Histoire de France depuis la Cinquième République

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Histoire de France
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Chronologie de la France

Sommaire

La fin de la guerre d’Algérie et les débuts de la Cinquième République

Le 28 mai 1958 (cf. ci-dessous), une grande manifestation, rassemblant toute la gauche se déroule à Paris pour s'opposer à l'investiture du général de Gaulle. En effet, le général est considéré par les socialistes et surtout les communistes comme un risque d'établissement d'un pouvoir personnel. Ce même 28 mai, Pierre Pflimlin démissionne et le président René Coty demande au Parlement d'investir de Gaulle. Celui-ci reçoit les pleins pouvoirs et obtient de l'assemblée le droit de préparer une réforme des institutions. Le premier souci du général est de constituer un gouvernement d'union allant des socialistes (Guy Mollet, Jules Moch, Max Lejeune) à la droite (Michel Debré, Jacques Soustelle) en passant par les radicaux et le MRP.

Le 4 juin, de Gaulle se rend à Alger et au balcon du gouvernement général prononce le célèbre « je vous ai compris » que les Français d'Algérie et les partisans de l'Algérie française interpréteront comme une adhésion du général à leur thèse. La politique algérienne de De Gaulle s'inscrira toutefois dans le contexte plus global d'indépendance concrétisé par le discours de Brazzaville (23 août 1958) où il affirmera l'engagement de la France à organiser des référendums dans les anciennes colonies afin de choisir soit l'indépendance, soit le maintien dans la communauté. L'opinion française comprend mal la politique algérienne du Général. La mise en place du plan de Constantine (3 octobre 1958) visant à une modernisation de l'Algérie financée par la métropole et l'intensification des opérations militaires redonnent confiance aux partisans de l'Algérie française.

Après l'élection de Charles de Gaulle à la présidence de la République (21 décembre 1958), ce dernier reste peu explicite sur ses intentions, oscillant entre positions pro-Algérie française et favorables à l'autodétermination. Le 16 septembre 1959, Charles de Gaulle annonce à la télévision qu'il est favorable à l'autodétermination afin de permettre aux algériens de décider de leur sort. Les Français d'Algérie, indignés, comprennent qu'ils ont été trompés. L'activisme plus ou moins en sommeil se réveille (Pierre Lagaillarde et Joseph Ortiz) et la semaine des barricades (24 janvier - 1er février 1960) marque le début d'une opposition forte à la politique du Général.

Si les positions militaires sont nettement à l'avantage des français ainsi que le contrôle du terrain (démantèlement du réseau Jeanson d'aide au FLN), la gauche (syndicats, UNEF, intellectuels) demande une négociation et proclame le droit à l'insoumission.

À la fin 1960, les événements s'accélèrent : le GPRA demande un référendum sous contrôle de l'ONU, le général de Gaulle évoque de plus en plus l'Algérie algérienne et organise le 8 janvier 1961 un référendum qui donne au oui une forte avance. Le 22 avril 1961, un putsch se produit à Alger. Les généraux Raoul Salan, Edmond Jouhaud, André Zeller et Challes s'emparent du pouvoir et neutralisent les pouvoirs civils. L'opération montée avec certains régiments de la légion (1er REP notamment) ne recueille pas les ralliements souhaités et de Gaulle prend les mesures d'urgence pour barrer la route à ce quarteron de généraux en retraite.

La présidence du général de Gaulle : la République gaulienne

Organigramme de la Ve République
Articles détaillés : Charles de Gaulle et Gaullisme.

Finalement, le 28 mai 1958, suite aux manifestations nationalistes du 13 mai en Algérie, le gouvernement Pflimlin favorable à une négociation fut renversé. Le Parlement légitima le coup d'État et le président René Coty demanda fin mai au général de Gaulle de prendre la direction du pays, afin d'éviter une éventuelle guerre civile. De Gaulle devint président du Conseil en juin 1958, obtint les pleins pouvoirs et fut chargé de rédiger une Constitution qui fut celle de la Cinquième République. Il fut élu président de la République en décembre de la même année.

Si les régimes de la Troisième et de la Quatrième République ont été qualifiés de régime des partis, c'est que l'élection à la Chambre des députés relevait de la proportionnelle. D'où l'impossibilité d'avoir une majorité stable et durable. Pour former une majorité ou une coalition il fallait les fameux apparentements. Le scrutin majoritaire à deux tours mis en place dans la constitution de la cinquième République, met fin à cette pratique. Il est assez proche des régimes des grandes démocraties anglo-saxonnes où s'opposent conservateurs/républicains et travaillistes/démocrates. En revanche, ce système n'assure pas la représentation des petits partis.

