Nicolas Nicolaevitch de Russie (1856-1929)

Nicolas Nicolaevitch de Russie (1856-1929)

Nicolas Nikolaïevitch de Russie (1856-1929)

Page d'aide sur l'homonymie Ne doit pas être confondu avec son père Nicolas Nikolaïevitch de Russie (1831-1891)
Nikolaï Konstantinovitch de Russie (Николай Николаевич Романов)
Nikolaï Konstantinovitch de Russie (Николай Николаевич Романов)
Surnom Nicolas le Jeune, ou Nicolacha ou Nicolas le Long
Naissance 6 novembre 1856
Saint-Petersbourg
Décès 5 janvier 1929 73 ans)
Antibes
Origine Russie Russie
Allégeance Russie impériale
Arme Cavalerie
Grade adjudant-général, Général de cavalerie
Service 1871 - 1917
Conflits Guerre russo-turque (1877-1878), Première Guerre mondiale
Commandement Bataillon du régiment de la Garde Lituanienne, 56ème régiment d'infanterie Jitomirsky, 16ème régiment d'hussards de Irkoutsk, 3ème régiment de la Garde, bataillon du 4ème régiment de fusiliers de Maison impériale
Faits d’armes Attaque et occupation du col de Shipka
Distinctions Ordre de Saint-Georges St George Ribbon
Autres fonctions Commandant suprême des forces terrestres et navales de la Russie impériale, commandant de l'Armée du Caucase
Famille Père : Nikolaï Nikolaïevtch de Russie
Image : Grand-duc Nikolaï Nikolaïevitch de Russie.

Grand-duc Nicolas Nikolaïevitch de Russie (Nikolaï Nikolaïevitch Romanov, en russe : Николай Николаевич Романов) né le 6 novembre 1856 à Saint-Pétersbourg (Russie), décédé le 5 janvier 1929 à Antibes (France).

Il fut grand-duc de Russie, membre de la Maison de Holstein-Gottorp-Romanov, général russe. De 1914 à 1915, il fut commandant suprême de l'armée impériale de Russie, en 1915 commandant de l'armée du Caucase.

Sommaire

Famille

Blason Russie XVIIIe siècle.svg Fils de Nicolas Nikolaïevitch de Russie (1831-1891) et d'Aleksandra Petrovna d'Oldenbourg.

Mariage

Nicolas Nikolaïevitch de Russie épousa le 12 mai 1907 à Yalta la princesse Anastasia de Montenegro (appelée "Stana"; 1867-1929), fille de Nicolas Ier de Montenegro et de Milena Vukotić. . Leur mariage fut heureux. Tous deux furent profondément de pieux chrétiens orthodoxes, mais avec une tendance mystique et un penchant pour l'occultisme. Les Monténégrins furent farouchement slaves; il furent contre le peuple turc issu des Balkans. Anastasia de Monténégro renforça les tendances panslavistes du grand-duc.

Biographie

Nicolas Nikolaïevitch de Russie fut appelé "Nicolacha" ou "Nicolas le Jeune" pour le différencier de son père "Nicolas l'Ancien" ou "Nicolas le Long" en raison de sa haute taille longiligne.

Sous l'Empire

Carrière militaire

Nicolas Nikolaïevitch de Russie fit ses études à l'École des ingénieurs militaires, en 1872, il fut promu lieutenant et envoyé en formation dans un bataillon d'infanterie et en 1873, il fut admis dans une unité de cavalerie. En 1876, il sortit diplômé de l'Académie de l'État-major général, avec médaille d'argent, à l'entrée de cette école son nom y fut inscrit sur une plaque de marbre.

