- Ribérac
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Pour les articles homonymes, voir Faye.
Ribérac
La mairie de Ribérac
DétailAdministration Pays France Région Aquitaine Département Dordogne Arrondissement Périgueux Canton Ribérac
(chef-lieu)Code commune 24352 Code postal 24600 Maire
Mandat en coursRémy Terrienne
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du Ribéracois Site web Site officiel Démographie Population 4 125 hab. (2008) Densité 181 hab./km² Aire urbaine 5 685 hab. (2008) Gentilé Ribéracois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 54 m — maxi. 155 m Superficie 22,79 km2 Ribérac (Rabairac en occitan[1]) est une commune française, située dans le département de la Dordogne et la région Aquitaine.
Sommaire
Géographie
À l'ouest du département de la Dordogne, la commune de Ribérac, entièrement située en rive gauche de la Dronne, principal affluent de l'Isle, est bordée à l'est par la Peychay qui la sépare de Saint-Méard-de-Drône.
Au nord de la commune, le sol en vallée de la Dronne est recouvert d'alluvions holocènes alors que les hauteurs sont composées de calcaires du Crétacé[2]. Son altitude minimale, 54 mètres, se situe à l'extrême nord-ouest de la commune, là où un petit bras de la Dronne quitte le territoire communal et sert brièvement de limite entre Comberanche-et-Épeluche et Vanxains. Le point culminant se trouve au sud, près du lieu-dit Enberry, en limite de la commune de Saint-Martin-de-Ribérac.
La ville de Ribérac est établie de part et d'autre du Ribéraguet, un petit affluent de la Dronne. Elle est située, en distances orthodromiques, 24 kilomètres au nord de Mussidan et 30 kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Périgueux, à l'intersection des routes départementales 13, 20, 708 (l'ancienne route nationale 708 et 709 (l'ancienne route nationale 709).
La commune est également desservie au sud-est par la route départementale 5 et au nord-est par la route départementale 710 (l'ancienne route nationale 710).
Jadis, les lignes ferroviaires Magnac-Touvre - Marmande et La Cave - Parcoul-Médillac, aujourd'hui désaffectées, se croisaient à la gare de Ribérac.
Environnement
Plusieurs zones de protection, principalement liées à la Dronne, sont délimitées sur le territoire communal.
Natura 2000
Au nord de la commune, la Dronne et sa vallée représentent une zone Natura 2000 : la « vallée de la Dronne de Brantôme à sa confluence avec l'Isle ». La rivière s'écoule dans un milieu principalement composé de prairies humides et de terres cultivées avec des zones de bocage. On y rencontre plusieurs espèces de poissons menacées ainsi que des écrevisses à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) et des visons (Mustela lutreola)[3].
ZNIEFF
La vallée de la Dronne se subdivise en deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 protégées pour leur faune et leur flore spécifiques :
- sur la presque totalité de son parcours en limite nord de la commune, la « zone bocagère de la vallée de la Dronne de l'embouchure à Épeluche »[4],[5].
Sites
Toujours le long de la Dronne, le site de la Rivière, (comprenant également le Grand Pont sur la commune de Villetoureix), est, sur plus de 56 hectares partagés avec les communes d'Allemans et Villetoureix, un site inscrit depuis 1991[8],[9].
Au nord-est, au sud de la route départementale 710, le site de la Beauvière est, sur près de sept hectares, lui aussi inscrit depuis 1974[10],[11].
Communes limitrophes
Toponymie
Dans les écrits, le nom apparaît au Xe siècle lié au château sous la forme Castellum Ribairac. On trouve ensuite successivement Ribeirac au XIIe siècle, Arribeyrac au XIIIe siècle puis Ribeyrac au XIXe siècle[12]. Son étymologie pourrait s'expliquer de deux façons différentes : soit à partir de riparius indiquant la présence de rives, soit dérivé du nom gallo-roman Rabirius suivi de -acum indiquant la propriété. Il correspondrait alors au « domaine de Rabirius »[12].
Son nom occitan est Rabairac[1].
Histoire
En 1790, Ribérac devient chef-lieu de district.
En 1793, la commune de Faye fusionne avec Ribérac[12].
Dès 1800, Ribérac devient l'une des trois sous-préfectures de la Dordogne, fonction qu'elle perdra par décret-loi du 10 septembre 1926.
