Magny-Les-Hameaux

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Hôtel de Ville
Hôtel de Ville

Armoiries logo
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Canton Chevreuse
Code Insee abr. 78356
Code postal 78114
Maire
Mandat en cours
Jacques Lollioz[1]
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines
Site internet Magny-les-Hameaux.fr
Démographie
Population 8 857 hab. (2006)
Densité 532 hab./km²
Gentilé Magnycois
Magnycoises
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 11″ Nord
       2° 05′ 16″ Est
/ 48.736267, 2.087746
Altitudes mini. 105 m — maxi. 171 m
Superficie 16,64 km²

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Magny-les-Hameaux est une commune française située dans le département des Yvelines et la région Île-de-France.

Sommaire

Géographie

Position de Magny-les-Hameaux dans les Yvelines[2]
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Situation

La commune est située à environ 12 km au sud-sud-ouest de Versailles et à 23 km au nord-est de Rambouillet.

Hydrographie

Hameaux de la commune

Buloyer, Romainville, Brouessy et Villeneuve
Ces 4 hameaux sont parcourus d'Ouest en Est par la route de Port-Royal, qui serpente sur le plateau céréalier de Magny. Structurés autour de grandes fermes en meulière, ils ne se sont pas encore beaucoup étendu au-delà de leurs limites historiques et gardent donc un caractère authentique.

Gomberville
Ce hameau s'est étendu essentiellement grâce à une zone d'activité, qui accueille de nombreuses PME. Le hameau historique (en meulière, avec notamment une ferme-pépinière) est ainsi nettement séparé de ses extensions récentes. La progression du quartier de l'hôtel de ville et l'implantation de nouvelles entreprises dans la zone d'activité réduisent peu à peu la séparation de Gomberville du cœur actuel de la commune.

Le Bois des Roches
Seul hameau au nord-est de la Mérantaise, il n'est pas accessible par la route depuis le reste de la commune sans passer par une autre commune (Voisins-le-Bretonneux ou Châteaufort).

Communes voisines

Les communes sont : Montigny-le-Bretonneux, Voisins-le-Bretonneux et Guyancourt au nord, de Châteaufort à l'est, Milon-la-Chapelle et Saint-Rémy-lès-Chevreuse au sud et de Saint-Lambert-des-Bois et Trappes à l'ouest.

Histoire

Héraldique

Armes de Magny-les-Hameaux

Les armes de Magny-les-Hameaux se blasonnent ainsi :
Écartelé, au premier et au quatrième d'or à trois aiglettes de sable, au deuxième d'azur à une chapelle d'argent ombrée de pourpre, au troisième d'azur aussi à une gerbe de blé d'or accompagnée d'un arbre de sinople en pointe.

Historique

Magny correspond à un archétype fréquent en France dont les formes anciennes sont du type Maniacum ou Magniacum, nom de domaine gallo-romain composé avec le suffixe -acum de propriété et le nom du propriétaire Manius « né le matin » ou Magnus « le Grand ». Ces noms latins étaient bien sûr portés par des personnages d'origine gauloise. La commune s'est appelée « Magny-l'Essart » jusqu'en 1788, date à laquelle elle a pris son nom actuel.

La commune est surtout marquée par l'histoire de l'abbaye de Port-Royal-des-Champs (à l'extrême ouest du territoire communal) qui accueillit des religieuses cisterciennes et fut un haut-lieu du jansénisme jusqu'en 1709, date de l'expulsion des religieuses par Louis XIV.


Abbaye de Port-Royal

Article détaillé : Port-Royal-des-Champs.

La commune présente encore quelques ruines de l'abbaye de Port-Royal. Au bout de la plaine de Trappes, dans un vallon retiré nommé Borroy, qui, en celtique, signifiait broussailles, et dont on fait Port-Roi, puis Port-Royal, Eudes de Sully, en 1204, avait réuni une communauté de religieuses, dotée par les plus puissants seigneurs du temps et dirigée en 1316 par Béatrix de Dreux, princesse de la maison royale ; le cloître avait été abandonné pendant les longues guerres civiles, et l'établissement, transféré à Paris, rue Saint-Jacques, lorsque, en 1630, l'abbesse Angélique Arnaud obtint que la communauté fût soustraite à l'ordre de Cîteaux et soumise à une règle nouvelle dont la base était l'adoration perpétuelle du saint sacrement.

