Nicolas Constantinovitch de Russie

Nicolas Constantinovitch de Russie
Nikolaï Konstantinovitch de Russie (Николай Константинович Романов)
Grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie.
Grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie.

Naissance 2 février 1850
Saint-Petersbourg
Décès 26 janvier 1918 (à 68 ans)
Tachkent
Origine Drapeau de Russie Russie
Allégeance Russie impériale
Arme Cavalerie
Grade Colonel de la Garde à cheval
Années de service 1871 - 1874
Faits d'armes Campagne d'annexion d'une partie du Khanat de Khiva
Distinctions Ordre de Saint-Vladimir
Famille Père : d'Konstantin Nikolaïevtch de Russie

Nicolas Constantinovitch de Russie, ou Nikolaï Konstantinovitch Romanov (en russe : Николай Константинович Романов), né le 2 février 1850 à Saint-Petersbourg, décédé le 26 janvier 1918 à Tachkent, fut grand-duc de Russie et membre de la Maison de Holstein-Gottorp-Romanov. Membre honoraire de la Société russe de géographie.


Sommaire

Famille

Fils de Constantin Nicolaevitch de Russie et d'Alexandra de Saxe-Altenbourg.

Mariage et descendance

En 1882, Nicolas Constantinovitch de Russie épousa à Tachkent Nadejda Alexandrovna Dreyer (1861-1929), fille de Charles Théodore Dreyer.

Deux enfants sont nés de cette union :

  • Prince Artemi Nicolaïevitch Romanovsky-Iskander (1883-1919), tué au cours de la Guerre civile russe dans les rangs de l'Armée Blanche, selon d'autres sources, il décéda du typhus à Tachkent.

Enfants illégitimes :
Avec ses deux maîtresses, Alexandra Abaza et Daria Eliseievna Nicolas Constantinovitch de Russie eut cinq enfants.

Biographie

Le palais du prince à Tachkent

Nicolas Constantinovitch de Russie fit ses études à l'Académie militaire de Saint-Petersbourg, dont il sortit diplômé en 1868, le grand-duc fut le premier membre de la famille Romanov à obtenir un diplôme universitaire, il fut l'un des meilleurs de sa promotion avec une médaille d'argent. Il devint un remarquable officier de l'armée impériale de Russie. Ses études terminées, il voyagea à l'étranger et commença à réunir sa collection de tableaux d'Europe centrale. A son retour en Russie, il intégra le régiment de la Garde à cheval. En 1870, dans un bal masqué, il rencontra Harriet Brackford (alias Fanny Lear), une aventurière et actrice de théâtre américaine mariée et mère d'une petite-fille. Une liaison débuta entre les deux jeunes gens. En 1871, il reçut le commandement d'un escadron. En 1873, perturbé par les relations entre ses parents, avec les troupes russes, placées sous le commandement du gouverneur général du Turkestan, l'adjudant-général Konstantin Petrovitch von Kaufman (1818-1882), le grand-duc prit part à une expédition militaire en Asie centrale. A Khiva, il porta un vif intérêt au développement des régions de l'Asie centrale. Au cours de cette campagne de répression contre les habitants du khanat de Khiva, au grade de colonel, le grand-duc reçut son baptême du feu. Dans le désert de Kyzyl Kum, (situé entre les fleuves Amou-Daria et Syr-Daria), le grand-duc commanda une troupe d'avant-garde. Au cours de la difficile traversée de ce désert de sable rouge, la troupe subit des pertes importantes. Au cours de cette campagne militaire, le grand-duc démontra un grand courage et fut un exemple pour ses hommes. Pour sa participation à l'expédition de Khiva, le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie reçut l'Ordre de Saint-Vladimir. A son retour, d'Asie centrale, fasciné, il se passionna pour l'orientalisme.

Le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie devint membre de la Société russe de Géographie. Désirant effectuer une expédition sur l'Amou-Daria, le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie soumit son idée à des experts. Son but était d'explorer le Khanat de Khiva, nouvellement annexé par la Russie, il projeta d'effectuer une analyse scientifique détaillée de son potentiel. Ces plans attirèrent l'attention d'Alexandre II de Russie, le tsar se déclara favorable à ce projet. La Société russe de géographie approuva également cette expédition. Le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie fut nommé membre honoraire de la Société russe de géographie et placé à la tête de l'expédition.

