Ribérac

Ribérac
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45° 14′ 52″ N 0° 20′ 23″ E / 45.2477777778, 0.339722222222

Ribérac
La mairie de Ribérac
La mairie de Ribérac
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Canton Ribérac
(chef-lieu)
Code commune 24352
Code postal 24600
Maire
Mandat en cours
Rémy Terrienne
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du Ribéracois
Site web Site officiel
Démographie
Population 4 125 hab. (2008)
Densité 181 hab./km²
Aire urbaine 5 685 hab. (2008)
Gentilé Ribéracois
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 52″ Nord
       0° 20′ 23″ Est
/ 45.2477777778, 0.339722222222
Altitudes mini. 54 m — maxi. 155 m
Superficie 22,79 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Ribérac (Rabairac en occitan[1]) est une commune française, située dans le département de la Dordogne et la région Aquitaine.

Sommaire

Géographie

En aval du pont de la RD 708, la Dronne marque la limite entre Ribérac (à gauche) et Villetoureix.

À l'ouest du département de la Dordogne, la commune de Ribérac, entièrement située en rive gauche de la Dronne, principal affluent de l'Isle, est bordée à l'est par la Peychay qui la sépare de Saint-Méard-de-Drône.

Au nord de la commune, le sol en vallée de la Dronne est recouvert d'alluvions holocènes alors que les hauteurs sont composées de calcaires du Crétacé[2]. Son altitude minimale, 54 mètres, se situe à l'extrême nord-ouest de la commune, là où un petit bras de la Dronne quitte le territoire communal et sert brièvement de limite entre Comberanche-et-Épeluche et Vanxains. Le point culminant se trouve au sud, près du lieu-dit Enberry, en limite de la commune de Saint-Martin-de-Ribérac.

La ville de Ribérac est établie de part et d'autre du Ribéraguet, un petit affluent de la Dronne. Elle est située, en distances orthodromiques, 24 kilomètres au nord de Mussidan et 30 kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Périgueux, à l'intersection des routes départementales 13, 20, 708 (l'ancienne route nationale 708 et 709 (l'ancienne route nationale 709).

La commune est également desservie au sud-est par la route départementale 5 et au nord-est par la route départementale 710 (l'ancienne route nationale 710).

Jadis, les lignes ferroviaires Magnac-Touvre - Marmande et La Cave - Parcoul-Médillac, aujourd'hui désaffectées, se croisaient à la gare de Ribérac.

Environnement

Plusieurs zones de protection, principalement liées à la Dronne, sont délimitées sur le territoire communal.

Natura 2000

Le moulin de Papalis sur la Dronne.

Au nord de la commune, la Dronne et sa vallée représentent une zone Natura 2000 : la « vallée de la Dronne de Brantôme à sa confluence avec l'Isle ». La rivière s'écoule dans un milieu principalement composé de prairies humides et de terres cultivées avec des zones de bocage. On y rencontre plusieurs espèces de poissons menacées ainsi que des écrevisses à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) et des visons (Mustela lutreola)[3].

ZNIEFF

La vallée de la Dronne se subdivise en deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 protégées pour leur faune et leur flore spécifiques :

  • sur la presque totalité de son parcours en limite nord de la commune, la « zone bocagère de la vallée de la Dronne de l'embouchure à Épeluche »[4],[5].
  • à l'extrême nord-ouest, la « vallée de la Dronne d'Épeluche à Saint-Aulaye »[6],[7].

Sites

Le manoir de la Beauvière et son pigeonnier.

Toujours le long de la Dronne, le site de la Rivière, (comprenant également le Grand Pont sur la commune de Villetoureix), est, sur plus de 56 hectares partagés avec les communes d'Allemans et Villetoureix, un site inscrit depuis 1991[8],[9].

Au nord-est, au sud de la route départementale 710, le site de la Beauvière est, sur près de sept hectares, lui aussi inscrit depuis 1974[10],[11].

Communes limitrophes

Toponymie

Dans les écrits, le nom apparaît au Xe siècle lié au château sous la forme Castellum Ribairac. On trouve ensuite successivement Ribeirac au XIIe siècle, Arribeyrac au XIIIe siècle puis Ribeyrac au XIXe siècle[12]. Son étymologie pourrait s'expliquer de deux façons différentes : soit à partir de riparius indiquant la présence de rives, soit dérivé du nom gallo-roman Rabirius suivi de -acum indiquant la propriété. Il correspondrait alors au « domaine de Rabirius »[12].

