Bouddhisme tibétain

Bouddhisme tibétain
Tangka du XIIIe siècle représentant Tara verte

Le bouddhisme tibétain est la forme de bouddhisme qui s'est développée à partir du VIIe siècle au Tibet et est pratiquée au Tibet et en Mongolie.

Sommaire

Histoire

Lors du développement du bouddhisme au Tibet, au moins huit lignées sont apparues :

Les quatre dernières lignées ainsi que leurs enseignements ont été absorbées par les quatre premières. Le bouddhisme tibétain contemporain se divise seulement en quatre grandes lignées (ou écoles), à laquelle s'adjoint parfois la religion chamaniste préexistant au bouddhisme : le bön.

Dans la dynastie Yarlung (-127 à 842), trois des rois du Tibet sont appelés les rois religieux (cf. Liste des rois du Tibet, et le discours du 13e Dalaï Lama, Thubten Gyatso)

Le premier roi religieux : Songtsen Gampo

Songtsen Gampo (vers 609 à 613 - 650) fut à l'origine de la première diffusion du bouddhisme au Tibet. En effet, poursuivant l'expansion de l'empire et l'unification du Tibet, il conquit une partie de l'Inde, du Népal et menaçait les frontières de la Chine. Afin de l’apaiser, l'empereur chinois lui donna l'une de ses filles : la princesse Wencheng. Il était par ailleurs marié avec la princesse népalaise Bhrikuti. Par ces unions, il fut naturellement influencé par les bouddhismes chinois et népalais. Dans la mythologie tibétaine, Songtsen Gampo fut considéré comme une émanation de Chenresig et les princesses népalaises et chinoises, respectivement comme émanation de Tara Blanche et de Tara verte. Il fonda alors les temples de Ramoché et du Jokhang. L’histoire retiendra aussi Thonmi Sambhota, l'un de ses ministres, qui fut à l'origine de l'écriture alphasyllabaire tibétaine, adaptation de l'écriture devanāgarī et de la grammaire sanskrit à la langue tibétaine, ce qui permit la traduction des textes bouddhistes indiens.

Le second roi religieux : Trisong Detsen

Trisong Detsen (704?-797) remporte un ensemble de victoires militaires lui assurant le contrôle des oasis des routes de la soie. Il s'empare aussi temporairement de Xi'an, capitale de la dynastie Tang. Il est surtout resté dans l'histoire pour avoir invité au Tibet les plus grands maîtres chinois et indiens avec en particulier Padmasambhava connu au Tibet sous le nom de Guru Rinpoché (cf. Nyingmapa, « les anciens »), Shantarakshita et Vimalamitra. Ils fondèrent Samye (775), premier monastère du Tibet. Pour la première fois, des Tibétains furent ordonnés moines, et font donc partie de la communauté rouge. Padmasambhava fonde aussi la communauté blanche composée de laïcs. La religion entre dans la politique de l'état. Son successeur continue l' expansion du bouddhisme et les conquêtes marquent un temps d'arrêt. En 815, le trône échoit à Tri Ralpachen.

Le troisième roi religieux : Tri Ralpachen

Au IXe siècle, Tri Ralpachen (? - 838) établit des relations pacifiques avec la Chine en établissant des traités. On en trouve les textes sur des piliers dont l'un se trouve face au Jokhang. Les rivalités politiques s'intensifient en particulier à cause de l'influence grandissante des monastères bouddhistes et l'opposition des Bön. Tri Ralpachen est assassiné en 838 par son frère, Langdarma (glang dar ma), farouchement opposé au bouddhisme. Ce dernier persécute alors les moines, démantèle les institutions avant d'être à son tour assassiné en 842 ou 846 par le moine yogi Lhalung Palgyi Dorje qui aurait caché un arc sous ses vêtements lors d'un spectacle de danses.

