- Composition de l'Assemblée nationale française par législature
-
France Cet article fait partie de la série sur la
politique de la France,
sous-série sur la politique.- Cinquième République
- Constitution
- Conseil constitutionnel
- Pouvoir exécutif
- Pouvoir législatif
- Parlement :
- Assemblée nationale (composition)
- Sénat
- Parlement :
- Collectivités territoriales
- Élections
- Partis politiques
- Divers
Voici la composition de l'Assemblée nationale française par législature depuis 1789.
Hémicycles
Troisième République
GPRF et Quatrième République
Cinquième république
Composition
Révolution française
États généraux (1789)
- Tiers état : 578 (dont 450 hommes de loi)
- Clergé : 291, dont 200 favorables aux réformes
- Noblesse : 270, dont 90 favorables aux réformes
Assemblée nationale constituante (1789-1791)
- Patriotes : Plus de 800
- Monarchiens : 100
- « Aristocrates » du parti Noir
Assemblée nationale législative (1791-1792)
- Jacobins, Brissotins ou Girondins : 136
- Indépendants ou Constitutionnels : 245
- Feuillants : 264.
Première République-Convention nationale (1792-1795)
- Montagnards : de 258 à 302
- Plaine ou Marais : de 269 à 254
- Brissotins ou Girondins : de 137 à 178.
Les Conseils (1795-1799)
Institution de deux assemblées : conseil des 500 et conseil des anciens
Consulat et Premier Empire (1800-1814)
Nom de l'assemblée : Corps législatif
Première Restauration (1814-1815)
Nom de l'assemblée : Chambre des députés des départements
Cent-Jours (1815)
Nom de l'assemblée Chambre des représentants
Seconde Restauration (1815-1830)
Nom de l'assemblée Chambre des députés des départements
Monarchie de Juillet (1830-1848)
Nom de l'assemblée Chambre des députés
Deuxième République
Nom de l'assemblée : Corps législatif
Assemblée nationale constituante (1848-1849)
- Conservateurs : 200 (22.7 %)
- Modérés : 600 (68.2 %)
- Républicains : 80 (9.1 %)
Total : 880
Assemblée nationale législative (1849-1852)
- Conservateurs : 450 (63.8 %)
- Républicains modérés : 75 (10.6 %)
- Républicains : 180 (25.5 %)
Total : 705
Second Empire
1852-1857
Article détaillé : élections législatives françaises de 1852.- Royalistes : 5 (1.9 %)
- Bonapartistes : 253 (96.9 %)
- Républicains : 3 (1.1 %)
Total : 261
1857-1863
Article détaillé : élections législatives françaises de 1857.1863-1869
Article détaillé : élections législatives françaises de 1863.- Royalistes : 15 (5.3 %)
- Bonapartistes : 251 (88.7 %)
- Républicains : 17 (6 %)
Total : 283
1869-1870
Article détaillé : élections législatives françaises de 1869.- Royalistes : 41 (14.5 %)
- Bonapartistes autoritaires : 92 (32.5 %)
- Bonapartistes libéraux : 120 (42.4 %)
- Républicains : 30 (10.6 %)
Total : 283
Troisième République (1871-1940)
Assemblée nationale (1871-1876)
Article détaillé : élections législatives françaises de 1871.- Républicains
- Radicaux : 38 (5.9 %)
- Modérés : 112 (17.4 %)
- Libéraux : 78 (12.1 %)
- Conservateurs
- Bonapartistes : 20 (3.1 %)
- Orléanistes : 214 (33.2 %)
- Légitimistes : 182 (28.3 %)
Total : 644
Chambre des députés
1876-1877
- Républicains
- Union républicaine : 98 (18.4 %)
- Gauche républicaine : 193 (36.2 %)
