Louis Lézurier de La Martel

Louis Lézurier de La Martel

Louis Lézurier baron de La Martel, le 25 mai 1765 à Rouen et mort le 22 janvier 1852 à Sainte-Vaubourg, commune du Val-de-la-Haye, est un administrateur français dorigine normande.

Sommaire

Première éducation

Dune famille de négociants rouennais ayant donné à leur ville des échevins et des consuls, son père était lun des négociants les plus recommandables de Rouen et avait su se créer une position élevée : il avait le titre décuyer secrétaire du roi ; après avoir été juge consul, il exerça les fonctions déchevin de la ville de Rouen et de consul de Suède.

Après avoir été envoyé, à quinze ans, chez un pasteur, dans un village près de Hambourg, afin dy apprendre lallemand, le jeune Lézurier fut ensuite placé chez un correspondant de son père, pour commencer son éducation commerciale aussi brillante que solide, éprouva le désir dacquérir de nouvelles connaissances, par des voyages lointains, auxquels il se livra avec courage et persévérance, non en simple voyageur curieux de voir des choses nouvelles, mais en observateur attentif.

Le voyageur

Parti, à lâge de dix-huit ans, pour la Suède avec un domestique, il fut, arrivé à Stockholm, très bien accueilli par lambassadeur de France, qui lencouragea à aller visiter les mines de Dalécarlie, Falun, Sala et Dannemora. Il voulut pénétrer jusquen Laponie, au-delà du cercle polaire, pour jouir du merveilleux spectacle des aurores boréales, et revint ensuite passer lhiver à Stockholm, il fut décoré de lordre de Sainte-Amarante, par le roi Gustave III, auquel il avait été présenté, ainsi quà son fils, Gustave-Adolphe, et au duc de Sudermanie, depuis Charles XIII.

Au printemps suivant, il traversa, le 11 juin, au milieu des glaces, le golfe de Finlande et séjourna quelque temps à Saint-Pétersbourg, alla ensuite visiter Narva, Riga, Memel, Königsberg, Dantzig, et, quittant le rivage, il gagna la ville de naissance de Copernic de Thorn. Mécontent de son domestique, il le congédia et traversa seul la Pologne, mais arrivé à Breslau, il y fut arrêté, sur la plainte de ce même domestique qui ly avait devancé. Il plaida sa cause en allemand devant le magistrat, et son accusateur fut renvoyé honteusement. De , il se rendit à Dresde, il fit quelque séjour, pour en examiner la Galerie de tableaux, le Muséum et les Cabinets. Il revint par Berlin, Francfort, Cassel avant de rentrer en France par Strasbourg.

De il repartit pour explorer lAngleterre, il descendit dans les mines de charbon de terre près de Newcastle, en Northumberland, visita le mur bâti par Septime Sévère pour séparer lÉcosse de lAngleterre, se rendit à Édimbourg, d il envoya son équipage à Glasgow, et, accompagné dun guide, parcourut à pied, pendant plusieurs jours, les montagnes et les lacs de ce pays. Arrivé à Glasgow, il en visita les monuments, ainsi que les établissements publics et industriels, et se mit en relation avec les principaux habitants de cette ville, lui fut offert, le 17 août 1787, le brevet de free citizen (citoyen franc).

Ses intérêts lobligèrent à retourner, en 1789, en Suède alors que lon pressentait déjà la Révolution qui se préparaient. Il termina, en fort peu de temps, dimportantes affaires, sembarqua à Göteborg, pour passer en Angleterre, et se hâta de revenir dans sa patrie.

Retour en France : La Révolution

La connaissance approfondie des institutions, des mœurs, des langues et du caractère des peuples quil avait visités donna à Lézurier une expérience prématurée qui lui permit de commencer, de bonne heure, non seulement à se livrer aux affaires commerciales, sous la direction paternelle, mais encore à consacrer ses talents au bien public et il navait pas vingt-deux ou vingt-trois ans quil était déjà administrateur des hospices.

La Révolution venant déclater, Lézurier obtint lun des premiers grades dans la garde nationale, qui fut organisée au mois de juillet 1789. Il fut, à la même époque, admis comme notable dans le conseil municipal. Il accueillit, dans un premier temps, avec enthousiasme les idées nouvelles. Un décret du commencement de 1793 ayant prescrit de porter largenterie au Comité de salut public, les religieuses de lHospice général reçurent lordre de livrer la leur, mais leurs larmes inspirèrent à Lézurier de leur conseiller de déposer sur une table, chacune le petit couvert, seul objet de luxe quelle possédait. Il plaça alors un Christ au milieu, et, à larrivée des agents révolutionnaires, il leur dit : « Voici largenterie dun hôpital ; oserez-vous en priver ces femmes généreuses, dont la main panse les blessures et les plaies des malheureux et dont les prières allègent leurs souffrances ? » Largenterie fut sauvée, mais Lézurier devint suspect.