Lors de la Guerre russo-turque (1877-1878), il servit sous les ordres de son père alors commandant en chef. Dans cette guerre, le grand-duc se distingua à deux reprises. Sous le commandement du général Mikhaïl Ivanovitch Dragomirov (1830-1905), à proximité de la ville de la ville de Sistova, il traversa le Danube sous le feu des Turcs. Pour cet acte de bravoure, il fut décoré de l'Ordre de Saint-Georges (2ème classe). Sous les ordres du général Nikolaï Ivanovitch Sviatopolk-Mirsky (1833-1898), il prit part à l'attaque et à l'occupation du col de Shipka, pour son comportement au cours des combats, il reçut une épée d'or avec l'inscription "Pour bravoure".

Il gravit les échelons et fut nommé commandant du régiment des hussards de la garde de Sa Majesté le 6 mai 1884. Le 10 novembre 1890, il fut nommé commandant de la 2ème brigade de cavalerie de la Garde, le 11 décembre 1890, commandant de la 2ème division de la cavalerie de la Garde. En 1905, le grand-duc Nikolaï Nikolaïevitch de Russie reçut le commandement des troupes de la Garde de Saint-Petersbourg, du district militaire et fut Président du Conseil de défense de l'État.


Nicolas Nikolaïevitch de Russie eut la réputation d'un commandant strict, mais fut respecté par ses troupes. Il posséda surtout une expérience d'instructeur. Nicolas Nicolaïevitch de Russie fut un très pieux, il priait le matin, le soir, avant et après les repas.

Nicolas Nikolaïevitch de Russie appartint au mouvement panslaviste, mais ne fut pas un nationaliste enragé.

En 1895, il fut nommé au poste d'inspecteur général de la cavalerie, fonctions qu'il occupa durant dix ans. Ces dix années furent considérées comme une réussite concernant les réformes entreprises dans la formation, dans les écoles de cavalerie, dans la cavalerie de réserve, dans les services de remontes. Lors de la Guerre russo-japonaise (1904-1905), le grand-duc n'obtint aucun commandement, peut-être le tsar ne voulut pas mettre en danger le prestige des Romanov, ou peut-être voulut-il aussi conserver à ses côtés un commandant loyal envers la Couronne impériale en cas de troubles intérieurs. De ce fait, Nicolas Nicolaïevitch de Russie joua un rôle crucial au cours de la première rebellion russe en 1905. Entre l'anarchie et l'avenir de la dynastie, Nicolas II de Russie eut le choix d'instaurer en Russie les réformes préconisées par Serge Witte ou l'imposition d'une dictature militaire. A l'époque, en Russie, le seul homme détenant le pouvoir de conserver la loyauté de l'armée russe envers le tsar fut Nicolas Nikolaïevitch de Russie. Nicolas II de Russie lui proposa d'assumer le rôle de dictateur militaire. Dans une émouvante scène, Nicolas Nicolaïevitch de Russie refusa cette proposition, il dégaina son revolver et menaça de tirer lui-même si le tsar n'enterinait pas le plan de réformes de Serge Witte. Cet acte fut déterminant, il força Nicolas II de Russie à accepter les réformes préconisées par Serge Witte. Malheureusement pour la Russie et pour le tsar, Nicolas II de Russie revint sur sa parole.

Alix de Hesse-Darmstadt, autocrate convaincue ne pardonna jamais le geste de Nicolas Nikolaïevitch de Russie.

De 1905 à la Première Guerre mondiale, Nicolas Nikolaïevitch de Russie fut nommé commandant en chef du district militaire de Saint-Pétersbourg. Il eut la réputation de nommer des hommes d'origine modeste aux postes demandant de l'autorité.

Première Guerre mondiale

Commandement du front austro-hongrois et allemand

Nicolas Nikolaïevitch de Russie ne participa pas à la planification et aux préparatifs de la Première Guerre mondiale, cette responsabilité échut au général Vladimir Soukhomlinov et à l'État major. A la veille de la déclaration de la Première guerre mondiale, le tsar Nicolas II de Russie céda aux sollicitations de ses ministres et nomma Nicolas Nikolaïevitch de Russie commandant suprême de l'armée impériale de Russie. Le grand-duc était alors âgé de cinquante-sept ans, il n'avait jamais commandé de troupes sur un champ de bataille et encore moins la plus grande armée jamais engagée dans un conflit dans toute l'Histoire. Chef des armées impériales de Russie, Nicolas II de Russie écouta les conseils du grand-duc avant de l'évincer du commandement des armées en 1915.