- Centre gauche : 48 (9 %)
- Modérés : 17 (3.2 %)
- Divers : 15 (2.8 %)
- Constitutionnels : 22 (4.1 %)
- Conservateurs
- Bonapartistes : 76 (14.3 %)
- Orléanistes : 40 (7.5 %)
- Légitimistes : 24 (4.5 %)
Total : 533
1877-1881
- Républicains (groupe unique)
- 313 (60.1 %)
- Divers
- 49 (9.4 %)
- Conservateurs
- Bonapartistes : 104 (20 %)
- Orléanistes : 11 (2.1 %)
- Légitimistes : 44 (8.4 %)
Total : 521
1881-1885
Article détaillé : élections législatives françaises de 1881.- Républicains
- Socialistes et Radicaux-Socialistes : 46 (8.4 %)
- Union républicaine : 204 (37.4 %)
- Gauche républicaine : 168 (30.8 %)
- Modérés : 39 (7.2 %)
- Conservateurs
- Bonapartistes : 46 (8.4 %)
- Royalistes (orléanistes et légitimistes) :42 (7.7 %)
Total : 545
1885-1889
- Gauche
- Radicaux-Socialistes : 60 (10.3 %)
- Radicaux : 40 (6.8 %)
- Républicains : 200 (34.2 %)
- Républicains modérés : 83 (14.2 %)
- Droite
- Conservateurs : 63 (10.8 %)
- Bonapartistes : 65 (11.1 %)
- Royalistes : 73 (12.5 %)
Total : 584
1889-1893
- Gauche
- Radicaux-Socialistes : 12 (2.1 %)
- Radicaux : 100 (17.4 %)
- Républicains : 216 (37.5 %)
- Républicains modérés : 38 (6.6 %)
- Droite
- Boulangistes : 72 (12.5 %)
- Bonapartistes : 52 (9 %)
- Royalistes : 86 (14.9 %)
Total : 576
1893-1898
Article détaillé : élections législatives françaises de 1893.- Gauche
- Socialistes : 33 (5.7 %)
- Radicaux-Socialistes : 16 (2.8 %)
- Radicaux : 122 (21 %)
- Républicains modérés : 317 (54.6 %)
- Droite
- Divers : 35 (6 %)
- Royalistes : 58 (10 %)
Total : 581
1898-1902
- Gauche
- Socialistes : 57 (9.7 %)
- Radicaux-Socialistes : 74 (12.6 %)
- Radicaux : 104 (17.8 %)
- Républicains : 254 (43.4 %)
- Droite
- Divers : 46 (7.9 %)
- Nationalistes : 6 (1 %)
- Royalistes : 44 (7.5 %)
Total : 585
1902-1906 : Chambre du Bloc des gauches
- Socialistes : 43 (7.3 %)
- Radicaux-Socialistes : 104 (17.7 %)
- Radicaux : 129 (21.9 %)
- Républicains : 62 (10.5 %)
- Républicains modérés : 127 (21.6 %)
- Droite
- Libéraux : 35 (5.9 %)
- Conservateurs : 89 (15.1 %)
Total : 589
1906-1910
- Gauche
- Socialistes : 74 (12.6 %)
- Radicaux-Socialistes : 132 (22.6 %)
- Radicaux : 115 (19.7 %)
- Républicains : 90 (15.4 %)
- Droite
- Libéraux : 66 (11.3 %)
- Conservateurs : 78 (13.3 %)
- Nationalistes : 30 (5.1 %)
Total : 585
1910-1914
- Gauche
- Socialistes : 107 (18.1 %)
- Radicaux et Radicaux-Socialistes : 149 (25.3 %)
- Républicains : 113 (19.2 %)
- Union républicaine : 72 (12.2 %)
- Droite
- Libéraux : 20 (3.4 %)
- Conservateurs : 129 (21.9 %)
Total : 590
1914-1919 : Chambre de l'Union sacrée
- Gauche
- Socialistes : 126 (21.2 %)
- Radicaux et Radicaux-Socialistes : 195 (32.8 %)
- Républicains : 66 (11.1 %)
- Union républicaine : 88 (14.8 %)
- Droite
- Fédération républicaine : 37 (6.2 %)
- Action libérale : 23 (3.9 %)
- Divers : 60 (10.1 %)
Total : 595
1919-1924 : Chambre du Bloc national
- SFIO : 68 (11 %)
- Républicains-socialistes : 24 (3,9 %)
- Radicaux-socialistes : 88 (14,3 %)
- Action républicaine : 58 (9,4 %)
- Gauche républicaine : 108 (17,5 %)
- Républicains de gauche : 50 (8,1 %)
- Progressistes : 185 (30 %)
