Gérardfaing

Gérardfaing

Bellefontaine (Vosges)

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Bellefontaine

Étang de la Pierrache
Étang de la Pierrache

Administration
Pays France
Région Lorraine
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Canton Plombières-les-Bains
Code Insee abr. 88048
Code postal 88370
Maire
Mandat en cours
Jean-Michel Georges
2008 - 2014
Intercommunalité en cours d'adhésion : Communauté de communes de la Vôge vers les Rives de la Moselle
Démographie
Population 923 hab. (2006)
Densité 24 hab./km²
Gentilé Bellifontain(ne)s
Géographie
Coordonnées 48° 00′ 50″ Nord
       6° 26′ 37″ Est
/ 48.0138888889, 6.44361111111
Altitudes mini. 440 m — maxi. 614 m
Superficie 39,11 km²

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Bellefontaine est une commune française, située dans le département des Vosges et la région Lorraine.

Ses habitants sont appelés les Bellifontains.

Sommaire

Géographie

La Semouse à Bellefontaine en aval de Gérardfaing.

Bellefontaine est une commune essentiellement agricole du pays de la Vôge. Elle est traversée par la Semouse qui s'oriente au sud pour confluer avec la Lanterne. Son territoire forme un large plateau d'une altitude moyenne de 550 mètres environ.

Une partie non négligeable de son territoire est boisée (plus de 1600 ha, soit environ 50% de son territoire) et compte de nombreux étangs (une trentaine environ), certains accessibles au public.

La commune dispose d'un habitat dispersé et compte une quarantaine de hameaux : Le Ménil (anciennement Mesnil : qui veut dire habitation rurale, petite ferme) en est le plus ancien.

Avec ses 39,11 km², Bellefontaine se classe à la 11e place de la commune la plus étendue du département des Vosges (assez loin de la plus étendue : le Val d'Ajol et ses 73,33 km²).

Bellefontaine et le hameau du Pont de Pierre figurent sur une carte de la Lorraine du XVIIe siècle (1681)[1].

Liste des principaux hameaux de Bellefontaine
Au Caleuchot Belle-croix Clairesse Gérardfaing Haussonville Jaillerey L'Etang des Prêtres La Gabiotte La Gand-Croix La Michotte La Pierrache La Trotelée La Vierge des Voyageurs
Le Banbois Le Blanc Murger Le Calvaire Le Gras Chien Le Haut de Bellefontaine Le Marbre Le Ménil Le Paquis des Six Frères Le Pont de Pierre Le Pont Jeanson Le Pont Poirot Le Potet Le Rupt Guéné
Le Void de Cône Le Xati Les Boules Les Duchênes Les Huguels Les Maisons de Raon Les Marie-Jeanne Les Retondaines Les Trayes (petite partie) Les Viaux l'Etang de la Maix Mailleronfaing Rougerupt

Histoire

Chapelle Notre Dame du Bon Secours, érigée en 1856
Moulin du Pont de Pierre au début du XXe siècle

1. L'église primitive du XIe siècle (1006) avait été construite sur l'emplacement de la fontaine Saint-Blaise, réputée miraculeuse, avant toute formation d'agglomération. Dans la mythologie celtique Blaise (Bleiz) est un homme-loup instructeur de l'enchanteur Merlin...

2. La paroisse de Bellefontaine était sous l'autorité du prieuré d'Hérival jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, date à laquelle le prieuré fut dissous (vers 1790-1791). Dans l'histoire, de nombreux curés de Bellefontaine sont devenus Prieur d'Hérival (et inversement).

3. Au XIVe siècle, le village a été complètement déserté par ses habitants, de par la terreur que faisait régner les seigneurs d'Arches dans le secteur. Le lieu serait resté désert pendant une centaine d'année!

4. Aux XVe et XVIe siècles, de nouveaux habitants commencent à repeupler le pays, venant principalement du village voisin de Raon-aux-Bois. Ils s'installèrent au Ban du Ménil et formèrent ainsi le lieudit "Les Maisons de Raon".

5. À partir de cette époque, le village ne cessa de s'agrandir. La commune a compté 2 650 habitants en 1836.

6. Le 1er janvier 1973, la commune est rattachée à Plombières-les-Bains, mais le 1er janvier 1978, Bellefontaine est rétablie.

