- Rosporden
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Rosporden
L'église de Rosporden et son imposant clocher.
DétailAdministration Pays France Région Bretagne Département Finistère Arrondissement Quimper Canton Rosporden (chef-lieu) Code commune 29241 Code postal 29140 Maire
Mandat en coursGilbert Montfort
2001-2014Intercommunalité Communauté de communes de Concarneau Cornouaille Site web Site de la commune Démographie Population 7 026 hab. (2008[1]) Densité 122 hab./km² Gentilé Rospordinois, Rospordinoises Géographie Coordonnées Altitudes mini. 25 m — maxi. 171 m Superficie 57,37 km2 Rosporden, Rosporden également en breton, est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France. Ses habitants se nomment les Rospordinois et les Rospordinoises.
Sa population s'élève à 6 441 habitants (1999), dont 2 664 pour la commune associée de Kernével, qui s'associa avec Rosporden en 1974 suite à un référendum.
La petite cité, située au bord d'un étang, formé par l'Aven, s'est spécialisée dans la fabrication du chouchen (version bretonne de l'hydromel), boisson faite d'eau et de miel, au point d'être considérée comme étant sa capitale[2].
Sommaire
Géographie
La commune de Rosporden est située dans le sud-est du Finistère. La ville proprement dite est située, à vol d'oiseau, à 11,4 km au nord-est de Concarneau[3] et à 21,0 km à l'est de Quimper[4].
La ville de Rosporden, sise au bord de l'étang du même nom, constitue la principale agglomération de la commune, tandis que le bourg de Kernével, distant de 4 km en direction de l'est, et doté d'une mairie annexe, constitue une importante agglomération secondaire.
La commune est arrosée par l'Aven, un petit fleuve côtier qui a une direction générale nord-sud, et le Ster Goz, son principal affluent, ainsi que par de nombreux autres cours d'eau plus modestes.
Histoire
Les origines de Rosporden
À l'époque gallo-romaine une villa, dans le sens de domaine, était implantée sur le territoire actuel de Rosporden. Au début du XIe siècle le comte de Cornouaille confie cette contrée à un de ses vassaux, Preden. Ce dernier établira son fief sur une éminence dominant l'Aven. Celui-ci prendra le nom de Roz Preden, Roz signifiant colline en breton, pour donner plus tard Rosporden. Afin d'assurer une meilleure protection des lieux, on entreprit l'édification d'une digue barrant le cours de l'Aven, qui fut à l'origine du grand étang de Rosporden
Rosporden était le chef-lieu d'une châtellenie sous l'Ancien Régime, souvent associée aux châtellenies de Fouesnant et de Concarneau. Au point de vue religieux, Rosporden était une trêve de la paroisse d'Elliant. Cette châtellenie de Rosporden fut concédée en 1334 par le duc Jean III à son frère Jean de Montfort. En 1382 elle sera concédée à Jeanne de Retz.
Incendie de Rosporden par les troupes espagnoles (Août 1594)
En cette funeste année 1594 la Bretagne est à feu et à sang. Les troupes royalistes soutenues par les anglais et les troupes des ligueurs soutenues par les espagnols s'entredéchirent. Les espagnols, qui disposent de 7000 hommes de troupe dans la péninsule sous les ordres de Don Juan d'Aguila, possèdent une solide base arrière avec la citadelle de Blavet futur Port-Louis et sont en train de construire un fort en face de Brest dans la presqu'ile de Crozon. C'est que Philippe II d'Espagne aimerait bien faire main basse sur la péninsule. Les habitants de Rosporden, qui étaient de la ligue, firent fête aux espagnols . Ceux-ci y passèrent une douzaine de jours en divers jeux: tournois et courses de bague. Mais ils furent mal récompensés de leur hospitalité. En effet, peu de temps après, une trentaine d'espagnols furent surpris et tués par les hommes du commandant de la place forte de Conq, futur Concarneau, qui soutenait le roi Henri IV, aux environs de Locmaria-an-Hent. Pour se venger, faute de mieux, les espagnols s'en prirent aux habitants de la région. Ils mirent le feu aux maisons de Rosporden dont les toitures étaient couvertes de chaume. La cité se transforma rapidement en un brasier. L'incendie endommagea même l'église dont une partie du mobilier et le beffroi furent brûlés. Les habitants qui n'arrivèrent pas à leur échapper furent massacrés.
Autonomisme Breton
Le Parti Autonomiste Breton tint à Rosporden sa première réunion officielle et aussi son premier congrès. Il eut lieu le 10 septembre 1927 dans l'établissement dit de la "Vieille Auberge" toujours ouvert aujourd'hui. Y figuraient entre autres des autonomistes alsaciens et corses. Le parti inaugura le concept autonomiste en Bretagne sur le modèle alsacien. Y étaient présents Yann Sohier, Olier Mordrel, François Debauvais, Morvan Marchal, Paul Schall et Petru Rocca.
