- Économie de l'Afrique
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L’Afrique est économiquement le continent le plus pauvre du monde : le produit intérieur brut global de l'Afrique est de 1 621 milliards de dollars américains en 2008 (selon les taux de change officiels des monnaies de l'année 2008 - le double si on le calcule en parité de pouvoir d'achat), soit 2,62 % du PIB mondial, estimé en 2008 à 62 250 milliards de dollars, ou bien l'équivalent du PIB du Canada pour la même année. Le PIB par habitant y est en moyenne de 1 636 $ alors que la moyenne mondiale hors de l'Afrique se situe à 10 460 $ par habitant, et la moyenne mondiale Afrique incluse à 9 170 $ par habitant (toujours en taux de change officiel 2008 et non à parité de pouvoir d'achat).
En 2008, toujours selon les taux de change officiels, le pays ayant le plus gros PIB du continent est l'Afrique du Sud avec 300,4 milliards de dollars et le pays ayant le plus gros PIB par habitant est la Guinée équatoriale avec 31 848 dollars. En 2007, la Libye est le pays le plus développé d'Afrique si on se réfère au classement IDH (Indice de développement humain) établi par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).
De nombreux gouvernements connaissent un déséquilibre budgétaire marqué ; certains pays sont au bord de la faillite. Il est régulièrement procédé à des annulations de dettes. La dette extérieure totale est de 255 milliards de dollars. Les accords d'allègement de la dette ont ramené la dette publique de 205,7 milliards en 1999 à 114,5 milliards en 2008. La dette privée est quant à elle passée de 92,4 à 110,2 milliards[1].
L'Afrique australe, en particulier l’Afrique du Sud, et les pays du Maghreb sont économiquement plus prospères que l'Afrique centrale et l'Afrique de l'Ouest. Le continent est riche en ressources naturelles, mais les revenus issus de la commercialisation de ses ressources sont souvent détournés par les dirigeants, et figurent parmi les éléments permettant d'expliquer certains conflits internes. Le cadre institutionnel (État de droit, marchés financiers…) utile au développement économique est instable dans de nombreux pays. Le secteur des services représente la plus grande part du PIB avec 44,7 %, suivi de l'industrie (41,5 %) et de l'agriculture (13,8 %). En 2006, les secteurs industriel et agricole on enregistré la plus forte croissance avec respectivement 5,7 et 5 %[2].
Pour l'année 2007, la croissance moyenne était de 5,8 %, contre 5,2 % en 2005, la moyenne mondiale étant de 3,7 % (2007)[3]. Derrière cette moyenne se cachent des disparités importantes : les pays exportateurs d'hydrocarbures ont progressé plus vite que les autres, à la suite de la hausse des cours du pétrole ; d’autres ont régressé, et particulièrement le Zimbabwe, qui a connu une crise grave. Les pays exportateurs de pétrole ont enregistré un excédent budgétaire de 5,3 % du PIB tandis que les pays importateurs affichent un déficit de 1,2 %, la moyenne continentale étant de 1,7 %[4]. L'inflation fut de 7 % en moyenne entre 2002 et 2007. En 2007, 60 % des pays d'Afrique ont connu un taux d'inflation égal ou supérieur à 5 %[5].
Sommaire
Histoire
Avant l’Empire romain, l’Égypte antique était l’une des civilisations les plus prospères et les plus avancées du monde. Le port d’Alexandrie, fondé par Alexandre le Grand en -334, fut un centre névralgique du commerce en Méditerranée pendant plusieurs siècles.
Les conditions étaient différentes au sud du Sahara, où la densité des forêts et les déserts formaient autant d’obstacles au commerce. Seuls la Nubie, l’Éthiopie, le Mali et l’empire du Ghana disposaient de voies de communication vers le bassin méditerranéen et le Moyen-Orient.
