- Guillaume III de Melun
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Guillaume III de Melun Pays Pays-Bas espagnols
Royaume de FranceTitre Prince d'Épinoy
(1594 - 1635)Autre titre Marquis de Roubaix
Marquis de Richebourg
Vicomte de Gand (de)Distinctions Chevalier de la Toison d'Or Autres fonctions Connétable héréditaire de Flandre
Sénéchal de Hainaut
Grand bailli du HainautBiographie Dynastie Maison de Melun Naissance 1er janvier 1588 Décès 8 septembre 1635 (à 47 ans)
Saint-QuentinPère Pierre de Melun Mère Hyppolite de Montmorency Conjoint 1°. Marie de Witthem
2°. Ernestine de Ligne-ArenbergEnfants Marie
Claire-Marie
Ambroise
Anne
Alexandre Guillaume
Henri
Charles-Alexandre-Albert
François Philippe
Isabelle Claire
Marie-Madeleine
Françoise-Alberte
Claire-Catherine
modifier Guillaume III de Melun (1er janvier 1588 † 8 septembre 1635 - Saint-Quentin) était prince d'Épinoy, marquis de Richebourg et de Roubaix, vicomte de Gand (de) et de Beaussart baron d'Antoing, seigneur de Biez, Roucourt, Franleu, etc, connétable héréditaire de Flandre, sénéchal et grand bailli du Hainaut, chevalier de la Toison d'or.
Sommaire
Biographie
Un héritage disputé
Henri IV avait fait insérer dans le traité de paix signé à Vervins, le 2 mai 1598, un article particulier en faveur des enfants mineurs de Pierre de Melun, dont son ministre Sully était l'oncle et le tuteur. Cet article abolissait l'effet des confiscations encourues pendant la guerre et portait en outre qu'il serait fait bonne et briève justice à la veuve et aux enfants du prince d'Épinoy pour les biens qui leur appartenaient dans le pays du roi catholique.
Mais Anne-Marie de Melun ( † vers 1634), princesse de Ligne, épouse de Lamoral Ier et fille de Hugues II de Melun, ayant objecté que la confiscation faite par suite de la révolte des Provinces-Unies ne regardait pas la France, Henri IV, qui prenait l'intérêt le plus vif à cette affaire, fit remettre à l'archiduc Albert un mémoire que Sully avait rédigé lui-même en faveur des princes d'Épinoy. Grâces à l'intervention du roi de France, l'archiduc proposa, en 1602, une transaction entre les deux familles, qui rendit à Guillaume III de Melun, resté seul héritier de son père, une partie des biens paternels et laissa ainsi la seigneurie de Roubaix à la princesse de Ligne. Les tuteurs du jeune prince durent se contenter de cette concession apparente, puisqu'un refus eût entraîné la perte totale des héritages contestés, placés tous sous la domination espagnole ; mais au traité signé à Anvers, le 13 avril 1609, entre l'Espagne et les États généraux des Provinces-Unies, l'article 13 annulant toutes les confiscations faites à l'occasion des troubles de 1567, et cela nonobstant tout engagement ou transaction particulière, les enfants du prince d'Épinoy, compris dans cet article, devaient rentrer dans tous leurs biens, malgré la transaction faite avec la princesse de Ligne par leurs tuteurs.
Le prince de Ligne (Lamoral Ier), tout-puissant à la cour d'Espagne, chercha à obtenir un ajournement, et comme le roi de France intervint encore avec instance près de l'archiduc pour l'exécution du traité, il proposa un nouvel arrangement par lequel il cédait tous les biens de la maison de Melun, sauf la baronnie d'Antoing, dont il devait rembourser la valeur, mais il se réservait toujours l'héritage de Werchin, gardant dès lors la seigneurie de Roubaix.
Guillaume de Melun, alors mineur, âgé de 20 ans, protesta contre cet arrangement, accepté cependant par ses tuteurs, approuvé par lettres patentes de Louis XIII, des États généraux des Provinces-Unies et du roi d'Angleterre, et qui, au dire de Sully, lui rendait 120 mille livres de rente.
