Club de l'Horloge

Club de l'Horloge
Club de l'Horloge
Domaine d'activité Politique française
Création 1974
Personnes-clés Henry de Lesquen, Yvan Blot
Orientation politique libérale-conservatrice, Bonapartisme, Gaullisme
Siège Paris
Financement privé
Site web www.clubdelhorloge.fr

Le Club de l'Horloge, est une association française, plus précisément « un cercle de réflexion politique » d'orientation libérale-conservatrice[1]. Il a été créé en 1974, sous la même dénomination, notamment par Henry de Lesquen (UDF), président de Radio Courtoisie, qui en a assumé la direction jusqu'à aujourd'hui. Chacun des fondateurs dont Yvan Blot (RPR) et Jean-Yves Le Gallou (UDF), et aussi de ses adhérents regroupant des cadres, des hauts fonctionnaires, des intellectuels, des hommes politiques et des universitaires français de droite et d'extrême droite, ont prôné une « union de la droite, en faisant entrer le Front national dans une alliance de gouvernement »[2]. Ce cercle de réflexion se revendique du national-libéralisme[3],[4] et tente de réconcilier le libéralisme économique avec l'identité nationale et les valeurs républicaines[5],[6],[7].

Sommaire

Court historique du Club de l'Horloge

Entre droite de gouvernement et Front national

Henry de Lesquen soutient en 1997 qu'il existe « un électorat d'environ 15 % qui attend quelque chose. Un électorat plus bourgeois, moins populaire, moins focalisé sur l'immigration, plus attaché aux libertés économiques que celui du Front national ». L'alliance ne serait cependant possible que si le Front national cessait d'être un parti de contestation fixé sur le nationalisme[2].

Le Club depuis 1974 s'est tissé de nombreux liens à droite. Alain Madelin était l'un des plus assidus aux colloques et séminaires jusqu'en 1984. Ministre en 1986, il avait pris à son cabinet comme chargé des études et discours le secrétaire général du Club, Michel Leroy. Alain Juppé, quant à lui, a pris également part à des réflexions en commun avec le Club de l'Horloge en publiant ensemble un ouvrage. Jusqu'à la fin des années 1980 au moins, il est resté proche de la droite de gouvernement, et surtout des éléments les plus à droite de ces partis. Ainsi, en 1989, il a présenté un rapport commun avec le club 89, boîte à idées du RPR. Le président du Club, Henry de Lesquen, a, en 2002, conseillé le président de la République française, Jacques Chirac, sur les problèmes de l'insécurité[8].

Or malgré tous les efforts qui ont été faits du côté de la direction du Club de l'Horloge et du côté d'un certain nombre de personnalités de droite, qui souhaitaient le renforcement du Club de l'Horloge et l'union des droites, mais également de personnalités d'extrême droite, l'union n'a pas été possible et s'est inévitablement soldée par une réponse négative.

Ainsi, les principaux dirigeants fondateurs, à l'exception d'Henry de Lesquen, ont adhéré au Front national dans les années 1980 : Jean-Claude Bardet, Yvan Blot, Jean-Yves Le Gallou et Bruno Mégret. Mais le Club compte également des adhérents ou des sympathisants qui sont membres du Mouvement pour la France, à commencer par son président Henry de Lesquen, ou du Centre national des indépendants et paysans (Christian Vanneste). Mais, ces changements intervenus dans la vie du Club de l'Horloge, ne concernent pas des départs ou des arrivées de certains de ses membres, mais des adhésions parallèles.

À la fin des années 1970, le Club de l'Horloge a été considéré comme partie prenante de la « Nouvelle Droite » symbolisée par le GRECE. Henry de Lesquen a cependant fait savoir de l'existence de différences existant entre le Club et la « Nouvelle Droite »[9]. Les liens entre les deux associations se seraient limités à certains membres en commun et le Club a depuis rejeté le paganisme dominant au GRECE pour des positions conservatrices beaucoup plus classiques. Il ne partage pas l'antilibéralisme de la « nouvelle droite », au contraire, le Club de l'Horloge, inspiré des théories paretiennes, cultive un national-libéralisme[10]. Selon le politologue Stéphane François, le club de l'Horloge « est le côté néolibéral et occidentaliste de la nébuleuse de la Nouvelle Droite. Celle-ci veut faire revivre l'héritage indo-européen et préserver l'"identité" biologique et culturelle des groupes ethniques »[11].

