Vic-sur-Cere

Vic-sur-Cere

Vic-sur-Cère

Vic-sur-Cère
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Auvergne
Département Cantal
Arrondissement Aurillac
Canton Vic-sur-Cère
Code Insee abr. 15258
Code postal 15800
Maire
Mandat en cours
Louis-Jacques Liandier
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de Cère et Goul en Carladès
Démographie
Population 1 971 hab. (2006)
Densité 67 hab./km²
Géographie
Coordonnées 44° 58′ 50″ Nord
       2° 37′ 33″ Est
/ 44.9805555556, 2.62583333333
Altitudes mini. 652 m — maxi. 1 262 m
Superficie 29,37 km²

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Vic-sur-Cère (en occitan, Vic de Carladés) est une commune française, chef lieu du canton de Vic , située dans le département du Cantal et la région Auvergne.

Sommaire

Géographie

Relief

Entrée du parc sur la RN 122 à Vic-sur-Cère.
Affiche de publicité touristique

Cette ancienne petite station thermale est située dans la vallée de la Cère, à l'entrée du Parc des volcans d'Auvergne du Puy Griou et du Plomb du Cantal.

Le territoire de la commune se trouve sur le fond d'une vallée qui résulte de l'érosion d'un ancien glacier dont les dépôts morainiques ont créé la gorge et la cascade du Pas-de-Cère.

L'ancien bourg, construit en pierres de lave et couvert de lauses de schiste, est établi sur le versant Est de la vallée, à l'abri d'un chaos rocailleux et boisé, dont descend le torrent de l'Iraliot.

Réseaux

Elle est desservie par la RN 122 et sa gare par la ligne de chemin de fer (TER) allant de Clermont-Ferrand (par le tunnel du Lioran) à Toulouse par Aurillac. Cette ligne participe au circuit touristique du Tour du Cantal.

Associations

La commune de Vic-sur-Cère est membre de l'Association des Vic de France qu'elle a accueillie en septembre 2001 et 2005[1].

La commune est jumelée avec celle d'Amorbach en Allemagne.

Histoire

Nommée Vic-en-Carladès jusqu'à la Révolution française, Vic-les-Bains dans les guides touristiques du XIXe siècle, elle tient son nom d'un ancien vicus mérovingien[2], siège de la viguerie auvergnate du Carladez.

Au Moyen Âge, deux enfants de Vic deviennent de célèbres troubadours, Pierre de Cols, et le Moine de Montaudon, de son vrai nom Pierre de Vic, qui fait des études à l'abbaye d'Aurillac, et remportera les prix des tournois littéraires des cours d'amour, rendant ainsi célèbre le nom de la ville dont son père est le seigneur.

En 1561, Vic devint le siège de la cour supérieure de justice du Carladez et de très nombreux procès (plus de 500 par an) s'y tenaient. Les Fourches patibulaires étaient établies le long de l'ancienne route sur les hauteurs, au lieu-dit le Rocher-des-Pendus. Ce dernier reste un lieu intéressant à visiter à cause du panorama qu'il donne sur la Vallée de la Cère.

Après avoir fait raser le château de Carlat, Louis XIII l'a érigé en comté, avec Vic pour capitale, afin de le donner en 1643 à Honoré II Grimaldi, prince de Monaco, en dédommagement de la perte de ses domaines. Il subsiste dans le bourg un hôtel à tourelle appelé "Maison des Princes de Monaco" qui était l'établissement des comte de Carladès ou de leurs représentants.

Au XIXe siècle, le thermalisme est en plein essor, et les eaux de Vic qui sont froides (12°C), ferrugineuses, gazeuses, bicarbonatées et sodiques, ont d'autant plus de succès que la Compagnie des chemins de fer d'Orléans construit une ligne de chemin de fer et deux grands hôtels dont elle fait la promotion: l'un au Lioran, l'autre sur le versant sud qui domine la vallée. Après la Première Guerre mondiale, le thermalisme va peu à peu subir la désaffection générale pour les cures. Plusieurs hôtels fermeront.