Les réclamations de ses enfants furent produites pendant les conférences pour la paix de Munster, et confirmées par ce traité célèbre qui, en reconnaissant l'indépendance des Provinces-Unies, annula de nouveau les confiscations, suites des troubles qui l'avaient préparée.
Mais la guerre continuée entre la France et l'Espagne (guerre franco-espagnole) rendit encore nulles ces stipulations, et le traité des Pyrénées, en 1659, confirmant celui de Vervins et proclamant tous leurs droits, ne purent faire rentrer les descendants de Pierre de Melun dans des biens relevant d'un pays où leur adversaire était en faveur, et où on n'avait pas oublié l'origine de la contestation. Il fallut une nouvelle guerre et un nouveau traité de paix pour les remettre en possession d'une seigneurie que des actes qui avaient disposé de provinces entières et créé même des nations, n'avaient pu leur rendre.
Au service des rois d'Espagne puis de France
Guillaume de Melun rentra dans les biens de son père, dont toutes les puissances de l'Europe avaient stipulé la restitution par l'article XIII du traité conclu à Anvers, le 9 avril 1609. La transaction passée en conséquence avec Lamoral Ier de Ligne : Albert, archiduc d'Autriche, et Isabelle Claire Eugénie d'Autriche, infante d'Espagne, souverains des Pays-Bas, la ratifièrent les 4 avril et 6 juin 1610 ; le roi Louis XIII le 10 septembre de la même année ; les États généraux des Provinces-Unies, le 2 octobre suivant, et Jacques Ier, roi d'Angleterre et d'Irlande, roi des Écossais, le 5 mai 1611.
Une patente du 24 mai 1620, le nomma chef et capitaine de trois compagnies de cuirassiers et de deux compagnies d'arquebusiers à cheval réunies en régiment. Il siégea plus tard au conseil d'État et reçut le collier de la Toison d'or.
La charge de grand bailli et gouverneur du Hainaut lui fut provisoirement confiée, en 1625, pendant la minorité du jeune comte de Bucquoy (de) (Charles-Albert de Longueval (en)) : il espérait la conserver, ou recevoir la grandesse, en compensation. Déçu dans ses espérances et poussé par la haine de l'étranger, il devint l'un des chefs de la ligue formée en 1632, dans le but de soustraire le pays à la domination espagnole. L'entreprise échoua, il parvint à s'échapper et passa en France.
Un arrêt du grand conseil de Malines, rendu par défaut, le 2 mai 1635, le priva de ses honneurs et dignités, confisqua tous ses biens et le condamna à avoir la tête tranchée. Il mourut, d'une fièvre « pourprée », le 8 septembre de la même année, à Saint-Quentin, et fut enterré dans la chapelle de Notre-Dame de l'église des Capucins de Saint-Quentin[1].
Ascendance et postérité
Guillaume de Melun sortait de la branche des Melun, fixée en Belgique, par l'union contractée, en 1327, entre 1290 † 1359), vicomte de Melun, seigneur de Montreuil-Bellay, voir seigneur de Tancarville (de) (avec sa première épouse), Grand chambellan de France (1318), chambellan de Normandie et Isabelle (vers 1300 † 6 décembre 1354), dame et héritière d'Antoing, d'Épinoy, de Sottegem, châtelaine de Gand. Guillaume était fils de Pierre de Melun, prince d'Épinoy, et de sa seconde femme Hippolyte de Montmorency.