7. La chapelle Notre-Dame de Bon Secours date du XIXe siècle (en photo ci-contre)


Au milieu du XIXe siècle six moulins à grain étaient recensés (dont quatre étaient déjà recensés, au milieu du XVIIIe siècle, par la carte de Cassini)

Les uns alimentés par La Semouse :

  • Moulin des Maisons de Raon (visible sur la carte de Cassini)
  • Moulin de Jaillerey (aujourd’hui en ruine, visible sur la carte de Cassini)
  • Moulin du Pont Poirot (ou Moulin Durand : encore en activité dans les années 1980, visible sur la carte de Cassini)

Les autres par un affluents de La Semouse (ruisseau des Boules et du Pont Jeanson) :

  • Moulin du Pont de Pierre (Photo ci-contre, encore en activité dans les années 1970-80?)
  • Moulin de Belle Croix (ou Moulin Arnould : encore en activité dans les années 50. Maintenant en ruine)

Ou encore par le ruisseau de Rouge Rupt à Mailleronfaing (affluent de La Niche) :

Fondation par Jehan Poirot, juré et bourgeois de Remiremont, de deux messes en l’église Saint-Blaise de Bellefontaine ; il donne pour cela un cens annuel de neuf gros de Lorraine, assigné sur son grand quartier des prés du moulin de Mailleronfaing (1575, 30 janvier)[2].


Dans l'ouvrage du baron de Férussac intitulé Bulletin des sciences géographiques, économie publique, voyages., de 1830, on apprend qu'il a été question de faire passer un canal entre la Moselle et la Saône (ancêtre du canal des Vosges ?) par l'Augronne, la Semouse et la Lanterne.

"Le canal s'embrancherait à Pont-Saint-Vincent sur le canal latéral du Madon. Il remonterait ensuite la rive gauche de la Moselle jusqu'au-dessus d'Arches, après avoir passé par Épinal. Il prendrait le vallon de "Ravon" ou Raon-aux-Bois, à l'extrêmité duquel serait placé le bief de partage qui se terminerait à Void de Fény (hameau appelé aujourd'hui Gérardfaing). Il suivrait ensuite le ruisseau de Bellefontaine, descendrait dans les vallées de l'Augronne, de la Sémouse et de la Lanterne, pour arriver à la Saône (...)"

Le Blanc Murger

Anciennes usines du Blanc-Murger
Usine du Blanc-Murger aujourd'hui

En amont de la Semouse, on trouve dés 1547 un acte d'ascensement autorisant Demange Collignon à établir une forge.

Par lettres de patentes le 7 décembre 1728, le duc de Lorraine, Léopold Ier, autorise à Étienne Boisbien, l'établissement d'une manufacture en fer, acier et coutellerie[3].

L’usine est rachetée en 1754 par Denis Vinez

Un décret du roi Charles X de France, daté du 30 juillet 1838, autorise les frères Viney à tenir en activité les deux feux d'affinerie pour la fabrication du fer[4].

Une ordonnance du 2 décembre 1844 autorise le sieur Carasson à porter à quatre le nombre de feux d'affinerie de l'usine de à fer de Blanc-Murger[5].

Auguste Daubié[6] qui a fondé la Société Daubié et Compagnie, dépose de nouveaux brevets[7] et fait entrer les Forges du Blanc Murger dans la modernité. Les nouveaux procédés d'Auguste Daubié sont commentés dans les revues spécialisées américaines, anglaises et allemandes.[8] Les produits des forges sont récompensés à l'exposition universelle de 1855:

<< Belle exposition de fers en barres martelé et cylindré; fers ronds étampés; ayant jusqu'à 0,15 m de diamètre; acier cémenté au moyen de la flamme perdue des deux feux d'affinerie; fils de fer pour cardes, fils de fer cuivrés.>>[9]

La société Daubié sera de nouveau distinguée lors de l'exposition universelle de 1867[10].

En 1880, l'usine est rachetée par Victor de Pruines.

Au XVIIIe siècle et jusqu'en 1842, l'usine comprend : deux feux d'affinerie, deux martinets, deux tréfileries de vingt quatre tenailles ; deux feux d'affinerie ajoutés en 1842 et les martinets remplacés par des cylindres.

Au milieu du XVIIIe siècle, l'usine employait 60 ouvriers ; en 1785 : 34 ouvriers ; en 1802 : 30 ouvriers ; en 1845 : 50 ouvriers[11] ; en 1887 : 60 ouvriers.

Aujourd'hui il subsiste une tréfilerie (50 personnes environ) : au nom de Tréfilerie Des Vosges (TDV) depuis 1958[12].

Au début des années 2000, l'entreprise est sortie du giron du groupe métallurgique vosgien Gantois (fabrication de tissus et toiles métalliques, tôles perforées, grillages et produits façonnés) basé à Saint-Dié-des-Vosges.

L'entreprise est spécialisée dans le laminage de profils de précision à froid des aciers inoxydables, des aciers au carbone et des métaux non-ferreux.

Économie

L'économie de la commune est principalement rurale, les activités du secteur primaire y occupent une grande place.