Son nom occitan est Rabairac[1].

Histoire

En 1790, Ribérac devient chef-lieu de district.

En 1793, la commune de Faye fusionne avec Ribérac[12].

Dès 1800, Ribérac devient l'une des trois sous-préfectures de la Dordogne, fonction qu'elle perdra par décret-loi du 10 septembre 1926.

En 1851, une partie du territoire communal est démembrée pour créer la nouvelle commune de Saint-Martin-de-Ribérac.

Le 26 mars 1944, les Allemands prennent position à Ribérac et Mussidan, le général Walter Brehmer installant même son quartier général à Ribérac. Ils sillonnent la forêt de la Double orientale et déclenchent des incendies pour débusquer les maquisards[13].

Parmi la vingtaine de Français exécutés dans cette zone par les Allemands ce jour-là figuraient cinq habitants de Ribérac[14], dont trois garagistes accusés d'avoir ravitaillé les véhicules des maquisards[13]. De nombreuses autres personnes arrêtées seront envoyées en déportation ou au STO[13].

Blason

Le blason de Ribérac au fronton du bâtiment de la Caisse d'épargne.

D'or à trois fasces de sinople, au sautoir d'argent chargé d'une étoile d'azur, brochant sur le tout

Administration

La mairie
Liste des maires successifs[15]
Période Identité Étiquette Qualité
septembre 1789 décembre 1789 Jean Baptiste Pourteiron   Avocat
décembre 1789 février 1790 François Soubiran    
février 1790 novembre 1792 Constantin Joseph Pluchard    
novembre 1792 1795 Raymond Darène    
1795 1800 officiers municipaux[16]    
mai 1800 1816 Joseph de Roche   Officier à la retraite
juillet 1816 1826 Jean-Baptiste de Fourtou[17]    
novembre 1826 mars 1833 Pierre Mathieu[17]   Docteur en médecine
mars 1833 novembre 1846 (Pierre) Placide Léonardon   Notaire
novembre 1846 1848 Antonin Guillemot    
mars 1848 1851 Pierre Serbat    
novembre 1851 janvier 1855 Élie (François) Delugin   Avocat
janvier 1855 1858 (Jean Prosper) Achille Simon   Docteur en médecine
avril 1858 1864 Pierre (Camille) Augey-Dufresse[17]    
janvier 1865 1870 (Marie François) Oscar Bardi de Fourtou    
1870 février 1874 Pierre Serbat    
février 1874 avril 1877 Paul Durieux[17]   Docteur en médecine
mai 1877 janvier 1878 (Pierre) Henri Duteuil   Avocat
février 1878 novembre 1878 Pierre Serbat[17]    
décembre 1878 mars 1887 (Jean Prosper) Achille Simon[18]   Docteur en médecine
avril 1887 juin 1889 (Antoine) Achille Larobertie[17]   Docteur
juin 1889 octobre 1891 (Pierre) Henri Duteuil   Avocat
octobre 1891 novembre 1892 Pierre Serbat[18]    
décembre 1892 février 1895 (François) Honoré Aurillac[18]   Médecin en retraite
mars 1895 1897 (Pierre) Joachim Souraud[17]    
mars 1897 juillet 1903 Joseph Debonnière[17]   Marchand drapier
juillet 1903 décembre 1905 Pierre Rouchaud[18]   Percepteur en retraite
janvier 1906 mars 1906 (Pierre, dit) Henri Videau[18]    
avril 1906 novembre 1906 Joseph Debonnière   Marchand drapier
novembre 1906 août 1907 Pierre Simon[17]   Médecin vétérinaire
octobre 1907 mai 1908 Antoine Lavaud   Négociant
mai 1908 février 1941 Jules Brunet[19]    
1941 mai 1944 Edmond Coste   Capitaine de gendarmerie en retraite
juin 1944 août 1944 Marius Depardieu    
août 1944 octobre 1947 Antoine Cruveiller   Ingénieur des travaux publics
octobre 1947 1962 Jules Brunet    
1962 1971 Henri Crassat    
1971 mars 2001 Bernard Cazeau PS Docteur en médecine
mars 2001 en cours (réélu en mars 2008) Rémy Terrienne PS Fonctionnaire des finances en retraite
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Jumelage

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Ribérac depuis cette date. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Ribérac, cela correspond à 2007, 2012, etc[20]. Les autres dates de « recensements » (2006, 2008, etc.) sont des estimations.

