Histoire de la Provence

Histoire de la Provence
L'Histoire de la Provence liée à sa position géographique

L'histoire de la Provence, région du sud-est de la France, couvre l'ensemble des périodes historiques. La position de la Provence avec une large façade ouverte sur la mer Méditerranée, au sud, flanquée à l'ouest du Rhône, voie fluviale essentielle pour faire communiquer le nord et le sud de l'Europe, et à l'est par des cols alpins ouverts quasiment toute l'année, expliquent l'importance de son histoire à travers siècles et millénaires.

Sommaire

Préhistoire

La région provençale est habitée dès le Paléolithique inférieur. La grotte du Vallonnet, à Roquebrune (Alpes-Maritimes), est ainsi occupée vers - 950 000. La grotte de l'Escale, à Saint-Estève-Janson, montre des traces de feux entretenus au début de la glaciation de Mindel ( vers - 600 000). Les foyers de Terra Amata, à Nice, datent de - 400 000.

Lors de l'Acheuléen et du Paléolithique moyen (Moustérien), l'homme occupe les bassins et les versants des collines, qu'il s'agisse de grottes (Lazaret à Nice) ou d'habitats de plein air (Ste-Anne d'Evenos). La grotte Cosquer, à Cassis, est ornée de peintures pariétales datant de - 20 000.

La Provence présente une certaine originalité au cours du Paléolithique supérieur : le Solutréen est inconnu à l'Est du Rhône et la Magdalénien ne franchit pas la Durance. Ils sont remplacés par des industries locales ou régionales. Les gisements apportant les plus anciennes preuves de la domestication du mouton se situe en Provence, à Châteauneuf-les-Martigues. Les sépultures mégalithiques (hypogées d'Arles) et les premiers habitats perchés munis d'une enceinte (à Miouvin et Istres) apparaissent au Néolithique final et au début de l'âge des métaux. Des camps retranchés apparaissent à l'âge du bronze (camp de Laure) et de nombreux opida à l'âge de fer. Les Ligures autochtones entrent en relation avec des commerçants étrusques et des colons grecs de Phocée.

Antiquité

Carte des tribus gauloises de Provence.

Colonisé par les Grecs au VIe siècle av. J.‑C., le territoire de la région actuelle Provence-Alpes-Côte d'Azur[1] fit ensuite partie de la province romaine transalpine dénommée Gaule narbonnaise ou Provincia Romana d’où dérive son nom actuel, du latin Provincia.

Marseille et les Celto-Ligures

À partir du IVe siècle av. J.‑C., des populations celtes arrivent en Provence. Elles laissent parfois subsister les tribus des anciens occupants (environ une douzaine). Celles des vallées alpestres et de la partie orientales de la côte, Oxybiens et Décéates, sont ainsi à peine touchées. Dans la basse Provence, en revanche, les Celtes se mêlent aux anciens habitants et finissent par former une population celto-ligure. Ils regroupent les tribus en une confédération, celle des Salyens, dont la capitale est sans doute Entremont.

Peu après sa fondation, Marseille doit se défendre contre les attaques des populations ligures. La ville n'a pas un territoire très étendu. Son action dans le sud de la Gaule ne doit cependant pas être sous-estimé. Par la vallée du Rhône et de la Saône, elle draine des matières premières venues du nord et exporte des produits grecs. Sous l'influence grecque, les indigènes se mettent à cultiver la terre, à construire des remparts, à tailler la vigne et planter des oliviers. Les céramiques modelées laissent la place à des céramiques faites au four, fabriquées en Grèce, à Marseille ou dans des centres indigènes. Les habitats s'organisent en plan régulier et s'entourent de fortification en grand appareil à la manière grecque (Saint-Blaise). Au Ier siècle av. J.‑C., Glanum (Saint-Rémy-de-Provence), possède un véritable centre monumental de cité grecque, avec une agora entourée de portiques.

La sculpture est le domaine où se manifeste le mieux la synthèse entre les traditions indigènes et les formes de l'art hellénique (piliers d'Entremont, sculptures de Roquepertuse, chapiteaux sculptés de Glanum). C'est par Marseille que les sites gaulois de Provence entrent dans l'économie monétaire et que s'élabore l'écriture gallo-grecque, adaptation de l'alphabet grec à l'écriture du gaulois.