En 1851, une partie du territoire communal est démembrée pour créer la nouvelle commune de Saint-Martin-de-Ribérac.
Le 26 mars 1944, les Allemands prennent position à Ribérac et Mussidan, le général Walter Brehmer installant même son quartier général à Ribérac. Ils sillonnent la forêt de la Double orientale et déclenchent des incendies pour débusquer les maquisards[13].
Parmi la vingtaine de Français exécutés dans cette zone par les Allemands ce jour-là figuraient cinq habitants de Ribérac[14], dont trois garagistes accusés d'avoir ravitaillé les véhicules des maquisards[13]. De nombreuses autres personnes arrêtées seront envoyées en déportation ou au STO[13].
Blason
D'or à trois fasces de sinople, au sautoir d'argent chargé d'une étoile d'azur, brochant sur le tout
Administration
Liste des maires successifs[15] Période Identité Étiquette Qualité septembre 1789 décembre 1789 Jean Baptiste Pourteiron Avocat décembre 1789 février 1790 François Soubiran février 1790 novembre 1792 Constantin Joseph Pluchard novembre 1792 1795 Raymond Darène 1795 1800 officiers municipaux[16] mai 1800 1816 Joseph de Roche Officier à la retraite juillet 1816 1826 Jean-Baptiste de Fourtou[17] novembre 1826 mars 1833 Pierre Mathieu[17] Docteur en médecine mars 1833 novembre 1846 (Pierre) Placide Léonardon Notaire novembre 1846 1848 Antonin Guillemot mars 1848 1851 Pierre Serbat novembre 1851 janvier 1855 Élie (François) Delugin Avocat janvier 1855 1858 (Jean Prosper) Achille Simon Docteur en médecine avril 1858 1864 Pierre (Camille) Augey-Dufresse[17] janvier 1865 1870 (Marie François) Oscar Bardi de Fourtou 1870 février 1874 Pierre Serbat février 1874 avril 1877 Paul Durieux[17] Docteur en médecine mai 1877 janvier 1878 (Pierre) Henri Duteuil Avocat février 1878 novembre 1878 Pierre Serbat[17] décembre 1878 mars 1887 (Jean Prosper) Achille Simon[18] Docteur en médecine avril 1887 juin 1889 (Antoine) Achille Larobertie[17] Docteur juin 1889 octobre 1891 (Pierre) Henri Duteuil Avocat octobre 1891 novembre 1892 Pierre Serbat[18] décembre 1892 février 1895 (François) Honoré Aurillac[18] Médecin en retraite mars 1895 1897 (Pierre) Joachim Souraud[17] mars 1897 juillet 1903 Joseph Debonnière[17] Marchand drapier juillet 1903 décembre 1905 Pierre Rouchaud[18] Percepteur en retraite janvier 1906 mars 1906 (Pierre, dit) Henri Videau[18] avril 1906 novembre 1906 Joseph Debonnière Marchand drapier novembre 1906 août 1907 Pierre Simon[17] Médecin vétérinaire octobre 1907 mai 1908 Antoine Lavaud Négociant mai 1908 février 1941 Jules Brunet[19] 1941 mai 1944 Edmond Coste Capitaine de gendarmerie en retraite juin 1944 août 1944 Marius Depardieu août 1944 octobre 1947 Antoine Cruveiller Ingénieur des travaux publics octobre 1947 1962 Jules Brunet 1962 1971 Henri Crassat 1971 mars 2001 Bernard Cazeau PS Docteur en médecine mars 2001 en cours (réélu en mars 2008) Rémy Terrienne PS Fonctionnaire des finances en retraite Toutes les données ne sont pas encore connues. Jumelage
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Ribérac depuis cette date. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Ribérac, cela correspond à 2007, 2012, etc[20]. Les autres dates de « recensements » (2006, 2008, etc.) sont des estimations.
Pyramide des âges
Remarques
Ribérac a absorbé entre 1790 et 1794 les anciennes communes de Faye et de Saint-Martial-de-Dronne, et a cédé en 1851 Saint-Martin-de-Ribérac[21].
L'agglomération et l'aire urbaine de Ribérac
En 2010, l'unité urbaine de Ribérac (l'agglomération) regroupe trois communes : Ribérac, Saint-Martin-de-Ribérac et Villetoureix[27], soit 5 685 habitants en 2008[28].