Ascendance de Guillaume III de Melun16. Jean III de Melun, seigneur d'Épinoy et d'Antoing 8. François de Melun, 1er comte d'Épinoy 17. Isabelle de Luxembourg, dame de Richebourg 4. Hugues II de Melun, 1er prince d'Épinoy 18. Gaston II de Foix, comte de Candale 9. Louise de Foix 19. Isabelle d'Albret 2. Pierre de Melun, prince d'Épinoy 20. Nicolas de Barbançon, baron de Werchin 10. Werchin 21. Yolande de Luxembourg, dame de Roubaix 5. dame de Werchin et de Roubaix 22. Guillaume, seigneur de Vergy 11. Hélène de Vergy 23. Anne de Rochechouart de Mortemart 1. Guillaume III de Melun, prince d'Épinoy 24. Nicolas de Montmorency, seigneur de Bours 12. Gabriel de Montmorency, seigneur de Bours 25. Anne Rouault 6. Jean de Montmorency, seigneur de Bours 26. Antoine de Bayencourt, seigneur de Bouchavant 13. Michelle de Bayencourt, dame de Lignières 27. Jeanne de Calonne 3. Hippolyte de Montmorency 28. Michel II Gaillard, baron de Longjumeau 14. Michel III Gaillard, baron de Longjumeau 29. Souveraine, fillé légitimée de Charles, comte d'Angoulême 7. Bernarde Gaillard de Longjumeau 30. Jean de Sains, seigneur de Margny-sur-Matz 15. Louise de Sains 31. Bernarde de Salazar, dame de Laas - Guillaume III de Melun se maria deux fois :
- ∞ 1°. le 17 octobre 1612 Marie Mencia de Wittem ( † juillet 1613), marquise de Bergen-op-Zoom, comtesse de Walhain, fille aînée et héritière de Jean (ou Henri) de Witthem, seigneur de Beersel, et de Marguerite de Mérode. Marie était veuve de Herman van den Bergh (stadhouder) (nl), comte van den Bergh (nl)-s'Heerenberg (Land van den Bergh (nl)), chevalier de la Toison d'or. Guillaume et Marie eurent une fille :
- une fille, Marie (née vers 1613, morte jeune),
- ∞ 2°. le 3 novembre 1615 avec Ernestine Claire Eugénie de Ligne-Arenberg (31 octobre 1589 † 12 juin 1653), fille de Charles d'Arenberg (22 février 1550 - Vollenhove † 18 janvier 1616 - Enghien), comte et prince d'Arenberg, et d'Anne-Isabelle de Croÿ, duchesse d'Aerschot, qui le rendit père de onze enfants :
- Claire-Marie (26 août 1616 - château du Biez † 17 décembre 1652 - couvent des Dominicaines d'Abbeville), religieuse au couvent des religieuses de Saint Dominique à Abbeville, où elle s'était retirée avec sa mère ;
- Ambroise (18 novembre 1618 † 5 août 1641 - des suites d'une blessure reçue au siège d'Aire-sur-la-Lys[2] - inhumé aux Capucins de Saint-Quentin, auprès de son père), prince d'Épinoy et du Saint Empire[3] ;
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Anne, dite Mlle de Melun (18 février 1618 † 13 août 1679 - Baugé), religieuse, chanoinesse de Mons
En 1649, Anne quitta les chanoinesses de Mons et, après être restée un an auprès de sa mère à Abbeville, se retira en Anjou où elle fonda un hospice à Baugé, où elle mourut en odeur de sainteté. - Alexandre Guillaume (1619 † 16 février 1679 - Château d'Antoing), prince d'Épinoy, marié, dont :
- Henri ( † janvier 1664), marquis de Richebourg colonel du régiment d'infanterie wallonne, mort en Portugal au service du roi d'Espagne, sans union ni postérité ;
- Charles-Alexandre-Albert ( † 1675), marié le 12 février 1664 avec Renée de Rupierre[4], dame de Survié, fille et héritière de Philippe de Rupierre, seigneur de Survie, de la Cressonnière, etc..., et de Françoise de Mailloc. Auteurs du rameau des comtes de Melun[5], ils eurent cinq fils et trois filles, dont :
- Alexandre, dit « le comte de Melun », vicomte de Gand (de), seigneur de Survié, de la Cressonnière, marié en 1690 avec Elizabeth de Rohan, « Mademoiselle de Montbazon » (1663 † 1707), fille de Charles II (1633 † 1699), prince de Guéméné, 4e duc de Montbazon, et pair de France, comte de Rochefort et de Jeanne-Armande de Schomberg, dont :
- Ambroise, dit « le marquis de Melun (de) », chef de la maison à la mort de Louis II, prince d'Épinoy, marié en 1709 avec Françoise Charlotte, fille de François ( † 1733), marquis de Monchy, baron de Vismes, seigneur de Sailly-le-Secq et de Flibeaucourt, sénéchal de Ponthieu et d'Isabelle de Saint-Blimont ( † 1737 - Abbaye d'Avesnes), dont :
- Jean Alexandre Théodose (25 janvier 1710 † 6 janvier 1738 - Paris), « prince d'Épinoy, comte de Melun », seigneur prévôt héréditaire de Douai, connétable héréditaire de Flandres, mestre de camp commandant le régiment Royal Cavalerie, marié avec sa cousine Louise Elisabeth (13 décembre 1712 † 17 novembre 1755), fille de son oncle Gabriel, dit « vicomte de Melun », et de Louise Armande de Melun, dont :
- une fille ;
- Marie-Gabrielle-Charlotte-Louise (24 octobre 1736 † 14 juillet 1759 - Versailles).