En 2006, on compte parmi les adhérents du Club de l'Horloge des membres de l'UMP, de l'UDF, du Front national et des indépendants.

La question se pose donc désormais selon le Club de l'Horloge, de savoir s’il faut relancer le processus d’association entre la droite et l'extrême droite. Bien que les fondateurs continuent d'y voir des avantages de différents ordres, il importe néanmoins selon les fondateurs et adhérents de ne pas cacher les difficultés de cette démarche. En tout état de cause, le processus s’est plus ou moins relancé avec une procédure tout à fait différente de celle qui avait été engagée antérieurement. Cela dit, des perspectives nouvelles semblent s’ouvrir avec la création du site web Polémia.

Des discussions, des colloques, s'y poursuivent en vue de considérer les possibilités d’association avec les divers droites. C'est l’une des tâches principales des séminaires .

Le procès contre Élisabeth Roudinesco

En 2003, Élisabeth Roudinesco a été “lauréate” du prix Lyssenko décerné par le Club de l’Horloge[12]. Après avoir relevé dans leurs écrits toutes les similitudes avec la rhétorique des négationnistes, Élisabeth Roudinesco accuse certains membres du Club de l'Horloge d'« antisémitisme masqué » publié par la revue Les Temps modernes. Le Club a alors assigné en justice l'universitaire et essayiste Élisabeth Roudinesco. Mme Roudinesco a gagné en première instance (juin 2005), puis en appel (mars 2006).

Les influences du Club de l'Horloge

Le Club de l'Horloge, depuis sa création, est lié à la vie philosophique et la vie politique française, européenne et internationale. C’est en son sein que s’élaborent et se réalisent des programmes. Un renouvellement profond de ses thématiques ont eu lieu.

Ainsi, le Club de l'Horloge s'est reconnu et se reconnaît de nombreux de « maîtres à penser » :

Présentation et idées développées et défendues par le Club de l'Horloge

Chacun de ses fondateurs et adhérents ont marqué profondément les cercles de réflexions et recherches du Club de l'Horloge en fonction de leurs personnalité différentes, de leurs orientations intellectuelles respectives, et de leurs œuvres. Le Club de l'Horloge s'est donné pour objet à la fois d'assumer l'héritage des droites libérales prédécesseurs et d'accroître le dynamisme, la créativité et d'apporter des idées à la droite française. Il prône une « synthèse national-libérale [pour] faire pièce à l'idéologie dominante » [13]. En effet, il défend le « libéralisme intégral » en matière économique depuis 1979[14] (illustré lors de la publication de l'ouvrage collectif Le Grand Tabou : l'économie et le mirage égalitaire, éd. Albin Michel, 1980), le nationalisme (par exemple avec L'Identité de la France, éd. Albin Michel, 1985), les mérites, selon le club et du même point de vue que Fernand Braudel, de la colonisation (positive) avec le capitalisme, menée par les puissances européennes ou occidentales jusqu'aux années 1960. En effet, les grandes colonisations européennes ne sont pas des conquêtes classiques, consistant à s’approprier les richesses d’autres peuples et à revenir fier et vainqueur avec le butin. Il s’agit moins de s’approprier les richesses déjà existantes que de créer des conditions particulières de production. La colonisation a éré une entreprise industrielle de transformation : moderniser des cultures moins développées. Club de l'Horloge a aussi développé ou repensé des théories sur les inégalités naturelles entre individus ou groupes d'individus (notamment avec La Politique du vivant, éd. Albin Michel, 1978).

Pour le Club de l'Horloge, le libéralisme est un projet politique dont le fondement est la liberté individuelle en opposition avec l’égalité collective et le socialisme[15]. En effet, le libéralisme part de l’individu et pense le social en termes d’équité (au sens exact ou antique égalité), alors que le socialisme part du collectif et pense le social en termes d’égalité, qui aboutit à l'égalitarisme. De ce fait, le social-libéralisme est une position incohérente qui introduit une grande confusion des esprits. Ainsi, le Club Horloge mariant le nationalisme avec le libéralisme, qui repose sur une méthodologie individualiste inspiré par Joseph Schumpeter, Max Weber, Ludwig von Mises, Karl Popper, Friedrich Hayek, Raymond Boudon, et Alain Laurent, s'oppose à la méthodologie holiste[16].