Nicolas Nikolaïevitch de Russie eut sous sa responsabilité toutes les batailles engagées par les Russes sontre les Allemands en Autriche-Hongrie et en Turquie, en Allemagne. Dans l'ensemble, le haut commandement russe fut insuffisant pour relever le défi de cette grande guerre. Différentes armées manquèrent de coordination dans leurs actions qui aboutirent à la catastrophe de Tannenberg (17 août au 2 septembre 1914) et des batailles des lacs de Mazurie (septembre 1914 à février 1915)

Lors de la Première Guerre mondiale, le grand-duc Nicolas Nikolaïevitch déclencha une offensive sur le front oriental (août-octobre 1914), le général allemand Helmuth Johannes Ludwig von Moltke fut dans l'obligation de dégarnir le front occidental pour soutenir les troupes engagées dans les combats contre les soldats de la Russie impériale. Cette attaque du grand-duc Nicolas Nikolaïevitch permit aux troupes françaises de remporter la bataille de la Marne (6-12 septembre 1914). Les taxis parisiens ne furent pas les seuls artisans de la victoire de la Marne, le grand-duc Nicolas Nikolaïevitch contribua grandement à ce succès militaire, en outre, cette victoire sauva Paris de l'invasion allemande.

Les soldats russes furent mal équipés, mal entraînés et mal commandés, dans une certaine mesure cette responsabilité incomba au commandant suprême. Nicolas Nikolaïevitch de Russie se limita à choisir les différentes idées soumises par de nombreux généraux russes. Il n'y eut pas de plan cohérent de la part du grand-duc ou de son état-major afin d'assurer la victoire de l'armée impériale de Russie. Sur le plan personnel, le grand-duc fut très apprécié par les soldats russes.

Nicolas Nikolaïevitch de Russie semble avoir été plus un bureaucrate qu'un chef militaire, il manqua d'un sens large de stratégie et de volonté pour commander toutes les armées russes. A son quartier-général régna une athmosphère étrangement calme, malgré les nombreux échecs et les millions de victimes dans les rangs de l'armée russe. Il faut reconnaître que l'armée russe sous le commandemant de Nicolas II de Russie, auteur de la déclaration de guerre, n'eut pas plus de succès.

Nicolas Nikolaïevitch de Russie se fit un ennemi en la personne de Raspoutine, le staretz à la vie dissolue avait l'oreille d'Alix de Hesse-Darmstadt. Le grand-duc menaça de pendre Raspoutine, le staretz prophétisa que les armées seraient toujours vaincues jusqu'à que le tsar se place à la tête de l'armée impériale russe.

Commandement sur le front du Caucase

Nicolas II de Russie démit Nicolas Nikolaïevitch de Russie de ses fonctions de commandant suprême des armées impériales russes. Le 21 août 1915, ne possédant ni les aptitudes, ni la formation, Nicolas II de Russie se mit à la tête des armées russes.

Après son renvoi du poste de commandant suprême des armées de la Russie impériale, Nicolas Nikolaïevitch de Russie fut nommé commandant en chef et vice-roi de la région du Caucase. Son adversaire fut l'Empire Ottoman. En 1916, l'armée russe se rendit maître de la forteresse d'Erzeroum, du port de Trébizonde et de la ville d'Erzincan. Les turcs répondirent par une offensive. Des combats se déroulèrent autour du lac Van, mais cette offensive se révèla peu concluante.