L'aire urbaine s'étend sur les mêmes communes[29].
Économie
Emploi
Au recensement de 1999, la population active totale (actifs + chômeurs) de Ribérac s'élève à 1 533 personnes[30]. Le taux d'activité entre 20 et 59 ans y est de 82 %, ce qui place la commune au niveau de la moyenne nationale (82,2 %). On y dénombre 209 chômeurs (13,6 % des actifs, taux légèrement supérieur à la moyenne nationale 12,9 %). En tout et pour tout, la population comprend 38,4 % d'actifs, 30,7 % de retraités, 18,4 % de jeunes scolarisés et 12,5 % d'autres personnes sans activité[30].
Par rapport aux moyennes nationales, le pourcentage de retraités y est nettement plus important (30,7 % contre 18,2 %) et le pourcentage de jeunes scolarisés y est à l'inverse, sensiblement inférieur (18,4 % contre 25 %).
En 2007[31], la population active totale représente 1 561 personnes, soit 37,9 % de la population. Le nombre de chômeurs a légèrement baissé (202) et le taux de chômage de la population active s'établit à 12,9 %.
Entreprises
En 2007, parmi les 50 premières entreprises en termes de chiffre d'affaires HT ayant leur siège social en Dordogne, on en trouve trois implantées à Ribérac[32] :
- Société coopérative agricole Univia Périgord (commerce de gros d'animaux vivants), 8e avec 43 675 k€ ;
- Sodiser (gestion de fonds), 16e avec 35 976 k€ ;
- Société Lalande distribution (hypermarchés), 17e avec 35 970 k€.
Toujours parmi les 50 premières de Dordogne mais par secteur économique, on retrouve :
- dans les services[33] :
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- Sodiser, 3e ;
- Profil intérim (activité des agences de travail temporaire), 35e avec 4 454 k€ ;
- Valade (transport routier de fret interurbain), 44e avec 3 531 k€ ;
- dans le commerce[34] :
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- Société coopérative agricole Univia Périgord, 3e ;
- Société Lalande distribution, 7e ;
- dans l'industrie[35] :
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- Protechno (mécanique industrielle), 24e avec 8 224 k€ ;
- Besse et Aupy (fabrication de carrosseries et remorques), 33e avec 5 271 k€ ;
Enfin, trois entreprises se classent parmi les 50 premières de Dordogne en termes de chiffre d'affaires HT à l'exportation[37] :
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- Protechno, 12e avec 4 103 k€ ;
- Société coopérative agricole Univia Périgord, 20e avec 2 476 k€ ;
- Valbrie 16 (commerce de gros de produjts chimiques), 41e avec 678 k€.
Au 31 décembre 2008, la commune compte 529 établissements dont 309 au niveau des commerces, transports et services et 97 dans l'administration publique, l'enseignement, la santé et l'action sociale[38].
Le 1er juillet 2009, le groupe Albany international annonce « son intention de fermer son site de Ribérac » où sont employées 91 personnes[39]. Cette usine implantée depuis 1895, fabrique des feutres de papeterie[40].
Lieux et monuments
Patrimoine civil ou militaire
- Château de Ribérac remontant au moins au Xe siècle[41], détruit à la fin du XVIIIe siècle[13]
- Manoir de la Beauvière, XIVe, XVIe et XIXe siècles[42]
- Pigeonnier de la Grande Ferrière qui pourrait dater du XVIIIe siècle[43]
- Palais de justice du XIXe siècle de l'architecte Auguste Dubet[44]
Patrimoine religieux
- Ancienne église Notre-Dame, ex-chapelle du château, XIIe siècle, devenue église collégiale en 1500 et église paroissiale à la Révolution jusqu'en 1935, transformée ensuite en salle d'expositions, inscrite aux monuments historiques en 1975[45],[46]
- Église Notre-Dame de la Paix, construite en 1933-1934 en style néoroman selon les plans de l'architecte Jacques Laffillée, inscrite en 2000[47],[48]
- Église Saint-Pierre de Faye, XIIe siècle, inscrite en 1946[49],[50]
- Église Saint-Martial du XIIe siècle de forme massive avec une chapelle latérale du XVIe siècle[51]
Patrimoine environnemental
Dans son palmarès 2010, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France[52] a attribué deux fleurs à la commune au concours des villes et villages fleuris.