Tout au long du premier millénaire, le royaume d'Aksoum domina la corne de l'Afrique. Il disposait d’une marine et commerçait avec l’Empire byzantin, l’Inde et peut-être la Chine. L’introduction du chameau par les Arabes au Xe siècle rendit possible la traversée du Sahara. Les revenus tirés de l’or et du sel permit l’émergence de nombreux empires puissants à l’ouest du Sahel, dont le Ghana, le Mali et le royaume du Kanem-Bornou. Les Arabes développèrent également le commerce maritime le long de la côte orientale, où la civilisation swahili prospéra en exportant de l’ivoire et des esclaves à travers l’océan Indien. Plus au sud, les traces d’empires ou de royaumes commerçants sont nettement plus rares, exception faite du Grand Zimbabwe et, dans la région des Grands Lacs, le Rwanda, le Burundi et le Buganda.
Au XVe siècle, les marchands portugais s’affranchirent des routes du Sahara pour joindre directement la Guinée par la mer. D’autres nations européennes suivirent et l’Afrique de l’Ouest s’enrichit rapidement. C’est à cette époque qu’apparurent le royaume du Benin, le Dahomey et la confédération Ashanti. Des fédérations décentralisées de villes-États étaient alors courantes, telles celles des Yoruba et des Haoussa. Basée principalement sur le commerce d’esclaves avec l’Europe, cette prospérité s’effondra avec l’abolition de l’esclavage dans les colonies d’Amérique.
Ressources naturelles
Minerai
L'Afrique est réputée avoir un sous-sol extrêmement riche. Elle contient une riche diversité de ressources naturelles, parmi lesquelles 30 % environ de tous les minerais de la planète dont 40 % de l’or, 60 % du cobalt et 90 % du platine de la planète[6].
Ce n'est que partiellement vrai car ses ressources sont concentrées dans quelques régions (or et diamants en Afrique du Sud, cuivre en République démocratique du Congo et en Zambie). Le continent servit néanmoins de réserve de matières premières à l'Occident au cours de la guerre froide. Après une flambée des prix des matières premières dans les années 1970, la chute des cours à partir de 1982 ainsi que la nouvelle donne géopolitique a lentement érodé les parts de marché de l'Afrique face aux exportations du Canada, des États-Unis, de l'Australie, de la Russie et de l'Ukraine. Les effets en furent d'autant plus sensibles que les gouvernement avaient négligé de constituer des réserves pendant les périodes de hausses des prix et d'investir dans des infrastructures de transformations en produits finis ou semi-finis, d'où une perte de compétitivité[7].
Production minière en 1999 Minerai Pays producteurs Part Production africaine Production mondiale Antimoine Afrique du Sud
Maroc96,8 %
3,2 %4 650 t 122 000 t Bauxite Guinée
Ghana98 %
2 %17 681 000 t 127 000 000 t Chrome Afrique du Sud
Zimbabwe
Madagascar89,2 %
8,6 %
2,2 %7 646 000 t 14 000 000 t Cobalt Zambie
République démocratique du Congo
Maroc
Botswana
Afrique du Sud58,7 %
26,8 %
7,4 %
2,8 %
2,6 %11 925 t 29 900 t Cuivre Zambie
Afrique du Sud
République démocratique du Congo
Botswana
Maroc53,1 %
22 %
6,5 %
4,1 %
2 %510 000 t 12 600 000 t Diamants République démocratique du Congo
Botswana
Afrique du Sud
Angola
Namibie
Algérie36,8 %
35,7%
16,8 %
3,8 %
2,7 %59 716 000 carats 112 000 000 carats Fer Afrique du Sud
Mauritanie
Algérie
Angola
Libye63,6 %
22,4 %
6,5 %
2,9 %
2,8 %46 381 000 t 1 020 935 000 t Manganèse Afrique du Sud
Gabon
Ghana
Algérie53,1 %
35,9 %
10,5 %5 826 000 t 20 400 000 t Or Afrique du Sud
Ghana
Zimbabwe
Algérie
Guinée72 %
12,9 %
4,3 %
4,1 %
2 %626 000 kg 2 540 000 kg Phosphates Maroc
Tunisie
Afrique du Sud
Sénégal
Togo
Algérie58,3 %
21,1 %
7,7 %
4,7 %
4,5 %
2,9%38 019 000 t 141 000 000 t Plomb Afrique du Sud
Maroc
Namibie
Tunisie45,1 %
45 %
5,8 %
3,7 %177 692 t 3 020 000 t Source: MacMillian Aidan Secondary Atlas for Africa, p. 52. Pétrole
Pendant la guerre froide, plusieurs pays européens dont la France, la Grande-Bretagne, les Pays-Bas et l'Italie se tournèrent vers l'Afrique pour s'approvisionner en pétrole afin de contourner la priorité dont bénéficiaient les États-Unis au Moyen-Orient. Après une baisse significative de la demande dans les années 1990, le continent attire à nouveau l'attention des pays industrialisés pour satisfaire leurs besoins croissants en hydrocarbures[8].