La commune est située à proximité des bassins d'emplois de Remiremont (10-15 km), d'Épinal (25-30 km) et dans des mesures moins importantes des communes de Xertigny (industries agro-alimentaire et métallurgique), Plombières-les-Bains (les eaux thermales) ou Le Val d'Ajol (industries du bois et métallurgique).

Néanmoins la commune compte de nombreux artisans, dans les domaines suivants :

  • sanitaire/chauffage ;
  • chaudronnerie ;
  • bâtiment/maçonnerie/toiture ;
  • matériel agricole ;
  • location de matériels pour entrepreneur ...
  • deux commerces de bar-restaurant avec un relais postal.
  • Le plus gros employeur de la commune reste la Tréfilerie du Blanc Murger (un cinquantaine d'emplois), elle a la particularité de se situer à la limite de 3 communes (Bellefontaine, Xertigny et Plombières-les-Bains).

Transports

La commune n'est pas desservie par le chemin de fer, mais se situe entre les gares de Remiremont et de Xertigny.

Elle est traversée par la route départementale no 3, dont l'état est moyen. Le réseau routier communal est quant à lui d'état correct mais ne comporte aucun aménagement pour les cyclistes ou pour les promeneurs (hormis quelques trottoirs dans le village).

En revanche la commune est le point de départ de nombreux circuits pour VTT.

La commune est également traversée par la Route Thermale RD63, qui relie Bulgnéville à Plombières-les-Bains, en passant par Contrexéville, Vittel, Darney, Bains-les-Bains ou Xertigny.

Une partie de cette route + la D3 + la D434 (sur le tronçon Épinal - Plombières-les-Bains, en passant par Xertigny), formaient jusqu'en 1887, la Route Nationale 57 (qui reliait Metz à Besançon).

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
1989 2008 André Thiriat S.E. Directeur des Ecoles
2008 2014 Jean-Michel Georges S.E. Chef d'entreprise
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique
(Source : Cassini, INSEE)
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1753 1990 2172 2381 2580 2650 2527 2580 -
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2280 2266 2136 2133 2050 1884 1806 1725 1656
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1598 1573 1584 1404 1391 1318 1335 1249 1170
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
1021 927 888 875 917 856 923 - -

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Depuis 2004, c'est la notion de population municipale qui a pris le relais. (voir : Chiffres de population en France)

Curiosités

Étang de la Pierrache
Église Saint-Blaise de Bellefontaine
Exemple d'un toit "en laves"
  • Bellefontaine tient son nom de la fontaine Saint-Blaise. Cette fontaine est d'origine antique, elle a acquis une réputation curative tant pour les hommes que pour le bétail. Elle est située en contre-bas de l'église.
  • Les Bellifontains étaient connus pour la qualité du beurre qu'ils produisaient. En effet les agriculteurs du secteur fabriquaient du beurre qu'ils allaient vendre sur les marchés (de Remiremont notamment), on les a appelé les "Betteuzeils" mot patois venant de "Betteuze" qui veut dire petit-lait ou babeurre.
  • Le territoire communal compte de nombreuses zones humides, dont la tourbière de la Pierrache. À l’heure actuelle, un plan d’eau de deux hectares a été aménagé, ainsi qu’un sentier pédagogique autour de ce plan d’eau. Un chalet permet également l’accueil d’expositions.

Acquise en 1996 par la commune, la tourbière de la Pierrache couvre un site dont le patrimoine paysager, historique et pédagogique est classé d’intérêt régional (ZNIEFF de type 1 : Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique[13]).

Jusque dans les années 1940-50, la tourbe était extraite de manière artisanale de la tourbière, afin de servir de combustible pour les foyers des fermes aux alentours. Elle était considérée comme un assez bon comestible pour l'époque.

