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Malgache
MalagasyParlée à Madagascar Nombre de locuteurs 20 millions Typologie VOS agglutinante synthétique et accentuelle Classification par famille Statut officiel Langue officielle de Madagascar Régi par Académie malgache Codes de langue ISO 639-1 mg ISO 639-2 mlg ISO 639-3 mlg IETF mg Échantillon Article premier de la Déclaration des Droits de l'Homme (voir le texte en français) Teraka afaka sy mitovy zo sy fahamendrehana ny olombelona rehetra. Samy manan-tsaina sy fieritreretana ka tokony hifampitondra am-pirahalahiana[1]. modifier Le malgache ou malagasy est la langue nationale de la République de Madagascar. C'est aujourd'hui une langue normalisée, principalement dérivée du dialecte parlé par les Merina. Elle est la plus occidentale des langues malayo-polynésiennes et donc des langues austronésiennes. Plus précisément, elle appartient au rameau dit « Grand Barito », dont les langues sont parlées à Kalimantan, la partie indonésienne de l'île de Bornéo, dans l'actuelle région de Banjarmasin, et comprennent notamment le ma'anyan, le samihim, le dusun deyah, mais aussi par des populations surnommées « nomades de la mer », les Bajau. Dans cette région, la langue dominante est aujourd'hui le malais, qui appartient à un autre rameau malayo-polynésien. Le malgache est également utilisé à Mayotte sous le nom de kibushi ou bushi (shibushi en mahorais) dans une vingtaine de villages[2].
Sommaire
Introduction
Le malgache fait partie d'un ensemble linguistique comprenant plus d'une vingtaine de « variantes » locales, qualifiées habituellement de « dialectes ».
Sur le plan lexical, plus de 90 % du vocabulaire traditionnel de la langue malgache dont on peut identifier la filiation remonte à des origines austronésiennes. Le reste est d'origine bantou, arabo-swahili ou sanskrite. Et encore, ces derniers mots, totalisant pour chaque groupe quelques dizaines d'éléments à peine, sont en général cantonnés à des domaines d'activités particuliers. Ainsi les mots d'origine bantou se retrouvent surtout dans le domaine de l'élevage (tels que omby, ondry, akoho) et ceux swahilis celui de certains objets commerciaux, du calendrier et de la divination (alahady, adaoro, sikidy, etc.). Les plus anciens emprunts semblent ceux d'origine sanskrite (tsara, soa, sahaza, sandry, sisa, hetsy), remontant vraisemblablement au voisinage avec les navigateurs malais au cours du premier millénaire. Ce sont en effet les peuples malayophones qui, en Asie du Sud-Est ont été les premiers à subir l'influence des cultures indiennes.
L'écriture moderne de la langue malgache en alphabet latin fut fixée par décret le 26 mars 1823, à la suite d'une concertation entre le roi Radama 1er et les missionnaires britanniques qui venaient d'introduire l'imprimerie dans le royaume. Le principe retenu fut alors que les consonnes devaient s'écrire comme en anglais et les voyelles comme dans les langues latines. Auparavant, quelques lettrés du royaume utilisaient déjà l'alphabet arabe (sora-be ou « Noble écriture ») développé dans le sud-est de l'île.
Le fait que la langue malgache soit originaire d'Indonésie ne doit néanmoins pas faire hâtivement conclure que son ancêtre était ou s'écrivait comme le vieux-malais avec un alphabet de type indien.
La langue malgache possède un vocabulaire très riche (certains dictionnaire malgaches possèdent en effet plus de soixante mille mots)[3]. La richesse du vocabulaire la rend propre à exprimer avec précision les choses abstraites, la poésie et l'image. Le problème majeur de la langue malgache est qu'elle a un vocabulaire très restreint en ce qui concerne la science et les techniques[4].
Depuis le XIXe siècle siècle, la langue malgache a emprunté un nombre considérable de mots aux langues européennes, en particulier l'anglais et le français.