Le 11 juillet 1941, l'OSE (Organisation de secours à l'enfance) et l'association de l'Amitié chrétienne, ouvre à l’hôtel Touring Club un centre qui regroupa jusqu'à 70-80 enfants juifs, avec une autorisation préfectorale qui fait nommer comme nouvelle directrice Suzanne Vincent, femme du pasteur Jacquet. En 1943, la direction général de l'OSE se replie à Vic avant de repartir pour Chambéry. Tandis que le Ier mars 1944, la gestapo prévoit une rafle de 144 juifs à Aurillac, aucune arrestation n’eut lieu à Vic où pourtant le responsable départemental de la milice résidait.

Héraldique

Vic-sur-Cère

blasonnement : D'or à la fasce d'azur chargée d'une fleur de lys du champ

Langue locale

Se trouvant du côté sud des monts du Cantal, la phonétique du dialecte carladezien est plutôt languedocienne tout en comportant des aspects auvergnats.

Vic est au XIIIe siècle la patrie de deux troubadours d'expression occitane, Pierre de Cols et Pierre de Vic.

Depuis longtemps, le Carladez entretient des relations suivies avec la Catalogne. Ainsi, c'est Borel, comte de Barcelone, qui au IXe siècle avait emmené avec lui le jeune Gerbert lors de son passage à Aurillac; la région ne tardera pas à être sous la suzeraineté des comtes de Barcelone puis du roi d'Aragon. Pour ces raisons, certains ont cru voir des influences de la langue catalane dans le parler carladezien.

Mais la langue française n'est pas pour autant d'introduction nouvelle à Vic. En effet, le Carladez a été réuni plusieurs fois à la couronne, notamment sous François Ier, et la juridiction d'appeaux, établie à Vic dès le XVIe siècle, ressortissait directement du parlement de Paris. Le bourg était habité par une population de clercs assez nombreuse, instruite au collège d'Aurillac puis aux universités de Toulouse ou de Paris.

La renaissance occitane a connu, comme ailleurs en Occitanie, l'influence du félibrige (dès la fin du XIXe siècle) puis de l'Institut d'études occitanes. Parmi les personnalités locales, on notera Louis Delhostal, félibre et cofondateur de la Societat d'Estudis Occitans.

Économie

La commune de Vic-sur-Cère vit principalement du tourisme. Reconnue comme station verte et village de Neige, elle jouit d'un climat agréable durant l'été et de la proximité de la station de ski du Lioran en hiver.

Vic possède aussi une zone industrielle où sont implantées deux grandes entreprises, l'une qui emploie 185 personnes: la société de fabrication des meubles de cuisines et de salles de bains Pyram.

Elle possède plus d'une dizaine de commerces ou services.

Hôtels

  • Hôtel Arverne, 19 avenue Antoine Fayet.
  • Hôtel et villa des Bains (**), Restaurant, piscine, 9, avenue de la Promenade.
  • Hôtel Beauséjour (***), piscine, construit en 1830, avenue du Parc. 4, avenue André Mercier. 46 chambres et 4 suites.
  • Hôtel Bel-Horizon (**), piscine, 5, rue Paul Doumer, près de la gare.
  • Family Hôtel (**), Restaurant, piscines (intérieure et extrieure), avenue Émile-Duclaux (RN 122), ancienne pension de famille. 59 chambres, 16 maisonnnettes construites en bandes dans son parc.
  • Hôtel du Parc (ancien hôtel du Pont), galerie solarium, salle à manger avec 17 scènes de genre ou paysages peints par l'aubergiste Antoine Cayrol au début du XXe siècle,
  • Hôtel Saint-Joseph (*), Restaurant, 4, avenue du Barrez.
  • Grand hôtel des Sources (**), Restaurant, piscine, 18 avenue Antoine Fayet.
  • Hôtel Terminus, ancien hôtel Touring, Restaurant, 15 avenue Antoine Fayet.
  • Hôtel de la Terrasse (*), Restaurant, 47, avenue du Docteur Jean Lambert (RN 122).
  • Vic hôtel (**) (ancien Hôtel Vialette), piscine, construit vers 1930 dans le style des Années folles (devenu le Casino de Vic), avenue du Docteur Jean Lambert (RN 122).