En 2004, l'Afrique faisait état de 90 milliards de barils de réserves prouvées, dont 29,5 milliards en Libye et 11,3 milliards en Algérie. La production a augmenté de 40 % depuis les années 1990, pour atteindre 10,6 % de la production mondiale, Nigeria en tête avec 2 millions de barils par jour. En 2003, les États-Unis importaient 14,5 % de leur pétrole depuis l'Afrique[8].
Infrastructures
Transport
- Transport routier
- l'Afrique dispose d'environ 2 millions de kilomètres de routes, dont 27,6 % sont goudronnés. La densité et la distribution du réseau routier sont faibles, avec respectivement 12 kilomètres par km2 et 2,71 km par habitant. Le trafic routier représente 90 % des transports interurbains[9].
- Transport ferroviaire
- Le réseau ferroviaire compte 89'380 km de rail, soit 2,96 km pour 1000 km2[9].
- Transport maritime
- les échanges internationaux de l'Afrique se font par la mer à 97 %. Le tonnage est passé de 7,3 millions de tonnes en 1990 à 6,1 mio en 1999, soit 0,8 % du total mondial, qui a augmenté dans la même période de 618,4 à 799 mio de tonnes. Seuls les porte-conteneurs ont vu leur part augmenter pour atteindre 15 % du marché mondial en 1997. Leur âge moyen (11 ans) est également plus proche de la flotte mondiale (10 ans), alors que le reste de la flotte marchande est âgé en moyenne de 19 ans (moyenne mondiale: 14 ans)[9]. Le Libéria représente à lui seul 94,4 % du tonnage de port en lourd[10].
- Transport aérien
- l'Afrique compte pour 1 % du trafic aérien mondial. Sur 286 plus grands aéroports ou terrains d’aviation africains inclus dans le rapport d’agrément et de restriction des terrains d’aviation de mai 2000 du Air Mobility Command, 84 % seulement des aéroports militaires recensés les plus importants peuvent soutenir des opérations de avions-cargos C-130 et moins de 65 % des C-17. Les taux de remplissage pour le transport de personnes et de marchandises sont inférieurs de 12 et 20 % à la moyenne mondiale. La déclaration de Yamoussoukro adoptée en 1999 par la Conférence des chefs d'État et de gouvernement a accéléré la libéralisation du marché et les réformes de la gestion des aéroports[9].
Télécommunications
La population africaine a accès à 3,21 lignes téléphoniques fixes et 28,44 téléphones cellulaires en moyenne pour 100 habitants. On retrouve aux extrêmes :
- lignes fixes : République démocratique du Congo (0,01 / 100 hab.) – Île Maurice (28,63 / 100 hab.)
- cellulaires : Éthiopie (1,4 / 100 hab.) – Seychelles (89 / 100 hab.)
De manière générale, le réseau mobile est mieux développé et plus performant que le réseau filaire, en mauvais état et coûteux à l'entretien.
Le nombre total d'usagers du téléphone mobile a été multiplié par 40 entre 2000 et 2007 pour atteindre 274 millions d'abonnés et un taux de pénétration de 28 %.
Chiffre provenant de l'Union internationale des télécommunications, 2007
Énergie
L'électricité produite en Afrique est essentiellement d'origine thermique (80,2 %), suivie par l'hydroélectricité (16,3 %) et le nucléaire (3,5 %)[11]. La biomasse constitue la plus grande partie de la consommation énergétique des ménages, principalement comme combustible de cuisine, pour la quasi totalité des pays d'Afrique subsaharienne[12].