En 1877, de retour d'exil, le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie entreprit trois expéditions près du désert du Karakoum. En 1877, 1878, 1879, à chacun de ses voyages scientifiques, dans des conditions météorologiques extrêmes, il étudia le terrain afin de permettre la construction d'une voie ferrée à l'est du désert du Karakoum, il étudia également la navigation sur le fleuve Amou-Daria et une possibilité d'amener par une dérivation les eaux de l'Amou-Daria dans la mer Caspienne en utilisant le lit tari de la rivière Ouzboï[1]. Les études scientifiques du grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie furent publiées sous le titre de Sables du Kara-Koum au Chemin de fer d'Asie centrale. Orenburg - 1878. Sur le choix des lignes les plus courtes du chemin de fer d'Asie centrale. Saint-Petersbourg - 1878. Daria et Ouzboï. Samara 1878[2]. Il imagina construire une ligne ferroviaire reliant la Russie au Turkestan. A Saint-Petersbourg, en raison de la faible population vivant sur ces terres, ce projet fut jugé peu rentable.

Scandale dans la famille impériale de Russie

De retour de son expédition à Khiva en 1873, en compagnie de sa maîtresse, Fanny Lear, le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie retourna en Europe occidentale où il continua à enrichir sa collection d'art.

Mais au printemps 1874, se produisit un évènement qui changea complètement la vie du grand-duc.

En avril 1874, au Palais de Marbre, dans sa chambre, Alexandra Iosifovna, mère du grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie constata la disparition de trois précieux diamants sertis sur une icône, cadeau de mariage de Nicolas Ier de Russie. Le grand-duc Konstantin Nikolaïevitch de Russie, fulminant de colère appela la police, les diamants furent bientôt découverts chez un prêteur à gages de Saint-Petersbourg. Les soupçons se portèrent sur les enfants du couple, le médecin, la femme de chambre, la dame d'honneur et deux valets. En raison de leur statut, les membres de la famille impériale ne furent pas incriminés, le soupçon se porta donc sur les serviteurs, mais aucune preuve ne vint étayer ces accusations. La suspicion se porta sur d'autre personnes. Au cours de l'interrogatoire du 15 avril 1874, le capitaine Vorhopovsky, aide de camp du grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie nia son implication dans le vol des diamants mais il rapporta que le grand-duc lui avait remis plusieurs diamants en lui intimant l'ordre express de se rendre à Paris pour les vendre. Le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie interrogé jura de son innocence sur la Bible, ce qui, pour certain aggrava sa faute. Alexandre II de Russie s'occupa personnellement de cette affaire, il suivit attentivement les progrès de l'enquête menée par le chef de la police, le comte Piotr Andreïevitch Chouvalov[3].

Durant trois heures, Piotr Andreïevitch Chouvalov soumit le grand-duc Nikolaï Konstaninovitch de Russie à un interrogatoire. A la fin de l'enquête, le grand-duc fut reconnu coupable, l'argent résultant de la vente des diamants seraient utiliser pour l'achat de cadeaux pour la maîtresse du prince - l'actrice américaine Fanny Lear, ce fut les motifs invoqués pour expliquer le vol. Alexandre II de Russie convoqua un conseil de famille, après de longs débats, les membres de la famille impériale optèrent pour deux solutions : intenter un procès public ou une servitude pénale, afin d'éviter de causer du tort à la famille impériale, il fut décider de reconnaître le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie mentalement malade. Alexandre II de Russie bannit le grand-duc de la capitale impériale, Fanny Lear fut expulsée de Russie avec l'interdiction d'y revenir.

La culpabilité du grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie fut annoncé par un manifeste publié par Alexandre II de Russie le 11 décembre 1874 : le grand-duc fut reconnu comme un malade mental instable, en proie à des hallucinations, il sera soumis à une détention à vie, à un traitement obligatoire et à un isolement complet[3]. Les membres de la famille impériale de Russie ont interdiction de mentionner son nom, son héritage sera transmis à ses frères cadets, ses grades, ses récompenses sont supprimés, son nom rayé de la liste de son régiment. Il est expulsé de Saint-Petersbourg à jamais et sera dans l'obligation de résider en état d'arrestation dans un lieu fixé.

En 1917, Dans ses mémoires Histoire d'Amour tragique Fanny Lear parlera de sa liaison avec le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie, elle parlera également de l'innoncence du grand-duc dans ce vol de diamants.

Dans ses Mémoires, Fanny Lear décrira la situation pénible vécue par le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie après son arrestation. A Saint-Petersbourg, il fut maintenu dans un carcan, drogué avec des médicaments et même battu.

L'exil

Dans les derniers mois de l'année 1874, le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie s'établit à Tachkent. En 1877, il publiera un livre intitilé Voie navigable vers l'Asie centrale selon des données de Pierre Le Grand, le nom du grand-duc ne sera pas mentionné sur cet ouvrage. Il entreprit une expédition dans les steppes du Kazakhstan.

