Marine de l'armée de libération du peuple

Marine de l'armée de libération du peuple

Marine chinoise

Marine de l’armée populaire de libération
Naval Ensign of the People's Republic of China.svg

Drapeau de la marine chinoise
Période 23 avril 1949 [1]
Pays République populaire de Chine Chine
Type Marine militaire
Taille 250 000 personnes
Fait partie de l'armée populaire de libération
Équipement LPD, destroyers, frégates, corvettes, patrouilleurs, SNLE, SNA, sous-marins, LST, aéronefs, etc

La marine chinoise (nom officiel : Marine de l’armée populaire de libération; chinois simplifié : 中国人民解放军海军; chinois traditionnel : 中國人民解放軍海軍 ; hanyu pinyin : Zhōngguó Rénmín Jiěfàngjūn Hǎijūn) est la composante maritime de l'armée populaire de libération. Avec près de 250 000 membres et plus de 500 navires de guerre en 2007[2], la marine chinoise est la plus importante d'Asie et la troisième marine mondiale.

Sommaire

Histoire

L'histoire de la Force navale de l'armée populaire de libération débute en 1949 à la fin de la Guerre civile chinoise, lorsque les troupes s'emparent des navires abandonnés par la marine de l'armée nationaliste fuyant vers Taïwan. Mao Zedong affirme peu après l'indépendance : « pour nous opposer à l'agression impérialiste, nous devons construire une marine puissante ». Dès 1950, la marine dispose d'une école pour la formation du personnel à Dalian avec l'aide de l'URSS, et l'aviation navale est créée deux ans plus tard. En 1954, 2 500 conseillers de la marine soviétique passent en Chine et les premières livraisons de navires soviétiques commencent. Avec les flottes du Nord, de l'Est et du Sud de l'armée soviétique, les deux parties envisagent sérieusement la création d'une flotte du Pacifique commune.

Mais avec la rupture sino-soviétique, ce projet de flotte commune ne verra jamais le jour. Et la marine chinoise doit maintenant se débrouiller sans l'aide soviétique. Ainsi, dans les années 1960, la marine chinoise subit de plein fouet les conséquences du Grand Bond en avant. À la mort de Mao, la Révolution culturelle est diversement appréciée par les différentes provinces et en juillet 1967, la marine chinoise réprime une révolte à Wuhan. Ainsi, l'accent est mis sur l'alignement politique au détriment du professionnalisme militaire[3],[4].

Dans les années 1970 la marine chinoise se développe grâce à un budget qui a été considérablement augmenté jusqu'à atteindre 20 % des dépenses militaires chinoises. Le nombre de sous-marins à propulsion conventionnelle passe de 35 à 100 unités, le nombre de navires lance-missiles est multiplié par dix, passant de 20 à 200 unités. Et les premiers sous-marins à propulsion nucléaire (SNLE et SNA) commencent leur développement.

Dans les années 1980 la marine chinoise se concentre davantage sur la qualité de ses équipements plutôt que sur la quantité. En 1982, le premier tir d'un missile MSBS a lieu et en 1986 la marine chinoise dispose d'un SNLE de Classe Xia et trois SNA de classe Han. En 1987, elle devient la troisième flotte mondiale mais elle souffre encore de manques importants dans la lutte anti-sous-marine, dans la guerre des mines et, en l'absence de porte-avions, dispose d'une aéronavale très limitée.

Stratégie

Selon la loi anti-sécession de 2005, une des fonctions majeures de la marine chinoise est de s'assurer une suprématie militaire dans le détroit de Formose, afin de dissuader l'île de Taïwan de proclamer officiellement son indépendance. Une telle capacité militaire remettrait également en cause la capacité d'un Etat comme le Japon, pauvre en matières premières, à assurer ses importations, qui passent majoritairement par le détroit de Formose, ou à proximité immédiate. La marine chinoise doit faire respecter sa vaste zone économique exclusive (ZEE). Le problème principal est donc la délimitation de cette zone très étendue, dans des mers riches en petites îles à la souveraineté contestée.

1re chaine d'îles ou green line et la 2e chaine d'îles ou blue line

Le Livre Blanc de la défense chinoise définit une stratégie de développement en trois temps qui reprend la doctrine de l’amiral Li Huaqing, mise en place à la fin des années 1980. Première phase, qui doit être atteinte vers 2010 : pouvoir contenir Taïwan et le Japon en deçà de la green line grâce à l’augmentation des capacités de projection dans le détroit de Formose. À cette date, la marine chinoise espère avoir regagné une certaine parité avec la marine japonaise. Deuxième phase, entre 2010 et 2020 : pouvoir intervenir militairement jusqu’à la blue line. Pour cela, les modernisations majeures de la flotte devront avoir été réalisées. Troisième phase, qui devrait s’étendre jusqu’au milieu du XXIe siècle : pouvoir servir ses ambitions au-delà de la blue line et se positionner comme la puissance navale de l’Asie de l’Est. La marine chinoise devra pouvoir mener des guerres en réseau [5] et interarmées, et avoir réduit son écart technologique avec l’US Navy[6].

