Histoire des transports en commun de Rennes

Histoire des transports en commun de Rennes

Les transports en commun rennais ont une histoire assez classique : après l'avènement des réseaux ferrés, les bus et les aménagements pour voitures (grands boulevards et rocade) ont suivi l'évolution de la ville, jusqu'à la mise en place d'une solution de transport en site propre (le métro). À noter cependant la mise en place à partir de 1998 d'un réseau de vélos à louer, géré informatiquement, le Vélo à la carte, qui constitua une innovation pour l'époque.

Sommaire

Les débuts : le chemin de fer sous toutes ses formes

La gare de Rennes

Article détaillé : Gare de Rennes.

Sa création remonte à 1857 par la Compagnie de l'Ouest, l'inauguration ayant lieu les 26, 27 et 28 avril 1857 en présence de Napoléon III. Excentrée par rapport au centre-ville, elle est située un kilomètres au sud de celui-ci, en pleine campagne, ce qui laisse sceptique les rennais[1]. L'aménagement de l'avenue de la gare (avenue Janvier), permet la liaison avec le reste de la ville, jusqu'alors limité au boulevard de la Liberté. Un service d'omnibus (voitures à louer) est alors mis en place.

Les TIV

La gare de Rennes-Viarmes[2], au tout-début du XXe siècle
Noter le train mixte des TIV, tracté par une locomotive-tender, composé de trois wagons et deux voitures
Article détaillé : Tramways d'Ille-et-Vilaine.

La mise en exploitation des Tramways d'Ille et Vilaine en 1894[3] apportait déjà un minimum de service : bien qu'acteurs à l'échelle départementale, les TIV ont plusieurs haltes et gares présents dans Rennes, offrant jusqu'en 1950 un service complémentaire de transports urbains.

Les principales gares étaient la Croix de Mission, Saint-Cyr (sur le site actuel des Chèques Postaux), Viarmes et La Touche (logements sociaux actuellement). Ce dernier site abritait également les ateliers et le dépôt des locomotives.

Il ne reste aujourd'hui presque aucune trace de l'ancien réseau TIV. Un bâtiment voyageurs[4] à l'est du Mail François Mitterrand, masqué par une aubette, a été démoli en mai 2009. À Chantepie, des rails ont été posés en 2008[5]pour le souvenir.

Le tramway de Rennes

Article détaillé : Tramway de Rennes.
Tracé du réseau de tramway de Rennes en 1916, à son apogée.
Tramways rennais devant l'Opéra de Rennes.

L'histoire des transports en commun rennais débute avec le tramway de Rennes à voie métrique, exploité entre 1897 et 1952 par la Compagnie de l'Ouest Électrique sous le nom de Tramways Électriques Rennais (TER). Il s'agit d'un réseau rayonnant autour de la place de la mairie, où la majorité des correspondances se font. La première ligne interurbaine est mise en place en 1907 vers Cesson-Sévigné. En 1952, victimes de leur âge, les trams arrêtent leur service pour laisser place aux bus, qui les complétaient déjà.

Modernisation des transports en commun avant guerre

L'arrivée du service de bus

Vestiges de voies ferrées du tram dans les pavés de la place du Parlement
Apparition des premières lignes de bus en 1933, en complément du tram.
Les dernières lignes de tram, à la fin des circulations en 1952.

En 1933, la COE met en place un réseau de bus complémentaire au tram. Les premiers autobus font leur apparition en 1933, en complément du métro. Un nouveau centre pour le réseau est choisie par la COE et la municipalité : la place de la République. Des bus Citroën C6G1 et Latil, à gazogène, sont mis progressivement en service. Les premiers oblitérateurs automatiques font leur apparition à la fois dans le bus et les trams.

Le 15 mai 1939, le conseil municipal demande le remplacement des trams par des bus. Ce projet sera retardé par la guerre, et le dernier tram circule en 1952.

Plusieurs vestiges de ces réseaux ferrés sont encore visibles à Rennes, notamment place du Parlement de Bretagne et rue de la Monnaie pour le tram.

Construction de l'aéroport de Rennes

L'aéroport de Rennes - Saint-Jacques est construit à partir de 1931 et inauguré en 28 juillet 1933 en présence du ministre de l'air, Pierre Cot. L'aéroport sera bombardé durant la guerre. Une nouvelle aérogare sera inaugurée en 1953, démolit et reconstruit en 1973.