Seconde guerre mondiale
Le Général De Gaulle vint à la libération de la France à Rosporden, le 22 juillet 1945, durement touchée durant les terribles heures de la Libération.Il s'arrêta également à la croix lanveur ( commune de Kernével à l'époque )où il fut salué par les autorités de la commune de Kernével et par la populations du bourg et de ses alentours. En effet une quinzaine de maisons furent incendiés par les Allemands et les Russes Blancs. Rosporden faillit connaitre le sort d' Oradour sur Glane.En représailles, des responsables locaux de la résistance se firent remettre des soldats allemands faits prisonniers à RIEC SUR BELON et totalement étrangers à ces exactions. Un soldat fut fusillé sans jugement dans chaque maison brûlée, le plus jeune d'entre eux n'avait pas 18 ans. Les corps laissés à l'abandon furent récupérés par l'armée Américaine qui leur donna une sépulture décente.
Evènement récent
En pleine campagne présidentielle 2007, Ségolène Royal (PS) vint inaugurer la nouvelle mairie de Rosporden.
Langue
Si le français est aujourd'hui la langue usitée quotidiennement par les Rospordinois, cela n'a pas toujours été le cas par le passé. Un voyageur de la seconde moitié du XVIIe siècle, Albert Jouvin de Rochefort, n'a retenu de son séjour dans la ville de Rosporden que son embarras pour se faire servir dans une auberge à cause de son ignorance du breton. « Il faut que je l'avoue que c'est une incommodité de ne pas entendre entièrement la langue du pays où l'on voyage.» En 1902, le breton était déjà en net recul dans la ville, puisque selon une enquête diocésaine, le catéchisme y était enseigné majoritairement en français.
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2001 2008 Gilbert Monfort PS Conseiller Général 2008 en cours Gilbert Monfort PS Conseiller Général Toutes les données ne sont pas encore connues. Liste des maires successifs de Kernevel Période Identité Étiquette Qualité 2007 en cours Norbert Bourgeois Divers Droite maire délégué de Kernevel 1998 2007 Jacques Rannou PCF maire délégué de Kernevel 1977 1998 Francis Dufour PCF maire délégué de Kernevel 1949 1977 René Nicolas tendance communiste maire délégué de Kernevel à partir de 1974 1945 1949 Marie Mahé tendance communiste 1935 1945 Ernest Boédec radical-socialiste 1919 1935 Jean Créo radical-socialiste propriétaire, médaille militaire et croix de guerre 1910 1919 Yves Boédec radical-socialiste 1902 1910 Jean Marie Kersulec 1888 1902 François Montfort 1876 1888 Henri Burel propriétaire cultivateur 1870 1876 Louis Le Bihan 1855 1870 Henri Gorret 1853 1855 Henri Burel Propriétaire Cultivateur 1842 1853 L’Haridon 1839 1842 Laporte Toutes les données ne sont pas encore connues. Démographie
Évolution démographique
D’après le recensement Insee de 2007, Rosporden compte 6 928 habitants (soit une augmentation de 8 % par rapport à 1999). La commune occupe le 1 401e rang au niveau national, alors qu'elle était au 1 429e en 1999, et le 22e au niveau départemental sur 283 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Rosporden depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint 1975 avec 7 082 habitants.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28,7 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (24,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,8 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 48,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,8 %, 15 à 29 ans = 15 %, 30 à 44 ans = 22,6 %, 45 à 59 ans = 19,9 %, plus de 60 ans = 23,8 %) ;
- 51,8 % de femmes (0 à 14 ans = 15,3 %, 15 à 29 ans = 13 %, 30 à 44 ans = 20 %, 45 à 59 ans = 18,3 %, plus de 60 ans = 33,4 %).
