Sophie-Dorothee de Wurtemberg

Sophie-Dorothee de Wurtemberg

Sophie-Dorothée de Wurtemberg

Maria Fiodorovna 1777-portrait de Roslin


La princesse Sophie-Dorothée de Wurtemberg- Montbéliard, en allemand : Sophie-Dorothée Augusta Luisa von Württemberg, Impératrice Maria Fiodorovna , en russe : Императрица Mapия Фёдopoвна née le 25 octobre 1759 à Stettin, décédée le 5 novembre 1828 à Pavlovsk, fut impératrice de Russie sous le nom de Maria Feodorovna, après sa conversion à l'Église orthodoxe. Elle fut appelée aussi parfois Maria de Montbéliard. Elle fut la mère de deux empereurs : Alexandre et Nicolas.

Sommaire

Famille

Wuerttemberg Arms.svg

Fille de Frédéric-Eugène de Wurtemberg et de Frédérique-Dorothée-Sophie de Brandebourg-Schwedt.

Dans la chapelle du Palais d'Hiver à Saint-Petersbourg, le 6 septembre 1776, Sophie-Dorothée de Wurtemberg devient la seconde épouse du tsarévitch Paul Petrovitch ( futur Paul Ier de Russie), fils de la grande Catherine II de Russie et Pierre III de Russie.

De cette union naîtront :

Biographie

L'Impératrice

Sophie-Dorothée de Wurtemberg naquit à Stettin (aujourd'hui en Pologne). En 1769, la famille de la petite princesse s'installa à Montbéliard. Sophie-Dorothée reçut une excellente éducation : elle parla l'allemand, l'italien, le français et le latin. Elle apprécia beaucoup l'art et la mode française.

Princesse de Wurtemberg

En 1773, Sophie-Dorothée de Wurtemberg fut l'une des princesses allemandes pressentie pour devenir l'épouse de Paul Petrovitch de Russie. Mais la mère du tsarévitch, Catherine II de Russie choisit Natalia Alekseïevna. La jeune princesse alors âgée de quatorze ans fut promise à Louis Ier de Hesse, frère aîné de la princesse Louise-Wilhelmine de Hesse-Darmstadt. Mais le 15 avril 1776, l'épouse du tsarévitch Paul Petrovitch de Russie décéda. Frédéric II de Prusse (l'oncle de Sophie-Dorothée) proposa sa nièce en mariage. Louis Ier de Hesse reçut une compensation financière pour la rupture des fiançailles. Catherine II de Russie se réjouit de cette union, car sa future bru et elle-même reçurent la même éducation et étaient natives de la même ville.

Frédéric II de Prusse arrangea le mariage et invita le tsarévitch Paul Petrovitch de Russie et Sophie-Dorothée de Wurtemberg à Berlin. Les deux jeunes gens s'éprirent l'un de l'autre. A l'automne 1776, Sophie-Dorothée de Wurtemberg se rendit à Saint-Petersbourg, en septembre 1776, elle se convertit à la foi orthodoxe russe et prit le nom de Maria Fiodorovna, le 26 septembre 1776, la jeune princesse épousa le futur Paul Ier de Russie.

Grande-duchesse de Russie

La Palais Pavlovsky

Le tsarévitch Paul Petrovitch de Russie était difficile de caractère mais la jeune Sophie-Dorothée de Wurtemberg fut stisfaite de son sort Mon cher mari est un ange parfait et je l'aime à la folie écrit-elle à un ami. Les sentiments de la grande-duchesse ne changèrent jamais à l'égard de son époux, malgré son caractère difficile et souvent tyrannique, elle l'aima vraiment.[1]

En décembre 1777, La grande-duchesse Maria Fiodorovna donna naissance à son premier enfant, en avril 1779, à un second. La bonne entente entre l'impératrice et Sophie-Dorothée de Wurtemberg se détèriora très rapidement. Catherine II de Russie retira l'aîné des enfants à ses parents puis le second afin de les éduquer selon sa convenance et sans l'ingérence des parents. Ceux-ci furent autorisés à rendre visite à leurs enfants seulement une fois par semaine. De la naissance d'Aleksandr Pavlovitch de Russie à celle de la grande-duchesse Alexandra Pavlovna de Russie, le couple n'eut pas d'enfants. Privée de l'éducation de ses deux fils, la grande-duchesse Maria Fiodorovna consacra son temps à la décoration du Palais Pavlovsky, un don de Catherine II de Russie pour célébrer la naissance de son premier petit-fils. Les efforts de Sophie-Dorothée de Wurtemberg firent du Palais Pavlovski l'une des plus belles propriétés de Russie.