Nicolas Nikolaïevitch de Russie tenta de construire un chemin de fer afin de joindre la Russie à la Géorgie pour permettre un plus grand stockage des munitions pour une nouvelle offensive prévue pour 1917. Mais en mars 1917, Nicolas II de Russie fut renversé et l'armée commença lentement à se désagréger.

La grand-duc Nikolaï Nikolaïevitch de Russie pressenti pour succéder au tsar Nicolas II de Russie

Au début de l'année 1917, à Saint-Petersbourg certains pressentent l'émincence du chaos, les grands-ducs dans leurs palais, l'intelligensia dans ses appartements fomentent un complot pour renverser Nicolas II de Russie. Qui sera le successeur du tsar ? Certains noms sont prononcés, mais un nom revient souvent sur les lèvres, le grand-duc Nikolaï Nikolaïevitch de Russie, le vice-roi du Caucase.[1] En Russie, il jouit d'une grande popularité, sa haute silhouette, ses manières de gentilhomme, son ait bourru, sa loyauté le rendent très populaire auprès des soldats et du peuple russe. Avant la Première Guerre mondiale, sa popularité avait déjà franchi les frontières de Russie. En France, il jouissait également d'une excellente réputation, au cours des grandes manœuvres militaires franco-russe, le grand-duc gagna l'estime de fervents républicains tels que René Viviani, de Georges Clémenceau ou d'Alexandre Millerand. Cette sympathie largement accordée au grand-duc sera aux yeux des hommes politiques français largement méritée. Au moment où les troupes allemandes se dirigent vers Paris, les Russes lanceront une attaque massive en Prusse-Orientale. les 1ère et 2ème armées russes sont mises à contribution obligeant ainsi Guillaume II d'Allemagne à dégarnir le front français y compris les troupes de l'armée impériale allemande marchant sur la capitale pour renforcer les troupes allemandes sur le front de l'Est. Ainsi, le grand-duc Nikolaï Nikolaïevitch de Russie sera l'un des vainqueurs de la bataille de la Marne. Le sacrifice des troupes russes à la bataille de Tannenberg, le 2 septembre 1914 évita la prise de la capitale par les troupes allemandes et permettra aux Français de sortir victorieux de la bataille de la Marne. A cette époque, en 1918, comme aujourd'hui ce sacrifice des meilleurs régiments de l'Empire russe, la stratégie du grand-duc Nikolaï Nikolaïevitch de Russie, la volonté de Nicolas II de Russie de respecter son alliance avec la Grande-Bretagne et la France seront oubliés.[2]

Seize des grand-ducs complotant le renversement du tsar déléguèrent un envoyé auprès du grand-duc Nikolaï Nikolaïevitch de Russie dans la Caucase. Nikolacha négocia directement avec certains députés de la Douma mêlés au complot.

Révolution russe

Lors de l'éclatement de la Révolution russe, Nicolas Nikolaïevitch de Russie se trouvait dans le Caucase. Nicolas II de Russie nomma le grand-duc commandant en chef suprême, ce fut le dernier acte officiel du tsar. Le grand-duc fut envoyé au quartier général de Moguilev. Vingt quatre heures après son arrivée, le nouveau Premier ministre, le prince Georges Lvov annula le rendez-vous. Nicolas Nikolaïevitch de Russie passa les années 1918 et 1919 en Crimée, il fut mis en résidence surveillée et participa peu à la vie politique.

Nicolas Nikolaïevitch de Russie et son épouse échappèrent de justesse à l'Armée rouge. En avril 1919, le grand-duc et son épouse quittèrent la Russie à bord du cuirassé HMS Malborough. Deux mois plus tard l'armée rouge se rendait maître de la région.