Le morcellement du Tibet : 850-1050

Des luttes entre les successeurs de Langdarma divisent le pays. Assassinats et intrigues affaiblissent le pouvoir et de petites royautés apparaissent. L’arrière-petit-fils de Langdarma, Wosung s'enfuit à l'ouest et fonde le royaume de Ngari. Ses trois descendants fondent les royaumes de Guge, Purang et Maryul (Ladakh).

La seconde diffusion du Bouddhisme au Tibet

Au Xe siècle, bien que la religion ait survécu dans le Tibet oriental (Kham, Amdo, etc.), son renouveau s'effectua à la fois au Tibet central et occidental (royaume de Gugé). Ainsi, ayant fui les persécutions de Langdarma, des moines étaient parti dans le nord du Tibet. Ils transmirent leur savoir et plusieurs lignées de disciples virent le jour. Par la suite, ils revinrent au Tibet central et rénovèrent les institutions monastiques. Dans le même temps au Ngari, dans la région de Tsaparang (Tibet occidental), le roi Yeshe Ö fut à l'origine d'une importante activité religieuse et artistique. Des missions sont envoyées en Inde pour faire venir maîtres et artistes, en particulier cachemiris. Le protégé du roi, le célèbre Rinchen Zangpo, traducteur et bâtisseur, fit construire dit-on 108 temples le long du fleuve Sutlej. Un évènement très important fut aussi la venue en 1042 du célèbre maître indien Atisha (980-1054) à l origine des Kadampas (« liés par l'instruction ») avec son disciple Dromtön. Cette seconde diffusion du bouddhisme modifie profondément la culture tibétaine. De grand mystiques comme Marpa, maître du célèbre Milarépa (lire Milarépa, la vie), favorisent l’éclosion de riches courants de pensée entraînant l'apparition de plusieurs écoles. Progressivement, pouvoir politique et religieux deviennent indissociables.

L'influence des Mongols

Au XIIIe siècle, Genghis Khan conquiert une bonne partie de l'Asie. Il n’y a pas de pouvoir central au Tibet où des potentats locaux alliés ou appartenant à des lignées religieuses se partagent l’influence. Certains lamas, en particulier de branches Kagyupa, sont engagés avec les souverains du Royaume tangoute dans une relation prêtre-patron (Chö-yon) qui préfigure celle que les Mongols établiront avec les Sakyapas[3]. En 1207, inquiets de voir le Royaume tangoute sur le point de s’écrouler sous les attaques mongoles, des monastères du Tibet central envoient Tsangpa Dunkhurwa (Gtsang pa Dung khur ba) de la lignée Tsalpa Kagyu, accompagné de six disciples, rencontrer Gengis Khan pour manifester leur soumission[4], écartant peut-être la menace d’une attaque imminente. Néanmoins ce n’est que partie remise et vers 1240, Doorqa Darqan, général envoyé par Godan, fils d'Ögödei, s’arrête à 80 km de Lhassa. En 1244, grâce à sa renommée, Sakya Pandita, abbé du monastère de Sakya, est appelé à sa cour. Il lui confie en 1249 le pouvoir sur les provinces de l’Ü-Tsang. Dès lors, d'intenses relations politico-religieuses s’instaurent entre Mongols et Sakyapas (« ceux du monastère de Sakya »). Kubilaï Khan, candidat à la succession de Mongke, cherche d'abord le soutien de Karma Pakshi, le chef Kagyupa (« ceux de la transmission orale »), mais les échanges échouent et il se tourne vers les Sakyapas alors que Karma Pakshi se rapproche d'Ariq Boqa, frère de Kubilaï qui lui dispute le khanat. Kubilaï Khan sort vainqueur en 1264 de la dispute l'opposant à Ariq Boqa et aux khans de Perse, de Russie et du Kazakstan-Tibet de l'Ouest (Chagatai). Il fonde la dynastie Yuan (1271-1368), puis confie à Phagpa, neveu de Sakya Pandita qu'il a fait venir à sa cour vers l'âge de 20 ans, l'autorité spirituelle sur tout l'empire. Les Sakyapas devinrent alors les maîtres du Tibet. Il s'ensuit une lutte de pouvoir avec les Drikung Kagyus, qui ont chez les Mongols des alliés puissants : les Houlagides. Le monastère de Drikung sera incendié par les Sakyapas. Au milieu du XIVe siècle, les Phagmodrupas, une autre branche Kagyupa, prend aux Sakyapas le pouvoir sur le Tibet central. Leur chef, Changchub Gyaltsen, reçoit un certain soutien de la cour sino-mongole. Mais c'est bientôt l'avènement de la dynastie chinoise Ming (1368-1644). Affranchi de la tutelle mongole, le Tibet devient de fait indépendant.