En attendant, la Chine augmente ses relations internationales et tente de se constituer un réseau de bases navales dans l'océan Indien : de l'ouest (golfe Persique et mer Rouge) à l'est (détroit de Malacca). Ces implantations de bases navales en Birmanie (celle des îles Cocos est située à proximité de la base indienne des îles Andaman), au Bengladesh (Chittagong), au Pakistan (notamment la base de Gwadar, inaugurée en 2007) et au Sri-Lanka [7] sont perçues par l'Inde comme une tentative d'encerclement naval. La théorie du « collier de perles », développée par Booz Allen Hamilton, est critiquée par certains experts et aurait une valeur limitée étant donnée la vulnérabilité chinoise en matière de sécurisation de ses voies maritimes [8]. Ainsi, Toshi Yoshihara, professeur à l'US Naval War College, estime : « Je ne crois pas que les Chinois cherchent à étendre leur pouvoir jusqu'à la deuxième chaîne d'îles. Le regard de Pékin est figé sur les abords de leurs côtes du sud et du sud-ouest »[5].

Selon des informations déclassifiées en vertu du Freedom of Information Act, les 54 sous-marins chinois auraient réalisé seulement 12 patrouilles en 2008 (soit le double par rapport à l’année précédente) [9].

Organisation actuelle

Localisation des unités navales majeures

L'organisation actuelle (mise en place en 1987) regroupe trois flottes distinctes. Un nouvelle base navale est actuellement en construction[10] près de Sanya. Elle sera susceptible de cacher une vingtaine de sous-marins aux satellites-espions. La marine chinoise dispose d'une aéronavale de 24 000 hommes, d'une troupe d'infanterie de marine de 6 000 hommes (28 000 en temps de guerre), et d'une unité de gardes-côtes de 25 000 membres.

Flotte du Nord (1re flotte du Peihei)

Attachée à la région militaire du Jinan, cette flotte couvre la Mer Jaune jusqu'à la hauteur de Lyanyungand (35°10'N). C'est la moins dotée en grands navires de surface mais elle gère les sous-marins nucléaires et réalise les tests des submersibles.

Ses bases principales sont :

  • Qingdao : quartier-général et base aéronavale ;
  • Lushun : base principale des destroyers ;
  • Wiangezhuang : base des sous-marins nucléaires ;
  • Huluadao : base des sous-marins diesel-électrique ;
  • Dalian : chantiers navals et base aéronavale.

Flotte de l'Est (2e flotte du Tunghei)

Cette flotte est chargée entre autres de la protection de Shanghai et de la surveillance de Taïwan, elle couvre la mer de Chine orientale à partir des régions maritimes allant de Lyanyungand au nord à l'île de Nanao et Shantou au Sud.

Ses bases principales sont :

  • Ningbao/Zhenhai : quartier-général et base aéronavale ;
  • Zoushan : annexe de Ningbao et base de destroyers et de sous-marins ;
  • Xiangshan : base de sous-marins ;
  • Wusong : base aéronavale de Shanghai.

Flotte du Sud (3e flotte du Nanhai)

Elle couvre la mer de Chine Méridionale du détroit de Taïwan à la frontière du Viêt Nam.

Ses bases principales sont :

  • Ziangjiang : Q.G, base aéronavale, base des grandes unités de surface, Q.G. du corps de fusiliers marins ;
  • Guangzhou (Canton) : base de destroyers ;
  • Yulin (île de Hainan) : base de sous-marins.

Navires

Le destroyer Shenzhen 167
Livraison du 2e sous-marin classe Kilo en 1995
YuanWang 2, bâtiment d'observation spatiale
Sous-marin nucléaire d'attaque de classe Han


La Chine reste très discrète sur les effectifs et matériels de ses forces armées c'est pourquoi l'inventaire suivant n'est qu'une estimation.

Ordre de bataille en 2008

Navires en service en 2008[11] [12] [13] :

  • 13 destroyers modernes (classes Sovremenny, Luyang, Luyang-II, Luhai, Luhu) ;
  • 14 destroyers anciens (classe Luda dont le retrait pourrait débuter dans un avenir proche) ;
  • 17 frégates modernes (classes Jiangkai, Jiangwei, Jiangwei-II) ;
  • 30 frégates anciennes (classe Jianghu) ;
  • 3 SNLE : 1 classe Xia et 2 classe Jin ;
  • 5 sous-marins nucléaires d'attaque 3 de et 2 de ;
  • 55 sous-marins diesel-électrique (classes Yuan, Kilo, Song, Ming, Romeo) ;
  • plus de 263 corvettes et patrouilleurs (classes Houbei, Houxin, Houjian, Haiqing, Haijiu, Hainan, Shanghai-II) ;
  • 1 LPD de Type 071 ;
  • 38 LST (classe Yudeng, classe Yukan, classe Yuting-I, classe Yunshu, classe Yuting-II).