  • De nombreux étangs jalonnent le territoire communal. La vallée de la Semouse est surnommée vallée des forges : la forge du Blanc Murger, datant de 1547, est aujourd'hui une tréfilerie.
  • Église d'origine XIe siècle, reconstruite XVIe et XVIIIe siècles : chœur et tour XVIe siècle, nef et bas-côtés XVIIIe siècle ; armoire eucharistique, statuettes. L'accès à l'église de Bellefontaine est particulier : puisqu'elle se trouve en contre-bas de la rue, il faut descendre pour y accéder. Il n'y aurait que trois ou quatre églises en France ayant cette particularité.
  • La chapelle Notre-Dame de Bon Secours a été édifiée en 1856 afin d'épargner le village de l'épidémie de choléra qui sévissait dans toute la France. (l'épidémie de 1854 a fait 6019 victimes dans les Vosges) - La chapelle a été rénovée en 2006.
  • Une vingtaine de croix de chemin ont été érigées depuis le XVIe siècle. la plus ancienne est la croix de Jaillerey : 1552, et la plus récente est la Vierge des Voyageurs (années 1960) (au bord de la route thermale). Un calvaire (et son gros chêne) de 1875 est visible entre Gérardfaing et Mailleronfaing.
  • De nombreuses fermes disposent encore de toitures en "laves"[14]. (ou lauze. ). Ce type de toit est une spécificité du secteur de la Vôge (Bains-les-Bains, Xertigny, etc.)et des Vosges méridionales (ou saônoises) (Plombières-les-Bains, le Val-d'Ajol, Girmont-Val-d'Ajol, Fougerolles, le Pays des Mille Étangs, etc.) La "lave" est une pierre gréseuse que l'on rencontre dans ces secteurs (couches géologiques supérieures du grès à Voltzia). Elle se présente sous forme de plaques. Elle était jadis exploitée dans plusieurs carrières. Aujourd'hui toute exploitation a été abandonnée, ce qui n'empêche quelques passionnés de rénover ces toitures.
  • Depuis plus de dix ans se déroule la Foire à la Pintade chaque dernier week-end de juin.

Jumelage

Bellefontaine est jumélée à une commune de Seine-Maritime : Yébleron

Personnages célèbres

  • Nicolas-Joseph Frémiot[15] né 5 octobre 1818 à Bellefontaine et décédé le 4 juillet 1854 à Blind River (Ontario), prêtre, jésuite et missionnaire.
  • George-Marc Poirot, dit As de l'infanterie[16], né à Bellefontaine le 5 avril 1881 et mort le 29 décembre 1973 à Saint-Nabord est un héros de la première guerre mondiale, membre des Diables bleus et chevalier de la Légion d'honneur.
  • Laurane Picoche : Athlète du club de l'Association Sportive Remiremont Hautes-Vosges (ASRHV) : championne de France du 3 000 mètres, records de Lorraine du 1 500 mètres entre 2004 et 2007, du 10 km en 2008. Triple-vainqueur de la Corrida des Abbesses 2006, 2007, 2008 (course de 4 300 m à Remiremont). Vainqueure de la Prom Classic 2008 à Nice et Médaillée de bronze, par équipe, lors des derniers championnats d'Europe à Bruxelles (décembre 2008). Laurane, 2e du bilan national sur 1 500 mètres en 2008, incarne la relève du demi-fond français.

Bibliographie

  • Dom André Galli - Hérival et son héritage, Epinal, Ed. du Sapin d'or, 1981
  • Association de recherches archéologiques, histoire et patrimoine d'Eloyes et de ses environs - La vie rurale et son patrimoine, l'eau, la forêt et l'agriculture de montagne dans la région d'Eloyes : Comprenant les communes de Arches, Archettes, Bellefontaine, 2005

Références

  1. Carte de la Lorraine en 1681, Generalis Lotharingia Ducatus tabula, de Nicolaum Visscher, Atlas Van der Hagen (1681)
  2. SÉRIE H CLERGÉ RÉGULIER AVANT 1790-14 H Prieuré d’Hérival, Archives Départementales des Vosges, 2004
  3. L'ancienne Métallurgie dans le département des Vosges, ed. Sepenoise, 1988
  4. Annales des mines ou Recueil de mémoires sur l'exploitation des mines et sur les sciences et les arts qui s'y rattachent, ed.Dunod, 1829
  5. Annales des mines de France, ed. Carilian-Goeury et V. Dalmont..., 1844
  6. Jean-Baptiste Auguste Daubié né en 1816, frère de Julie-Victoire Daubié
  7. Bulletin des lois de France, ed.Imprimerie Royale, 1865
  8. Van Nostrand's eclectic engineering magazine,ed. D. Van Nostrand, 1870
    • Scientific Opinion, 1870
    • Chemisch-technische Mittheilungen der neuesten Zeited.J. Springer., 1871
    • Jahresbericht uber die Leistungen der chemischen Technologie.., ed.Otto Wigand, 1871
  9. Rapport sur l'Exposition de 1855, CNUM
  10. Revue de l'Exposition de 1867: t.1, Charles et Antoine Charles de Cuyper, ed. E. Noblet, 1870
  11. Patrimoine de France, Enquête thématique régionale (ancienne métallurgie vosgienne) ; patrimoine industriel, 1986
  12. Le site de la tréfilerie
  13. Le site de la DIREN Lorraine
  14. Le site de la lave de grès
  15. Dictionnaire Biographique Du Canada, George William Brown, David M. Hayne, Marcel Trudel, André Vachon, 1917.[1]
  16. Les Vosgiens célèbres, ed. Gérard Louis, 1990

Liens externes

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