Le mysticisme de la nouvelle doctrine, la réputation méritée de la fondatrice lui attirèrent de nombreux adeptes ; le couvent de Paris ne pouvant les contenir, on se souvint du vieux cloître des champs ; plusieurs pieux solitaires, presque tous parents ou admirateurs de la mère Angélique Arnaud s'y étaient retirés, pour y vivre en philosophes chrétiens dans l'étude et la méditation ; ils cédèrent les bâtiments de l'ancien monastère, qui furent réparés, à la sainte colonie de la rue Saint-Jacques ; mais ils ne s'éloignèrent pas ; la science et le talent de ces hommes vinrent rehausser la piété et la vertu des religieuses ; cet éclat leur devint funeste : les doctrines de Jansénius, qu'ils défendaient, furent attaquées et condamnées par le pape Clément XI. Louis XIV, guidé par les rivalités hostiles, exagéra, dans l'exécution, les rigueurs de la sentence : l'établissement fut rasé jusque dans ses fondements, et la persécution vint ajouter un nouveau lustre à la renommée de Port-Royal.

Il ne reste plus de l'abbaye que l'étang d'où sort la Mérantaise, petit ruisseau qui passe à Mérantais et au bas de Châteaufort avant de se jeter dans l'Yvette ; le moulin, le colombier, une partie des murs de clôture et des tourelles, les caves du petit palais que la duchesse de Longueville y avait fait construire, la fontaine d'Angélique Arnaud, et les fondations des murs de l'église avec la base des piliers et des colonnes. Dans un petit pavillon (XIXe) qui occupe l'emplacement du chevet de l'église, on a pieusement réuni une collection de plans, de gravures de l'ancienne abbaye, et des débris de tombes[3].

Du site d'origine, seuls restent debout la ferme (Granges de Port-Royal), rattachée a posteriori (1709) et le bâtiment des Petites Écoles (XVIIe siècle), accueillant depuis 1962 le musée national des Granges de Port-Royal.

Administration

Liste[4] des maires de Magny-les-Hameaux
Période Identité Parti Qualité
2008 2014 Jacques Lollioz PS -
1995 2008 Jacques Lollioz PS -
1989 1995 Jacques Rivallier Sans (DVD) -
1983 1989 Jacques Lollioz PS -
1977 1983 Alain Le Vot PCF -
1971 1977 Raymond Obel - -
1947 1971 Baron Marcel de Hubsch - -
1944 1947 Maurice Girard - -
Août 1944 Novembre 1944 Albert Pierret (nommé à titre provisoire) - -
1940 1944 Abel Delalande - -
1935 1940 Paul Weiss - -
1929 1935 Jean Paul Bernard - -
1919 1929 Louis Étienne Daix - -
1912 1919 Pierre Émile Mauguin - -
1905 1912 René Stanislas Delafond - -
17 mai 1896 1905 François Albert Guérard - -
18 novembre 1888 1896 Amédée Louis Dartuis - -
6 décembre 1885 - Louis Charles Justin Aubé - -
1871 1885 Claude Augustin Daix - -
23 janvier 1852 - Benoît Joseph Flabaut - -
13 mai 1841 - L. Charles Mercier (démissionnaire) - -
1830 mai 1831 L. Mazure (démissionnaire) - -
1815 1830 Marin Daix - -
Mars 1813 mars 1815 Rameau - -
Mai 1808 - Marin Daix - -
22 ventôse, an III (12 mars 1795) - Germain Favry - -
7 pluviôse, an II (26 janvier 1794) - David - -
Novembre 1792 - Germain Favry - -
13 novembre 1791 - Jean-Charles Destournelles - -
31 janvier 1790 - Sixte Nicolas Desvignes - -
  • Un nouveau centre de secours est activé depuis le lundi 2 mars 2009 à 10h00, il est situé sur le CD36 prés du rond point des mines.

Actuellement dans le prolongement de la route aux fleurs à Voisins-le-Bretonneux la nouvelle voie le desservant n'a pas encore de nom.

Démographie

Évolution démographique
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
506 476 523 456 442 440 475 426 474
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
500 476 434 442 442 446 421 440 413
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
371 401 443 411 380 387 608 691 950
1962 1968 1975 1982 1990 1999 - - -
1 021 1 228 2 902 7 035 7 800 8 769 - - -

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


La population de la commune reste quasi-constante jusqu'au milieu du XXe siècle, autour de 450 habitants. Les Trente Glorieuses verront un premier développement de la commune, où s'implantent de nombreuses résidences secondaires de Parisiens, qui constituent près de 30 % des habitations en 1968[5]. Le développement des banlieues parisiennes et l'entrée dans la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines feront ensuite croître très rapidement le nombre d'habitants de la commune, croissance qui sera cependant ralentie par l'entrée dans le parc naturel régional de la haute vallée de Chevreuse (qui fixe des quotas maximum de construction) en 1985.