Vie locale
Culture
La commune dispose d'un centre culturel, d'une bibliothèque-médiathèque et d'un cinéma[53].
Enseignement
La ville dispose de structures d'enseignement, public comme privé, allant de la maternelle jusqu'au lycée[54] :
Public
- École maternelle des Beauvières
- École primaire Jacques Prévert
- École primaire Jules Ferry
- Collège, LEP et lycée Arnaud Daniel
Privé
- Maternelle, primaire et collège Notre-Dame
- Maison familiale rurale : enseignement secondaire
Marchés
Outre un important marché forain hebdomadaire toute l'année chaque vendredi et un marché alimentaire le mardi, de mai à septembre, la commune sert de cadre à des marchés saisonniers : marché aux noix à l'automne, marché de Noël, marché au gras et marché aux truffes en hiver[55].
Personnalités liées à la commune
- Arnaut Daniel, un des plus célèbres troubadours, né à Ribérac vers 1150 ; le lycée de la ville porte son nom.
- Alexandre François Xavier Moreau, né à Ribérac le 29 février 1816, mort à Gradignan le 4 février 1897, curé à Rauzan, aumônier au lycée Montaigne de Bordeaux, fondateur du Secours Mutuel de Xavier Arnozan, directeur de l’orphelinat agricole du domaine de Monjous (pour 200 enfants) à Gradignan.
- Oscar Bardi de Fourtou, (1836 - 1897), né à Ribérac, homme politique, plusieurs fois ministre, fut maire de Ribérac de 1865 à 1870
- Francisco Contreras Valenzuela, poète, critique, essayiste et écrivain chilien, né à Quirihue en 1877, décédé à Paris en 1933. Il fut l'un des plus importants ambassadeurs de la littérature latino-américaine en Europe et inspira bon nombre d'illustres auteurs d'Amérique du Sud. Père du Mundonovismo, il collabora régulièrement aux côtés de Vallette et de Rachilde au Mercure de France. Marié à la Ribéracoise Andréa Alphonse (qui s'installa au Chili en 1936 jusqu'à sa mort en 1991), ils ouvraient chaque mardi leur salon de la rue Le Verrier à Paris aux personnalités culturelles et politiques. Ainsi, ils fréquentèrent le prince des poètes Paul Fort, Paul Léautaud, Picasso, Dali, Einstein ou encore Vladimir Ilitch Oulianov dit Lénine. Atteint de tuberculose, Francisco Contreras décéda en 1933 et fut inhumé à Ribérac dans le caveau de la famille de son épouse Andréa Alphonse. Ses cendres furent transférées au Chili en mars 2007, conformément à ses vœux et grâce à l'action conjointe et bénévole de Carlos Munoz Nunez de Santiago et de Nicolas Platon de Ribérac[56]. À cette occasion, des hommages lui ont été rendus à la Bibliothèque nationale de Santiago, à la maison des écrivains fondée par Pablo Neruda et dans sa ville natale de Quirihue où il repose, après 73 années d'oubli, auprès de son épouse et de son fils. Lors du retour de ses cendres, la Corporación Cultural Ribérac a été fondée par Luis Contreras Jara, Carlos Nunoz Munez et le Français Nicolas Platon. En saluant le geste réalisé par ce dernier, le congrès national du Chili a décidé de financer un monument à la mémoire du poète écrivain essayiste.
- Monseigneur Maxime Charles (1908 - 1993), né à Ribérac, prêtre du diocèse de Paris, aumônier de la Sorbonne, fondateur du Centre Richelieu et de la revue Résurrection.
- Pierre Courtens, (1921 - 2004), artiste peintre, a vécu et est décédé à Ribérac.
- Jean-Pierre Escalettes, né en 1935, président depuis 2005 de la Fédération française de football (FFF), fut professeur d'anglais à Ribérac.
Voir aussi
Articles connexes
- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des communes de la Dordogne
- Anciennes communes de la Dordogne
- Liste des châteaux et demeures de la Dordogne
Liens externes
- Site officiel de la ville de Ribérac
- Guide du Périgord au départ de Ribérac
- Ribérac sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Bibliographie
- Émile Dusolier, Écrits sur l'histoire de Ribérac, tome I : Du Moyen Âge à la fin de l'Ancien Régime, 1988, Éditions du Roc de Bourzac, (ISBN 2-87624-012-2)
- Émile Dusolier, Écrits sur l'histoire de Ribérac, tome II : L'époque contemporaine, 1989, Éditions du Roc de Bourzac, (ISBN 2-87624-018-1)
Notes et références
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 24 mars 2011.