- Indépendants : 36 (5,8 %)
1924-1928 : Chambre du Cartel des gauches
- Gauche
- SFIC : 28 (4,8 %)
- SFIO : 105 (18 %)
- Républicains-socialistes et Socialistes français : 42 (7,2 %)
- Radicaux-socialistes : 140 (24,1 %)
- Centre
- Gauche radicale : 41 (7 %)
- Gauche républicaine démocratique : 44 (7,6 %)
- Républicains de gauche : 36 (6,2 %)
- Droite
- Union républicaine démocratique : 104 (17,9 %)
- Démocrates populaires : 14 (2,4 %)
- Indépendants : 28 (4,8 %)
1928-1932
- Gauche
- SFIC : 11 (1.8 %)
- SFIO : 107 (17.5 %)
- Républicains-socialistes : 16 (2.6 %)
- Socialistes français : 14 (2.3 %)
- Radicaux-socialistes : 114 (18.7 %)
- Centre
- Gauche radicale : 51 (8.3 %)
- Action démocratique et sociale : 31 (5.1 %)
- Républicains de gauche : 66 (10.8 %)
- Gauche sociale et radicale (dissidents du Parti radical, nationalistes, mené par Henry Franklin-Bouillon) : 17 (2.8 %)
- Indépendants de gauche: 20 (3.3 %)
- Droite
- Union républicaine démocratique : 87 (14.2 %)
- Démocrates populaires : 18 (2.9 %)
- Indépendants : 39 (6.3 %)
- Non-inscrits : 20 (3.3 %)
Les pourcentages indiqués sont calculés en fonction des sièges et non des voix obtenues
1932-1936 : Chambre du Cartel des gauches
- Gauche
- Unité ouvrière : 9 (1.5 %)
- SFIC : 11 (1.8 % des sièges)
- SFIO : 132 (21.4 %)
- Républicains-socialistes et Socialistes français : 32 (5.2 %)
- Radicaux-socialistes : 160 (25.9 %)
- Gauche indépendante : 15 (2.4 %)
- Centre
- Gauche radicale et Indépendants de gauche : 74 (12 %)
- Républicains de gauche et Centre républicain : 76 (12.3 %)
- Droite
- Fédération Républicains du Centre : 41 (6.6 %)
- Républicains du centre : 6 (1 %)
- Groupe républicain et social : 18 (2.9 %)
- Indépendants d'action économique, sociale et paysanne : 7 (1.1 %)
- Démocrates populaires : 17 (2.8 %)
- Indépendants : 16 (2.6 %)
- Non-inscrits de droite : 3 (0.5 %)
Les pourcentages indiqués sont calculés en fonction des sièges et non des voix obtenues
1936-1940 : Chambre du Front populaire
Source : Trombinoscope et notice des députés-Ed 1936
Président : Édouard Herriot
- Parti d'unité prolétarienne : 6 (1 %)
- SFIC: 72 (12,3 %)
- SFIO: 150 (25,6 %)
- Radicaux-Socialistes : 110 (18,7 %)
- Union socialiste républicaine (USR) : 29 (4,9 %)
- Parti radical-socialiste Camille Pelletan : 3 (0,5 %)
- Gauche indépendante : 13 (2,2%)
- Centre
- Gauche démocratique et radicale indépendante : 33 (5,6 %)
- Démocrates populaires (Robert Schuman): 11 (1,9 %)
- Indépendants d'action populaire : 16 (2,7 %)
- Droite
- Indépendants républicains (Georges Mandel): 13 (2,2 %)
- Agraire indépendant : 6 (1 %)
- Républicains indépendants et d'action sociale : 29 (4,9 %)
- Alliance des républicains de gauche et des radicaux indépendants (Paul Reynaud): 42 (7,2 %)
- Fédération républicaine de France (Louis Marin) : 48 (8,2 %)
- Indépendants d'union républicaine et nationale : 6 (1 %)
GPRF et Quatrième République
Première Assemblée Constituante (1945-1946)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1945.Président : Félix Gouin
- Gauche
- Droite
- Non Inscrits
- 7 (1.2 %)
Total : 586
- Note
- Il y a 5,6 % de femmes députées[1].
