Histoire de la Ville de Liège

Histoire de la Ville de Liège

Liège est aujourd'hui le chef-lieu de la Province de Liège et fait partie de l'Euregio Meuse-Rhin. Elle possède la plus grande agglomération en Région wallonne. Elle a par le passé été capitale d'une principauté puis d'une république. Sa position géographique entre la France, le Saint Empire romain germanique et plus tard l'Allemagne, fait qu'elle a vécu une histoire très mouvementée.

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Sommaire

Origines de la ville

L'assassinat de Saint-Lambert

Les recherches archéologiques réalisées dans le sol de la Place Saint-Lambert ont permis de dater au paléolithique les premières traces doccupation du site par lhomme. Au cours de ces fouilles de nombreux témoignages de peuplement ont été mis au jour et cette occupation humaine paraît avoir été continue à travers la préhistoire. Ce peuplement préhistorique ne sest d'ailleurs pas limité à cette partie de la vallée. Sur les hauteurs, boisées à cette époque on retrouve aussi des traces d'occupation (Sainte-Walburge, Cointe, Fragnée, Thier-à-Liège).

Mais la découverte principale a été celle de la villa romaine, en 1907, sur le site de lactuelle Place Saint-Lambert. Cette villa est remarquable par la présence dun hypocauste, un ingénieux dispositif qui pouvait à la fois servir à chauffer des établissements de bains, dautres locaux plus ou moins vastes ou de simples pièces dhabitation.

Lorigine moderne de la cité de Liège remonte quant à elle, au VIe siècle, lorsque Saint Monulphe, évêque de Tongres qui se rendait de Dinant à Maastricht, sarrêta dans un vallon se trouvaient éparses quelques chaumières construites sur le bord dun ruisseau appelé Légia. Surpris par le paysage pittoresque quil apercevait de toutes parts il sécria : « Cest ici la place que Dieu a choisie pour le salut dun grand nombre, cest ici que doit sélever plus tard une ville puissante ; nous y ferons nous même bâtir un petit oratoire en lhonneur de saint Cosme et de saint Damien ».

Cette prédiction de lévêque ne tarda pas à saccomplir : nombreux furent les fidèles qui vinrent sétablir autour de la chapelle. Le nombre de ceux-ci saccrut encore sous lépiscopat de Saint Lambert car celui-ci se retirait souvent à Liège afin de sy livrer à des exercices de piété. Et cest quil mourut, assassiné par le traître Dodon et ses complices. La nouvelle de ce crime se répandit dans tous les environs dont on accourut pour visiter les lieux du trépas. Le successeur de Saint Lambert, Saint Hubert y fixa sa résidence, et une église fut bâtie en honneur du martyr. Le bourg devint une ville, on lentoura de murs épais (711) que lon garnit de hautes tours pour en défendre les approches.

Liège, ville féodale

"Liège doit Notger à Dieu et tout le reste à Notger".

Quand Notger accède au poste dévêque de Liège, en lan 972, le cœur de Liège est constitué par le complexe de Saint-Lambert avec la cathédrale et ses annexes, le palais, léglise Notre-Dame. Vers lest la population sest établie autour du marché. Au nord-ouest, lévêque Richaire, constatant la fixation de la population sur la rive gauche de la Légia, y avait fondé une église dédiée à Église Saint-Servais. Le Publémont était quant à lui occupé par la collégiale Saint-Martin et léglise Saint-Laurent, édifices inachevés à lépoque.

La Collégiale Saint-Denis

Pour Notger laction principale à mener est de protéger la ville des menaces extérieures. Cest pourquoi il fera notamment bâtir la Collégiale Sainte-Croix et une enceinte fortifiée englobant la ville. Une des caractéristiques du programme de Notger était doffrir un système défensif intégré. Non loin de lendroit le bras secondaire de la Meuse rejoignait le bras principal, il fonda la Collégiale Saint-Denis. Lévêque encourage le peuplement de lîle en y achevant la construction de léglise Saint-Paul et en y élevant une autre collégiale, même si cette partie de la ville reste en dehors de lenceinte fortifiée. Une autre priorité de lévêque est de ramener le centre religieux dans la vallée ; pour ce faire il reconstruit avec une dimension supérieure la cathédrale et le palais épiscopal.

À partir du XIe siècle, Liège sépanouit. Les successeurs de Notger, inspirés par lœuvre de celui-ci, suivent lexemple : Baldéric fonde labbaye Saint-Jacques sur lîle et la Collégiale Saint-Barthélemy au nord de la ville, Réginard achève létablissement de léglise Saint-Laurent sur le Publémont.