Les barrages africains produisent environ 87 TWh d'électricité par année. La capacité totale du continent est estimée à plus de 1 000 TWh/an[13]
Principaux producteurs d'agents énergétiques Agent énergétique Pays producteur Part Charbon Afrique du Sud
Zimbabwe96,9 %
2,2 %Pétrole Nigéria
Libye
Algérie
Égypte
Angola
Gabon
Congo
Guinée28,4 %
19,4 %
15,1 %
11,4 %
11,0 %
4,8 %
4,2 %
3,3 %Gaz naturel Algérie
Égypte
Libye
Nigeria74,5 %
12,2 %
5,3 %
5,2 %Uranium Niger
Namibie
Afrique du Sud
Gabon
Algérie42,7 %
39,4 %
13,6 %
4,3 %Source: Macmillian Secondary Atlas for Africa, 2004, p. 52. Communauté économique africaine
Au niveau continental, la Communauté économique africaine vise à améliorer l'intégration économique en promouvant le commerce intrarégional et à diversifier les sources de revenu. Fondée en 1991 et entrée en vigueur en 1994, elle repose sur sept organisations principales :
- l'Union du Maghreb arabe (UMA) ;
- le Marché commun de l'Afrique orientale et australe (COMESA), comprenant les pays d'Afrique de l'Est à l'exception de la Tanzanie, et sept pays d'Afrique australe ;
- la Communauté des États sahélo-sahariens (CEN-SAD) ;
- la Communauté économique des États d'Afrique centrale (CEEAC) ;
- la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) ;
- l'Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD) ;
- la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC).
Ainsi que sur sept communautés plus locales :
- la Communauté économique et monétaire d'Afrique centrale (CEMAC), dont les six membres font tous partie de la CEEAC ;
- la Communauté de l’Afrique de l'Est (CAE), réunissant le Kenya et l’Ouganda (membres du COMESA) ainsi que la Tanzanie (membre de la SADC) ;
- la Communauté économique des Pays des Grands Lacs (CEPGL), dont les trois membres font partie de la CEEAC ;
- la Commission de l'océan Indien (COI), comprenant quatre membres du COMESA et La Réunion;
- l'Union du fleuve Mano (MRU), composée de trois membres de la CEDEAO ;
- l’Union douanière d'Afrique australe (SACU), réunissant cinq membres de la SADC ;
- l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) qui comprend huit membres de la CEDEAO.
L'agenda de la CEA est jalonné de six étapes jusqu'en 2028, allant du renforcement des communautés régionales existantes à la réalisation d'une union économique et monétaire africaine, ainsi qu'à la création d'un parlement panafricain. Les objectifs tardent cependant à être atteints et ne sont que mal intégrés aux plans nationaux de développement. Le commerce reste principalement tourné vers les pays développés, en particulier vers l'Union européenne[14].
Commerce
Commerce de marchandises
En 2007, l'Afrique a exporté pour 422 milliards de dollars de marchandises, soit une augmentation de 16 % depuis 2000. Parallèlement, elle a importé pour 355 milliards (+ 15 % depuis 2000). Les pays exportateurs de pétrole comptent pour 58,5 % des exportations et 27,3 % des importations[15].
Les produits primaires représentent en moyenne 80 % des exportations des pays africains; à l'inverse, les importations concernent en majorité des produits manufacturés. Les pays d'Afrique commercent essentiellement en dehors du continent (Europe, Asie et Amérique du Nord) tant pour les importations que pour les exportations. Les volontés de diversification de la production et des échanges se heurtent à l'étroitesse des marchés locaux et régionaux ainsi qu'au faible pouvoir d'achat de la population[16].
Les échanges avec l'Asie s'intensifient dans les deux sens depuis 2000. Entre 2000 et 2005, les exportations vers la Chine ont quadruplé pour atteindre 19,5 milliards de dollars et 7 % des exportations totales, pour 14,9 milliards d'importations (6 %). La Chine est maintenant le troisième partenaire commercial du continent derrière les États-Unis et l'Union européenne. Le Nigéria est le principal partenaire africain de l'Inde, le pétrole représentant la quasi totalité de ses exportations (96 %) vers ce pays. La demande chinoise en coton a fait croître les exportations des producteurs de 41 %, augmentant leur PIB de 1,1 %[17].