Un réseau uniquement bus

La place de la République, noyau du réseau de bus rennais
Plan du réseau de bus en 1954
Plan du réseau de bus en 1972

La disparition du tram en 1952 occasionne quelques petits changements : les Tramways Électriques Rennais deviennent les Transports Urbains Rennais (TUR) et les bus reprennent l'intégralité des lignes exploitées par les trams. Quelques extensions de lignes permettent de desservir certains quartiers jusqu'ici délaissés : rue de Nantes, Ste Thérèse... L'exode rural d'après-guerre obligera à renforcer davantage le réseau : desserte de Cleunay, du quartier de l'Europe, des Champs Manceaux, de Villejean, ZUP sud... À partir de 1951, des bus MGT entreront en service[6].

Réseau en 1954[7] Réseau en 1966[7]
1 : Gare SNCF - Route de Fougères
2 : Cimetière du Nord - Cimetière de l'Est
3 : Place de la Mairie - Route de Paris
4 : Place de la Mairie - Route de Nantes
5 : Place de la Mairie - Route de Vern
6 : Place de la Mairie - Route de Lorient
7 : Place de la République - Sainte-Thérèse
8 : Place de la Mairie - Cesson
F : Route de Fougères - Route de Vern
E : Cimetière de l'Est - Cimetière Nord
P : Mairie - Route de Paris
4 : Route de Nantes - Europe
T : Route de Lorient - Sainte-Thérèse
U : République - Cleunay
C : Mairie - Cesson
8 : République - Villejean
9 : Mairie - Champs-Manceaux

La concession signée pour l’exploitation du réseau de tramways électriques par la COE expire le 26 mars 1972. La ville décide alors de mettre en place un nouveau contrat d'exploitation, pour environ 4 ans : les Transports Urbains Rennais laissent la place au Service des Transports Agglomération Rennaise, le STAR, nouvelle appellation commerciale du réseau de transports en commun de Rennes. La tarification des transports par section laisse sa place au ticket horaire, valable une heure, en 1975.

Plan du réseau de bus en 1997

D'autres communes sont desservies en plus de Cesson-Sévigné : création de la ligne 12 vers Chartres de Bretagne en septembre 1973, dont la desserte est assurée en sous-traitance par la société Drouin. En 1974, Saint Grégoire et Chantepie sont desservies par un double prolongement de la ligne 2.

Plusieurs innovations techniques sont mises en place : commande des portes par bouton-poussoir pour les passagers, essai (avorté) d'un appareil de vente de tickets embarqué. En 1972 apparaissent les premiers couloirs de bus et, en décembre 1976, les premiers autobus articulés. Le service de nuit est mis en place en 1973 pour permettre le dimanche soir aux étudiants de Villjean de rejoindre le campus depuis la gare. En octobre 1979, un réseau de transports de nuit en semaine est mis en place pour compléter la desserte.

À partir de septembre 1980, le Syndicat Intercommunal des Transports en Commun de l’Agglomération Rennaise (SITCAR) organise les transports de l’agglomération pour le compte de Rennes District, la communauté urbaine de la région rennaise. En effet, l'augmentation de la population rennaise se faisant à présent majoritairement sur les communes périphériques. À la rentrée 1982, treize nouvelles lignes sont créées, à tarification unique. La gestion des transports scolaires est assurée par le SITCAR en 1984.

Création de la rocade

Article détaillé : Rocade de Rennes.

La rocade N136 fait le tour de la ville et a été construite en plusieurs tronçons. Débutée en 1968 (tronçon sud, venant de Paris), elle est prolongée à l'ouest le 7 octobre 1975, puis au nord-ouest jusqu'à la Porte de St-Malo en 1988 et la rocade nord en 1996 jusqu'à la Porte des Longs Champs. Le dernier tronçon de 7,8 kilomètres a été mis en service en juin 1999 pour refermer la boucle autour de Rennes et une partie des communes alentours, tout en incluant l'échangeur vers l'Autoroute des Estuaires (section A84).

La naissance du réseau de transports actuel

Le réaménagement de la gare de Rennes

Halte de Pontchaillou

La gare est réaménagée en 1992 par l'architecte Le Berre pour la mise en service du TGV Atlantique et dans une volonté de réunir le nord de la ville, actif économiquement, et le sud, essentiellement résidentiel. À cette occasion un accès sud et des bureaux sont construits pour en faire un centre d'affaires[1]. En 1995, la gare routière quitte l'emplacement occupé actuellement par Les Champs Libres pour venir s'accoler à la gare, alors que les fondations du futur métro sont déjà en cours de creusement[1].