Mais surtout Liège souvre sur le monde. La route de France, actuelle rue Saint-Gilles, est reliée directement à la cité par le pont dAvroy. La route dAllemagne est accessible par la construction dun ouvrage dart remarquable : le Pont des Arches. Liège, qui était déjà capitale dun diocèse et dune principauté, devient également une des capitales du savoir. De tous les coins de lEurope on vient suivre lenseignement des maîtres liégeois. Cet épanouissement est aussi perceptible dans les arts plastiques avec lart mosan, ses œuvres dorfèvrerie, ses manuscrits à miniatures, ses ivoires. Liège est alors appelé "Nouvelle Athènes"

Plus tard la formation des paroisses va progressivement assembler les fils du tissu urbain, renforcer les groupements humains, établir entre eux des chaussées, des rues, des ruelles et des impasses. Le territoire de Liège est en fait réparti en 24 entités paroissiales dont 17 comprises dans lenceinte notgérienne. Mais, dès 1071, la création de léglise de Saint-Remacle-au-Pont consacre la reconnaissance dun secteur extra-muros. Ainsi naît le quartier dOutremeuse.

En 1212, Henri Ier, duc de Brabant, suite à une querelle au sujet des alleux de Moha et des Waleffes, profite de l'absence de l'évêque et de ses milices, pour investir la ville et la mettre à feu et à sang. Cet affront est sévèrement sanctionné l'année suivante à la bataille de Steppes les troupes liégeoises triomphent des Brabançons. Cet épisode marque la première défaite dans l'histoire d'une armée féodale face à une armée dans laquelle on trouve, entre autres, des milices urbaines. L'exploitation de la houille commence à Liège dès cette époque et se poursuivra jusqu'au XXe siècle.

A linstar des villes de la France, du Saint Empire romain germanique, de lItalie, lexplosion démographique qui éclate au XIIIe siècle rompt les fortifications primitives de Liège. Cest pourquoi de nouvelles enceintes sont construites début du XIIIe siècle.

La Paix de Fexhe, signée en 1316, aboutit à une participation du peuple dans la gestion de la cité par l'entremise des corporations de métiers. Des libertés démocratiques fondamentales sont acquises : inviolabilité du domicile, prohibition des arrestations arbitraires, proscription des tribunaux d'exception...

Destruction de la ville

La volonté des ducs de Bourgogne est de créer un puissant état entre la France et lEmpire, ils rassemblent progressivement les Pays-Bas sous leur pouvoir. Seule la Principauté de Liège, attachée profondément à ses libertés, refuse la tutelle bourguignonne. Au terme de violents affrontements, la ville est mise à feu et à sang en 1468 et sa population victime dun terrible massacre, perpétré par Charles le Téméraire.

Le visage médiéval de la cité mosane disparaît irrémédiablement.

La reconstruction

Le retour du Perron
Erard de la Marck

Toute la ville est à reconstruire, seuls les édifices religieux ont été épargnés par les Bourguignons, bien que ceux-ci se soient souvent livrés à des pillages dans les églises et couvents.

Des édifices de plus en plus considérables par leurs proportions voient le jour. Ce sont des bâtiments à fonction publique et des maisons canoniales. Ces dernières abritent les dignitaires ecclésiastiques de la cathédrale et des sept collégiales. Rien nest trop beau pour loger les membres de leur famille, les domestiques, le mobilier et les collections.

Avec Érard de La Marck qui fait sa Joyeuse Entrée en tant que prince-évêque de Liège, le 30 mai 1506, la paix et lhomme moderne pénètrent dans la Cité. Il fréquente les têtes couronnées et les humanistes les plus réputés. Cest au contact de ces personnalités très diverses, mais qui ont fait passer lEurope du Moyen Âge à la Renaissance, quÉrard de la Marck jette les bases dun mécénat dont il fit avant tout profiter Liège et son pays. Sa première préoccupation fut de reconstruire le palais. Arnold van Mulchen, larchitecte de l'église Saint-Jacques, cherche une voie nouvelle ; encore inspiré par le gothique, il est attiré par les innovations venant de France et dItalie. Une occasion exceptionnelle va lui permettre de donner toute la mesure de son talent. Le prince Érard de la Marck va lui confier la réalisation du palais épiscopal, entre 1526 et 1536. Philippe de Hurges, voyageur tournaisien, écrit en 1615 dans son récit de voyage : "le palais du prince Liégeois qui se void joignant saint Lambert est plus accomply que n'est le Louvre et que ne sont les Tuileries à Paris".