Dans l'aspect actuel de l'orthographe, qui comporte 21 lettres (à savoir les 26 lettres standards de l’alphabet latin moins le c, le q, le w, le u et le x), le o se prononce comme le « ou » français (encore que dans certaines régions, notamment dans les régions côtières — nord, nord-ouest, ouest... et pas que dans les campagnes —, il peut aussi se prononcer comme en français). En revanche, la diphtongue ao tend à se prononcer comme un simple o. Le i se trouvant à la fin de chaque mot s’écrit toujours y. Le e est prononcé comme un é français. Pour les consonnes, le tr et le dr représentent des alvéolaires affriquées, proches du « tram » et du « dream » de l'anglais, avec davantage d'insistance sur le r. Le r est toujours roulé, comme en italien. Le g est dur, comme dans « gare ». Le s, est toujours sourd (comme le ss en français), et légèrement chuinté. Le ts se prononce comme dans « tsigane ».
L'accent tonique tombe en général sur l'avant-dernière syllabe du mot, à moins que celui-ci ne se termine en -ka, -tra, ou -na, auquel cas l'accent tombe sur l'antépénultième. Les voyelles inaccentuées se trouvant à la fin de chaque mot sont à peine prononcées.
Langues et dialectes à Madagascar
D'un point de vue linguistique, « malgache » désigne un groupe de 10 langues étroitement apparentées et parlées par les peuples :
- Bara,
- Betsimisaraka du Sud,
- Betsimisaraka du Nord,
- Masikoro,
- Plateau,
- Sakalava,
- Tandroy-Mahafaly (antandroy),
- Tanosy (antanosy),
- Antankarana (antakarana),
- Tsimihety (tsimihety),
ainsi que le bushi de Mayotte.
À Madagascar, l'unité administrative a instauré le « malgache officiel ».
Le groupe fait lui-même partie d'un sous-ensemble dit « oriental » dans le rameau barito de la branche malayo-polynésienne des langues austronésiennes. Les autres langues de ce rameau sont parlées dans les provinces indonésiennes de Kalimantan du Sud et Kalimantan oriental. Le malgache est donc d'origine indonésienne.
Les locuteurs eux-mêmes ont cependant des origines diverses et, comme la formation de chaque groupe ethno-linguistique peut remonter à plusieurs siècles (et même sans doute, plus d'un millénaire pour certains!), avec ensuite un isolement relatif dans un vaste espace, il est parfaitement normal que bien des différences soient apparues. Dans d'autres parties du monde, des populations de même origine, habitant dans un espace restreint, pratiquant des langues héritant de vieilles traditions écrites mais séparées par des limites d'ordre administratif n'arrivent plus à communiquer avec aisance au bout de quelques siècles.
De manière très schématique, il semblerait ainsi que l'on pourrait répartir les manifestations linguistiques de Madagascar en deux grands ensembles, en partant des différences phonétiques. Le premier regroupe les « langues » ou « dialectes » du littoral occidental et méridional, et le second ceux du centre et de la bande orientale. Entre les deux cependant, bien des signes indiquent des interpénétrations, révélant des contacts ou des déplacements ultérieurs de populations, ce que confirment parfois les traditions historiques.
Exemples de comparaisons phylogénétiques
Une comparaison du vocabulaire de base à partir d'une adaptation de la liste Swadesh permet d'obtenir le tableau suivant :
(Adapté de: VERIN, Pierre, KOTTAK, Conrad P. & GORLIN, Peter (1969). "The Glottochronology of Malagasy Speech Communities." Oceanic Linguistics 8:1.58)
(Voir dans langues malayo-polynésiennes un tableau comparatif présentant les étroites ressemblances entre la langue merina et d'autres langues de la même famille, à savoir le ma'anyan d'Indonésie, le malais-indonésien, le vieux javanais, le cebuano des Philippines, le futuna de la Polynésie occidentale et le proto-austronésien).