Commune associée de Kernevel
Jusqu'en 1975, Kernevel était une commune indépendante de Rosporden appartenant au canton de Bannalec. À l'inverse de la commune de Rosporden de taille très modeste et très urbanisé, la commune de Kernevel était essentiellement rurale et de taille assez importante. Selon, la notice sur la paroisse écrite par les chanoines Peyron et Abgrall en 1915, la première mention de Kernevel remonte au cartulaire de Quimper de 1368. Kernével faisait partie des terres de Trevennou cédées à l'abbaye Sainte-Croix de Quimperlé en l'an 1030 et devait appartenir à une des communes primitives (Bannalec ou Scaër). Le bourg de Kernevel est situé à quatre kilomètres à l'Est de Rosporden et possède une église paroissiale, une maire annexe, une école primaire ainsi qu'une poste et des commerces de proximité. La commune de Kernevel appartenait à une vicomté de vaste dimension dont le siège se trouvait à Goarlot (petit hameau situé à quatre kilomètres au sud du bourg de Kernevel) qui fut rattachée à la fin du XIIIe siècle à la seigneurie de Pont-l'Abbé. Le livre de l'Ost de Cornouaille nous apprend qu'en l'an 1294, le seigneur de Pont-l'Abbée doit deux chevaliers dont l'un pour la vicomté de Goarlot. Le vicomte de Goarlot avait droit à la basse et moyenne justice tandis que la haute justice était du ressort des seigneurs de Quimerc'h (Bannalec) malgré la présence de Justices et de fourches patibulaires attestées sur le territoire communale.
Informations diverses
- Article "Rosporden" du dictionnaire de la province de Bretagne Ogée de 1778
Rosporden; petite ville qui relève du roi, et trêve de la paroisse d'Elliant; ail. '/» au S.-E. de Quimper; son évêché; à 35 1. de Rennes, et à 2 1. Va de Concarneau, sa subdélégation. Deux grandes routes arrivent à cette ville, où il y a une poste aux chevaux, et où l'on compte 900 habitants. Il s'y tient quatorze foires par an, et un marché par semaine. On y remarque un très-bel étang, qui forme la rivière de Pont-d'Aven*. L'an 1331 , le duc Jean lII donna à Jean de Bretagne, son fils, la petite ville de Rosporden, avec toutes les seigneuries et jurisdictions qui en dépendaient, et les foires et marchés qui y étaient établis. La jurisdiction royale de cette ville fut unie et incorporée au siège présidial de Quimper, par édit du roi Charles IX, donné à Troyes en Champagne, le29 mars 1564. La haute-justice de Coëtcanton * appartient à M. de Ploeuc, et la haute-justice de Garlot, à M. de Guernisac.
- Article "Rosporden" du dictionnaire de la province de Bretagne Ogée de 1848
ROSPORDEN ; commune formée de l'anc. trêve d'Elliant aujourd'hui cure de 2- classe ; chef-lieu de perception ; résidence d'une brigade de gendarmerie à cheval ; bureau de poste et relai. — Lirait. : N. Tourc'h, E. Kernevel- S MelgVen ; O. Elliant, Saint-Yvi. — Princip. villages : Kit'anou Coat-Culodcn, tylué, Hnion. rçdannes. -Maisons notables : les châteaux de kmnio et de Coat-Canton ; chapelle Saint Eloi. — Superf. tot. : 1071 hect., dont les princip. div. sont : 1er. lab. 376; prés et pat. 95; verg. et jard. 19; étangs et canaux 52; bois 20; incultes 458; sup. des prop. bat. 8 ; cont. non imp. 42. Const div. 151; moul. 1 (de Rosporden, à eau). Cjf Rosporden est situé sur le bord d'un joli étang pouvant avoir 45 hect. de superficie. La rivière d'Aven s'y jette, au lieu de s'y former comme le dit Ogée ; au sortir elle est assez forte pour porter bateau. — Le bourg est lui même d'un aspect attrayant. L'église, d'un gothique lourd et massif, qui peut remonter au XVIIe siècle, est surmontée par une élégante flèche en granite. — A un quart de lieue de Rosporden est le château de Coat-Canton, dont l'arrière-façade est du style XIV siècle, alors que la façade principale est d'une restauration qui remonte tout au plus à la fin du XVII'. — Les fermiers âgés agissent généralement dans cette commune ainsi que nous venons de le dire pour celle de Rosnoén (voy. ce mot) ; quelquefois aussi les parents se retirent dans des maisons qu'ils afferment, faisant sur la ferme qu'ils abandonnent à leurs enfants des réserves proportionnées à l'importance de ces fermes, et qui s'élèvent quelquefois à 18 quintaux de blé froment. — Rosporden ne manque pas de bois de chauffage ; mais il faut aller chercher le bois de construction à plus de trois lieues. —Il y a foire au chef-lieu les 7 janvier, 8 février, 19 mars, 25 avril, 25 juin, 22 juillet, 16 août, 18 octobre et 6 décembre , le lendemain de la Trinité, le jeudi après le 14 septembre, et le 1er jeudi de novembre. Ces foires et celles de Coray sont à peu près les seules que les habitants de cette commune fréquentent. — Archéologie • Dom Morice. Preuves, t. II, col. 433, 434,1320, 1418; t. III col. 348, 102t. — Géologie : constitution granitique. — On parle le breton et le français.