Deuxième Assemblée Constituante (1946)
Article détaillé : Élections législatives françaises de juin 1946.Président : Vincent Auriol
- Gauche
- Droite
- Nationalistes algériens
- UDMA : 11 (1.9 %)
- Non Inscrits
- 9 (1.5 %)
Total : 586
Première législature (1946-1951)
Article détaillé : Élections législatives françaises de novembre 1946.- Président de l'Assemblée Nationale
- Vincent Auriol (1946-1947) puis Édouard Herriot
- Gauche
- Droite
- Nationalistes algériens
- MTLD : 5 (0.8 %)
- Non Inscrits
- 29 (4.6 %)
Total : 627
- Note
- Il y a 6,8 % de femmes députées[1].
Deuxième législature (1951-1956)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1951.- Président de l'Assemblée Nationale
- Édouard Herriot (1951-1954) puis André Le Troquer (1954-1955) puis Pierre Schneiter (1955) puis André Le Troquer
- Gauche
- PCF : 99 (16.5 %)
- UP : 4 (0.8 %)
- SFIO : 107 (17.1 %)
- Radicaux : 74 (11.8 %)
- UDSR : 16 (2,6 %)
- RDA : 3 (0.5 %) Rassemblement Démocratique Africain, apparenté au PCF
- Droite
- MRP : 95 (15.2 %)
- RPF : 121 (19.4 %)
- CRAPS : 43 (6.9 %) Centre Républicain d'Action Paysanne et Sociale, devenu CNI
- RI : 53 (8.5 %)
- Non Inscrits
- 10 (1.6 %)
Total : 625
Troisième législature (1956-1958)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1956.- Président de l'Assemblée Nationale
- André Le Troquer
- Gauche
- Droite
- Non Inscrits
- 7 (1.2 %)
Total : 593
- Note
- Il y a 3,0 % de femmes députées[1].
Cinquième République
Première législature (1958-1962)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1958.- Président de l'Assemblée Nationale
- Jacques Chaban-Delmas
- Président du groupe d’Union pour la Nouvelle République
- Maurice Bayrou (1958-1959) puis Louis Terrenoire (1959-1960) puis Raymond Schmittlein
- Président du groupe des Indépendants et Paysans d'Action Sociale
- Henry Bergasse (1958-1961) puis Bertrand Motte
- Président du groupe des Républicains Populaires et du Centre Démocratique
- Charles Bosson (1958-1960) puis Henry Dorey
- Président du groupe Socialiste
- Francis Leenhardt
- Notes
- En juillet 1959, la Formation Administrative des Non-Inscrits devient le groupe de l'Entente Démocratique dont Jean Médecin (1959) puis Maurice Faure prennent la Présidence.
- En juillet 1959, la Formation Administrative des Élus d'Algérie et du Sahara devient le groupe de l'Unité de la République, puis en décembre 1960 le groupe du Regroupement national pour l'unité de la République. Ce groupe disparait le 4 juillet 1962, après la fin du mandats des députés d'Algérie, devenue indépendante.
- Les députés Communistes, au nombre de 10, siègent parmi les non-inscrits.
- Il y a 1,4 % de femmes députées[1].
Deuxième législature (1962-1967)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1962.- Président de l'Assemblée Nationale
- Jacques Chaban-Delmas
- Président du groupe d’Union pour la Nouvelle République-Union Démocratique du travail
- Roger Dusseaulx (1962-1963) puis Henri Rey
- Président du groupe des Républicains Indépendants
- Raymond Mondon
- Président du groupe Socialiste
- Gaston Defferre
- Président du groupe du Centre Démocratique
- Pierre Pflimlin (1962-1963) puis Pierre Abelin
- Président du groupe Rassemblement Démocratique
- Maurice Faure
- Président du groupe Communiste
- Robert Ballanger
- Note
- Il y a 1,7 % de femmes députées[1].