Le Club se prononce pour une union de la droite dont ferait partie le Front national pour les similitudes ayant lieu entre eux, seulement du point de vue du programme[17]. Prenant comme un signe "modeste mais positif" la réintégration de Jacques Blanc au sein de la formation d’Alain Madelin, il souhaite un Front national "fort et ouvert" afin de participer à une nouvelle majorité de gouvernement « qui rompra avec le socialisme déguisé de Jospin, Chirac et Juppé ». Cette union de la droite se fera sans doute, a poursuivi Henry de Lesquen, selon le « scénario italien ». Henry de Lesquen tente ainsi d'ouvrir des passerelles comme des ponts entre la droite et l’extrême droite[18].

Le Club est à l'origine de la théorisation de la « préférence nationale », dans un ouvrage collectif publié aux éditions Albin Michel en février 1985, quand ses principaux dirigeants et adhérents étaient encore membres du RPR (Bruno Mégret, Yvan Blot, Jean-Claude Bardet, Henry de Lesquen) de l'UDF (Jean-Yves Le Gallou) ou du CNI (Yvon Briant).

Le Club plaide également pour la démocratie et la République[19],[20].

Avec les conférence-débats, le Club de l'Horloge se consacre spécifiquement à l'étude de l'histoire, avec Bernard Lugan, Jacques Heers, et François-Georges Dreyfus, la philosophie, avec Yvan Blot, la politique, avec Thierry Desjardins, Xavier Raufer, Bernard Zimmern, Jean Sévillia, Yves-Marie Adeline, Olivier Pichon, Alain Griotteray, à ses prolongements contemporains, avec Gérard Zwang. L'orientation méthodologique qui caractérise le Club de l'Horloge est corrélative du temps long sur lequel il exerce son activité. Il va de soi que dans ce temps long, et les domaines de recherche presque illimités qu'il offre à l'étude historique, une diversité considérable de thèmes, de doctrines, de systèmes et de concepts peuvent faire l'objet d'approches.[pas clair]

Liste chronologique des conférence-débats, des séminaires, et des universités annuelles

Direction et dirigeants actuels

Les membres statutaires du Club de l'Horloge à la création sont, du RPR, Bruno Mégret, Yvan Blot, Jean-Claude Bardet, Henry de Lesquen, de l'UDF Jean-Yves Le Gallou, ou encore du CNI, Yvon Briant.

Comme toute collectivité vivante, le club connaît des crises mais aussi des développements nouveaux. La période de son existence a marqué un renouvellement profond de sa composition qui est actuellement la suivante :

  • Président : Henry de Lesquen
  • Vice-présidents : Didier Maupas, Georges Berthu, Pierre-Marie Guastavino
  • Secrétaire général : Bernard Mazin
  • Délégués :
à l'animation : Alain Bourdelat
aux adhésions : Pierre-Yves Pinchaux
à la communication : Christophe Beaumont

Publications individuelles et collectives du Club de l'Horloge

Cette organisation a permis aux travaux individuels d'être en prise, d'une part, sur la recherche commune et, d'autre part, sur la recherche internationale. Certains de ces travaux sont ainsi traduits à l'étranger ou, au moins, souvent cités dans les bibliographies primaires ou secondaires françaises et étrangères.