Peu de temps après, tous ses collègues du conseil de la commune ayant été incarcérés en septembre 1793, par ordre du représentant du peuple Delacroix, Lézurier osa prendre leur défense et protester hautement contre le régime de la Terreur, à une Assemblée populaire tenue dans léglise Saint-Vincent. Cette témérité faillit lui coûter la vie car, dès le lendemain matin, il fut arrêté dans son lit et enfermé à Saint-Yon, se trouvaient déjà 4 à 500 autres Rouennais, qui avaient manifesté la même opinion. Ils sattendaient, de jour en jour, à être traduits devant le Tribunal révolutionnaire, lorsque la chute de Robespierre vint les soustraire à une mort imminente.

Peu de temps après sa sortie de prison, il épousa, le 21 brumaire an III, Lucienne-Constance de la Pierre, fille dun futur administrateur des douanes impériales, propriétaire du château dHautot, en vallée de Seine, qui sétait fait remarquer par la conduite courageuse quelle avait tenue pendant la détention de ses parents.

En cette époque difficile, la famine et la misère désolaient sa ville, Lézurier nhésita point à assumer les fonctions de Président de ladministration municipale, qui lui furent conférées, le 21 brumaire an V, par lassemblée primaire. Pendant lexercice de ces fonctions, qui durèrent à peine six mois, Lézurier eut à apaiser, sans effusion de sang, plusieurs émeutes excitées par la famine, et les discours quil prononça lui firent une sorte de réputation littéraire. Il sut, en outre, délivrer ses concitoyens des deux fléaux qui les avaient assaillis, et, croyant sa mission remplie, il se retira.

Sous l'Empire

La signature de la paix d'Amiens, le 7 germinal an X, ayant donné lespoir dune paix durable, Lézurier se mit, accompagné de sa jeune épouse, en voyage pour renouer ses relations commerciales avec Bordeaux, Bayonne, lEspagne, le Portugal et lAngleterre. À peine était-il de retour à Rouen, que le Premier Consul sy rendit, au mois de novembre, pour visiter les manufactures et encourager le commerce. Lézurier, qui était alors à la fois président du tribunal de commerce de larrondissement et du conseil général du commerce et de lagriculture du département, eut de fréquents entretiens avec le chef de lÉtat, qui, lappréciant, ladmit dans son conseil et à sa table, pendant son séjour en cette ville, et, lorsquil institua lordre destiné à récompenser tous les genres de mérite, il le nomma, le 5 juillet 1804, officier de la Légion d'honneur et trésorier de la 14e cohorte, dont le siège était à l'Abbaye du Bec, près de Bernay.

La paix dAmiens brisée et les Anglais commençant à fréquenter les côtes françaises, Lézurier se fit élire, au mois davril 1809, chef de la première cohorte de la garde nationale de Rouen. Malgré ses affaires considérables, il se rendit, à la tête de mille hommes, à Boulogne-sur-mer, , malgré la rigueur de la saison, il fit le métier de soldat, sans interruption jusquau licenciement. Cest que lui parvint sa nomination aux fonctions de président du premier canton de Rouen, que lEmpereur lui avait conférées par décret du 17 juillet 1809. Ne pouvant les exercer cette année-, il fut renommé les années suivantes jusquen 1813, il tint de lImpératrice Marie-Louise sa nomination datée du 19 juin, et le 19 juillet de la même année, il présida la dernière de ces assemblées qui eut lieu à Rouen.

En mai 1810, lEmpereur, alors en Belgique, fit connaître son intention dhonorer Rouen dune nouvelle visite. Le commandement de la garde dhonneur, que les autorités civiles soccupèrent dorganiser, fut confié à Lézurier. Trois cents officiers ou sous-officiers vinrent alors se ranger, comme simples gardes, sous ses ordres. Les ayant exercé avec soin, lEmpereur chargea le grand-maréchal du palais de lui témoigner sa satisfaction, en lui remettant une boîte dor à son chiffre enrichie de diamants. Il lui conféra, en outre, les titres de baron de lEmpire de La Martel et de commandant de la garde-dhonneur de lEmpereur et de lImpératrice. Enfin, il lui fit proposer la clé de chambellan, mais Lézurier préféra lindépendance et la continuation de ses très florissantes affaires commerciales à cet honneur qui lui était offert. Lannée suivante, lors de la naissance du roi de Rome, Lézurier fut un des quatre membres du conseil municipal chargés de se joindre au maire pour aller complimenter lEmpereur.