Troisième législature (1967-1968)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1967.- Président de l'Assemblée Nationale
- Jacques Chaban-Delmas
- Président du groupe de l'Union Démocratique pour la Ve République
- Henri Rey
- Président du groupe des Républicains Indépendants
- Raymond Mondon
- Président du groupe Progrès et Démocratie Moderne
- Jacques Duhamel
- Président du groupe de la Fédération de la Gauche Démocrate et Socialiste
- Gaston Defferre
- Président du groupe Communiste
- Robert Ballanger
Quatrième législature (1968-1973)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1968.- Président de l'Assemblée Nationale
- Jacques Chaban-Delmas (1968-1969) puis Achille Peretti
- Président du groupe de l'Union des Démocrates pour la République
- Henri Rey (1968-1969) puis Marc Jacquet
- Président du groupe des Républicains Indépendants
- Raymond Mondon (1968-1969) puis Aimé Paquet
- Président du groupe Progrès et Démocratie Moderne
- Jacques Duhamel (1967-1969) puis Eugène Claudius-Petit
- Président du groupe de la Fédération de la Gauche Démocrate et Socialiste
- Gaston Defferre
- Président du groupe Communiste
- Robert Ballanger
- Notes
- En octobre 1969, le groupe de la Fédération de la Gauche Démocrate et Socialiste devient le groupe Socialiste dont Gaston Deferre garde la présidence.
- Il y a 1,6 % de femmes députées[1].
Cinquième législature (1973-1978)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1973.- Président de l'Assemblée Nationale
- Edgar Faure
- Président du groupe de l'Union des Démocrates pour la République
- Roger Frey (1973) puis Claude Labbé
- Président du groupe des Républicains Indépendants
- Michel d'Ornano (1973-1974) puis Jean Brocard (1974-1975) puis Roger Chinaud
- Président du groupe des Réformateurs Démocrates et Sociaux
- Michel Durafour
- Président du groupe Union Centriste
- Eugène Claudius-Petit (1973) puis Jacques Duhamel
- Président du groupe du Parti Socialiste et des Radicaux de Gauche
- Gaston Defferre
- Président du groupe Communiste
- Robert Ballanger
- Notes
- En juillet 1974, après l'élection de Valéry Giscard d'Estaing, le groupe des Républicains Démocrates et Sociaux et le groupe Union Centriste fusionnent pour former le groupe des Réformateurs, des Centristes et des Démocrates Sociaux, dont Max Lejeune prend la présidence.
Sixième législature (1978-1981)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1978.- Président de l'Assemblée Nationale
- Jacques Chaban-Delmas
- Président du groupe du Rassemblement pour la République
- Claude Labbé
- Président du groupe de l'Union pour la démocratie française
- Roger Chinaud
- Président du groupe Socialiste
- Gaston Defferre
- Président du groupe Communiste
- Robert Ballanger
- Note
- Il y a 4,0 % de femmes députées[1].
Septième législature (1981-1986)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1981.- Président de l'Assemblée Nationale
- Louis Mermaz
- Président du groupe Socialiste
- Pierre Joxe, puis en 1984, André Billardon
- Président du groupe Communiste
- André Lajoinie
- Président du groupe du Rassemblement pour la République
- Claude Labbé
- Président du groupe de l'Union pour la démocratie française
- Jean-Claude Gaudin
Huitième législature (1986-1988)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1986.- Président de l'Assemblée Nationale
- Jacques Chaban-Delmas
- Président du groupe du Rassemblement pour la République
- Pierre Messmer
- Président du groupe de l'Union pour la démocratie française
- Jean-Claude Gaudin
- Président du groupe Socialiste
- Pierre Joxe
- Président du groupe Communiste
- André Lajoinie
- Président du groupe du Front National
- Jean-Marie Le Pen
- Note
- Il y a 5,9 % de femmes députées[1].