Pompidou Premier ministre (1962-1968)

De Gaulle mit en œuvre plusieurs fois la procédure du référendum, et notamment celle qui décida de l'élection du président de la République au suffrage universel. En 1965, lors de la première élection au suffrage universel direct, de Gaulle fut réélu avec 55 % des suffrages contre son adversaire François Mitterrand.

Les événements de mai 1968 démarrèrent sur des campus universitaires et rallièrent les partis de gauche. Le régime sembla vaciller, avec apparence de vacance du pouvoir pendant quelques jours. Mais de Gaulle reprit la main et une grande manifestation d'un million de personnes sur les Champs-Élysées en sa faveur marqua cette reprise en main du pouvoir. Les accords de Grenelle furent conclus par Georges Pompidou, bientôt remplacé comme Premier ministre par Maurice Couve de Murville.

En avril 1969, le gouvernement de De Gaulle lança un référendum national sur la création de 21 régions ayant des pouvoirs politiques limités et sur la transformation du Sénat en chambre corporative. Le « non » l'emporta lors du référendum et de Gaulle préféra démissionner conformément à son éthique et à sa vision du pouvoir.

La présidence de Georges Pompidou (1969-1974)

Article détaillé : Georges Pompidou.
Georges Pompidou

L'élection présidentielle de 1969 fut anticipée. Dans sa campagne électorale Georges Pompidou voulut se démarquer de l'héritage de Charles de Gaulle, prônant « le changement dans la continuité ». Le second tour de scrutin vit la nette victoire, malgré un important taux d'abstentions, de Georges Pompidou sur le président par intérim Alain Poher, avec 58,21 % des suffrages exprimés.

Le nouveau président nomme Jacques Chaban-Delmas à Matignon. Le pays connaît alors une forte croissance. Georges Pompidou réaffirme la prééminence absolue du président de la République, fait du secteur industriel la priorité du gouvernement. La fin des années 1960 et le début des années 1970 sont ainsi marqués par la concrétisation de plusieurs projets industriels et technologiques de grande envergure : le premier Concorde vole le 2 mars 1969, le consortium aéronautique européen Airbus est créé en 1970, le premier prototype de TGV (TGV 001) d'Alsthom commence ses essais en 1972 et le programme spatial européen Ariane est lancé sur proposition française en 1973.

Mais Jacques Chaban-Delmas exprime alors son désaccord, et démissionne; il est remplacé par Pierre Messmer au poste de Premier ministre. Le choc pétrolier de 1973 assombrit la fin de son mandat, qui s'achève avec son décès brutal le 2 avril 1974, suite à la maladie de Waldenström.

La présidence de Valéry Giscard d’Estaing (1974-1981)

Article détaillé : France sous Giscard (1974-1981).
Valéry Giscard d’Estaing

Après le décès de Georges Pompidou, le 2 avril 1974, Valéry Giscard d'Estaing se présente à l'élection présidentielle. Bénéficiant du soutien de Jacques Chirac, il élimine Jacques Chaban-Delmas au premier tour.

Entre les deux tours, le débat[1] qui l'oppose à François Mitterrand lui donne un avantage décisif, la phrase « Vous n'avez pas le monopole du cœur » ayant marqué tous les esprits. Il est élu d'extrême justesse, avec 50,81 % des suffrages, le 19 mai 1974 et devient le troisième président de la Cinquième République, le plus jeune, à l'âge de 48 ans.[2]

Le septennat de Valéry Giscard d'Estaing est marqué par les conséquences des deux chocs pétroliers qui brisent la dynamique des Trente glorieuses. Devant la nécessité d'économiser l'énergie, le gouvernement restaure en 1975 l'ancien changement d'heure pendant les mois d'été, mesure permettant une économie d'électricité pour l'éclairage du soir. Il décide aussi de poursuivre et d'intensifier le programme de développement de l'énergie nucléaire civile engagé par son prédécesseur. Cette période est aussi marquée par l'apparition du chômage de masse.

Quelques lois importantes réformant les droits civiques sont également votées : loi fixant la majorité civile à 18 ans (1974), loi Veil autorisant l'avortement sous certaines conditions (1975), loi instaurant le divorce par consentement mutuel (1975), décret donnant droit au regroupement familial des immigrés (1976), loi informatique et libertés (1978).

Le 24 avril 1981, Valéry Giscard d'Estaing arrive en tête du premier tour de l'élection présidentielle. Face à François Mitterrand, et n'ayant pas reçu le soutien de Jacques Chirac, il perd le second tour de l'élection, n'obtenant que 48,24 % des suffrages exprimés.

Les années Mitterrand (1981-1995)

Article détaillé : François Mitterrand.