Personnalité

La tsarine Maria Feodorovna par Borovikovski

Sophie-Dorothée de Wurtemberg fut une grande jeune femme blonde, au teint frais, très myope.[2] Elle aimait le faste et les cérémonies associés à la vie de Cour. Elle avait un goût pout la splendeur et porta un grand intérêt aux petites intrigues de la Cour. Attentive à son rang, sans fatigue et sans répit, elle pouvait demeurer toute la journée en tenue de cérémonie, de même elle imposa la même charge à son entourage, elle fit respecter dans les moindres détails la stricte étiquette de la Cour. Elle aima l'ordre et la régularité. Contrairement aux autres membres de la famille Romanov, elle fut une personne frugale, vertu rare pour une princesse de cette époque, venant d'une famille appartenant à une branche mineure de la Maison de Wurtemberg ceci explique cela.

Son humeur égale et sa patience contribuèrent à une certaine harmonie au sein du couple. Sa parcimonie fut telle qu'elle n'hésita pas à se vêtir des vêtements de la première épouse de Paul Ier de Russie, elle chaussa même les pantoufles de la défunte.[3]

Avec enthousiasme, la grande-duchesse Maria Fiodorovna cultiva les arts ne dédaignant pas les travaux d'aiguilles.[4] Très douée à l'aquarelle, elle le fut également dans la gravure, la conception de camées, de ses mains elle créa des objets d'ivoire et d'ambre, de temps en temps, elle les offrait en présents. Elle fut également une musicienne très douée, elle fut une grand spécialiste de l'horticulture, toute sa vie, elle voua un vraie passion pour les fleurs et les plantes.[5] A Pavlovsk, la grande-duchesse réunit autour d'elle un cercle littéraire comparable à celui d'Étupes, elle organisa des représentations théâtrales pour son époux qui apprécia beaucoup ce genre de divertissment. En outre, elle trouva le temps de s'occuper d'associations caritatives et d'institutions d'éducation. A Saint-Petersbourg, elle créa l'Institut pour aveugles, elle soutint la carrière de la musicienne non-voyante suédoise Charlotta Suerling (1782 ou 1784-1828). Sérieuse et déterminée, elle se targua d'être plus maligne que sa belle-mère, ne perdant jamais une occasion de comparer sa vertu irréprochable à celle de sa propre belle-mère, l'impératrice Catherine II de Russie. Elle fut également très attentive dans ses attaques contre Grigori Aleksandrovitch Potemkine ou Aleksandr Matveevitch Marmonov, les favoris de la tsarine.

Intelligente, talentueuse, déterminée et énergique, Maria Fiodorovna fera une épouse impériale presque parfaite, Paul Ier de Russie, pendant de nombreuses années sera un époux modèle, aimant profondément son épouse.

Le séjour en Europe

Maria Fiodorovna

Le tsarévitch Paul Petrovitch de Russie et son épouse demandèrent à Catherine II la permission d'effectuer un voyage en Europe occidentale. Sous le pseudonyme de comte et comtesse Severny (en russe adjectif se rapportant au Nord mais possèdant également d'autres références), en septembre 1781, le couple partit pour un voyage de quatorze mois les emmenant en Pologne, en Autriche, en Italie, en France, en Belgique, en Hollande et en Allemagne. Paris fit une grande impression sur le couple.[6] Sur le chemin du retour, Sophie-Dorothée de Wurtemberg rendit une visite à ses parents. A la fin de 1782, le couple fut de retour en Russie. Elle consacra toute son attention à son Palais Pavlovsky où, en 1783, elle donna naissance à la grande-duchesse Aleksandra Pavlovna de Russie. Pour célébrer la naissance de sa petite-fille, Catherine II de Russie fit don au couple du Palais de Gatchina, auquel le tsarévitch accordera toute son attention jusqu'en 1796, date de son accession au trône de Russie.