Ordre de bataille en 2002

Au 1er janvier 2002, le flotte de combat totalise 402 830 tonnes [14]. Celle à très fortement augmenté et au 1er janvier 2005, la marine de guerre chinoise se classe au rang de 3e puissance navale mondiale, avec 424 bâtiments de combat pour 788 870 tonnes [15].


La flotte amphibie comprenait au 1er janvier 2002 [16] :

  • 1 porte-hélicoptères auxiliaire Shichang de 10 000 t (capacité de transport : 200 h) ;
  • 6 transports d'assaut Quiongshu de 2 150 t (capacité : 400 hommes) ;
  • 10 LST Yuting de 3 770 t (250 hommes + 10 chars) ;
  • 7 LST Yukan de 3 110 t (200 hommes + 10 chars) ;
  • 2 LSM de 1 460 t (250 t de matériel) ;
  • 22 LSM Yuliang de 1 100 t (cap : 3 chars) ;
  • 13 LSM Yuhai de 800 t (250 hommes + 2 chars) ;
  • 236 LCM Yunnan de 85 t (+ 200 en réserve) (cap : 46 t ou 1 char) ;
  • 30 LCM Yuchin de 60 t (+ 30 en réserve) ;
  • 10 aéroglisseurs Jingsah de 70 t.

La flotte de soutien comprenait au 1er janvier 2002 :

  • 3 bâtiments-bases de sous-marins (AS) Da Jiang de 10 975 t ;
  • 2 bâtiments-bases de sous-marins (AS) Dalang I de 3 700 t ;
  • 2 bâtiments-bases de sous-marins (AS) Dalang II ;
  • 1 bâtiment-base de sous-marins (AS) Hudong de 4 500 t ;
  • 2 bâtiments-bases de sous-marins (AS) Dadong de 2 800 t ;
  • 2 bâtiments-bases de sous-marins (AS) Dazhou de 1 100 t ;
  • 1 pétrolier-ravitailleur (AOR) type Komandarm Fedko de 37 000 t ;
  • 2 pétroliers-ravitailleur (AOR) type Fuquing de 14 600 t ;
  • 3 pétroliers côtiers (AOL) type Jinyou ;
  • 2 pétroliers côtiers (AOL) type Shengli de 3 300 t ;
  • 1 pétrolier côtier (AOL) type N 1101 ;
  • 1 pétrolier côtier (AOL) type N 1102 ;
  • 3 pétroliers côtiers (AOL) type 630 ;
  • 19 pétroliers côtiers (AOL) type Fuzhou de 1 200 t ;
  • 16 pétroliers côtiers (AOL) type Fulin de 2 200 t ;
  • 23 pétroliers côtiers (AOL) type Guangzhou de 530 t ;
  • 2 transports (AK) Dayan de 8 500 t ;
  • 1 transport léger (AKL) Galati de 5 200 t ;
  • 2 transports légers (AKL) Yantai de 3 330 t ;
  • 7 transports légers (AKL) Hongqi de 1 950 t ;
  • 7 transports légers (AKL) Danlin de 1 290 t ;
  • 5 transports légers (AKL) Dandao de 1 600 t ;
  • 5 navires hydrographiques (AGS) type Yanlai de 1 100 t ;
  • 5 navires hydrographiques (AGS) type Yannan de 1 750 t ;
  • 1 navire hydrographique (AGS) type Shuguang de 500 t ;
  • 1 navire hydrographique (AGS) type Gabzhu de 1 000 t ;
  • 2 navires océanographiques (AGOR) type Kan de 2 300 t ;
  • 3 navires collecteurs de renseignement (AGI) Yanha de 3 200 t ;
  • 1 navire collecteur de renseignement (AGI)Yanbing de 4 400 t ;
  • 1 navire collecteur de renseignement (AGI)Dadie de 2 300 t ;
  • 1 bâtiment d'expérimentation (AGE) type Yen Hsi de 1 200 t ;
  • 1 bâtiment d'expérimentation (AGE) type Wuhu de 4 630 t ;
  • 1 bâtiment d'expérimentation (AGE) type Shiyan de 4 600 t ;
  • 1 navire-école (AX) type Dakin de 4 500 t ;
  • 4 bâtiments d'observation spatiale (ASVS) YuanWang de 17 000 t ;