Français Malgache Malais-indonésien Tahitien terre tany tanah fenua (indonésien benua = "continent") ciel lanitra langit ra'i eau rano air (danau = "lac") vai feu afo api āuahi homme lehilahy, lahy laki-laki tane femme vehivavy, vaviny wanita, perempuan vahine manger mihinana, homana makan 'amu boire misotro (anciennement minona) minum inu grand lehibe, ngeza,"be" besar rahi petit kely , tity kecil iti nuit alina, Maizina malam po jour andro, matsana hari mahana Emprunts au malais et au javanais
Le malgache comprend de nombreux mots qui n'appartiennent pas aux autres langues barito, et sont des emprunts au malais, parfois au (vieux) javanais :
Malgache Français Malais trozona baleine duyung = dugong horita pieuvre gurita fano tortue penyu hara nacre karah = « moiré » fanohara espèce de tortue penyu karah = tortue imbriquée (Chelonia imbricata) vontana espèce de poisson ikan buntal = Ostraciidae, Tetraodontidae ou Diodontidae tona grosse anguille tuna = espèce d'anguille lamboara espèce de poisson lembuara = poisson géant vidy petit poisson bilis = Anchois bombra (Stolephorus) hoala baie, crique kuala = estuaire rivotra vent, tempête (angin) ribut = tempête tanjona cap, promontoire tanjung andrefana ouest depan = devant atsinanana (avalaha) est belakang = derrière avaratra nord barat = ouest sagary vent du nord-est segara = mer (emprunté au sanskrit) varatraza vent du sud barat daya = sud-ouest tsimilotru vent du nord timur laut = nord-est harana corail karang sambo bateau, vaisseau sāmvaw (vieux malais, emprunté au khmer) nosy île nusa (javanais) Métallurgie
Malgache Français Malais harafesina rouille karat besi firaka étain, plomb perak = argent landaizana enclume landasan Nombres et calendrier
Malgache Français Malais Sanskrit sisa reste sisa çeṣa asotry hiver asuji (javanais) = septembre-octobre açvayuja tantara histoire, légende tantra tantra = doctrine, théorie hetsy 100 000 keti koṭi = dix millions Parties du corps
Malgache Français Malais hihy gencive, dent gigi = dent voto pénis butuh fify joue pipi molotra lèvre mulut = bouche voavitsy mollet buah betis sofina oreille cuping = lobe tratra poitrine dada haranka poitrine kerangka = squelette valahana reins belakang = derrière lamosina, lambosy derrière lamungsir (vieux javanais) = (morceau de viande de) derrière, lambosie (minangkabau) = épaule du bœuf Bibliographie complémentaire
- Adelaar, K. Alexander, "Chapter 4. Borneo as a Cross-Roads for Comparative Austronesian Linguistics", The Austronesians - Historical and
Comparative Perspectives (Peter Bellwood, James J. Fox et Darrell Tryon éds.), Australian National University, 2006
- Dez, Jacques (1963). « Aperçus pour une dialectologie de la langue malgache », Bulletin de Madagascar, n°204, pp.441-451; n°205, pp.507-520; n°206, pp.581-607; n°210, pp.973-994.
- Ferrand, Gabriel (1909). Essai de phonétique comparée du malais et des dialectes malgaches. Paris: Geuthner.
- Wittmann, Henri (1972). "Le caractère génétiquement composite des changements phonétiques du malgache." Actes du Congrès international des sciences phonétiques 7.807-10. La Haye: Mouton.[1]
Phonologie
Voyelles
Avant Milieu Arrière Haute i (i, y) u (o) Moyenne e (e) Basse a (a) Consonnes
Bilabiale Labio-dentale Dentale Alvéolaire Vélaire Glottale Occlusive ou affriquée Sourde [p] (p) [t] (t) [t͡s] (ts) [k] (k) Voisée [b] (b) [d] (d) [d͡z] (j) [ɡ] (g) Sourde prénasale [ᵐp] (mp) [ⁿt] (nt) [Voisée prénasale [ᵐb] (mb) [ⁿd] (nd) [Fricative Sourde [f] (f) [s] (s) [h] (h) Voisée [v] (v) [z] (z) Nasale [m] (m) [n] (n) Latérale [l] (l) Roulée [r] (r) Les alvéolaires s, z et l sont légèrement palatalisées. Tandis que les vélaires k et g sont palatalisées après /i/ comme dans alika qui se prononce [a'likʲə̥] (chien) ; dans l'ancienne orthographe malgache datant du XIXe siècle, ces palatalisations étaient marquées par un i après le k, ce qui donnait alikia qui se prononce [a'likʲə̥][5].