Les haltes de Pontchaillou et de la Poterie sont créées en 1988. Ces arrêts sont desservis par une dizaine de TER Bretagne par jour[réf. souhaitée].

Le Vélo à la carte et LE vélo STAR

Le premier système déployé : le vélo à la carte
Second système déployé : LE vélo STAR
Articles détaillés : Vélo à la carte et LE vélo STAR.

Un système de location de vélos a été mis en place à Rennes à partir du 6 juin 1998. Les vélos SmartBike, répartis en 25 stations, sont empruntables 24h/24 et 7j/7 pour deux heures par les abonnés possédant une carte à puce gratuite[8]. La gestion informatisée du parc a constitué une première[8], tout comme la prestation, assurée par une société commerciale, Clear Channel, gérant également la réalisation et la gestion du service. Ce service a été arrêté le 10 mai 2009.

Depuis le 22 juin 2009, la société Kéolis a pris le relais avec « LE vélo STAR[9] ». Cette nouvelle offre de 1 285 vélos, répartis en 81 stations dans son déploiement maximal, est lancée le 18 septembre 2009. La carte KorriGo est la carte d'abonnement pour ce service[10]. L'emprunt est possible 24h/24 et 7j/7, la durée d'emprunt gratuit étant réduite à une demi-heure[9].

L'avènement du métro

Le métro VAL de Rennes.
Le réseau de bus et métro en 2008
Article détaillé : Métro de Rennes.


Afin de répondre à l'augmentation progressive de la fréquentation du réseau, le SITCAR étude sur l’opportunité d’un système de transport en commun en site propre entre 1986 et 1989. Plusieurs études seront menées sur deux mode de transport : Métro VAL (comme à Lille depuis 1983) ou Tramway (comme le nouveau réseau de Nantes, ouvert en 1985). Le 26 octobre 1989, le Comité syndical du SITCAR choisit le VAL.

Rennes District devient en 1992 l'autorité régulatrice des transports pour la communauté de communes de la région rennaise. Elle définit donc le plan de déplacement des transports en commun, ce qui entraîne la disparition du SITCAR, le 1er janvier 1992, remplacé en avril par le SEMTCAR (Société d'Économie Mixte des Transports Collectifs de l'Agglomération Rennaise)[11]. Le métro vient se placer dans ce projet par une desserte nord-ouest (Villejean, Pontchaillou) - sud-est de la ville (Blosne, Poterie).

La construction du métro se déroule du 6 janvier 1997, date du lancement officiel des travaux par Edmond Hervé, président de Rennes District au 16 mars 2002, date de l'inauguration officielle de la ligne A du métro et du tout nouveau réseau de bus, entièrement refondu pour l'occasion.

Le métro, équipé de rames type VAL 208, est ouvert de 5h30 à 0h30 ; sa vitesse commerciale moyenne est de 32 km/h. À l'origine du projet, la fréquentation moyenne prévue était de 73 000 utilisations par jour. En 2006, elle est de plus de 120 000 utilisations par jour. De nouvelles rames sont progressivement commandées pour permettre un cadencement de moins de 100 secondes aux heures de pointe[12].

Suite au succès de la première ligne, une ligne B est prévue pour 2018.

Évolutions du réseau actuel

Évolutions du réseau de bus

En 1999, la STUR (société des transports urbains rennais) remporte le contrat de délégation de service public d’exploitation du réseau STAR proposé par le District[13]. La STUR deviendra par la suite Keolis Rennes, filiale du groupe Keolis. Le contrat de délégation de service public a été renouvelé pour une période allant du 1er janvier 2006 et jusqu'au 31 décembre 2012.

En 2008, afin de renforcer la desserte des communes périphériques, plusieurs lignes express interurbaines sont créées afin de desservir le plus rapidement possible les centres des communes périphériques.

Jusqu'à la rentrée 2009, la numérotation des lignes urbaines était héritée de l'évolution du réseau, sans continuité dans la numérotation : les lignes 1, 2, 3, 6, 10, 15, 16, 17, 18, 19[14]. Cette numérotation est modifiée pour la rentrée, et le service de plusieurs lignes est renforcé de façon à ce que les lignes majeures occupent les 9 premiers numéros. La ligne 10 devient 31 et est classée comme ligne interquartier. Cette modification s'accompagne de la mise en place de nouveaux arrêts de bus, où la signalétique reprend la signature de couleur de la ligne[15].