Le 15 février 1878, le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie épousa Nadejda Aleksandrovna Dreyer, fille d'Aleksandr Gustavovitch Dreyer, chef de la police d'Orenbourg et de Sophia Ivanovna Opanovskoy. Cette union fut tenue secrète mais les rumeurs parvinrent à Saint-Petersbourg. En conséquence, par un décret du Saint-Synode, le mariage fut dissous et ordre fut donné à la famille Dreyer de quitter la ville. La jeune épouse refusa de quitter son époux.

Le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie s'établit dans le Turkestan où il vécut sous le nom de colonel Volhynie. Plus tard, il prit le nom d'Iskander[4]. Ce patronyme sera porté par ses descendants. Les princes d'Iskander. Par la suite, le grand-duc prit pour maîtresse une certaine Daria Chasovitin (1880-1953) dont il eut quatre enfants. Son épouse, Nadejda, sous le nom de « princesse Iskander » séjourna plusieurs fois à Saint-Petersbourg où elle tenta d'établir des liens avec la famille Romanov. Ce fut peut-être une réussite, car ses deux fils eurent le privilège d'étudier au le Corps des Pages.

Malgré la condamnation à l'exil du grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie, le tsar Alexandre II de Russie lui versa une somme de 300 000 roubles pour la construction de son palais, cette somme fut également utilisée pour la construction d'une théâtre à Tachkent. En 1891, un palais luxueux fut construit dans le centre de la ville de Tachkent, il fut conçu par les architectes William Solomonovich Geyntselman, Alexei Leontievitch Benoua (1813-1898)[5] De nos jours, ce palais est l'un des sites les plus remarquables de Tachkent. Aujourd'hui, il est utilisé par le ministère des affaires étrangères de l'Ouzbékistan.

Le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie instaura dix bourses d'études pour les habitants de Tachkent dans l'incapacité de financer leurs études dans les grandes écoles de la Russie impériale.

Les entreprises du grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie

Nicolas Constantinovitch de Russie contribua à améliorer la région de Tachkent. Il s'engagea dans les affaires et fut propriétaires de plusieurs entreprises, une fabrique de savon, des ateliers de photographie, des usines de transformation du riz, du savon et des textiles de coton. Afin d'éviter le courroux de la famille impériale, toutes ces sociétés furent mises au nom de son épouse. Avec le gain de ces entreprises, il fit construire le premier cinéma de Tachkent (considéré par le grand-duc comme une entreprise). Avec ses propres fonds, il fit construire les canaux d'irrigation dans la steppe de Golodnaya. Les recettes provenant de ses activités représenta des sommes considérables - jusqu'à un million de roubles par an.

Le grand-duc Nikolaï Konstntinovitch de Russie fut un remarquable homme d'affaires, il fut l'un des premiers à posséder l'une des entreprises les plus rentables de la région du Turkestan - la construction et l'exploitation d'usines d'égrenages de coton. Il utilisa les idées technologiques les plus avancées de son temps - il fit construire des usines de traitement de déchets des graines de coton (riche en huile et en protéines) restant après le traitement des fibres brutes, elles furent utilisées comme matière première pour les moulins à huile, le reste fut utilisé comme fourrage pour le bétail ou comme engrais.

Less premiers travaux d'irrigation du grand-duc Nikolaï Konstantinovitc de Russie lui valurent une grande popularité auprès de la population.

En 1886, le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie commença le perçage d'un canal afin d'irriguer la steppe de Golodnaya entre Tachkent et Djizak (ville d'Ouzbékistan située sur la rivière Sanzar au pied des montagnes Nurota). Les travaux relatifs à la construction de ce canal s'élevèrent pour le grand-duc à plus d'un million de roubles. A Bekarad (ville de la région de Tachkent en Ouzbekistan), fut sculpté en grande taille un "N" surmontée d'une couronne, le canal du tsar Nicolas II de Russie.

Collection d'art du grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie

La Vénus de Canova. Le sculpteur Tomasso Solari remplaça Pauline Bonaparte par Fanny Lear

La collection d'art rapportée d'Europe occidentale par le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie à Saint-Petersbourg fut la base de la création en 1919 du musée de Tachkent, celui-ci renferme l'une des plus vastes collections de tableaux et de peintures d'Europe occidentale.

Au cours de son second voyage en Europe, le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie et sa maîtresse Fanny Lear se rendirent à la Villa Borghèse. En ce lieu, il admirèrent la célèbre sculpture d'Antonio Canova représentant Pauline Bonaparte, sœur cadette de Napoléon Ier, sous la forme d'une beauté nue couchée sur un canapé tenant en sa main une pomme. Nikolaï Konstantinovitch de Russie ordonna immédiatement une sculpture à Tomasso Solari, il s'agissait de reproduire une copie exacte de la sculpture, mais Fanny Lear remplacerait Pauline Borghèse.