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 2 697 2 985 2 817 3 604 3 954 3 775 3 643 4 118 2 942
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 3 105 3 597 3 758 3 518 3 607 3 856 4 047 3 696 3 707
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 3 622 3 627 3 636 3 567 3 800 3 793 3 812 3 791 3 812
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
Population 3 725 3 787 3 984 3 832 4 118 3 997 4 107 4 123 4 125
Notes, sources, ...
Sources - Nombre retenu jusque 1962 : base Cassini de l'EHESS[21] et à partir de 1968 : Insee (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[22],[23],[24]

Pyramide des âges

Pyramide des âges à Ribérac en 2007 en pourcentage[25].
Hommes Classe d'âge Femmes
0,6 
90  ans ou +
3,1 
12,2 
75 à 89 ans
18,3 
17,6 
60 à 74 ans
17,7 
20,4 
45 à 59 ans
19,6 
16,7 
30 à 44 ans
16,6 
15,5 
15 à 29 ans
12,2 
16,9 
0 à 14 ans
12,5 
Pyramide des âges du département de la Dordogne en 2007 en pourcentage[26].
Hommes Classe d'âge Femmes
0,6 
90  ans ou +
1,7 
9,7 
75 à 89 ans
13,5 
17,4 
60 à 74 ans
17,7 
22,6 
45 à 59 ans
21,6 
18,8 
30 à 44 ans
18,1 
14,7 
15 à 29 ans
13,1 
16,2 
0 à 14 ans
14,3 

Remarques

Ribérac a absorbé entre 1790 et 1794 les anciennes communes de Faye et de Saint-Martial-de-Dronne, et a cédé en 1851 Saint-Martin-de-Ribérac[21].

L'agglomération et l'aire urbaine de Ribérac

En 2010, l'unité urbaine de Ribérac (l'agglomération) regroupe trois communes : Ribérac, Saint-Martin-de-Ribérac et Villetoureix[27], soit 5 685 habitants en 2008[28].

L'aire urbaine s'étend sur les mêmes communes[29].

Économie

Emploi

Au recensement de 1999, la population active totale (actifs + chômeurs) de Ribérac s'élève à 1 533 personnes[30]. Le taux d'activité entre 20 et 59 ans y est de 82 %, ce qui place la commune au niveau de la moyenne nationale (82,2 %). On y dénombre 209 chômeurs (13,6 % des actifs, taux légèrement supérieur à la moyenne nationale 12,9 %). En tout et pour tout, la population comprend 38,4 % d'actifs, 30,7 % de retraités, 18,4 % de jeunes scolarisés et 12,5 % d'autres personnes sans activité[30].

Par rapport aux moyennes nationales, le pourcentage de retraités y est nettement plus important (30,7 % contre 18,2 %) et le pourcentage de jeunes scolarisés y est à l'inverse, sensiblement inférieur (18,4 % contre 25 %).

En 2007[31], la population active totale représente 1 561 personnes, soit 37,9 % de la population. Le nombre de chômeurs a légèrement baissé (202) et le taux de chômage de la population active s'établit à 12,9 %.

Entreprises

En 2007, parmi les 50 premières entreprises en termes de chiffre d'affaires HT ayant leur siège social en Dordogne, on en trouve trois implantées à Ribérac[32] :

  • Société coopérative agricole Univia Périgord (commerce de gros d'animaux vivants), 8e avec 43 675 k€ ;
  • Sodiser (gestion de fonds), 16e avec 35 976 k€ ;
  • Société Lalande distribution (hypermarchés), 17e avec 35 970 k€.

Toujours parmi les 50 premières de Dordogne mais par secteur économique, on retrouve :

  • dans les services[33] :
  • Sodiser, 3e ;
  • Profil intérim (activité des agences de travail temporaire), 35e avec 4 454 k€ ;
  • Valade (transport routier de fret interurbain), 44e avec 3 531 k€ ;
  • dans le commerce[34] :
  • Société coopérative agricole Univia Périgord, 3e ;
  • Société Lalande distribution, 7e ;
  • dans l'industrie[35] :
  • Protechno (mécanique industrielle), 24e avec 8 224 k€ ;
  • Besse et Aupy (fabrication de carrosseries et remorques), 33e avec 5 271 k€ ;
  • dans le BTP, la SARL M J Jamot (travaux d'installation d'eau et de gaz), 47e avec 2 744 k€[36].