L'exil

Église orthodoxe de Saint-Michel Archange de Cannes, lieu de sépulture du grand-duc Nikolaï Nikolaïevitch de Russie et de son épouse, la princesse Anastasia de Monténégro

Après un séjour à Gènes comme hôte du roi Victor-Emmanuel II d'Italie, son beau-frère, Nicolas Nikolaïevitch de Russie et son épouse s'installèrent dans une maison de campagne à Choigny à vingt kilomètres de Paris. Le grand-duc fut constamment gardé par la police secrète française et par un petit nombre de cosaques. Le grand-duc devint une figure de l'anti-soviétisme, un résistant monarchiste et le chef militaire de l'Union russe aux côtés du général Piotr Wrangel. Des plans furent dressés pour permettre l'envoi d'agents en Russie soviétique. Une des principales priorités de la police secrète soviétique fut l'envoi d'agents pour infiltrer l'organisation monarchiste et kidnapper Nicolas Nikolaïevitch de Russie. La Tcheka réussit à infiltrer le réseau monarchiste russe en utilisant comme leurre l'anti-bolchevique et espion anglais Sidney Reilly connu dans le milieu de l'espionnage sous le nom de "l'As de pique" (1874-1925). En juin 1927, les monarchistes russes furent en mesure de faire exploser à l'aide d'une bombe la prison de la Loubianka (KGB) à Moscou, prison où fut interrogé, torturé et exécuté Sidney Reilly.

Par une partie des russes émigrés, le grand-duc Nikolaï Nikolaïevitch de Russie fut considéré comme le prétendant au trône de Russie.

Sous le nom de Borisov, le grand-duc Nikolaï Nikolaïevitch de Russie vécut avec son épouse la princesse Anastasia de Monténégro, son frère cadet, le grand-duc Piotr Nikolaïevitch de Russieet son épouse la princesse Militza de Monténégro vécurent avec lui à la villa Thénard à Antibes. Le 16 novembre 1924, il rejoignit l'organisation des militaires russes en exil, L'Union militaire russe.

Décès et inhumation

Nicolas Nikolaïevitch de Russie décéda le 5 janvier 1929 dans sa villa d'Antibes où il s'était rendu pour échapper aux rigueurs de l'hiver. En présence de hauts dignitaires français, les funérailles du grand-duc furent célébrés en l'église Saint-Michel l'Archange de Cannes. Il fut inhumé dans la crypte de l'église aux côtés de son épouse.

Distinctions

Commandement

Insigne régimentaire du régiment du régiment de la Garde Lituanienne
  • Bataillon du régiment de la Garde Lituanienne;
  • 56ème régiment d'infanterie Jitomirsky (Régiment de Son Altesse Impériale le grand-duc Nikolaï Nkolaïevitch de Russie (1877);
  • 16ème régiment de hussards d'Irkoutsk (30 juillet 1912);
  • 3ème régiment de fusiliers de la Garde;
  • Bataillon du 4ème régiment d'infanterie de la famille impériale.

Membre

  • Membre honoraire de l'Académie d'ingénierie Nikolaevskoï;
  • Membre honoraire de l'Académie militaire impériale Nikolaevskoï;
  • Membre de la Société impériale de l'Histoire de l'armée russe;
  • Membre de l'ordre maçonnique martiniste (1909).

Généalogie

Viatcheslav Constantinovitch de Russie appartient à la seconde branche issue de la première lignée de la Maison d'Oldenbourg-Russie (Maison de Holstein-Gottorp-Romanov), elle-même issue de la première branche de la Maison de Holstein-Gottorp. Ces trois branches sont toutes issues de la première branche de la Maison d'Oldenbourg. Il appartint à la branche agnate des Nikolaïevitch. Il est le grand-oncle de l'actuel chef de la Maison impériale de Russie, le prince Nikolaï Romanovitch de Russie.

Notes et références

  1. Edvard Radzinsky Nicolas II le dernier tsar page 209
  2. Frédéric Mitterrand Mémoires d'exil Page 86

Liens externes et sources

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu d’une traduction de l’article en anglais intitulé « Grand Duke Nicholas Nikolaevich of Russia (1856-1929) ».


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