Lextension de lhabitat établit une communication directe entre la ville et les faubourgs, mais elle est freinée, dans la partie nord, par la présence des portes et des remparts. Dès que lon passe Hocheporte, on se retrouve à la campagne, au milieu des fermes au toit de chaume. En revanche, lindustrie sest installée sur certaines îles de la Meuse : une « fournaise lon fait le fer » occupe, depuis 1566, la moitié de lîlot de la Boverie.

À la fin du siècle, les bonnes relations commerciales entretenues avec les Provinces-Unies permettent le développement de la clouterie liégeoise et de l'industrie de l'alun.

À la force économique dun peuple conscient de ses droits et jaloux de ses libertés sassocie un nouveau pouvoir : celui du libéralisme, qui se forme et dessine peu à peu ses structures. Les industries nouvelles ayant pour bases le salpêtre, la poudre, le fer, trouvent une application extrêmement rémunératrice dans la fabrication des armes, des canons et des munitions. Cest ce qui va faire la fortune de celui qui représente, dans la principauté, la réussite exemplaire du grand capitalisme. Jean Curtius a laissé à Liège le symbole fastueux de sa puissance : le « palais » qui porte encore aujourdhui son nom et qui constitue le spécimen le plus caractéristique de larchitecture privée liégeoise du début du XVIIe siècle.

Sur le plan artistique, le XVIIe siècle voit de nombreux artistes liégeois faire le voyage à Rome afin de parfaire leur formation. Dans la seconde moitié du siècle, le sculpteur Jean Del Cour s'illustre tout particulièrement dans la sculpture baroque. Ses œuvres publiques les plus connues sont la Vierge à l'Enfant qui orne la fontaine du Vinâve-d'Île et les Trois Grâces qui surplombent le perron liégeois. De plus, un secteur artistique connaît un éclat sans pareil : l'industrie du meuble liégeois[1].

À l'aube du XVIIIe siècle, le centre-ville et le palais municipal se voient détruits par l'armée française. En 1734, c'est le palais princier qui prend feu : une nouvelle façade est alors construite avec un fronton sur lequel on peut encore voir aujourd'hui les armoiries du prince-évêque Georges-Louis de Berghes. La paix règne et les artistes sont dans la lignée de ceux du siècle précédent.

La révolution liégeoise

Carte de Liège en 1747

De nombreux imprimeurs et éditeurs ont élu domicile à Liège pour éviter la censure française et diffuser les "Lumières". À Liège, tous les événements français trouvent un écho immédiat, la prise de la Bastille détermine, le 18 août 1789, la révolution liégeoise qui amène à la création d'une république liégeoise. Après deux brèves restaurations du pouvoir épiscopal, Liège accueille avec chaleur les troupes françaises qui libèrent le territoire de la Principauté (une première fois le 28 novembre 1792[2]). Celle-ci disparaît avec le rattachement à la France, le 1er octobre 1795 : huit cent quinze ans dhistoire viennent de se clore. Malgré le Concordat de 1801, beaucoup d'églises sont détruites, alors que d'autres sont sauvées d'extrême justesse comme l'église Saint-Jacques. Mais la plus grosse perte pour Liège est indiscutablement la démolition de la prestigieuse Cathédrale Saint Lambert à partir de 1793 à la suite des démarches du peintre Léonard de France, fervent républicain. Ces trésors de l'art seront revendus au profit de la République. Ainsi disparaissait celle qui, au Moyen Âge, était considérée comme la splendeur de l'Occident. Elle ne renaîtra jamais de ses cendres et laisse un trou de mémoire au milieu de la ville. Le régime français passe, le régime hollandais lui succède et, avec lui Liège entre définitivement dans lère industrielle. Cette révolution va entraîner une réorganisation importante du tissu urbain.