Les Gelugpas et les Dalaï Lama

En fin du XIVe siècle Tsongkhapa (1357-1419) lance une nouvelle école en exposant sa propre doctrine après s'être inspiré des autres existantes, qui va devenir un des plus importantes politiquement. Il met l'accent sur la discipline monastique, et fonde donc l'ordre des gelugpas (dits bonnets jaunes) ou vertueux. Les bonnets jaunes construisent d'abord Ganden, ensuite Drepung et Séra. Il semble que les premiers adeptes de cette école aient été appelé du nom du premier monastère construit, à savoir celui de Ganden, donc « Gandenpa ». Ce ne serait que plus tard que de « Gandenpa » ce soit devenu « Gelugpa », donc « les Vertueux ».

Il y aura d'importantes rivalités avec certains bonnets rouges, et notamment les Karmapas. Le retour des mongols sur la scène militaire modifiera rapidement le cours des événements. Ils se convertissent au Bouddhisme et en 1578 ils confèrent au troisième successeur de Tsonkhapa, Sonam Gyatso, le titre de Dalaï Lama ou « vaste comme l'océan ; Océan de sagesse ». Ce titre sera donné à titre posthume à ses deux prédécesseurs. Au XVIe siècle, les gelugpas s'opposant au Karmapa (soutenu par le prince de Shigatse) font appel à Güshi Khan, chef de la tribu mongole des Qoshot. Celui-ci envahit le Tibet en 1640, detrône le roi Tsang et donne à Lozang Gyatso, le 5e Dalaï Lama, le pouvoir incontesté sur le Tibet[5]. Le « grand 5e » instaure le titre de panchen-lama (« grand maître érudit ») supérieur du monastère du Tashilhunpo à Shigatse, renforce l'influence du Tibet jusqu'aux confins de l'Asie centrale et entreprend la construction du palais du Potala. Le régent cacha sa mort pendant douze ans, période pendant laquelle s'acheva la construction du palais du Potala. Jusqu’au treizième dalaï-lama (mort en 1933), tous les dalaï-lamas moururent avant leur majorité. En 1720, l'empereur mandchou Kangxi envoie une armée à Lhassa, sous prétexte d'escorter le septième dalaï-lama et de le rétablir au palais du Potala. L'empereur impose alors la présence d'ambans à Lhassa, transformant ainsi le Tibet central en protectorat chinois, le Kham étant quant à lui rattaché à la province chinoise du Sichuan.

Le treizième dalaï-lama proclamera l'indépendance du Tibet en 1913 suite aux différentes invasions occidentales et à la révolution chinoise du Parti nationaliste Chinois de Sun Yat-sen en 1911.

À partir de 1949, l'intégration du Tibet à la Chine dirigée par le Parti communiste chinois de Mao Zedong entraînera la fin du pouvoir du dalaï-lama sur le Tibet. D'abord maintenu de façon formelle en application de l'accord en 17 points sur la libération pacifique du Tibet que la Chine a imposé au Tibet en 1951, ce pouvoir disparaîtra de fait en 1959 lorsque, à la suite d'une révolte tibétaine à Lhassa contre la présence chinoise, le dalaï-lama se verra contraint de fuir vers l'Inde pour sauver sa liberté et peut-être même sa vie.