Depuis son entrée dans la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines en 1973[6], Magny s'est fortement urbanisé, notamment à l'est du plateau ; les hameaux, initialement articulés autour de fermes-manoirs, ont également été étendus par quelques lotissements. Depuis 1985, Magny-les-Hameaux fait de plus partie du Parc naturel régional de la haute vallée de Chevreuse. La pression immobilière forte a ainsi pu être en partie contenue, la participation au parc étant conditionnée à un certain nombre d'engagements limitant la progression de l'urbanisation. La commune fut ainsi la seule en France à faire partie à la fois d'une ville nouvelle et d'un parc naturel, intercommunalités aux buts parfois opposés.

Économie

Deux centres commerciaux de taille moyenne se trouvent sur le territoire de la commune :

  • dans le quartier de l'hôtel de ville, autour d'un supermarché Casino et de son annexe Maison & Décoration,
  • dans le quartier du Buisson, autour de la place du 19 mars 1962.

Quatre zones d'activités se trouvent sur le territoire communal[7] :

  • au Bois des Roches (1978, 8,2 ha), bordée par la RD 36, où sont admises les activités tertiaires, les industries légères non polluantes, et les activités de recherche,
  • à Gomberville (1980, 17,9 ha), où sont admises industries, tertiaire, et stockage ; le parc est essentiellement occupé par des PME industrielles et des artisans, ainsi que par des PME commerciales au bord de la RD 195,
  • au Mérantais (1986, 17,6 ha), où sont acceptées activités artisanales, tertiaires, industrielles ou de service, qui accueille plusieurs sièges d'entreprises de renom,
  • aux Jeunes Bois (1996, 23 ha dont 6 sur Magny, zone partagée avec Châteaufort), qui accueille des activités tertiaires et de haute technologie.

La commune accueille de grandes entreprises comme Hilti, Colas (siège social) et la Snecma au sein du parc de Mérantais. Le siège social de la société Nortel est installé dans le parc des Jeunes Bois. L'entreprise TELEHOUSE Europe[1] s'est installé dans les locaux laissés vides de l'ancienne Aérospatiale(EADS)

Transports et voies de communications

Réseau routier

Le principal axe de circulation est la route départementale 938 qui passe dans Cressely et conduit vers le nord à Châteaufort et Versailles et vers le sud à Saint-Rémy-lès-Chevreuse. La commune est traversée d'est en ouest par la route départementale 195, dite route de Port-Royal-des-Champs, qui commence à Cressely et dessert la majeure partie des hameaux du plateau au sud-ouest de la Mérantaise, avant de se terminer à la route départementale 91 qui traverse l'extrémité ouest de la commune et relie Magny à Voisins-le-Bretonneux et Chevreuse par Port-Royal. Sur le plateau de Toussus-le-Noble (au nord-est de la Mérantaise), la route départementale 36 dessert le hameau du Bois des Roches et les zones d'activité des Jeunes Bois et de Mérantais, les reliant à Montigny-le-Bretonneux et à Saclay.

Desserte ferroviaire

La gare SNCF la plus proche est la gare de Saint-Rémy-lès-Chevreuse.

Bus

La commune desservie par les réseaux SAVAC et SQYBUS.

Enseignement

Sport

Il y a 28 clubs sportifs à Magny[8]. Par ailleurs, la commune dispose de nombreuses infrastructures sportives[9] :

  • 2 gymnases,
  • 3 terrains de foot,
  • 6 terrains de tennis,
  • 1 terrain de pétanque,
  • 1 Jardin d'Arc pour le tir à l’arc,
  • 2 aires multi-sport (quartier le Buisson et Centre-Bourg)
  • 1 skate park pour la pratique du skateboard, du roller et du BMX. L'équipement a été inauguré le 17 septembre 2008.

Lieux et Monuments

  • La maison des "Bonheur", siège du service Culturel de la commune et lieu dédié aux Arts Plastiques [2]
  • Café-culture « l'Estaminet » géré par la commune [3]
  • Le pôle musical et associatif Blaise Pascal ouvrira ses portes en septembre 2008
  • La Maison de l’environnement, des sciences et du développement durable de Saint-Quentin-en-Yvelines, équipement de la communauté d'agglomération [4]
  • La médiathèque intercommunale Jacques Brel [5]
  • Ruines du château-fort du XIe siècle (donjon)
  • Ancienne abbaye de Port-Royal-des-Champs, fondée en 1204, haut lieu du jansénisme
  • Église Saint-Germain : église de style gothique des XIIe et XVe siècles. Des travaux importants de rénovation ont lieu en 2007 en 2008 (clocher, sol, électricité, chauffage) et permettront une réinstallation historique cohérente de la trentaine de dalles funéraires, patrimoine propriété de la commune, issu de l'abbaye de Port-Royal.
  • Porte de Mérantais : c'est l'une des 43 portes qui perçaient le mur d'enceinte du « Grand parc de Versailles[6] » de Louis XIV, domaine de chasse du roi qui couvrait 10 fois la superficie du parc de Versailles actuel (dit « Petit Parc »)
  • Le jardin mémorial[10] en souvenir des victimes des guerres. L'œuvre a été réalisé par la plasticienne Marie-Ange Guilleminot.
  • La commune accueillait deux musées au sein de l'abbaye de Port-Royal-des-Champs :
  • le Musée national des Granges de Port Royal, consacré à l'histoire du jansénisme, situé dans le bâtiment des Petites Écoles ;
  • La salle Augustin Gazier, qui présente différents objets de l'abbaye près des ruines de l'abbatiale.