Maisons de repos, de rééducation ou de retraite

  • Centre Maurice Delort, rééducation et convalescence. Un des deux hôtels construits en 1895 par la compagnie Paris-Orléans, situé avenue de la Duchesse de Fontanges, au-dessus de la gare de Vic
  • Fondation Bertrand. Maison de retraite de la Croix-Rouge, 12, avenue du Docteur Jean Lambert. Séjour pour persones âgées.
  • Centre de l'Olmet, CAT.

Restaurants

  • Paris Auvergne, 54 avenue du Docteur Lambert,
  • La Pergola, avenue Émile Duclaux,
  • Le Family Hôtel, café, bar, restaurant, Avenue Emile Duclaux,
  • Le Sélect Pub, 19 avenue Antoine Fayet,
  • Hôtel Bel-Horizon, café, bar, restaurant, 5 rue Paul Doumer,
  • Casino de Vic-sur-Cère, 35 avenue du Docteur Jean Lambert,

Sports

Un club de tennis presque centenaire

Foot ball

L'équipe de Vic a été créée en 1929.

Tennis

En 2008, c'était le 79ème tournoi open du Vic tennis parc.

Course de chevaux

Le Prix de Vic-sur-Cère, est une course attelée de 2950 mètres sur l'hippodrome de Toulouse .

Administration

La mairie pavoisée aux couleurs de l'Auvergne

Bien que cela ait été contesté et qu'on ignore depuis quelle date, Vic avait une municipalité, avec des consuls en 1551, en 1643 lors de la prise de possession des comtes de Monaco, et encore en 1765, date de l'édit portant création de nouveaux corps de villes dans toutes les villes qui en étaient pourvues avant leur suppression[3]. L'ensemble des registres de délibération ayant été brûlés en 1789 sur l'autel de la Liberté, il ne sera jamais possible de savoir la nature et l'étendue de ces libertés.


Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
1789 François Pagès (1716-1793) maire[4]
Eugène de Murat-Sistrière (1801-1880) Républicain député du Cantal
Étienne Daudin
1896 1909 Antoine Fayet Radical Propriétaire des sources
1909 1913 Ernest Cavaroc Médecin
1913 1941 Gédéon Gizolme Notaire
1941 1944 Pierre Bonnet Vichy
1944 1947 Gustave Gizolme
1947 1953 Guillaume Coutel
1953 1954 Jean Lambert Médecin
1954 1959 Sylvain Mazières
1959 1965 André Mercier
1965 1979 Adrien Daval
1979 1989 Jacques Gizolme
1989 réélu Louis-Jacques Liandier UMP Conseiller général
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
1721 1782 1963 2066 1968 1890 1971
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes
2006 : Population provisoire (enquête annuelle).

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, Vic a beaucoup souffert de la désertification des campagnes qui s'est traduite par une baisse et un vieillissement de sa population, moins importante toutefois que dans les communes rurales du canton. Aujourd'hui, grâce à l'importance de son patrimoine hôtelier, de ses équipements de loisir et de l'agrément de sa situation, on peut constater une stabilisation de sa population à son niveau historique (environ 2000 habitants) à cause des séjours touristiques dans les gites, les camping et les hôtel. Par ailleurs, on observe que des citadins reviennent s'y installer toute l'année pour y passer une retraite paisible.

Lieux et monuments

En ville

Patrimoine historique

Bourg de Vic, vieilles maisons
Boutique de matériel électrique

Équipements publics

Enseignement
  • Les bénédictines de Vic tenaient une école pour les filles au XVIIe siècle.
Santé
  • Hôpital de Vic, existait dès 1431, date à laquelle il est doté par les vicomtes de Carlat. Il comprenait 12 lits en 1779. Situé dans le bourg à l'ouest de l'église, il a été supprimé et vendu comme bien national en 1791[7].
Tourisme, loisirs, sports
  • Office du tourisme
  • Stade vicois, établi sur les anciens communaux.
  • Piscine (construites en 1935, 1968 et 2000)

Aux environs de Vic

Personnalités liées à la commune

(par ordre chronologique)