- Louise Elisabeth (17 janvier 1738 (née posthume) † 1791), « dame pour accompagner » « Mesdames les Cadettes » (Victoire, Louise et Sophie) (1768-1775), « dame pour accompagner » Madame Victoire (1775-1789), mariée le 9 octobre 1758 avec Philippe Alexandre Emmanuel François Joseph ( † 1808), 1er prince de Ghistelles (16 août 1760), 4e marquis de Saint-Floris, seigneur de La Vieille-Chapelle et de Croix, dont postérité ;
- Jean Alexandre Théodose (25 janvier 1710 † 6 janvier 1738 - Paris), « prince d'Épinoy, comte de Melun », seigneur prévôt héréditaire de Douai, connétable héréditaire de Flandres, mestre de camp commandant le régiment Royal Cavalerie, marié avec sa cousine Louise Elisabeth (13 décembre 1712 † 17 novembre 1755), fille de son oncle Gabriel, dit « vicomte de Melun », et de Louise Armande de Melun, dont :
- Gabriel, dit « le vicomte de Melun » ( † 21 août 1739 - Abbeville, où il est inhumé), vicomte de Gand (de), commandant (gouverneur) d'Abbeville, lieutenant-général des armées du roi, servit en Italie en qualité de lieutenant-général des armées (1734), chevalier de l'ordre de Saint-Louis, marié, à Abbeville le 8 juillet 1710, avec sa nièce Louise Armande (1694 † 13 septembre 1734 - Paris), fille d'Alexandre, « le comte de Melun ». De leur mariage est née :
- Louise-Elisabeth (13 décembre 1712 † 17 mai 1755), tenue sur les fonts de baptême, pour les cérémonies, par Adrien-Maurice, duc de Noailles, et par Élisabeth de Lorraine, princesse douairière d'Épinoy, mariée avec son cousin Jean Alexandre Théodose (25 janvier 1710 † 6 janvier 1738 - Paris), dont postérité, puis le 30 décembre 1739 à Fribourg (Suisse), avec Louis de Melun ( † 1763), marquis de Melun-Maupertuis (mariage dissous d'un commun accord le 30 avril 1742), puis le 5 mai 1742, (contrat de mariage du 17 avril 1742), avec Antoine Claude Gilbert Alyre (1690 † 1780), marquis de Langeac, dont postérité.
- François Philippe ( † 7 février 1690), marquis de Richebourg, comte de Beaussart, gouverneur de Valenciennes, de Gueldre, de Mons et du comté de Hainaut, chevalier de la Toison d'Or, marié en février 1665 avec Marie Thérèse ( † 1714), fille de Balthazar-Philippe de Gand, dit Vilain, prince de Masmines (1652), comte d'Isenghien et de Middelbourg (...), seigneur des Villes de Lannoy, de Watten et de Charleroi (1617-1680)[6],[7], dont :
- Isabelle Claire, chanoinesse de Maubeuge
- Marie-Madeleine, chanoinesse à Mons, où elle est enterrée ;
- Françoise-Alberte, aussi chanoinesse et enterrée à Mons ;
- Claire-Catherine, chanoinesse à Mons, morte et enterrée dans l'église de Sainte-Waudrude ;
- ∞ 1°. le 17 octobre 1612 Marie Mencia de Wittem ( † juillet 1613), marquise de Bergen-op-Zoom, comtesse de Walhain, fille aînée et héritière de Jean (ou Henri) de Witthem, seigneur de Beersel, et de Marguerite de Mérode. Marie était veuve de Herman van den Bergh (stadhouder) (nl), comte van den Bergh (nl)-s'Heerenberg (Land van den Bergh (nl)), chevalier de la Toison d'or. Guillaume et Marie eurent une fille :
Décorations
Il fut fait chevalier de la Toison d'or (1621, brevet n°351).