Sophie-Dorothée de Wurtemberg donna naissance à dix enfants, quatre garçons et six filles. Dés lors, la Maison impériale de Russie composée d'un seul membre, le tsarévitch Paul Petrovitch de Russie devint une grande famille. Les plus jeunes enfants furent confiés à leurs parents.

Les dernières années du règne de Catherine II de Russie

Le Palais Gatchina

Au cours des dernières années du règne de Catherine II de Russie, avec des revenus restreints, le couple fut contraint de vivre dans l'isolement dans le Palais Gatchina. Le tsarévitch Paul Petrovitch de Russie et son épouse restèrent un couple dévoué. Maria Fiodorovna modéra les éléments extrêmes dans le caractère de son époux et continua à posséder une influence bénéfique sur lui. Elle continua à embellir le Palais Pavlovsky et se consacra à ses œuvres de charité. Elle consacra également son temps à élargir son modeste salon littéraire et organisa des soirées théâtrales et musicales pour sa famille et ses amis. Jouant elle-même du clavecin, elle fut également une lectrice assidue. Elle conserva ses Journaux où elle décrivit sa vie détaillée. Néammoins, selon ses dernières volontés, Nicolas Ier de Russie brûla tous ces volumes après le décès de sa mère, Sophie-Dorothée de Wurtemberg.

L'étroite liaison entre Paul Ier de Russie et Catherine Nelidova, l'une des dames de compagnie de Maria Fiodorovna fut la cause de la première fissure dans l'union de ce couple. Cette liaison fut très intense, mais selon Paul Ier de Russie, son attachement à Natalia Nelidova n'était que platonique. Sophie-Dorothée de Wurtemberg en souffrit beaucoup d'autant plus que cette dame de compagnie était son amie. Pour plusieurs années, ses relations avec Catherine Nelidova furent glaciales. Plus tard, la grande-duchesse commença à croire aux paroles de Paul Ier de Russie concernant les liens d'amitié l'unissant à Catherine Nelidova. Non seulement, Maria Fiodorovna accepta cette idée mais unit ses forces à celles de Catherine Nelidova afin de tenter de modérer le tempérament de plus en plus névrosé de Paul Ier de Russie.

Impératrice de Russie

Maria Fiodorovna aima tous les arts et les soutint généreusement.

Après vingt années passées dans l'ombre, le décès de Catherine II de Russie en 1796, permit à Sophie-Dorothée de Wurtemberg de devenir impératrice consort de Russie, elle put jouer un rôle de premier plan. Sous le règne de Catherine II de Russie, Maria Fiodorovna n'avait aucune chance d'interférer dans les affaires de l'État, son époux, le tsarévitch en fut lui-même exclu. Après l'accession au trône de Russie de son mari, elle s'intéressa à la politique, d'abord timidement puis de façon de plus en plus résolue.[7] Son influence sur son époux fut grande et d'une manière générale elle se révèla positive. Mais, malgré tout, c'est dans le domaine du possible qu'elle en ait abusé pour venir en aide à ses amis ou pour blesser ses ennemis.

Maria Fiodorovna posséda un goût exceptionnel. Sous sa direction, Le Palais de la Gatchina, le Palais Ekaterininsky, le Palais Aleksandrovsky à Tsarskoïe Selo, le Palais d'Hiver à Saint-Petersbourg et l'Hermitage furent décorés et meublés. Elle aima les arts et les soutint généreusement. Le plus important de ses héritages en Russie fut la création des premières écoles pour femmes et de multiples organismes de bienfaisance dans tout l'Empire. Ces institutions perdurèrent jusqu'à la Révolution russe de 1917. Comme impératrice de toutes les Russies, elle vint en aide à ses nombreux parents pauvres, dont certains, comme son frère, Alexandre de Wurtemberg (1771-1833) furent invités en Russie.