  • Ambiguïtés de l'Europe sociale (Les)
  • Amérique latine, victime de l'étatisme ou du capitalisme ? (L')
  • Déclin du droit (Le)
  • Yvan Blot, La Démocratie confisquée, Ed. J. Picollec, Coll. "Documents dossiers", 1988, p. 244 pages
  • Démocratie locale, un pari pour la France (La)
  • Droite-gauche : un clivage dépassé ?
  • Echecs et injustices du socialisme
  • Ecole en accusation (L')
  • Elections municipales 2001 : mettre le cap à droite
  • Grand Tabou - L'économie et le mirage égalitaire (Le)
  • Identité de la France (L')
  • Identité et croissance de l'homme
  • Mythe des acquis sociaux (Le)
  • Occident sans complexes (L')
  • Penser l'Antiracisme
  • Péril bureaucratique (Le)
  • La Politique du vivant, 2e édition : Ed. du Bastion, 1999, ISBN 2-7455-0042-2, 362 p.,
    Les textes présentés ici sont issus des travaux d'une commission du Club de l'Horloge dont la composition était la suivante : André Archimbaud ; Michel Bauchot ; Alain Bercot ; Martine Bercot ; Yvan Blot ; Thierry Bost ; François Le Gallo ; Anne-Laure Le Gallou ; Henry de Lesquen (président de la commission) ; Didier Maupas ; Bruno Mégret ; Hubert Mounier ; Charles Rostand ; Maryvonne de Saint-Pulgent ; Noël de Saint-Pulgent ; Paul Soriano et Bruno Tellenne.
  • Privatiser la Sécurité sociale
  • Quelle Université pour la France ?
  • Qu'est-ce que la Nation ?
  • Racines du futur - Demain la France (Les)
  • Réforme du code de la nationalité (La)
  • "Refus de l'exclusion", nouvelle expression de l'utopie égalitaire (Le)
  • Rétablir la Sécurité
  • Rompre avec 50 ans de socialisme - 1936-1986
  • Socialisme contre le tiers monde (Le)
  • Socialisme et fascisme : une même famille ?
  • Socialisme et le péché originel (Le)
  • Socialisme et religion sont-ils compatibles ?
  • Union de la droite est-elle possible ? (L')
  • Vive la Propriété !

Le Prix Lyssenko

Le prix Lyssenko est un prix parodique, attribué chaque année depuis 1990 par le Club de l'Horloge, cercle de réflexion politique français regroupant des personnalités de droite et d'extrême droite. Ce prix est décerné « à un auteur ou une personnalité qui, par ses écrits ou par ses actes », a apporté, selon le Club, « une contribution exemplaire à la désinformation en matière scientifique ou historique, avec des méthodes et arguments idéologiques ».

Détails

Selon le site officiel du prix :

« Les lauréats sont choisis par un jury scientifique formé de spécialistes des diverses disciplines — biologie, démographie, économie, linguistique, géographie, ethnographie, sociologie, politologie, psychologie, psychiatrie, criminologie, histoire... La composition du jury reste secrète, de manière à protéger la liberté de jugement de ses membres. Il va de soi que le club de l'Horloge a seul la responsabilité de la décision finale sur l'attribution du prix. »

Le nom de cet antiprix fait référence à Trofim Denissovitch Lyssenko, connu pour sa prédisposition à donner priorité à la conformité politique sur la vérité scientifique.