Les mesures d'éradication du bouddhisme, au Tibet comme dans toute la Chine, destinées officiellement à mettre fin à toute forme de théocratie et de servage, seront mises en œuvre conformément à l'idéologie communiste, pour atteindre leur point culminant lors de la Révolution culturelle qui verra la destruction de la quasi-totalité des monastères bouddhistes du Tibet.

Quelques dizaines d'années plus tard, la pratique des religions sera de nouveau autorisée sur le territoire chinois, mais restera très contrôlée par le parti central. Le panchen-lama mis en place sous la houlette de Mao Zetong deviendra le chef religieux officiel au Tibet et dans les monastères tibétains de toute la Chine. Le premier d'entre eux après l'invasion aura peu l'occasion d'exercer ses fonctions puisqu'il passera onze ans derrière les barreaux, puis 5 en résidence surveillée, avant de décéder deux jours après avoir plaidé publiquement pour un rapprochement avec le Dalaï Lama.

Le Dalaï Lama, réfugié à Dharamsala, continue de réclamer le retour à un Tibet autonome où les Tibétains pourraient pratiquer leur religion en toute liberté.

Organisation

L'organisation du bouddhisme tibétain se fait selon une hiérarchie traditionnelle dont les trois lamas les plus connus sont :

  • le Dalaï Lama : titre signifiant « océan de sagesse ». Le dalaï lama était le principal dirigeant politique du régime théocratique tibétain jusqu'à ce que la Chine envahisse le Tibet en 1959 et entame une grande répression. Les dalaï lamas sont considérés comme les manifestations du bodhisattva de la compassion, dont le nom est Chenrezig en tibétain et Avalokiteshvara en sanskrit. Ils constituent une lignée de tulkus, maîtres réincarnés. Au décès d'un dalaï lama, ses moines commencent une recherche de sa réincarnation. C'est le Dalaï Lama, détenteur de l'autorité temporelle, qui est le chef spirituel de l'ensemble des écoles bouddhistes tibétaines, et membre de branche Gelugpa.
  • le Panchen Lama : titre provenant de la combinaison de deux mots Pandita, qui signifie « érudit » en sanskrit et Chen-po, qui signifie "grand" en tibétain. Panchen se traduit donc par « grand érudit ». Lama signifie « maître spirituel ». Le Panchen Lama est considéré comme une émanation du Bouddha Amitabha (« de lumière infinie »). C'est le deuxième chef spirituel du bouddhisme tibétain, après le Dalaï Lama.
  • le Karmapa : en sanskrit « la manifestation de l'activité de tous les Bouddhas », est le titre du chef des Karma Kagyu, l'une des quatre écoles majeures du bouddhisme tibétain.

Les écoles du bouddhisme tibétain actuelles

Ces quatre écoles principales sont :

Une cinquième école, Jonang, fut rétablie récemment par le Dalaï Lama.

Les Gelugpa (bonnets jaunes/les vertueux) sont sans doute la lignée du bouddhisme tibétain la plus connue en Occident, du fait de l'appartenance à cette école du Dalaï Lama, chef par ailleurs de l'ensemble des écoles bouddhistes tibétaines.

Cette séparation ne signifie nullement qu'il existe des schismes entre ces écoles. Le bouddhisme, par nature, est une école de tolérance et les quatre lignées se respectent et coopèrent étroitement, comme en atteste le mouvement non sectaire Rimé. Les différences entre les écoles réside, par exemple, dans le fait que les sakyapa sont plus axés sur l'ascétisme, les Gelugpa, sur l'érudition, les Kagyu sur la transmission orale, et les Nyingma sur la méditation.

Selon France24, les Dordjé Shugden de l'école Gelugpa auraient cependant été interdits par le Dalaï Lama en janvier 2008 pour des raisons spirituelles et pour des raisons politiques[6]. Cependant, sur le site du Dalaï Lama, un message demande aux pratiquants du bouddhisme tibétain d'examiner trois problèmes liès à la pratique de Shugden et d'en tenir compte, ajoutant que son avis soit considéré ou pas est laissé à la liberté individuelle[7].