Député au Corps législatif

Le collège électoral ayant été convoqué pour la nomination des membres du corps législatif, Lézurier fut proclamé scrutateur, puis député pour présenter ladresse à lEmpereur. On le désigna en même temps comme candidat au corps législatif, dont il fut bientôt nommé membre par le Sénat conservateur. Dautre part, la Société Maternelle de Rouen ayant été organisée en exécution du décret impérial du 25 juillet 1811, les dames choisirent, à lunanimité, Lézurier pour trésorier, choix confirmé par lImpératrice.

En 1812, la disette se faisant sentir de nouveau à Rouen, le préfet de Girardin, et le maire Hellot, invitèrent Lézurier à se rendre à Paris, pour solliciter des secours et des subsistances, sa ténacité et son zèle furent récompensés : on lui accorda six mille sacs de farine, quil fit immédiatement transporter à Rouen.

En 1813, le corps législatif chargea une commission des finances, élue à cet effet, de préparer le budget de lannée suivante, Lézurier en fut nommé président par lEmpereur lui-même, et cest sur son rapport que fut décrété ce dernier budget de lEmpire. Avec lassombrissement de lhorizon politique, le Gouvernement sentant la nécessité de placer à la tête des grandes villes des hommes capables et dévoués, le ministre de lIntérieur Jean-Pierre de Montalivet, insista pour que Lézurier se charge à nouveau des fonctions de maire de Rouen, qui lui furent conférées par décret impérial du 25 mars 1813 et quil les exerça jusquau licenciement de larmée de la Loire. Ce fut en cette qualité quil reçut limpératrice Marie-Louise à Cherbourg.

Les désastres de la Campagne de France ayant encombré les hôpitaux de la capitale, le typhus y régnait et le gouvernement décida denvoyer à Rouen, en bateau, au commencement de 1814, 4 000 soldats atteints de cette maladie ou grièvement blessés. Lézurier organisa aussitôt en hôpital la maison de Saint-Yon, se trouvait le dépôt de mendicité, déjà en dissolution. Les lits manquant, il eut lidée de recourir à un stratagème en faisant publier une proclamation annonçant que les soldats allaient être repartis chez lhabitant à moins que ceux-ci nenvoient à Saint-Yon, une couchure complète, avec du linge, dans les vingt-quatre heures. Cet expédient réussit au-delà de toute espérance.

Loin de se contenter de donner des ordres pour assurer le service, Lézurier veilla lui-même à leur exécution, présidant à larrivée et au classement des malades, tantôt sur les bateaux, dirigeant le débarquement, aidant ceux qui pouvaient marcher, faisant placer sur des brancards ceux qui nen avaient pas la force ; consolant, encourageant les uns et les autres, leur tendant la main, sans crainte de la contagion, et animant tout par son activité.

Lézurier avait de plus à soutenir de la situation qui se compliquait encore par lanimosité que manifestaient les diverses opinions qui divisaient les habitants, par larrivée à Rouen des forçats du bagne de Lille, de plusieurs milliers de prisonniers de guerre et dun grand nombre de militaires français, parmi lesquels beaucoup dofficiers supérieurs.

La Restauration

La déchéance de lEmpereur prononcée le 2 avril 1814, lorsque Louis XVIII fit replacé par les alliés sur le trône, Lézurier conserva les fonctions de maire et proclama le retour et le rétablissement de la royauté. Il reçut à Rouen le duc de Berry, qui laccueillit favorablement. Ancien membre du corps législatif, il fut maintenu, en 1814, à la Chambre des députés, il prit souvent la parole sur des objets dintérêt général, tels que les finances, les laines, les fers, etc. Plusieurs de ses opinions furent imprimées par ordre de la Chambre, et un discours quil prononça le 3 décembre 1814 détermina ladoption, à une grande majorité, du projet de loi relatif à la franchise du port de Marseille.

Au retour de lEmpereur, rentré à Paris le 20 mars 1815. Lézurier ne voulut pas violer le serment quil avait prêté au Roi et se démit de ses fonctions entre les mains du baron Quinette, commissaire extraordinaire impérial. Il rentra alors dans la vie privée, et se retira chez madame Fizeau, sa fille, qui habitait Valenciennes.

Avec le retour Roi, le juillet, mais une ordonnance royale du 7 du même mois, portait que tous les fonctionnaires qui étaient en activité le 1er mars devaient reprendre leurs fonctions, et, sur la demande de Lézurier, qui sétait rendu à Paris à cet effet, une ordonnance royale du 19 juillet le réintégra dans la mairie de Rouen. Réinstallé le 24 du même mois, par le préfet de Girardin, il fit les honneurs de la ville à la duchesse dAngoulême, lorsquelle y passa en revenant dAngleterre.