La révolution industrielle

Lessor économique dont bénéficie le bassin liégeois à partir du régime hollandais a, sur les travaux publics, des répercussions immédiates qui se prolongeront jusqu'à la grande crise de 1929-1930. On cherche dabord à gagner du terrain à bâtir en comblant les biefs et rivelettes de la Meuse qui sillonnent le cœur de la ville. Sur la rive droite, on assiste à la même victoire du sol à bâtir dans les quartiers des Vennes et de Fétinne. Mais la décision la plus importante concerne laffectation de lespace laissé vide par la destruction de la cathédrale. On décide dy construire une place. Celle-ci voit le jour en 1827 et devint petit à petit la plaque tournante dun trafic important et le point de concentration dun commerce très actif. Au nord, la façade de lancien palais des princes-évêques ferme avec solennité le nouvel espace. Il faut cependant attendre 1885, date de la construction du Grand Bazar, pour équilibrer cet imposant vis-à-vis. La rectification du bras principal de la Meuse entraîne, dautre part, des modifications fondamentales dans lîle située devant lancienne abbaye Saint-Jacques, plus connue sous le nom dÎle du Commerce. La conquête de cette plaine se fait progressivement : établissement de bassins pour la navigation, qui survivent une vingtaine d'années, puis peuplement systématique de toute la superficie, construction de maisons bourgeoises, installation du conservatoire de musique (1887), aménagement des terrasses. Dès 1844, le canal de la Sauvenière est voûté. De ces travaux naît le boulevard de la Sauvenière, qui trouve sa continuation dans le boulevard dAvroy. La gare des Guillemins est créée en 1842 dans un espace encore vert.

La présence de la gare provoque le développement dun nouveau quartier, sillonné par de grandes artères. A mi-parcours de la rue du Louvrex, un jardin botanique apporte la fraîcheur de ses ombrages. Sur la rive gauche, les transformations ne sont pas moins importantes. A son tour la gare de Longdoz, qui assure depuis 1861 la liaison ferroviaire avec Maastricht, détermine lextension dun quartier commerçant et industriel. Le quartier de lest est radicalement transformé par la création de la dérivation de la Meuse, depuis Fétinne et la ville est entourée d'une nouvelle ceinture fortifiée en 1880.

Le XIXe siècle

La Gare de Liège en 1905

L'exposition universelle de 1905 se déroule à Liège, dans le quartier de la Boverie avec la construction du pont de Fragnée.

Grâce à sa ceinture fortifiée, Liège, joue un rôle important en retardant l'invasion allemande en 1914. Cette action héroïque se verra d'ailleurs récompensée en 1919 avec la remise de la Légion d'Honneur à la ville de Liège par la France.

L'année 1926 est celle de la dernière grande inondation de Liège ; pour enrayer le phénomène, des berges vont alors être construites le long de la Meuse.

En 1939, c'est l'exposition internationale de l'eau à l'Île-Monsin. Cette dernière exposition se voit clôturée prématurément après quelques mois en raison des événements internationaux. À partir de 1940, la ville est à nouveau occupée par l'armée allemande. C'est l'armée américaine qui libère Liège en septembre 1944. Commence alors la période la plus néfaste de cette guerre pour la ville, avec les destructions causées par les bombes volantes V1 et V2 allemandes.

La seconde moitié de ce siècle est plus calme et plus prospère grâce à l'entrée de la Belgique dans le Benelux puis dans l'Union européenne.

Dans les années 70, ce sont des quartiers anciens entiers qui disparaissent sous l'action des pelleteuses, afin d'y reconstruire dans un style moderniste très à la mode et de répondre à un besoin de mobilité de plus en plus intense.

Le Palais des princes-évêques accueille dorénavant le Gouverneur de la province de Liège, une partie de son administration, ainsi que les services du ministère de la Justice. La présence d'un évêché perpétue la tradition religieuse de la ville.

Et après?

La même gare 101 ans plus tard

À l'aube du troisième millénaire, Liège cherche à renouer avec son passé prestigieux et tente de redevenir un lieu de passage incontournable dans toute l'Europe. Située à un carrefour autoroutier européen important reliant Bruxelles, Anvers, Luxembourg, Maastricht, Rotterdam, Aix-la-Chapelle, Cologne, Strasbourg, ParisLiège possède également un aéroport international, le deuxième port fluvial d'Europe et une nouvelle gare TGV . Liège dispose de parcs scientifiques qui regroupent des entreprises ouvrant dans les secteurs de pointe tels que l'aérospatiale, l'agro-alimentaire, la biotechnologie, l'informatiqueLe secteur de la métallurgie avec Cockerill-Sambre occupe une grande part de la main-d'œuvre liégeoise. Liège accueille également le siège de plusieurs institutions économiques de la Région wallonne. L'université est fréquentée par 14 000 étudiants et les établissements supérieurs par 10 000 étudiants.

Références

  1. Musée du meuble
  2. Jean Delmas (historien) (directeur), De 1715 à 1870, Presses universitaires de France, Paris, 1992, in André Corvisier (directeur), Histoire militaire de la France, ISBN 2-13-043872-5, p 265

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Histoire de la Ville de Liège de Wikipédia en français (auteurs)

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