Annexes
Bibliographie
- Louis Moréri, Le Grand dictionnaire historique : ou le Mélange curieux de l'histoire sacrée et profane, Chez les libraires associés, 1759 [lire en ligne] ;
- Théodore Leuridan, Histoire des seigneurs et de la seigneurie de Roubaix, Quarré, 1862 [lire en ligne] ;
- Louis de Haynin, seigneur du Cornet et Aimé Louis Philémon Robaulx de Soumoy, Histoire générale des guerres de Savoie, de Bohême, du Palatinat et des Pays-Bas : 1616-1627, vol. 29, Société de l'histoire de Belgique, 1868 [lire en ligne] ;
- Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France : des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, vol. 5, L'auteur, 1825 [lire en ligne] ;
- R. de Vegiano, seigneur d'Hovel et Jacques Salomon François Joseph Léon de Herckenrode, Nobiliaire des Pays-Bas et du Comté de Bourgogne, vol. 3 [lire en ligne] ;
Notes et références
- Louis Moréri, Le Grand dictionnaire historique : ou le Mélange curieux de l'histoire sacrée et profane, Chez les libraires associés, 1759 [lire en ligne]
- gw1.geneanet.org, Ambroise de Melun. Consulté le 25 mars 2011
- roglo.eu, Ambroise de Melun. Consulté le 17 novembre 2010
- marquis de Rouillac, dit « le duc d'Epernon » Renée de Rupierre était la sœur puînée de Françoise de Rupierre, morte sans enfants de Jean-Baptiste Gaston Goth,
- Degré de consanguinité du rameau des comtes et marquis de Melun
- Degré de consanguinité du rameau des comtes et marquis de Melun
Charles-Alexandre-Albert de Melun ( † 1675) Alexandre, dit « le comte de Melun » Ambroise, dit « le marquis de Melun » Gabriel ( † 1739) Louise Armande ( † 1734) Louise-Elisabeth (1712†1755) Jean Alexandre Théodose (1710†1738) Louise Elisabeth (1738†1791) - L.J.P.C.D.S, Quartiers généalogiques des familles nobles des Pays-Bas, vol. Tome I, Cologne, Chez les Héritiers de Pierre Marteau, 1776, p. 201
- de la Chenaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse, vol. Tome VII, Paris, Antoine Boudet, 1774, p. 77
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des princes d'Épinoy ;
- Liste des marquis de Roubaix ;
- Liste des seigneurs puis marquis de Richebourg ;
- Liste des chevaliers de l'ordre de la Toison d'or ;
- Maison d'Arenberg ;
Liens externes
- roglo.eu, Guillaume de Melun. Consulté le 19 mars 2011 ;
- gw1.geneanet.org, Guillaume de Melun. Consulté le 24 mars 2011 ;
Précédé par Guillaume III de Melun
Suivi par Pierre de Melun Prince d'Épinoy
Marquis de Roubaix
Baron d'Antoing1594-1635 Ambroise de Melun Robert de Melun Marquis de Richebourg 1594-1635 Henri de Melun Anne-Marie de Melun Vicomte de Gand (de) 1634-1635 Charles-Alexandre-Albert de Melun Précédé par
Florent de Noyelles, comte de MarlesGrand bailli du Hainaut
1625 – 1631Suivi par
Charles-Albert de Longueval (en), comte de Bucquoy (de)Catégories :- Maison de Melun
- Prince d'Épinoy
- Naissance en 1588
- Décès en 1635
- Chevalier de l'ordre de la Toison d'or (XVIIe siècle)
- Condamné à la peine de mort
- Marquis de Roubaix
- Marquis de Richebourg
- Guillaume III de Melun se maria deux fois :
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