Sophie-Dorothée de Wurtemberg et son époux ne furent plus aussi proches l'un de l'autre, malgré tout une bonne entente demeura au sein du couple. Les relations se détèriorèrent davantage vers la fin de la vie de Paul Ier de Russie. En 1798, l'Impératrice donna naissance à son dixième et dernier enfant, la même année, Paul Ier de Russie s'enticha de la comtesse Anna Petrovna Lopukhina (1777-1805) âgée de 19 ans et, à cette occasion, le tsar assura son épouse de son comportement irrépochable, sa relation avec la comtesse n'était que parternel. Paul Ier de Russie était le tsar de toutes les Russies depuis quatre ans, il fut assassiné le 12 mars 1801.

Impératrice douairière

Le Palais Ekaterininsky à Tsarskoïe Selo

Pendant la nuit de l'assassinat de son époux, à l'image de Catherine II de Russie, s'appuyant sur son couronnement par Paul Ier de Russie, Sophie-Dorothée de Wurtemberg tenta de se proclamer impératrice de Russie. Après plusieurs jours, son fils aîné, le nouveau tsar Alexandre Ier de Russie réussit à convaincre sa mère de renoncer à ses prétentions inconsidérées. Pendant quelques temps, comme un reproche silencieux, à chaque visite de son fils, Maria Fiodorovna plaçait entre eux un cerceuil contenant la chemise ensanglantée du tsar assassiné. Même si, grâce au tsar, Maria Fiodorovna veuve à quarante-deux ans conserva sa place de première dame à la Cour impériale de Russie, les relations entre la mère et son fils restèrent tendues, elles s'améliorèrent au fil du temps. Au cours de cérémonies officielles, l'impératrice douairière prit souvent le bras de l'empereur tandis que sa bru, l'impératrice Elizaveta Alekseïevna marchait derrière. Cette coutume de préséance de l'impératrice douairière sur l'épouse du souverain régnant fut introduite par Sophie-Dorothée de Wurtemberg, elle fut unique à la Cour de la Russie impériale. Cela provoqua le ressentiment de Elizaveta Alekseïevna à l'égard de sa belle-mère.

Non seulement, Sophie-Dorothée de Wurtemberg occupa le rang de première dame de l'Empire, elle dirigea également toutes les institutions de charité, elle contrôla la banque de prêts et put ainsi jouir de revenus très confortables. Ces revenus lui permirent de vivre dans le luxe. [8] Ses appartements furent meublés avec richesse et bon goût. Afin de perpétuer la tradition instaurée par Catherine II de Russie, elle assista à des défilés en uniforme militaire, le cordon de l'ordre sur la poitrine.[9] Ses gaies réceptions où elle apparaissait somptueusement vêtue entourée par les dames d'honneur et les chambellans étaient en fort contraste avec la vie simple à la Cour d'Alexandre Ier de Russie.

Monument à Paul Ier de Russie, dans la cour du Palais Mikhailovsky

Au cours de ses premières années de veuvage, l'avenir de ses filles et l'éducation de ses trois plus jeunes enfants retinrent toute l'attention de Sophie-Dorothée de Wurtemberg. Malgré le fait que Catherine II de Russie lui retira ses deux premiers enfants, Maria Fiodorovna fut une bonne mère. Au cours des premières années de séparation avec ses fils aînés, elle garda malgré tout des relations étroites avec eux, comme avec ses autres enfants. Ils restèrent très attachés à leur mère[10] Son fils, Alexandre Ier de Russie, lui laissa un total contrôle sur l'avenir de ses frères cadets le grand-duc Nikolaï Pavlvovitch de Russie et le grand-duc Mikhaïl Pavlovitch de Russie. Maria Fiodorovna tenta en vain de dépasser l'éducation donnée par Catherine II de Russie à ses deux fils aînés, mais elle ne choisit pas les meilleurs professeurs pour les plus jeunes. Ses enfants devenus adultes, l'impératrice douairière entretint une correspondance passionnée avec eux.

