs bandes dessinées, a lui-même été très tôt adapté en comics par la maison d'éditions américaine Marvel Comics : dès juillet 1977 par Roy Thomas (rédacteur en chef) et Howard Chaykin. Le titre a perduré jusqu'en 1986. Aujourd'hui les divers titres Star Wars, déclinés en plusieurs sous-séries, sont édités par un autre éditeur américain – Dark Horse, spécialiste de l'adaptation des films en bande dessinée.

En France, les éditions Lug ont diffusé ces histoires dans la revue Titans à partir du numéro 18 de janvier 1979 ainsi qu'en albums.

Activités de fans

Conventions
  • En mai 2005 a eu lieu la première convention française : Star Wars Reunion au cinéma Le Grand Rex à Paris organisée par le Lucasfilm Magazine, le magazine du Fan Club Officiel Star Wars en France (attention il a changé de nom et s'appelle maintenant le Star Wars magazine).
  • Chaque année depuis 1999 a lieu à Cusset une grande réunion de fans qui s'intitule "Générations Star Wars et science-fiction".
  • Une des plus importantes réunions de fans est également F.A.C.T.S à Gent en Belgique au mois d'octobre.
  • En octobre 2007 deuxième convention star wars au Grand Rex à Paris, avec diffusion marathon en deux jours des deux trilogies filmiques.
Insolite

On baptisa phénomène Jedi de 2001 les nombreuses occurrences de la réponse « chevalier Jedi » à la question « quelle est votre religion ? » posée lors des recensements. Les motivations sont parfois de manifester son attachement à la saga, parfois de critiquer le fait d'interroger les gens sur leur religion.

Citations et passages cultes

Plusieurs phrases prononcées durant la saga sont devenues cultes et certaines font pratiquement partie de la culture générale.

  • « Que la Force soit avec toi »
  • « Luke, je suis ton père ! » (cette forme très connue est d'ailleurs fausse, la véritable citation étant « Non, je suis ton père »)
  • « J'ai un mauvais pressentiment »
  • " C'est embêtant, très embêtant " (dixit Yoda)

On notera aussi diverses scènes cultes :

  • Dark Vador faisant irruption dans le vaisseau de Leia dans la scène d'ouverture de l'Épisode IV
  • La progression des vaisseaux rebelles dans une tranchée de l'Étoile noire à la fin de l'Épisode IV
  • La fameuse scène de transformation d'Anakin Skywalker en Dark Vador

Enfin, beaucoup de bruitages sont devenus cultes :

  • La respiration de Dark Vador
  • Le son des sabres laser
  • Les grognements de Chewbacca
  • Le bruit des moteurs des chasseurs impériaux
  • Le son des blasters
  • Les sons émis par le droïde R2D2

Droits et domaine juridique

  • George Lucas a l'exclusivité de La Guerre des étoiles sur tous les domaines. Il est accepté (sans aucune jurisprudence ni contrat) d'écrire des textes, des fanfics, des romans sans aucune rémunération, et sans officialisation. Le titre original Star Wars est une marque déposée par Lucasfilm Ltd.
  • La société Exidy a lancé en 1979 et installé dans le monde entier en un jeu d'arcade de type FPS utilisant le même genre de vaisseaux que Star Wars. Le nom en était Star Fire, mais écrit exactement dans le même style que le logo Star Wars.

Notes et références

  1. La typographie fautive, faisant se succéder points de suspension et point final, a été utilisée à dessein dans tous les épisodes.
  2. La dénomination en langue anglaise a été adoptée dans tous les pays ayant traduits le nom du film depuis 1998.
  3. a  et b Empire of Dreams - The Story of Star Wars Trilogy, de Edith Becker et Kevin Burns, États-Unis, septembre 2004.
  4. Analyse des fans sur le titre
  5. Couverture d'une ancienne édition de L'Héritier de l'Empire
  6. Sabres Laser
  7. « I am your father » sur Urban Dictionnary
  8. a  et b (en) L'histoire est racontée sur le Wiki spécialisé
  9. Une des éditions de l'Héritier de l'Empire
  10. voir le billet appelé « La Plaza de España » sur le blog http://zevilla.blog2b.net/17981/La+Plaza+de+Espa%F1a.html
  11. Le cinéma de George Lucas, Marcus Hearn, éditions La martinière, 2005 (ISBN 978-0810949683)
  12. STARWARS-UNIVERSE.COM | Les dossiers exclusifs SWU | Aux sources de la trilogie Star Wars, L'aspect visuel | Les influences orientales

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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