Premier septennat (1981-1988)

François Mitterrand est élu Président de la République, le 10 mai 1981, avec 51,76 % des suffrages exprimés contre le président sortant, Valéry Giscard d'Estaing, qui l'avait battu 7 ans auparavant. Son élection vient apporter à la Ve République son alternance obligatoire pour exister. Refusant de toucher aux institutions, François Mitterrand choisit de gouverner avec les mêmes moyens que ses prédécesseurs et nomme le socialiste Pierre Mauroy Premier ministre, sur la base d'une union avec les communistes et les radicaux de gauche, dont le gouvernement entreprend de grandes réformes comme la décentralisation ou l'abolition de la peine de mort sous l'égide de Robert Badinter, alors Garde des sceaux.

Après le tournant de 1983, la crise s'installe et amène en 1984 Laurent Fabius au poste de Premier ministre pour mettre en pratique les premières politiques de rigueur économique. Cela n'empêchera pas la droite de remporter les élections législatives de 1986, les députés RPR et UDF devenant majoritaires de justesse. Mitterrand est contraint de nommer le leader du RPR Jacques Chirac au poste de Premier ministre. Celui-ci forme un gouvernement de droite : c'est la Première cohabitation (la majorité parlementaire n'est pas de la même tendance politique que le Président).

Second septennat (1988-1995)

Deux ans plus tard, François Mitterrand est réélu président de la République avec 54,02 % des voix face au Premier ministre sortant Jacques Chirac ; il dissout alors l'Assemblée nationale, mais le succès des socialistes reste très en dessous de la vague rose de 1981 : seuls un peu moins de 48 % des sièges sont occupés par des députés de la majorité présidentielle. Prônant une ouverture vers le centre (le PCF, alors en pleine phase de déclin, refusant toute participation au gouvernement depuis 1983), il nomme Michel Rocard Premier ministre, puis, à la suite de graves tensions avec ce dernier, Édith Cresson et Pierre Bérégovoy.

En 1993, la deuxième cohabitation oblige François Mitterrand à nommer Édouard Balladur à Matignon. Son second mandat s'achève en 1995 avec l'élection de Jacques Chirac (élection à laquelle il n'a pas participé). François Mitterrand aura marqué l'histoire de la Ve République, demeurant pour l'instant son seul président de gauche.

Les années de présidence de Jacques Chirac (1995-2007)

Article détaillé : Jacques Chirac.

Premier mandat : septennat (1995-2002)

Jacques Chirac

Le 7 mai 1995, Jacques Chirac est élu président de la République au second tour de l'élection présidentielle face au socialiste Lionel Jospin. Il nomme Alain Juppé Premier ministre, qui s'efforcera de poursuivre les politiques de privatisations et de réforme des retraites entreprises par Édouard Balladur. L'impopularité de ces réformes entraînera dès 1995 la formation de vastes mouvements sociaux à l'ampleur jamais vue depuis mai 68 qui paralysent un temps le secteur public. Soucieux de réaffirmer sa légitimité et de conserver une majorité à l'Assemblée nationale, Chirac dissout cette dernière, sans succès, puisque la Gauche plurielle, alliant les forces de la gauche parlementaire aux écologistes autour de Lionel Jospin, emporte plus de 55 % des sièges.

Lionel Jospin est nommé Premier ministre et forme un gouvernement composé de ministres issus des composantes de la coalition électorale victorieuse : c'est la Troisième cohabitation. Mettant fin à l'instabilité politique et au vote de rejet de la majorité en place en vigueur depuis les années 1980, la Gauche plurielle obtient de bons résultats aux élections régionales de 1998 (les meilleurs de la gauche depuis l'instauration des conseils régionaux) et surtout aux élections européennes de 1999.

Les derniers mois de son mandat sont marqués par l'émotion internationale suscitée par les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, puis par le soutien militaire français lors de la guerre d'Afghanistan.

Le 21 avril 2002

Candidat arrivé en tête dans chaque département au 1er tour de l'élection présidentielle de 2002

Au premier tour de l'élection présidentielle de 2002, le candidat frontiste Jean-Marie Le Pen suscite une surprise historique en éliminant Lionel Jospin. Tous les sondages créditaient le président du Front national de « troisième homme », avec entre 9,5 et 14 % d'intentions de vote. Il arrive finalement en 2e position avec 16,86 % des suffrages, devançant de justesse Lionel Jospin (16,18 %). Au second tour le 5 mai, profitant du vaste sursaut républicain (l'abstention passe de 28,40 à 20,29 %) et du report exceptionnel des voix de la gauche, Jacques Chirac est massivement réélu avec 82,21 % des voix, un score sans précédent dans l'histoire de la Ve République; il entame un second mandat qui dure cette fois-ci 5 ans, en obtenant dans la foulée la majorité à l'Assemblée nationale à l'issue des élections législatives. Il peut ainsi nommer un Premier ministre de droite : Jean-Pierre Raffarin.