Les pays d'Afrique importent d'Asie essentiellement des produits manufacturés, mais aussi du riz et des céréales depuis l'Inde. La Chine exporte des produits électroniques et des articles de maison bon marché[17].
Commerce de services
Le commerce de service a rapporté 84 milliards de dollars en 2007, dont 21,4 % pour l'Égypte et 15,4 % pour l'Afrique du Sud. Les importations, augmentant dans les mêmes proportions, se montèrent à 97 milliards[18].
Investissements étrangers
Chine
La République populaire de Chine s'intéresse depuis quelques années au potentiel économique du continent africain. Le premier pays ayant reçu des investissements chinois est le Soudan : pétrole en 1994, banque en 2000[19]. En 2005, on comptait officiellement 820 entreprises chinoises[20] installées en Afrique. Les investissements chinois ont fortement augmenté au point de dépasser ceux consacrés à l'Asie du Sud-Est. Les échanges commerciaux se montent à 29 milliards d'euros[20]. La compagnie chinoise Sinopec cherche du pétrole au Gabon. Le 3 novembre 2006 a lieu le Forum sino-africain de Pékin qui réunit les chefs d'État du continent noir. La Chine est devenue le deuxième partenaire commercial de l'Afrique, avec 39,7 milliards de dollars en 2005[21]. Le continent africain compte officiellement 130 000 Chinois installés (2006)[19] et représente pour la Chine une immense source de matières premières et d'énergie, ainsi qu'un marché pour ses produits.
Voir aussi
Notes
- Commission économique pour l'Afrique, Rapport économique sur l'Afrique 2008, p. 7.
- Commission économique pour l'Afrique, Rapport économique sur l'Afrique 2008, p. 8.
- Commission économique pour l'Afrique, Rapport économique sur l'Afrique 2008, p. 1.
- Commission économique pour l'Afrique, Rapport économique sur l'Afrique 2008, p. 4-5.
- Commission économique pour l'Afrique, Rapport économique sur l'Afrique 2008, p. 5.
- PNUE, Africa: Atlas of Our Changing Environment, chapitre 1.
- Stephen Smith, Atlas de l'Afrique, Éditions Autrement, p. 43.
- Stephen Smith, Atlas de l'Afrique, Éditions Autrement, p. 62-63
- Commission économique pour l'Afrique, État de l'intégration régionale en Afrique, 2004, p. 147 ss.
- Conférence des Nations unies sur commerce et le développement, Étude sur les transports maritimes 2006, p. 112.
- Macmillian Secondary Atlas for Africa, 2004, p. 52.
- Bertrand Barré, Atlas des énergies, Éditions Autrement, p. 45.
- Bertrand Barré, Atlas des énergies, Éditions Autrement, p. 48.
- Commission économique pour l'Afrique, État de l'intégration régionale en Afrique, 2004, p. 34-35.
- Organisation mondiale du commerce, World Trade Report 2008, p. 11.
- Commission économique pour l'Afrique, État de l'intégration régionale en Afrique, 2004, p. 87-88.
- Commission économique pour l'Afrique, Rapport économique 2008, p. 37.
- Organisation mondiale du commerce, World Trade Report 2008, p. 12.
- Le Monde du 10-12-2006, [lire en ligne], consulté le 25-03-2009 Pierre-Antoine Braud, « Afrique, nouvel horizon chinois », dans
- dans Le Nouvel Observateur, web, semaine du jeudi 11 mai 2006 - n°2166 Nathalie Funès, « Les Chinois à la conquête de l'Afrique »
- lire en ligne] Jean-Jacques Mével, « En Afrique, les Chinois bousculent la France » dans Le Figaro du 26/10/2006, [
Liens internes
Liens externes
Bibliographie
- Alain Faujas, « L'Afrique renoue avec une croissance forte », Le Monde, 18 mai 2006.
- « Afrique : les chemins de la croissance » dans Problèmes économiques, La Documentation française, n°2.906, 13 septembre 2006
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