Les lauréats

  • 1990 : Albert Jacquard, généticien, pour « l'ensemble de son œuvre », et Jean-Noël Jeanneney, historien, pour « son action comme président de la mission du Bicentenaire ».
  • 1991 : Hervé Le Bras, démographe, pour « son analyse de l'immigration étrangère et de la natalité française ».
  • 1992 : Robert Badinter, ancien ministre de la Justice, « fils spirituel » du criminologiste Marc Ancel (1902-1990), pour « sa contribution théorique et pratique à la lutte contre le crime ».
  • 1993 : Carlo Ginzburg, historien, et Jean-Paul Demoule, archéologue, pour « leur contribution aux études indo-européennes ».
  • 1994 : John Kenneth Galbraith, économiste, pour « sa défense du salaire minimum et des politiques socialistes de lutte contre le chômage ».
  • 1995 : Jean-Pierre Chrétien, historien professionnel et ethnologue amateur, pour « son analyse des ethnies africaines, décrites comme un fantasme de la colonisation ».
  • 1996 : André Langaney, généticien, professeur au Muséum d'histoire naturelle, pour « sa contribution à l'étude des races humaines ».
  • 1997 : Pascal Perrineau, politologue, pour « son analyse de la vie politique française ».
  • 1998 : Pierre Bourdieu, sociologue, pour « l'ensemble de son œuvre ».
  • 1999 : Michèle Tribalat, démographe, pour « son analyse du coût de l'immigration ».
  • 2000 : Martin Bernal, auteur de Black Athena — Les origines afro-asiatiques de la civilisation classique, pour « son analyse des origines de la civilisation occidentale ».
  • 2001 : Gilles Kepel et Bruno Étienne, orientalistes, pour « leur analyse du déclin de l'islamisme ».
  • 2002 : Daniel Cohn-Bendit et Olivier Duhamel, députés européens, et Thierry Vissol, économiste, pour « leur contribution exemplaire à la campagne en faveur de l'euro ».
  • 2003 : Élisabeth Roudinesco, psychanalyste, disciple de Freud et de Lacan, pour « sa défense et illustration de la psychanalyse ».
  • 2004 : Didier Billion, géographe, historien, politologue, pour « son analyse des rapports entre la Turquie et l'Europe ».
  • 2005 : Olivier Le Cour Grandmaison, historien, pour « sa contribution à l'histoire de la colonisation française ».
  • 2006 : Catherine Wihtol de Wenden, politologue, et Yvan Gastaut, historien, pour « leur analyse des bienfaits de l'immigration et de la mixité sociale ».
  • 2007 : Alain de Libera, historien, philosophe, pour « avoir mis en lumière les racines musulmanes de l'Europe médiévale »[21].
  • 2008 : Bernard Maris, économiste, écrivain et journaliste, pour « son analyse du capitalisme et de la crise économique »[21].
  • 2009 : Éric Besson, ministre, et Gérard Noiriel, historien, pour « leur contribution au débat sur l'identité nationale »[21].
  • 2010 : Jean Jouzel, climatologue et glaciologue, membre du GIEC, et Nicolas Hulot, reporter et écrivain, pour « leur contribution au débat sur le réchauffement climatique »[21].
  • 2011 : Philippe Meirieu, pédagogue, pour « sa contribution majeure à la ruine de l'enseignement »[21].

Notes et références

  1. Par Evelyne Joslain, L'Amérique des Think Tanks : Un siècle d'expertise privée au service d'une nation.
  2. a et b in Le Monde daté du 21 octobre 1997
  3. Par Pierre-André Taguieff, Sur la Nouvelle Droite: jalons d'une analyse critique, Page 55
  4. Par Erwan Lecœur, « national-libéralisme », Dictionnaire de l'extrême droite
  5. Arnaud Berthoud, Roger Frydman, Le Libéralisme économique: interprétations et analyses
  6. Par Ariane Chebel d'Appollonia, L'extrême-droite en France: de Maurras à Le Pen, Volume 1, P; 391
  7. Par Christophe Vimbert, La tradition républicaine en droit public français, p. 215
  8. Correspondance entre Jacques Chirac et Henry de Lesquen
  9. Article du site regards.fr (version du 10 octobre 2006 sur l'Internet Archive)
  10. Par Alexandre Reynes, Les droites nationalistes en France: une approche anthropologique, p. 139
  11. Les numéros deux du Front national (3/4) : Bruno Mégret, le technocrate sur lemonde.fr du 27 juillet 2011
  12. Elisabeth Roudinesco, prix Lyssenko en 2003 pour sa défense et illustration de la psychanalyse
  13. Site du Club : "Droite-Gauche, un clivage dépassé ?
  14. Jacques Julliard et Michel Winock (dir.), Dictionnaire des intellectuels français, éd. du Seuil, 2002, p. 324
  15. Voir Le Grand Tabou : l'économie et le mirage égalitaire, éd. Albin Michel, 1980
  16. cf. Henry de Lesquen, "Droit de réponse"; Alain de Benoist, "Réponse à Henry de Lesquen", in Eléments, n°71, automne 1991, pp. 28-29. ; Robert Steuckers, Individu ou communauté?A propos de la querelle qui oppose le GRECE au Club de l'Horloge
  17. Site du Club : L'union de la Droite est-elle possible ?
  18. Des passerelles aux ponts, L'Humanité, le 27 août 1998.
  19. Programme de la XXIe Université annuelle du Club de l’Horloge
  20. Libre journal des idées politiques du 24 novembre 2005 sur Radio Courtoisie, dirigé par Henry de Lesquen, président du Club de l'Horloge, qui affirme "Il faut soutenir la démocratie car il s'agit du système le plus juste pour défendre les intérêts des Français."
  21. a, b, c, d et e Liste des lauréats sur le site du Rassemblement pour l'indépendance de la France.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Lien externe


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