L’accent tonique porte en général sur l’avant-dernière syllabe, sauf pour les mots se terminant par ka, tra ou na, auquel cas l’accent porte sur l’antépénultième syllabe. Cette règle s'applique sur les radicaux mais s'applique rarement aux substantifs formées à partir du verbe.
Les lettres o, y et a sont souvent amuïes lorsqu'ils sont après l'accent tonique. Respectivement, ils labialisent et palatalisent les consonnes leur précédant, quant au a, sa prononciation est très proche du [ə̥] (schwa muet).
Écriture
Le malgache s’écrit avec l’alphabet latin depuis 1823. L’alphabet malgache comporte 21 lettres :
a, b, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, r, s, t, v, y, z.
L’orthographe est à peu près phonétique :
- "i" et "y" représentent le phonème /i/ (y est utilisé en final, i partout ailleurs)
- "o" se prononce /u/
- Les affriquées /ʈʂ/ et /ɖʐ/ s’écrivent respectivement "tr" et "dr"
- /ts/ et /dz/ s’écrivent respectivement "ts" et "j"
- Le "h" est généralement muet.
Par exemple, on écrit Maholy mais pas Maholi
L’alphabet sorabe
Avant l’époque coloniale, les Malgaches utilisaient un alphabet d’origine arabe, l’écriture `ajami ou Sora-be, était utilisé pour les textes d’astrologie et de magie. Le mot sorabe vient de soratra, « écrire », et be, grand. Le mot soratra vient lui-même du malais et du javanais surat, « texte écrit », ce qui laisse supposer que la notion d’écriture a été introduite à Madagascar par des « Indonésiens », probablement des Javanais. On constate en effet par exemple que dans les sorabe, les lettres arabes « dāl » et « ta » sont respectivement réalisées par un point souscrit aux lettres « d » et « t », tout comme l’alphabet pegon, version javanaise de l’écriture arabe, respectivement les rétroflexes « ḍ » et « ṭ », distinctes du « d » et du « t » en javanais. Ce trait laisse supposer que les Malgaches ont appris l’écriture arabe des Javanais.
Si tel est le cas, ce processus a dû avoir lieu lors de contacts poursuivis après la période des migrations d’« Indonésiens » à Madagascar. Un trait du lexique malgache laisse penser que les contacts avec les Malais et les Javanais se sont poursuivis à l’époque où l’influence de l’islam a commencé à être sensible en Indonésie. Par exemple, le mot malgache sombidy, « égorger (un animal) », vient du malais sembelih, « égorger selon le rite musulman », qui est lui-même une corruption de l’expression arabe b’ismi’llahi [bεsmεlæh], « au nom de Dieu », prononcée au moment où l’on égorge l’animal. Le mot malgache ne vient pas de l’arabe, qui a un autre mot pour égorger, mais d’Indonésie à une époque où l’islam imprégnait déjà la société.
Grammaire
Article détaillé : grammaire du malgache.Mini-lexique du malgache
Prononcer 'Ou' pour O, 'ss' pour s, même entre deux voyelles. Exemple dites 'Massou' pour Maso
Attention ces mots comportent leurs subtilités selon le contexte : Tia= aimer = avoir envie de faireA - Afo (motro) = feu
- Aiza = où
- Akondro (katakata) = banane
- Aloha = devant
- Amany = urine
- Ambany = vers le bas
- Ambony = vers le haut
- Ankavananana = à droite
- Ankavia = à gauche
- Antsy = couteau
- Aoriana (Afara) = derrière
- Avaratra = Nord
- Atsimo = Sud
- Andrefana = Ouest
- Atsinanana = Est
- Azafady = pardon, s'il vous plaît
B - Betsaka, (maro) = beaucoup
C D - Dipoivatra = poivre
- Dokotera = docteur
E - Eny(Ya), eka, eka oaho = oui
F - Fahasalamana = la santé
- Faly (ravo) = heureux
- Fanafody = médicament
- Fiara = véhicule