On pourra également découvrir sur le site de l'abbaye de Port-Royal :

  • les ruines de l'abbaye (fondations de l'abbatiale, pigeonnier, ancien moulin),
  • le bâtiment des Petites Écoles, construit en 1651 par les Solitaires de Port-Royal, auquel fut ajoutée une aile à la fin du XIXe siècle,
  • le logis des Solitaires, qui devrait accueillir[11] prochainement la bibliothèque du musée et un centre de recherches consacré au jansénisme et à l'histoire de la spiritualité,
  • un petit oratoire néo-gothique (fin XIXe siècle) construit à l'emplacement du chevet de l'ancienne abbatiale, qui accueillit le premier musée,
  • la ferme des Granges, qui fut rattachée dès 1709 à Port-Royal, où l'on peut voir l'ancienne grange à blé et un ensemble de bâtiments agricoles des XVIIe et XIXe siècles, ainsi que le puits dit de Pascal,
  • un verger (reconstitution du verger planté par Robert Arnauld d'Andilly, frère de la mère Angélique Arnauld retiré aux Champs) et des jardins historiques (potager, jardin médicinal et bouquetier).

Les deux sites sont maintenant gérés par un Groupement d'Intérêt Public Culturel approuvé par le Ministère de la culture et de la communication (Arrêté du 6 mars 2007 portant approbation de la convention constitutive d'un groupement d'intérêt public pour une durée de 7 ans NOR: MCCB0601035A)[7]

Activités festives

Personnalités liées à la commune

Notes et références

  1. Les maires des Yvelines sur le site officiel de la préfecture.
  2. Source : Magny-les-Hameaux sur le site de données cartographiques de l'IGN
  3. Source : Victor-Adolphe Malte-Brun, La France illustrée. Géographie, histoire, administration, et statistique., 1883 (fascicule du département de Seine-et-Oise)
  4. Source : Liste des maires sur le site de la mairie de Magny-les-Hameaux
  5. Source : Population et logements par commune depuis le recensement de 1962 pour l'Île-de-France (INSEE)
  6. Seule une partie de la commune adhère à la ville nouvelle en 1973. La modification du fonctionnement des villes nouvelles en 1983 supprime cette possibilité d'adhésion partielle ; l'intégralité de la commune doit intégrer la ville nouvelle ou la quitter. La commune choisira alors d'entrer entièrement dans la ville nouvelle.
  7. Source : Ville de Magny-les-Hameaux > Vie économique > Parcs d'activités
  8. liste sur le site de la commune
  9. Source : Ville de Magny-les-Hameaux > Vie culturelle et sportive
  10. Musée de Saint-Quentin-en-Yvelines
  11. Source : Musée national de Port-Royal des Champs

Voir aussi

Article connexe

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Bibliographie

  • Véronique Belle, Maryse Bideault, Annie Blanc, [et al.], sous la dir. de Jean-Marie Pérouse de Montclos, Guide du Patrimoine Île-de-France, Direction du patrimoine CNMHS, Conseil régional d'Île-de-France, Hachette, Paris, 1992, 750 p. ill. (ISBN 2010168119), p. 512-524
  • Alexandre Delarge, Jacques de Givry, Yves Gontier, La Haute Vallée de Chevreuse, coll. L'esprit des lieux (ISSN 09915192), JDG Publications, Les Loges-en-Josas, 1992, 118 p. ill. (ISBN 2950132642)
  • Inventaire général des Monuments et des Richesses artistiques de la France, Région de Paris/Île-de-France, Les Communes du Parc naturel régionale de la haute vallée de Chevreuse, Association pour le patrimoine de l’Île-de-France, Paris, 1987, 80 p. ill. (ISBN 2905913037), p. 46-50
  • Victor-Adolphe Malte-Brun, L'ancien département de Seine-et-Oise, les Éditions du Bastion, Bourg-en-Bresse, 1990, 253 p. ill., fac-similé de l'édition de 1883, p. 136-139
  • M. et Mme Vatan Magny-les-Hameaux, des origines à 1900, édition privée (ISBN 2-9503598-0-9), 1989, 2000 exemplaires, 126 p.
  • Christophe Ferré Magny d'un monde à l'autre, le village du XXIe siècle, 2000, 108 p.

Liens externes


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