En reprenant les fonctions de maire, quil avait quittées momentanément, Lézurier eut loccasion, par une énergique activité, dépargner à ses administrés les excès de loccupation prussienne : la France entière envahie par les troupes étrangères, 30 000 Prussiens, divisés en trois colonnes, occupèrent successivement la ville et les environs de Rouen. Lézurier sétablit en permanence à la mairie, il coucha pendant tout le temps du séjour des troupes étrangères. Au général commandant, qui se montrait fort impérieux dans ses exigences exprimées en un français inintelligible : « Parlez allemand, lui dit froidement Lézurier, nous nous entendrons mieux ». Il sut ainsi le ramener à une modération qui rendit moins pénible la présence de ces hôtes, aussi incommodes que dangereux : plusieurs soldats prussiens eurent laudace de se présenter à lui pour réclamer le pillage pendant une heure « Pillez, si vous voulez, répondit-il avec fermeté ; mais, je vous en préviens, je fais sonner le tocsin; à linstant la garde nationale sera sur pied et pas un de vous ne sortira vivant de cette ville. »

Cette contenance en imposa aux mutins, qui se répandirent en menaces, mais nosèrent point aller plus loin. Une autre fois, le général Sacken lui ayant demandé que le séjour de son armée à Rouen fût constaté par une médaille commémorative, Lézurier brisa lencrier quil avait devant lui, en sécriant : « On me coupera la main plutôt que de me faire signer une semblable humiliation ! » Et les Prussiens se passèrent de médaille.

Lorsquaprès trois semaines de séjour, les Prussiens se retirèrent, le Gouvernement dalors lui fit demander sa démission, quil donna le surlendemain, 9 novembre 1815. Les nombreuses instances que fit le préfet pour quon lui accordant le titre de maître des requêtes ou tout autre équivalent, furent sans succès.

La retraite

Lézurier se retira donc dans son château de Sainte-Vaubourg[1] au Val-de-la-Haye, voisin de Hautot, commune dont il devient maire en 1821 et quil administra paternellement pendant une vingtaine dannées. encore il fit exécuter dutiles travaux en consacrant ses efforts à cette petite commune qui, sous son administration, sagrandit en annexant une partie de la commune voisine.

Sa santé navait encore souffert aucune altération lorsque Lézurier se sentit atteint, à son réveil, le mercredi 21 janvier 1852, dune paralysie de la vessie qui lenleva le troisième jour, en pleine connaissance. Il fut enterré à Hautot.

Autres fonctions

Lézurier fut également membre du jury dinstruction publique, en 1801, et, en 1805, membre du conseil de larrondissement de Rouen, dont il fut à plusieurs reprises, tantôt président, tantôt secrétaire. Il fut aussi lun des fondateurs de la banque de Rouen, établie, sur son rapport et suivant le système dadministration quil avait imaginé, pour combattre les ravages de lusure. Il contribua à la prospérité de lindustrie et du commerce en abaissant lintérêt de largent, alors excessif. Plus tard, lors de la liquidation de cette banque, fondée en lan VI pour neuf années seulement, il devint lun des administrateurs de la banque de France.

Élu membre résidant de lAcadémie de Rouen, le 21 décembre 1808, Lézurier passa dans la classe des vétérans en 1823, et dans celle des honoraires en 1848. Outre des mémoires relatifs à lhistoire ancienne et moderne, à la géographie, à lastronomie ainsi que des morceaux de littérature proprement dire, on lui doit des traductions dauteurs allemands, anglais et italiens.

Mémoires et témoignages

Sa mémoire est perpétuée d'une part à Rouen par une rue ouverte au faubourg Cauchoise au début du XIXe siècle, nommée rue Lézurier de la Martel en 1834, et prolongée jusqu'à la rue Chassemarée en 1853[2]; d'autre part par un carrefour en forêt de Roumare. Son nom, son titre et sa fortune ont été relevés sous le Second Empire par les Fizeaux, dont les Michon deviendront légataires universels.

Notes

  1. Ce château a été construit, pour rendez-vous de chasse, par Henri Ier, roi dAngleterre et duc de Normandie, de 1106 à 1135. Vers 1173, Henri II le donna aux Templiers et lérigea en Commanderie. À la suppression de cet ordre, en 1311, il passa aux chevaliers de Malte, qui le possédaient encore à la Révolution.
  2. Nicétas Périaux, Dictionnaire indicateur et historique des rues et places de Rouen, Rouen, 1870, p. 347.

Sources

  • « Louis Lézurier de La Martel » , dans Robert et Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, 1889 [détail de lédition]  ;
  • M. Balin, « Notice nécrologique sur M. le Baron Lézurier de La Martel », Précis analytique des travaux de lAcadémie des Sciences, Belles-lettres et Arts de Rouen, Rouen, Alfred Péron, 1852, p. 432-55.

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