- Firy ? = combien
- Fohy = bas, court
G - Goaika = corbeau
H - Havo = haut
- Hena = viande
- Inona = quoi, qu'est-ce
- Iza = qui est-ce
J - Jiro = lumière
- Jôro(Vavaka) = prière
K - Kely (hely) = petit, peu (# Maventy, maro)
- Koaitra = maman
L - Lahy = mâle (animal)
- Lanitra = ciel
- Lava = long
- Lehibe = grand
- Lehilahy = homme/garçon
M - Madio = propre
- Mahay = savoir
- Maivana = léger
- Maloto, makota = sale
- Mamy = sucré,doux
- Manana = avoir
- Manao ahoana (manaôna) = mbola tsara = manakory = bonjour
- Manavy = avoir de la fièvre
- Manify = mince
- Maraina = marandraigny = matin
- Marary, manavy, maôly = malade
- Masina = Saint, Salé; Rano+masina = La mer
- Maso = œil(ou yeux)
- Masoandro(mot à mot : « Œil-Jour ») = Soleil
- Matevina = épais
- Maty = mort
- Mavesatra = lourd
- Mianatra = étudier
- Miantso = appeler
- Miarahaba = saluer
- Miasa = travailler
- Mihinana, Misakafo, = manger
- Misaotra = merci (+ betsaka = merci beaucoup)
- Misotro, Migiaka = boire
- Misy = il y a
- Miteny = parler
- Mitomany = pleurer
- Mofo = pain
- Mosary = avoir faim (langage du Nord)
N - Noana = avoir faim
- Nisotroina = avoir bu
O - Orana = pluie
- Ôroka, Bâ = bisou
- Ôtrino (ohatrinona) = combien ça coûte
P - Paiso = pêche
- Peratra = bague
Q R - Rano = eau
- Ranomasina = mer
- Rahampitso (amaray) = demain
- Rivotra = air, vent
S - Sakafo = le repas
- Sakay = piment
- Sakay tany = gingembre
- Sambo = bateau
- Sira = sel; Sira+mamy = sucre
- Sifotra = escargot
- Sy = et
T - Taï ou Tê = tous rejets par voies inférieures animales (ou humaines)la prononciation peut varier
- Tany = terre
- Tia = aimer
- Toetr'andro = la météo
- Tompoko → forme de politesse pouvant se traduire par monsieur/madame, exemple : veloma tompoko (se prononce : vélouma toumpouk)= au revoir madame/monsieur
- Trano = maison
- Tsara fa misaotra = bien merci
- Tsia = non
- Trondro (lôko) = poisson
U V - Vary = riz
- Vato = pierre, caillou
- Vehivavy = Viavy = vaiavy = femme/fille
- Veloma = au revoir
- Velona = vivant, en vie
- Vintsy = sorte de martin-pêcheur
- Vizaka ,reraka,kajo= fatigué
- Vitsy = peu
- Voasary = orange
- Voasary makirana(tsaoha matsiko) = citron
- Voataby = tomate
- Vola = argent
- Vonjeo = au secours
- Vavy = femelle (animal)
W X Y Z - Zavatra = chose
Notes et références
- soit phonétiquement : ˈte.ra.ka ˈa.faka si mʲi.ˈtuvʲ ˈzu si faː.me.ˈnɖʐeɐna ni ˌu.lum.ˈbe.lu.na reːʈʂ ˈsamʲ ˌma.nan.ˈtsajna si fi.e.ri.ʈʂe.ˈre.ta.na ka ˈtu.kunʲ i.fam.pi.ˈtunɖʐ am.pi.raː.la.ˈinɐ
- http://www.corpusdelaparole.culture.fr/spip.php?article124
- Dictionnaire malgache en ligne
- Grammaire moderne de la langue malgache
- A grammar of the Malagasy language, de David Griffiths
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- (en) Fiche langue dans Ethnologue.com
- (fr) Gasikara.net : initiation au malgache.
- (mg)/(fr)/(en) Liste des mots malgaches avec la prononciation enregistrée en audio
- (fr) Voyage linguistique autour de l'Île Rouge : dictionnaires français-malgache/malgache-français, grammaire de base et guides de conversation.
- (fr) Dictionnaire malgache-français/français-malgache Freelang
- (mg)/(fr) Traducteur en ligne malgache-français et français-malgache freelang
- (fr) Dictionnaire Français/Malgache en ligne
- (en) Austronesian Basic Vocabulary Database
- (fr) Madatsara : Flux RSS des quotidiens malgaches - Discussion sur la provenance de la langue malgache
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