- p. 19, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501-4761-5) Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord,
- Vallée de la Dronne de Brantôme à sa confluence avec l'Isle sur le réseau Natura 2000. Consulté le 4 décembre 2009
- DIREN Aquitaine - Zone bocagère de la vallée de la Dronne de l'embouchure à Épeluche. Consulté le 4 décembre 2009 [PDF]
- Carte de la ZNIEFF 2678 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 4 décembre 2009
- DIREN Aquitaine - vallée de la Dronne d'Épeluche à Saint-Aulaye. Consulté le 4 décembre 2009 [PDF]
- Carte de la ZNIEFF 2673 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 4 décembre 2009
- Site de la Rivière sur le site de la DIREN Aquitaine Consulté le 4 décembre 2009
- Carte du site inscrit 0000100 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 4 décembre 2009
- Site de la Beauvière sur le site de la DIREN Aquitaine Consulté le 4 décembre 2009
- Carte du site inscrit 0000102 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 4 décembre 2009
- p. 284-285, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2) Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord,
- Guy Penaud, Les crimes de la Division "Brehmer", p. 113-134, éditions la Lauze, mars 2004, (ISBN 2-912032-65-2)
- Allemans et fusillé dans l'après-midi, les quatre autres transférés à Saint-Martin-de-Ribérac et y seront fusillés dans la soirée. L'un sera conduit à
- Depuis la Révolution jusqu'en 1947, la liste des maires est tirée du livre d'Émile Dusolier, Écrits sur l'histoire de Ribérac, tome II : L'époque contemporaine.
- Pendant cette période, la commune n'était plus administrée par des maires mais par des officiers municipaux.
- Démissionnaire
- Décédé en fonctions
- Révoqué
- Calendrier de recensement sur Insee. Consulté le 9 février 2011.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 31 juillet 2010
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 31 juillet 2010
- Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 31 juillet 2010
- Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 9 février 2011
- Evolution et structure de la population à Ribérac en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 31 juillet 2010
- Résultats du recensement de la population de la Dordogne en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 31 juillet 2010
- Insee, unité urbaine 2010 de Ribérac, consulté le 28 octobre 2011.
- Insee, unité urbaine de Ribérac, consulté le 28 octobre 2011.
- Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Ribérac, consulté le 28 octobre 2011.
- Emploi à Ribérac Données INSEE compulsées par le journal du Net-
- INSEE Chiffres-clés 2007
- Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 8 Sud Ouest éco, supplément au journal
- Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 20 Sud Ouest éco, supplément au journal
- Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 25 Sud Ouest éco, supplément au journal
- Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 27 Sud Ouest éco, supplément au journal
- Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 30 Sud Ouest éco, supplément au journal
- Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 37 Sud Ouest éco, supplément au journal
- Ribérac - Chiffres clés - Caractéristiques des entreprises et des établissements sur le site de l'Insee, consulté le 22 mars 2011.
- Dépêche AFP sur Daily-bourse.fr
- Sud-Ouest, édition Périgueux, du 3 juillet 2009. Journal
- Château de Ribérac, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- Manoir de la Beauvière, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- Pigeonnier, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 24 mars 2011.
- Palais de justice, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 24 mars 2011.
- Église paroissiale Notre-Dame, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- Ancienne église Notre-Dame, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- Église Notre-Dame de la Paix, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- Église paroissiale Notre-Dame dite nouvelle église Notre-Dame, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- Église de Faye, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- Église paroissiale Saint-Pierre de Faye, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- Église paroissiale Saint-Martial, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- Site des Villes et Villages Fleuris, consulté le 4 février 2011.
- Site de la commune (cliquer sur la photo correspondant à « Culture ») ; consulté le 22 mars 2011.
- Site de la commune (cliquer sur la photo correspondant à « Enseignement ») ; consulté le 22 mars 2011.
- Site de la commune (cliquer sur la photo correspondant à « Économie ») ; consulté le 22 mars 2011.
- (es) Francisco Contreras Valenzuela sur Linaje Contreras. Consulté le 3 décembre 2009
Catégories :- Commune de la Dordogne
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