Neuvième législature (1988-1993)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1988.- Président de l'Assemblée Nationale
- Laurent Fabius (1988-1992) puis Henri Emmanuelli (1992-1993)
- Président du groupe Socialiste
- Louis Mermaz (1988-1990) puis Jean Auroux (1990-1993)
- Président du groupe Communiste
- André Lajoinie
- Président du groupe de l'Union du centre
- Pierre Méhaignerie (1988-1991) puis Jacques Barrot (1991-1993)
- Président du groupe du Rassemblement pour la République
- Bernard Pons (1988-1993)
- Président du groupe de l'Union pour la démocratie française
- Jean-Claude Gaudin (1988-1989) puis Charles Millon (1989-1993)
Dixième législature (1993-1997)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1993.- Président de l'Assemblée Nationale
- Philippe Séguin
- Président du groupe du Rassemblement pour la République
- Bernard Pons (1993-1995) puis Michel Péricard (1995-1997)
- Président du groupe de l'Union pour la démocratie française
- Charles Millon (1993-1995) puis Gilles de Robien (1995-1997)
- Président du groupe Socialiste
- Martin Malvy (1993-1995) puis Laurent Fabius (1995-1997)
- Président du groupe Communiste
- Alain Bocquet
- Président du groupe République et Liberté
- Jean Royer
- Note
- Il y a 6,1 % de femmes députées[1].
Onzième législature (1997-2002)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 1997.- Président de l'Assemblée Nationale
- Laurent Fabius (1997-2000) puis Raymond Forni (2000-2002)
- Président du groupe Socialiste
- Jean-Marc Ayrault
- Président du groupe Communiste
- Alain Bocquet
- Président du groupe Radicaux, Citoyens & Verts
- Michel Crépeau ; 1999, Roger-Gérard Schwartzenberg et 2000, Bernard Charles
- Président du groupe du Rassemblement pour la République
- Jean-Louis Debré
- Président du groupe de l'Union pour la démocratie française
- François Bayrou, puis en 1998, Philippe Douste-Blazy
- Notes
- La majorité composée des Socialistes, Communistes, Radicaux, Citoyens et Verts était appelée la Gauche plurielle.
- A partir du 25 juin 1998, constitution du groupe Démocratie Libérale et Indépendants qui se sépare de l'UDF auquel il était intégré.
Président du groupe Démocratie libérale et Indépendants : José Rossi, puis en 2000, François Mattéi
Douzième législature (2002-2007)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 2002.Article détaillé : Députés de la XIIe législature.- Président de l'Assemblée Nationale
- Jean-Louis Debré (2002-2007) puis Patrick Ollier (2007)
- Président du groupe Union pour un mouvement populaire
- Jacques Barrot puis en 2004 Bernard Accoyer
- Président du groupe de l'Union pour la démocratie française
- Hervé Morin
- Président du groupe Socialiste
- Jean-Marc Ayrault
- Président du groupe Communiste & Républicain
- Alain Bocquet
- Note
- Il y a 12,3 % de femmes députées[1].
Treizième législature (2007-2012)
Article détaillé : Élections législatives françaises de 2007.- Président de l'Assemblée Nationale
- Bernard Accoyer
- Président du groupe Union pour un Mouvement Populaire
- Jean-François Copé
- Président du groupe Nouveau Centre
- François Sauvadet
- Président du groupe Socialiste, radical, citoyen et divers gauche
- Jean-Marc Ayrault
- Président du groupe de la Gauche démocrate et républicaine
- Jean-Claude Sandrier
- Notes
- Le groupe de la Gauche Démocrate et Républicaine rassemble des députés Communistes et les Verts
Références
- Magazine Le Monde 2 des 18-19 avril 2004, page 89.
Source
De nombreuses informations sur l'histoire politique française sont disponibles sur le site de Laurent de Boissieu, journaliste politique france-politique.fr
Articles connexes
Catégories :- Histoire parlementaire de la France
- Assemblée nationale française
Wikimedia Foundation. 2010.