Enfin, trois entreprises se classent parmi les 50 premières de Dordogne en termes de chiffre d'affaires HT à l'exportation[37] :

  • Protechno, 12e avec 4 103 k€ ;
  • Société coopérative agricole Univia Périgord, 20e avec 2 476 k€ ;
  • Valbrie 16 (commerce de gros de produjts chimiques), 41e avec 678 k€.

Au 31 décembre 2008, la commune compte 529 établissements dont 309 au niveau des commerces, transports et services et 97 dans l'administration publique, l'enseignement, la santé et l'action sociale[38].

Le 1er juillet 2009, le groupe Albany international annonce « son intention de fermer son site de Ribérac » où sont employées 91 personnes[39]. Cette usine implantée depuis 1895, fabrique des feutres de papeterie[40].

Lieux et monuments

Patrimoine civil ou militaire

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Patrimoine religieux

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Patrimoine environnemental

Dans son palmarès 2010, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France[52] a attribué deux fleurs à la commune au concours des villes et villages fleuris.

Vie locale

Culture

La commune dispose d'un centre culturel, d'une bibliothèque-médiathèque et d'un cinéma[53].

Enseignement

La ville dispose de structures d'enseignement, public comme privé, allant de la maternelle jusqu'au lycée[54] :

Public

  • École maternelle des Beauvières
  • École primaire Jacques Prévert
  • École primaire Jules Ferry
  • Collège, LEP et lycée Arnaud Daniel

Privé

Marchés

Outre un important marché forain hebdomadaire toute l'année chaque vendredi et un marché alimentaire le mardi, de mai à septembre, la commune sert de cadre à des marchés saisonniers : marché aux noix à l'automne, marché de Noël, marché au gras et marché aux truffes en hiver[55].

Personnalités liées à la commune

  • Alexandre François Xavier Moreau, né à Ribérac le 29 février 1816, mort à Gradignan le 4 février 1897, curé à Rauzan, aumônier au lycée Montaigne de Bordeaux, fondateur du Secours Mutuel de Xavier Arnozan, directeur de l’orphelinat agricole du domaine de Monjous (pour 200 enfants) à Gradignan.
  • Oscar Bardi de Fourtou, (1836 - 1897), né à Ribérac, homme politique, plusieurs fois ministre, fut maire de Ribérac de 1865 à 1870
  • Francisco Contreras Valenzuela, poète, critique, essayiste et écrivain chilien, né à Quirihue en 1877, décédé à Paris en 1933. Il fut l'un des plus importants ambassadeurs de la littérature latino-américaine en Europe et inspira bon nombre d'illustres auteurs d'Amérique du Sud. Père du Mundonovismo, il collabora régulièrement aux côtés de Vallette et de Rachilde au Mercure de France. Marié à la Ribéracoise Andréa Alphonse (qui s'installa au Chili en 1936 jusqu'à sa mort en 1991), ils ouvraient chaque mardi leur salon de la rue Le Verrier à Paris aux personnalités culturelles et politiques. Ainsi, ils fréquentèrent le prince des poètes Paul Fort, Paul Léautaud, Picasso, Dali, Einstein ou encore Vladimir Ilitch Oulianov dit Lénine. Atteint de tuberculose, Francisco Contreras décéda en 1933 et fut inhumé à Ribérac dans le caveau de la famille de son épouse Andréa Alphonse. Ses cendres furent transférées au Chili en mars 2007, conformément à ses vœux et grâce à l'action conjointe et bénévole de Carlos Munoz Nunez de Santiago et de Nicolas Platon de Ribérac[56]. À cette occasion, des hommages lui ont été rendus à la Bibliothèque nationale de Santiago, à la maison des écrivains fondée par Pablo Neruda et dans sa ville natale de Quirihue où il repose, après 73 années d'oubli, auprès de son épouse et de son fils. Lors du retour de ses cendres, la Corporación Cultural Ribérac a été fondée par Luis Contreras Jara, Carlos Nunoz Munez et le Français Nicolas Platon. En saluant le geste réalisé par ce dernier, le congrès national du Chili a décidé de financer un monument à la mémoire du poète écrivain essayiste.