  • Pierre de Cols d'Orlhac, troubadour,
  • Pierre de Vic dit le Moine de Montaudon, troubadour à la cour de Jacques Ier d'Aragon,
  • Bonne de Berry (1365-1435), et sa fille Bonne d'Armagnac (1399-1415).
  • Marguerite de Valois, reine de Navarre et vicomtesse de Carlat, fut reçue 1586 par les habitants de Vic qui lui offrirent une fête pour le rétablissement de sa santé. De retour à Paris, c'est elle qui mit en vogue la bourrée comme danse à la cour.
  • Anne d'Autriche (1601-1666), reine de France, y serait venue en cure en 1643 pour soigner sa stérilité, ainsi qu'à la Chapelle de la Consolation à Thiézac où elle offrit un ex voto.
  • Guillaume Consul, jurisconsulte, y est né, auteur d'une édition de la Paraphrase de Basmaison sur la Coutume d'Auvergne en 1667,
  • Raymond de Lacarrière (v.1655-1745), né à Vic, prévôt général des Maréchaux pour la Guyenne, siégeant à Montauban.
  • Louis de Boissy (1694-1758), poète, propriétaire du Mercure de France,
  • Louis-Michel de Boissy (1725-1793), fils du précédent, auteur d'ouvrages d'érudition sur le judaïsme (Maïmonide, Esra) qui eurent si peu de succès, qu'il mit fin à ses jours en se jettant par la fenêtre.
  • Joseph Coffinhal (1757-1841), commissaire de l'Empire de la province Illyrienne (Albanie) et de Rome, conseiller d'État, président à la Cour de Cassassion,
  • Jean-Baptiste Pagès des Huttes (1759-1789), garde du corps de la reine, tué en la défendant à Versailles,
  • Jean-Baptiste Coffinhal (1762-1794), vice-président du Tribunal révolutionnaire
  • Michel de Murat-Sistrières (1764-1826), général de l'Empire,
  • Jean Civiale (1792-1832), fondateur de l'urologie moderne,
  • Jean Saphary (1796-1865), professeur de philosophie,
  • Ranavolona II (1803-1883), reine malgache y a séjourné,
  • Émile Duclaux (1840-1904), y séjournait en famille l'été.
  • Aymar de la Baume Pluvinel (1860-1938), pionnier de la photographie des corps célestes possédait le château de Comblat, repose au cimetière de Vic.
  • Paul Signac (1863-1935), artiste-peintre, y fait plusieurs séjours de 1885 à 1887,
  • Henri de Panamard (1869-1945), baron originaire de Montcuq et auteur de romans de gare y a vécu quelques années.
  • Louis Delhostal (1877-1933), félibre, parolier pour Joseph Canteloube, avait remporté en 1895 à l'école normale d'instituteur le prix de poésie en langue d'oc, cofondateur de la Societat d'estudis occitans.
Tombe de Julie Degoul. Cimetière de Vic-sur-Cère
  • Suzanne Vincent-Jacquet et Roger Bonhoure, ancien secrétaire de mairie, Jeanne Lavialle, Michel Vincent, Suzanne Jacquet-Vincent, Gaston Vincent, reconnus justes parmi les nations (en 1986 et 2004)[10].
  • le Colonel de La Rocque (1885-1946), possédait le château d'Olmet que sa fille a donné aux handicapés.
  • Maurice Dage (1903-1994), ses parents tenaient le Café de la Terrasse, ancien instituteur, est l'auteur du Dictionnaire carladézien occitan-français, Mots et expressions en usage dans la haute vallée de la Cère cantalienne au XXe siècle, édition par Noël Lafon, 2006, et Éditions du Convise, Aurillac.
  • Docteur Maurice Delort (1903-1970), médecin très réputé, il faisait ses tournées l'hiver sur les hauts plateaux du Carladez, en traineau avec un attelage de chiens samoyèdes[11].
  • Bernard Frank (1929-2006), réfugié de 1939 à 1945 avec ses parents.
  • Joan de Cabanas, félibrige.
  • Mohamed V, sultan du Maroc (1909-1961) y est venu en visite en 1945 avec le Général De Gaulle (1890-1970)[12].
  • Jeanne Bourin (1922-2003), née Mondot, d'une famille de Vic, historienne.
  • Jean-François Revel (1924-2006), y séjournait en villégiature au-dessus de Muret.
  • Anne-Marie Salomon, religieuse et médecin à Gossi, fondatrice de Œuvre d'entraide ODSAMS Millau-Mali, basée à Savanhac[13].
  • Catherine Delors, avocate, romancière, auteur de "Mistress of the révolution", roman historique qui met en scène trois Cantaliens dont deux Vicois. Elle vit aux États-Unis.