La doctrine

Dans le bouddhisme vajrayana (véhicule de diamant), le but est de devenir un bodhisattva qui signifie « être promis à l'Éveil ». Ayant atteint l'éveil, le bodhisattva n'entre pas en nirvāna mais reste dans le samsara, afin d'aider tous les êtres à se libérer de la souffrance. C'est une démarche de libération collective, au contraire du hīnayāna où l'on recherche la libération pour soi-même principalement.

Les relations avec les pays et régions voisines

Statue de Bouddha à Oulan-Bator en Mongolie

Le bouddhisme tibétain s'est aussi développé en Mongolie, en Siberie (Russie centrale, en particulier en Bouriatie, dans l'Oblast de Tchita et à Touva), en Kalmoukie (sur la rive nord-ouest de la mer caspienne), dans les régions indiennes du Sikkim et du Ladakh au Cachemire, au Népal, et au Bhoutan où de nombreux de bhoutanais vénérent le 14e Dalaï Lama[8] Selon le 14e Dalaï Lama, environ 14 millions de personnes suivent le bouddhisme tibétain dans les régions himalayiennes et asiatiques[9].

En Russie, il y a près d’un million de Bouddhistes en Kalmoukie, Bouriatie et Touva[10].

Le développement du bouddhisme tibétain

L'invasion du Tibet par l'armée chinoise et l'exil du Dalaï Lama suivi par un grand nombre de Tibétains entraîna la coupure du bouddhisme tibétain d'avec son terroir historique et une large diffusion de par le monde de ces enseignements qui jusque là étaient isolés dans les régions himalayiennes et asiatiques. Un adage tibétain dit : « Ton ennemi est ton plus fort éducateur ».

L'activité du Dalaï Lama, pour obtenir une reconnaissance internationale, a assuré au bouddhisme tibétain de disposer de relations publiques de grandes qualités, et de nombreux leaders d'opinion ont adhéré ou se sont intéressés à cette religion ancienne.

Au Tibet, le bouddhisme tibétain a été banni dans les lieux de culte et il a été réprimé dans les lieux privés[réf. souhaitée].

L'auteur controversé T. Lobsang Rampa a présenté une vision très personnelle et remplie de fantastique du bouddhisme tibétain dans ses livres. Paradoxalement, ces écrits de par l'intérêt qu'ils ont suscité, ont orienté beaucoup d'occidentaux vers cette forme de bouddhisme.

Chögyam Trungpa est un maître tibétain de la lignée Kagyu qui, bien que un temps controversé avant de recevoir le soutien du XVIe Karmapa, a grandement contribué à la diffusion du bouddhisme tibétain en Occident (principalement au Royaume-Uni et aux États-Unis).

Art

Les arts Regong, qui ont pour thème le bouddhisme tibétain, ont été inscrits en 2009 sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité[11].

Bibliographie

  • Introduction au bouddhisme tibétain par le XIVème Daïla Lama, Editions Dervy 1998
  • Le Bardo-Thôdol
  • "Bokar Rimpoché: Maître de méditation" (DVD + Livre d'enseignements - www.vertigofilms.be)
  • "Tibet Voyage en Terre Intérieure" de Sylvain et Nathalie Labeste, Georges Naef Editions

Notes et références

  1. Lignée Dakchang
  2. Drikung
  3. Ruth Dunnel The Hsia Origins of the Yüan Institution of Imperial Preceptor. in "Asia Major, 3rd ser.", 5.1: 85-111, 1992, Institute of History and Philology of the Academia sinica, Taiwan
  4. Petech, L. Central Tibet and The Mongols. (Serie Orientale Roma 65). Rome: Instituto Italiano per il Medio ed Estremo Oriente 1990: 6. Shakabpa, 61
  5. Roland Barraux - "Histoire des Dalaï Lamas - Quatorze reflets sur le Lac des Visions" - Edition Albin Michel 1993. Réedité en 2002, Albin Michel, ISBN 2-226-13317-8.
  6. Sur france24
  7. His Holiness the Dalai Lama's Advice Concerning Dolgyal (Shugden)
  8. 30,000 Bhutanese on pilgrimage in India
  9. Tibet Histoire d'une tragédie, Kim Yeshi, préface 14e Dalaï Lama, Édition La Martinière, février 2009, ISBN 978-2-7324-3700-2
  10. No visa for Dalai Lama, says Russian Envoy « Russia has nearly one million Buddhists in its three regions of Kalmykia, Buryatia and Tuva representing around 0.5 percentage of the Russian population »
  11. UNESCO : Les arts Regong : Inscrit en 2009 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité

Voir aussi

Liens externes


Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Bouddhisme tibétain de Wikipédia en français (auteurs)

Игры ⚽ Поможем решить контрольную работу

Regardez d'autres dictionnaires:

  • Bouddhisme Tibétain — On désigne par bouddhisme tibétain le bouddhisme qui s est développé au Tibet. Sommaire 1 Histoire 1.1 Le premier roi religieux : Songtsen Gampo 1.2 Le second roi religieux : Trisong Detsen …   Wikipédia en Français

  • Bouddhisme tibetain — Bouddhisme tibétain On désigne par bouddhisme tibétain le bouddhisme qui s est développé au Tibet. Sommaire 1 Histoire 1.1 Le premier roi religieux : Songtsen Gampo 1.2 Le second roi religieux : Trisong Detsen …   Wikipédia en Français

  • BOUDDHISME - Bouddhisme tibétain — Selon la tradition tibétaine, le bouddhisme fut introduit au Tibet au VIIe siècle, en même temps que l’écriture était inventée et que le pays entrait dans l’histoire grâce à une expansion rapide qui inquiéta la Chine au point qu’un chapitre… …   Encyclopédie Universelle

  • Écoles du bouddhisme tibétain — Bouddhisme tibétain On désigne par bouddhisme tibétain le bouddhisme qui s est développé au Tibet. Sommaire 1 Histoire 1.1 Le premier roi religieux : Songtsen Gampo 1.2 Le second roi religieux : Trisong Detsen …   Wikipédia en Français

  • Le Monde du bouddhisme tibétain — Demande de traduction The World of Tibetan Buddhism → …   Wikipédia en Français

  • Fédération du bouddhisme tibétain — La Fédération du bouddhisme tibétain est une association créée en 1991 à l’initiative du 14e Dalaï Lama pour faciliter sa venue en France et diffuser son enseignement, permettre la communication entre les Centres bouddhistes tibétains adhérents.… …   Wikipédia en Français

  • Bouddhisme Vajrayāna — Le Bouddha Vajrasattva tenant en main le vajra et la cloche Le vajrayāna est une forme de bouddhisme, nommée aussi bouddhisme tantrique, dont la compréhension nécessite celles du mahāyāna et du bouddhisme originel. Il contient des éléments qui l… …   Wikipédia en Français

  • Bouddhisme vajrayana — Bouddhisme vajrayāna Le Bouddha Vajrasattva tenant en main le vajra et la cloche Le vajrayāna est une forme de bouddhisme, nommée aussi bouddhisme tantrique, dont la compréhension nécessite celles du mahāyāna et du bouddhisme originel. Il… …   Wikipédia en Français

  • Bouddhisme vajrayâna — Bouddhisme vajrayāna Le Bouddha Vajrasattva tenant en main le vajra et la cloche Le vajrayāna est une forme de bouddhisme, nommée aussi bouddhisme tantrique, dont la compréhension nécessite celles du mahāyāna et du bouddhisme originel. Il… …   Wikipédia en Français

  • Bouddhisme et Occident — Bouddhisme en Occident Le bouddhisme reste relativement peu répandu en Occident. Cependant, de nombreux occidentaux, notamment européens, à la recherche d une spiritualité nouvelle, éprouvent une forte attirance pour cette croyance. Sommaire 1 Le …   Wikipédia en Français

Share the article and excerpts

Direct link
Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”