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

  • Émile Dusolier, Écrits sur l'histoire de Ribérac, tome I : Du Moyen Âge à la fin de l'Ancien Régime, 1988, Éditions du Roc de Bourzac, (ISBN 2-87624-012-2)
  • Émile Dusolier, Écrits sur l'histoire de Ribérac, tome II : L'époque contemporaine, 1989, Éditions du Roc de Bourzac, (ISBN 2-87624-018-1)

Notes et références

  1. a et b Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 24 mars 2011.
  2. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, p. 19, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501-4761-5)
  3. Vallée de la Dronne de Brantôme à sa confluence avec l'Isle sur le réseau Natura 2000. Consulté le 4 décembre 2009
  4. [PDF] DIREN Aquitaine - Zone bocagère de la vallée de la Dronne de l'embouchure à Épeluche. Consulté le 4 décembre 2009
  5. Carte de la ZNIEFF 2678 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 4 décembre 2009
  6. [PDF] DIREN Aquitaine - vallée de la Dronne d'Épeluche à Saint-Aulaye. Consulté le 4 décembre 2009
  7. Carte de la ZNIEFF 2673 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 4 décembre 2009
  8. Site de la Rivière sur le site de la DIREN Aquitaine Consulté le 4 décembre 2009
  9. Carte du site inscrit 0000100 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 4 décembre 2009
  10. Site de la Beauvière sur le site de la DIREN Aquitaine Consulté le 4 décembre 2009
  11. Carte du site inscrit 0000102 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 4 décembre 2009
  12. a, b et c Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, p. 284-285, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2)
  13. a, b, c et d Guy Penaud, Les crimes de la Division "Brehmer", p. 113-134, éditions la Lauze, mars 2004, (ISBN 2-912032-65-2)
  14. L'un sera conduit à Allemans et fusillé dans l'après-midi, les quatre autres transférés à Saint-Martin-de-Ribérac et y seront fusillés dans la soirée.
  15. Depuis la Révolution jusqu'en 1947, la liste des maires est tirée du livre d'Émile Dusolier, Écrits sur l'histoire de Ribérac, tome II : L'époque contemporaine.
  16. Pendant cette période, la commune n'était plus administrée par des maires mais par des officiers municipaux.
  17. a, b, c, d, e, f, g, h et i Démissionnaire
  18. a, b, c, d et e Décédé en fonctions
  19. Révoqué
  20. Calendrier de recensement sur Insee. Consulté le 9 février 2011.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 31 juillet 2010
  22. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 31 juillet 2010
  23. Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 31 juillet 2010
  24. Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 9 février 2011
  25. Evolution et structure de la population à Ribérac en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 31 juillet 2010
  26. Résultats du recensement de la population de la Dordogne en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 31 juillet 2010
  27. Insee, unité urbaine 2010 de Ribérac, consulté le 28 octobre 2011.
  28. Insee, unité urbaine de Ribérac, consulté le 28 octobre 2011.
  29. Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Ribérac, consulté le 28 octobre 2011.
  30. a et b Données INSEE compulsées par le journal du Net- Emploi à Ribérac
  31. INSEE Chiffres-clés 2007
  32. Sud Ouest éco, supplément au journal Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 8
  33. Sud Ouest éco, supplément au journal Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 20
  34. Sud Ouest éco, supplément au journal Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 25
  35. Sud Ouest éco, supplément au journal Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 27
  36. Sud Ouest éco, supplément au journal Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 30
  37. Sud Ouest éco, supplément au journal Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 37
  38. Ribérac - Chiffres clés - Caractéristiques des entreprises et des établissements sur le site de l'Insee, consulté le 22 mars 2011.
  39. Dépêche AFP sur Daily-bourse.fr
  40. Journal Sud-Ouest, édition Périgueux, du 3 juillet 2009.
  41. Château de Ribérac, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
  42. Manoir de la Beauvière, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
  43. Pigeonnier, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 24 mars 2011.
  44. Palais de justice, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 24 mars 2011.
  45. Église paroissiale Notre-Dame, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
  46. Ancienne église Notre-Dame, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
  47. Église Notre-Dame de la Paix, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
  48. Église paroissiale Notre-Dame dite nouvelle église Notre-Dame, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
  49. Église de Faye, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
  50. Église paroissiale Saint-Pierre de Faye, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
  51. Église paroissiale Saint-Martial, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
  52. Site des Villes et Villages Fleuris, consulté le 4 février 2011.
  53. Site de la commune (cliquer sur la photo correspondant à « Culture ») ; consulté le 22 mars 2011.
  54. Site de la commune (cliquer sur la photo correspondant à « Enseignement ») ; consulté le 22 mars 2011.
  55. Site de la commune (cliquer sur la photo correspondant à « Économie ») ; consulté le 22 mars 2011.
  56. (es) Francisco Contreras Valenzuela sur Linaje Contreras. Consulté le 3 décembre 2009

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