Voir aussi

Notes et références

  1. Association déclarée en 2000 à la préfecture du Gers. Les autres réunions se sont tenues en septembre 2000 à Vic-Fezensac, en septembre 2002 à Vic-la-Gardiole, en septembre 2003 à Vic-le-Comte, en septembre 2004 à Vic-sur-Seille, en septembre 2006 à Vic-la-Guardiole, en septembre 2007 à Vic-le-Comte
  2. "Cartilatum" (Carlat) caput pagi cognominis, Carladez, cui ascribitur Vicus Cerae Seraeve flumini appositus, Vic en Carladez dictum, ut distinguatur a Vico Comitis (Vic-le-Comte), in Arvernia inferiori. Hadr. Vales. Notit. Gall.
  3. Dans le Carladès, trois autres bourgs étaient dans ce cas : Mur-de-Barrez, Calvinet et Laroquebrou. Saige et Dienne, Documents historiques.
  4. Inventaire topographique, introduction historique.
  5. Bulle du pape Grégoire VII, puis unie au monastère de Saint-Flour qui deviendra le Diocèse de Saint-Flour
  6. Ces chapelles étaient en 1771 celles des familles : À gauche, de Miramon, Desistrières et de Comblat, à droite de Comblat, Sobrier de Laubret et Delrieu.
  7. Inventaire topographique, p. 357.
  8. Photothèque cantalienne, clichés Léonce Bouyssou
  9. Reconnaissance pour "Mansus sancti curiassi" de R de La Garde datée du 6 novembre 1274.
  10. Gilles Lévy, L'Auvergne des années noires 1940-1944, éditions De Borée
  11. "Biographie du Docteur Maurice Delort", in Nouvelles archives hospitalières, n°4, Avril 1969. "Biographie du Docteur Maurice Delort, illustrée d'une caricature pleine page", in Le Rictus, journal humoristique médical, n°05, septembre 1928.
  12. Photothèque Cantalienne, photographies de Marcel Miquel
  13. Annick Lacroix, Douze femmes qui soulèvent le monde, Albin Michel, 1999.

Bibliographie

  • Le Canton de Vic-sur-Cère, inventaire topographique, Imprimerie nationale, 1984 ISBN 2-11-080813-6
  • Mémoire en images. Le canton de Vic-sur-Cère, Jean-Marc Daudans, 1997.
  • La Vallée de la Cère et le Carladès vicois, 1987, Chanoine Edouard Joubert, ancien curé de Vic, 334 p., éditions Malroux-Demazel, Aurillac.
  • La municipalité de Vic-sur-Cère (1870-1914), J. Halter, mémoire de maîtrise, Université de Clermont-Ferrand, 1977.
  • Contribution à l'étude climatologique et hydrologique du bassin de Vic-sur-Cère, Henri Joubard.
  • Un coin ignoré du Cantal: Vic-sur-Cère et ses environs, Guide historique avec une carte. Vicomte (Bernard) de Miramon-Fargues, 1899, Paris, Alphonse Picard, 111 p. (réédition 1991).
  • Un petit bout de Campagne : Vic-sur-Cère Henri L. Lavit, 2007
  • Les eaux thermales de Vic-sur-Cère, Catherine Bousquet, 1984, thèse de pharmacie, université Paul-Sabatier, Toulouse.
  • Notice sur les eaux minérales de Vic, arrondissement d'Aurillac., Dr Cavaroc, 1856, éd Picut et Bonnet, Aurillac..
  • Roof of France, Matilda Betham-Edwards.

Articles connexes

Liens externes

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