Bien des années plus tard, le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie déjà exilé à Tachkent, reçut un cadeau de sa mère, la grande-duchesse Aleksandra Iosifovna. Lors d'une promenade dans la parc, elle tomba sur une sculpture en marbre représentant une femme à demi-nue tenant une pomme en main. Par certaines sources, elle apprit qu'il s'agissait de Fanny Lear, maîtresse du grand-duc. Bientôt la sculpture fut emballée dans une caisse en bois et envoyée au grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie alors à Tachkent. Cette pièce deviendra l'un des principaux ornements du Musée des Beaux-Arts de Tachkent. D'autres œuvres comme La Baigneuse d'Andreï Franzevitch Belloli (1820-1881), le vieux Tachkent une oœvre du peintre Pavel Petrovitch Benkov (1879-1949) et d'autres furent exposées dans ce Musée.

En 1890, il mit une partie de son palais de Tachkent à la disposition du public afin de montrer sa précieuse collection. De nos jours, elle appartient au Musée d'État

La Révolution russe

Nicolas II de Russie ne permit pas au grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie de revenir dans la capitale. Après l'abdication du tsar en février 1917, le grand-duc hissa le drapeau rouge sur son palais et adressa un télégramme de félicitations au gouvernement provisoire.

Décès et inhumation

Peu de temps après la Révolution d'Octobre et l'instauration du pouvoir soviétique au Turkestan, le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie décéda d'une pneumonie le 14 janvier 1918 dans sa datcha près de Tachkent. Il fut inhumé selon son rang près de la cathédrale Saint-Joseph et Saint-Georges à Tachkent. Plusieurs publications récentes ont indiqué que grand-duc aurait été arrêté par les Bolcheviks et fusillé[6]. A ce jour, les données des publications des journaux de 1918 et les archives ne le confirment pas.

Nadejda Dreyer, comtesse Iskander

Nadejda Dreyer et ses enfants furent titrés comte et comtesse d'Iskander (février 1917) mais ce titre n'a pas été officialisé par un décret officiel.

Après le décès du grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie elle demeura quelque temps dans le Palais de Tachkent puis en fut expulsée. Elle trouva refuge dans un logis du Palais où elle vécut entourée de ses chiens. Selon certains témoins, elle vécut les dernières années de sa vie dans la mendicité, elle était revêtue de vêtements en lambeaux, elle mangeait les restes de nourriture déposés par quelques personnes de Tachkent qui se souvenaient de la bonté du grand-duc. Mordue par un chien enragé, Nadjeda Dreyer décéda en 1929.

Famille

Le grand-duc Nikolaï Konstantinovitch de Russie eut quelques aventures extra-conjugales.

Alexandra Demidova (1853-1894)

Deux enfants naquirent de cette relation :

  • Nikolaï Nikolaïevitch : (1875-1913). Au grade de colonel de La Garde, il prit part à la Guerre russo-japonaise de 1904-1905), à la retraite, il écrivit plusieurs ouvrages sur l'histoire de la cavalerie russe.
  • Olga Nikolaïevna : (1877-1910).

Daria Chasovitine (1880-1953/1956).

Trois enfants naquirent de cette relation :

  • Sviatoslav Nikolaïevitch : (1919-tué);
  • Nikolaï Nikolaïevitch : (1919-1920)
  • Daria Nikolaïevna : (1896-1966), Elle vécut à Moscou, pendant une certaine période elle travailla en qualité de secrétaire de l'écrivain soviétique Mariztti Chaginian.

Distinctions

Généalogie

Nicolas Constantinovitch de Russie appartient à la seconde lignée issue de la première branche de la Maison d'Oldenbourg-Russie (Maison Holstein-Gottorp-Romanov), elle-même issue de la première branche de la Maison de Holstein-Gottorp. Ces trois lignées sont toutes issues de la première branche de la Maison d'Oldenbourg. Il appartint à la branche agnate des Konstantinovitch.


Littérature

Le grand-duc Nicolas Constantinovitch est le héros de La Nuit blanche de Saint-Pétersbourg, un roman biographique du prince Michel de Grèce paru en 2000.

Notes et références

Sources


Liens internes


Liens externes et sources

  • ru.wikipdia.org Sculpture de Tomasso Solari représentant Fanny Lear sous la forme de Vénus à la pomme, une copie réduite de la collection du Palais Ioussoupov à Saint-Petersbourg.

web.genealogie.free.fr


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