- Article "Kernevel" du dictionnaire de la province de Bretagne Ogée de 1778
Dans un fond ; à 5 lieux 1/4 à l'E.S.E de Quimper, son évéché; à 34 lieux de Rennes, et à 3 Lieux de Concarneau, sa subdélégation et son ressort. On y compte 1700 communiants. La cure est à l'alternative. Ce territoire, arrosé de plusieurs ruisseaux, renferme des terres en labour, des prairies, des landes, et produit beaucoup de cidre. Ses maisons nobles, en 1400, étaient le Quinilit, le Gouazel, Kerronay, le Querlot, Kergouet, Trelouarn et Bihan.
- Article "Kernevel" du dictionnaire de la province de Bretagne Ogée de 1848
QUERNEVEL ou mieux KERNEVEL (sous l'invocation de Saint Gilles); commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom; aujourd'hui succursale; bureau des douanes. Cambry rapporte une coutume particulière à cette localité. Pendant toute la première nuit de noces, on donne des noisettes à la mariée. Les noix chez les Romains, étaient l'emblème du mariage, sans doute à cause de leur double enveloppe. Les noisettes avaient elles chez les celtes la même signification ? Il y a en QUERNEVEL, outre l'église qui n'offre rien de remarquable, les chapelles du Moustoir, sous l'invocation de Saint Maurice; de Locjean sous l'invocation de Saint Jean; de Beniguel, enfin sous l'invocation de Sainte Yvonne. La chapelle du Moustoir, située à l'extrémité d'une belle avenue de hêtres, date de 1538. Son portail gothique est d'un style élégant, et fait un bel effet sous le dôme de verdure qui l'ombrage. Cet édifice parait avoir été construit sur les débris d'une chapelle qui avait appartenu aux templiers. On trouve, à peu de distance, une butte artificielle, en forme de cône, au sommet de laquelle s'élevait une tour fortifiée, appelée le Moustoir (du latin Monasterium). Les paysans des environs appellent encore cette butte C'hastel ar Menech ruz (Château des Moines Rouges), dénomination par laquelle ils désignent constamment les Templiers, erreur que nous avons déjà relevée plusieurs fois. Géologie : constitution granitique. On parle le breton.
Monuments
- Église Saint-Gilles-et-Saint Colomban (l'église paroissial du bourg de kernevel) :
L'église de Kernevel fut dédiée en premier à Saint-Colomban puis à Saint-Gilles, le pardon de l'église à d'ailleurs lieu le jour de la Saint-Gilles.
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- un très beau tableau du rosaire dans le transept droit
- un beau saint benoît en pierre
- Chapelle de Saint-Jean-Baptiste de Locjean :
- un clocher de style cornouaillais (une tourelle parallèle au clocher abrite l'escalier)
- Chapelle du Moustoir
- à noter : un magnifique portail XVIe siècle inspiré par la chapelle de saint-herbot
- Chapelle Sainte-Yvonne
- Chapelle Saint-Éloi
- Église Notre-Dame.
Média Local
- La chaîne radiophonique associative Rospordinoise MAXXI ONE, émet aujourd'hui ses émissions au-delà de son territoire entre Pleyben et Lorient sur le 107.50 FM. Ces émissions estivale ne sont que temporaire pour l'instant. Le station entend emettre à l'année sur la bande FM dès 2011.
Notes et références
- Populations légales 2008 de la commune : Rosporden sur le site de l'Insee
- extrait en ligne (consulté le 25 septembre 2010). « l'hydromel jouit, depuis la crise du cidre, environ 1925, d'une fortune éclatante dans sa capitale de Rosporden », dans La revue des deux mondes, 1941, p. 229
- Calcul de l'orthodromie entre Rosporden et Concarneau. Consulté le 23 novembre 2009
- Calcul de l'orthodromie entre Rosporden et Quimper. Consulté le 23 novembre 2009
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 21 novembre 2010
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 21 novembre 2010
- Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 21 novembre 2010
- Évolution et structure de la population à Rosporden en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 21 novembre 2010
- Résultats du recensement de la population du Finistère en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 21 novembre 2010
Bibliographie
- Henri Guiriec, Rosporden, histoire de la paroisse, première édition 1951, le Livre d'histoire, 143 p., 2003 (ISBN 9782843734250).
- Annick Fleitour, Le petit train Rosporden - Plouescat, éditions Ressac, Quimper, 2001 (ISBN 2-904966-40-4).
- Cyrille Maguer, Rosporden, Mémoire en images, A. Sutton, 127 p., 2007 (ISBN 9782849106501).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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