Par sa position de première dame de l'Empire, le Palais Pavlovsky fut le lieu de visite obligatoire pour tous les personnalités de Saint-Petersbourg, ses tentatives afin d'obtenir quelque influence sur les politiques adoptées par son fils Alexandre Ier furent peu fructueuses. Anti-bonapartiste acharnée, l'impératrice douairière s'opposa à toute tentative de rapprochement de son fils pour trouver un accord avec Napoléon Bonaparte.[11] En cela, elle maintint sa position hautaine et catégorique. Lorsque Napoléon Ier demanda la main de sa fille cadette, la grande-duchesse Anna Pavlovna de Russie, Maria Fiodorovna s'opposa à cette union.[12] Au cours des Guerres napoléoniennes, la cour de l'impératrice douairière fut le centre d'un sentiment anti-Napoléon.

Décès et inhumation

Au cours des cinquante dernières années de sa vie, Sophie-Dorothée de Wurtemberg conserva toute sa fraîcheur juvénile. De constitution robuste, elle survécut à cinq de ses dix enfants, dont son fils aîné, le tsar Alexandre Ier de Russie et à son épouse Elizaveta Alekseïevna. Lors de l'accession au trône de son fils Nicolas Ier de Russie, elle fut très influente dans l'éducation et l'avenir de son petit-fils, le tsarévitch Aleksandr Nikolaïevitch de Russie.

Sophie-Dorothée de Wurtemberg décéda le 5 novembre 1858 à Pavlovsk. Elle fut inhumée en la cathédrale Saint-Pierre et Paul à Saint-Petersbourg.

L'impératrice Maria Fiodorovna après sa mort

Après son décès, l'impératrice consort de toutes les Russies fut vénérée par ses enfants et ses petits-enfants. Plus tard, les tsarines prirent modèle sur elle. Conformément à ses instructions, son Palais Pavlovsky, où elle résida pendant de longues années garda son empreinte, il resta tel quel pour ses descendants, presque comme un musée familial. Son plus jeune fils, le grand-duc Mikhaïl Pavlovitch de Russie hérita de ce palais, puis, plus tard, il devint la demeure des Konstantinovitch, une des branches de la famille Romanov. Ceux-ci, le conservèrent en l'état jusqu'à la Révolution russe.

Lieux portant le nom de l'impératrice Maria Fiodorovna

Remorqueur sur le canal Mariinskaya

Notes et références

  1. Suzanne Massie Pavlovsk page 12
  2. Waliszewski, Kazimierz Paul Ier page 17
  3. Kazimierz Waliszewski Paul Ier page 17
  4. Kazimierz Waliszewski Paul Ier de Russie page 17
  5. Suzanne Massie Pavlovsk page 36
  6. Hugh Ragsdale Paul et la question de la folie page 19
  7. Kazimierz Waliszewski Paul Ier page 18
  8. Henri Troyat Alexandre de Russie page 111
  9. Henri Troyat Alexandre de Russie page 112
  10. Suzanne Massie Pavlovsk page36
  11. Henri Troyat [Alexandre de Russie] page 119
  12. Henri Troyat Alexandre de Russie page 123
  13. mirslovarei.com

Sources

Bibliographie

  • Généalogie des rois et des princes de Jean-Charles Volkmann Edit. Jean-Paul Gisserot (1998)
  • "Maria Fiodorovna, 1759-1828, en son temps", Marie Martin, Edi. de l'Harmattan (2003)
  • Bruce W. Lincoln : Les Romanov: autocrates de toutes les Russies, Anchor, ISBN 0385279086.
  • Suzanne Massie : Pavlovsk: La vie d'un palais de Russie, Hodder & Stoughton, 1990, ISBN 0340487909.
  • Hugh Ragsdale : le tsar Paul et la question de la folie: Un essai d'histoire et de psychologie, Greenwood Press, ISBN 0313266085.
  • Henri Troyat : Alexandre de Russie, Dutton, ISBN 0525241442
  • Henri Troyat : Catherine la Grande, Plume, ISBN 0452011205
  • Kazimierz Waliszewski : Paul Ier de Russie, le fils de Catherine la Grande, Archon, ISBN 0208007431

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