L'axe Est-Ouest

La définition du plan de déplacement des transports en commun comprend entre autres la réalisation de l'Axe Est-Ouest, un ensemble de voies entièrement en site propre traversant la ville[16]. Correspondant actuellement au tracé de la ligne 16 entre Le Mail François Mitterrand et Tournebride, et à la ligne 6 jusqu'à Cesson-Sévigné, ce tracé est prévu pour mettre en place un axe prioritaire de bus, permettant de pratiquer des vitesses de 22 km/h de moyenne. La première tranche, ouverte en 2000 sera complétée par une deuxième tranche (Pont de Strasbourg/Tournebride), dont les travaux débuteront en 2010 d'après le calendrier prévisionnel[17].

L'intermodalité et la carte KorriGo

Validateur KorriGo TER Bretagne
Article détaillé : Carte KorriGo.

Le 1er mars 2006 est mise en place la carte KorriGo, destinée à faciliter les déplacements intermodaux à Rennes. Cette carte est à l'essai sur la métropole dans le but de la déployer par la suite sur toute la Bretagne. Elle permet de charger différents titres de transports afin de voyager sur les réseaux STAR, Illenoo et sur une partie des TER Bretagne.

Les transports de demain

La LGV Bretagne-Pays de la Loire

Article détaillé : LGV Bretagne-Pays de la Loire.

La LGV Bretagne-Pays de la Loire, est un futur prolongement de la branche ouest de la LGV Atlantique vers Rennes et Nantes. En termes de fréquentation, il est prévu qu'elle apporte environ 2 millions de voyageurs supplémentaires. Cette ligne se raccordera au réseau ferré classique à Cesson-Sévigné.

Cette nouvelle ligne diminuera le temps de transports entre Rennes et d'autres villes comme Laval (24 minutes), Paris (1h27, gain de 37 minutes), Lyon (3h50, gain de 21 minutes), Lille (3h20), Bruxelles (4 heures environ), Strasbourg (4h30 à 5 heures environ). La gare de Rennes sera réaménagée par la création de deux nouvelles voies en gare de Rennes et la création d'une gare TER à côté de la gare actuelle[réf. souhaitée] pour accompagner la croissance importante du réseau TER Bretagne ces dernières années[réf. souhaitée] et une liaison ferroviaire avec le nouvel aéroport du Grand Ouest[réf. souhaitée].

Ce projet de transport s'accompagne d'un projet urbain, baptisé EuroRennes, qui prendrait place autour de la gare sur les ateliers SNCF et les résidences pavillonaires proches de la gare. 180 000 m² sont ainsi prévus à la construction[18].

Une ligne B de métro pour 2018

Article détaillé : Métro de Rennes.
Les grands axes des transports de Rennes Métropole à l'horizon 2018.

La création d'une deuxième ligne de métro de 12,7 km de longueur et d’orientation générale nord-est (Longs Champs, Nouveau quartier des Champs Blancs) - sud-ouest (Nouveau quartier de La Courrouze, Cleunay), en correspondance avec la ligne A aux stations Gares et Sainte Anne a été étudiée à partir de fin 2007 (étude de faisabilité) par la SEMTCAR. Le tracé définitif a été arrêté le 23 avril 2009[19].

La ligne comprendra 15 stations ; la distance moyenne entre stations sera plus longue que sur la ligne A. Le choix de la solution technique (reconduction du système VAL ou choix d'un autre constructeur) devrait être arrêté, suivant le calendrier prévisionnel, en 2010, permettant de débuter les travaux en 2014 pour une mise en service prévue 6 ans plus tard, soit en 2020.

Une extension de la ligne A était un temps envisagée vers Chantepie, mais les études et décisions actuelles s'orientent vers un Bus à Haut Niveau de Service[20], au moins dans un premier temps. Les études du prolongement de la première ligne seraient en effet repoussé jusqu'à l'ouverture au public de la seconde ligne.

Préservation du matériel

Quelques bus anciens ont été préservés à l'initiative de passionnés travaillant pour Keolis Rennes, au sein de l'association Interconnexion : le Renault SC 10 R no 148, le Man/Saviem SG 220 no 337 et le Renault PR 180 no 437[21].

Voir aussi

Liens

Références


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Histoire des transports en commun de Rennes de Wikipédia en français (auteurs)

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