Second mandat : quinquennat (2002-2007)

Il y eut trois gouvernements Raffarin, jusqu'au 31 mai 2005. Jean-Pierre Raffarin démissionna en fait à cause du non au référendum sur la Constitution européenne.

Six mois plus tard, après la mort de deux jeunes poursuivis par la police nationale, et réfugiés pour leur échapper dans un transformateur EDF (un troisième ne sera heureusement que blessé), des émeutes éclatent dans des banlieues en novembre 2005 qui s'expliquent par le manque de l´intégration des immigrés en provenance des anciennes colonies et ce sont eux les plus touchés par le chômage. Au niveau international, la France est décrite comme vivant un climat insurrectionnel. Un couvre-feu provisoire sera mis en place en décembre.

Après l'instauration sans heurts en septembre 2005 du CNE (déclaré en juillet 2007 illégal par les Instances Internationales), le Premier ministre Dominique de Villepin doit faire face au printemps 2006 à la crise du CPE. À la fin de ces événements agités, le Pouvoir se contentera de gérer les affaires courantes, et sera principalement occupé par l'affaire Clearstream, puis par la présidentielle de 2007.

Les grands faits de la présidence de Jacques Chirac concernent principalement la politique étrangère avec l'opposition française à une nouvelle guerre en Irak par les États-Unis (discours remarqué de Dominique de Villepin à la tribune de l'ONU) ; et le travail de Mémoire à travers la reconnaissance de la responsabilité de l'État français pour la déportation de juifs (17 juillet 1995), tout comme la reconnaissance de la responsabilité historique à propos de l'esclavage.

Par ailleurs, sur le plan intérieur, Jacques Chirac se sera préoccupé de grandes causes nationales, comme la lutte contre le cancer, ou la diminution du nombre de morts sur les routes.

La présidence Sarkozy (2007-…)

Article détaillé : Nicolas Sarkozy.

L'élection présidentielle de 2007 se solde par une victoire du candidat de la majorité sortante (UMP), Nicolas Sarkozy, au second tour face à la candidate socialiste Ségolène Royal avec 53,06 % des suffrages exprimés. Le nouveau président de la République française succède à Jacques Chirac pour un mandat de cinq ans (2007-2012). Il nomme le 17 mai François Fillon au poste de Premier ministre, reconduit dans sa fonction le 18 juin suivant afin de recomposer un gouvernement marqué par le remplacement de son seul ministre d'État, Alain Juppé, battu aux élection législatives.

Nicolas Sarkozy se concentre, pour le moment, sur la politique étrangère, étant invité par Angela Merkel à Berlin le soir qui suit son entrée en fonction, dans le cadre de l'Union européenne ; il propose à ses partenaires la signature d'un « traité simplifié », qui est adopté le 23 juin, en compensation du « non » français au traité constitutionnel; autre compensation avec le refus de l'adhésion de la Turquie à l'UE, le président de la République préconise une « Union méditerranéenne » dans laquelle ce pays serait compris. Mais aussi lorsqu'il envoie sa femme Cécilia en Libye, pour négocier avec Mouammar Kadhafi la libération des infirmières bulgares : ces dernières sont rapatriées le 24 juillet.

Puis, il doit faire face, avec son gouvernement à la grève du 18 octobre, grève déclenchée par les syndicats, en désaccord avec la réforme des régimes spéciaux de retraite. Le mouvement est momentanément interrompu, avant de reprendre un mois plus tard. La CGT, conduite par Bernard Thibault, la SNCF et autres organisations syndicales de transports ont participé à cette grève. Parallèlement, de nombreux lycées et universités protestent contre la loi sur l'autonomie des universités, proposée par la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Valérie Pécresse. La grève syndicale dure dix jours avant de s'achever le 23 novembre. Certains journalistes ont comparé cette grève à celle de 1995 contre le plan Juppé.

Le 4 octobre 2008 est célébré le cinquantième anniversaire de la Ve République, instituée par le général Charles de Gaulle en 1958, devenant ainsi le deuxième régime le plus long de l'histoire de France depuis 1789. La Troisième République étant le premier avec 70 ans d'existence.

  1. Débat Valéry Giscard d'Estaing - François Mitterrand de l'ORTF du 10 mai 1974. Archives de l'INA.
  2. Le 27 mai, dans son discours d'investiture, il proclame « J'entends encore l'immense rumeur du peuple français qui nous a demandé le changement. Nous ferons ce changement avec lui, pour lui, tel qu'il est dans son nombre et sa diversité. »
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