Par ailleurs, on prête à la République populaire de Chine l'intention de mettre en œuvre des porte-avions, suite aux déclarations de Sun Laiyan, directeur général du Bureau d'État de la navigation en octobre 2006 : « La Chine, dont les eaux territoriales s'étendent à plus de trois millions de kilomètres carrés, est sans nul doute un grand pays maritime. Avec la croissance rapide de son industrie de construction navale, elle sera capable petit à petit de construire ce genre de bâtiment de guerre »[17]. En effet, et bien qu'à l'heure actuelle essentiellement côtière, la marine chinoise est la 3e au monde et prétend au statut de puissance militaire globale. Au-delà, elle ambitionne d'assurer la protection de ses lignes maritimes (approvisionnement en pétrole et gaz) et d'assoir son influence sur le sud de la mer de Chine, l'océan Indien et de peser sur Taïwan. On estime que l'armée populaire de libération pourrait mettre en service son premier porte-avions de 48 000 tonnes vers 2015 (« plan 9985 » ou « projet 9935 »).

Aéronefs

Hydravion Shuihong 5
Chasseur Shenyang J-8 de l'aéronavale
Principaux aéronefs de la marine chinoise
Aéronefs Type Nombre [18]
Chengdu J-7 chasseur ~ 100
Soukhoï Su-30 chasseur multirôle 28 [19]
Nanchang Q-5 avion d'attaque au sol ~ 50
Xian JH-7 avion d'attaque au sol ~ 30
Shenyang J-8 bombardier
Xian H-6 bombardier ~ 80
Harbin SH-5 avion de reconnaissance
Xian Y-7 avion de transport
Xian Y7H-500 avion de transport
Nanchang CJ-6 avion d'entraînement
Mil Mi-8 hélicoptère de transport
Zhihengi-8 hélicoptère de transport/Lutte ASM
Zhihengi-8 hélicoptère de combat

Le parc aérien de la marine, armé par 24 000 hommes, est composé de 780 avions et hélicoptères, il devrait être réduit à 500 appareils modernes en 2010.

Il devrait être, selon des spéculations, composé entre autres de :

Liens externes

Commons-logo.svg

Notes et références

  1. (fr) Dossier sur 60e anniversaire de la fondation de la maine de l'APL, Xinhuanet
  2. (en) Vaisseaux de la marine chinoise sur Sinodefence.com
  3. (fr) Joseph Henrotin, « Les conceptions chinoises de la guerre sous-marine : Entretien avec William S. Murray », dans Défense et Sécurité internationale, no 43, décembre 2008, p. 37-40 (ISSN 1772-788X) 
  4. (en) Andrew S. Erickson, Lyle J. Goldstein, William S. Murray, Andrew R. Wilson, China's Future Nuclear Submarine Force, U.S. Naval Institute Press, Annapolis, 2007 (ISBN 978-1-5911-4326-0)
  5. a  et b (fr)Joseph Henrotin, « Stratégie militaire chinoise : un jeu de dupes ? : Entretien avec Toshi Yoshihara, professeur à l'US Naval War College », dans Défense et sécurité internationale, no 43, décembre 2008, p. 34-36 (ISSN 1772-788X) 
  6. (fr) Élodie Franco, « La Chine renfloue sa marine pour asseoir ses ambitions régionales » sur defense.gouv.fr, Ministère de la Défense français. Consulté le 3 janvier 2009
  7. (fr)Olivier Guillard, « Gwadar, Islamabad, Pékin, New Delhi et le « collier de perles » », dans Actualités stratégiques en Asie, no 9, 28 mars 2007 [texte intégral (page consultée le 26 octobre 2008)] 
  8. (fr) Bases navales. Le « collier de perles chinois » sur letelegramme.com, 30 mars 2008, Le Télégramme de Brest. Consulté le 3 janvier 2009
  9. (en) Hans M. Kristensen, « Chinese Submarine Patrols Doubled in 2008 » sur http://www.fas.org, 3 février 2009, Federation of American Scientists. Consulté le 26 avril 2009
  10. (en) La nouvelle base nucléaire chinoise révélée sur Jane's.com
  11. (en) Vaisseaux de la marine chinoise sur Sinodefence.com
  12. (en) Sous-marins de la marine chinoise sur Sinodefence.com
  13. (en) Navires de surface de la marine chinoise sur Sinodefence.com
  14. Flotte de combat 2002, p. 245
  15. (fr) La marine chinoise accède au rang de 3e puissance mondiale, Vincent Groizeleau, 26 décembre 2005, Mer et Marine
  16. Flotte de combat 2002, p. 245 à 276
  17. Interview du 25 octobre 2006 de Sun Laiyan, directeur général du Bureau d'État de la navigation, au site Internet du gouvernement chinois, reprise par Le Quotidien du Peuple
  18. L'armée chinoise aujourd'hui, Raids hors-série n°27, 2008, p. 80 et 81
  19. Une commade de 48 Su-30MKK3 n'est pas confirmée en 2008
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