L'installation de Rome en Gaule transalpine

Ce sont les Marseillais qui appellent les Romains en Provence et par la suite en Gaule. Avec l'aide des Romains, les Marseillais brisent la coalition étrusco-carthaginoise et, après la prise de Rome par les Gaulois en 387, ils les aident à payer le tribut exigé par les vainqueurs. Un traité assure une parfaite égalité entre les deux cités et l'obligation mutuelle d'aide en cas de guerre. Lors de la seconde guerre punique, Marseille rend à Rome d'importants services : elle participe à la victoire navale de l'Ébre en 217 et, contre Hannibal, elle fournit aux Romains l'escale de son port.

Marseille fait donc appel à Rome quand, au IIe siècle, les Oxybiens et les Décéates menacent ses colonies de Nice et d'Antibes. Les Romains interviennent deux fois, en 181 et en 154, sans rien demander en échange.

En 125, une coalition des Ligures, des Salyens, des Voconces et des Allobroges menace Marseille. Les Marseillais font encore appel aux Romains. Ces derniers arrivent, mais ils sont cette fois décidés à agir pour leur propre compte. Les Romains viennent en effet de terminer la pacification de l'Espagne et ils veulent assurer la liaison par terre entre les Alpes et les Pyrénées. La guerre dure de 125 à 121. Les Romains battent les Ligures, les Salyens, les Voconces, les Allobroges et les Arvernes. En 122, Sextius Calvinus fonde, au pied d'Entremont, Aquae Sextiae Salluviorum et y établit une garnison.

Peu après, le consul Domitius Ahenobarbus commence au-delà du Rhône la construction de la voie Domitia en direction des Pyrénées. Une fraction de l'aristocratie romaine obtient l'envoi d'un groupe de citoyens pour fonder la colonia Narbo Martius, en 118.

La nouvelle colonie de Narbonne a un rôle stratégique important. La Provinvia Gallia Transalpina, dont elle est la place forte la plus importante, est soumise à l'autorité d'un chef militaire. C'est aussi une barrière contre les Barbares, notamment les Cimbres et les Teutons. En 102, Marius bat les Teutons et sauve ainsi Rome et Marseille.

La Gaule du Sud de Marius à Auguste

Le contrôle romain n'est pas totalement accepté dans la première moitié du Ier siècle av. J.‑C.. Il s'exerce par l'intermédiaire des cadres politiques préexistants. Les communautés de Gaule du Sud ont des statuts différents selon leurs particularités et leur attitude passée envers Rome. Marseille a ainsi un statut privilégié. Les tribus indigènes gardent leurs institutions et leurs magistratures. Rome favorise l'accession au pouvoir de chefs indigènes.

Le contrôle romain en Gaule du Sud s'exerce au profit de Rome, qui lève l'impôt, recrute des auxiliaires pour ses légions et impose des corvées. Il cependant cependant aussi au profit des negociatores romains et d'une aristocratie indigène ralliée.

Au début des années 40 av. J.-C., la seule collectivité romaine connue est la colonie de Narbonne. Jusqu'au début du règne d'Auguste, les provinces vivent au rythme des luttes intérieures de Rome. Les guerres entre César et Pompée ont pour conséquences l'abaissement de Marseille et la fondation de nouvelles colonies militaires. Marseille s'est en effet prononcée pour Pompée. César l'assiège en 49 av. J.-C. et la ville doit capituler. Elle conserve son gouvernement et sa situation de ville fédérée, mais elle perd ses vaisseaux, ses remparts et ses territoires, à l’exception de Nice et des îles d’Hyères.

Pour récompenser ses soldats, César fonde des colonies. Les colonies de Narbonne et d'Arles sont ainsi créées avec des soldats des 10e et 6e légions. En 31 av. J.-C., au lendemain de la bataille d'Actium, Octave installe à Fréjus une partie de sa flotte. Il y établit peu après des vétérans de la 8e légion.

Au Ier siècle av. J.‑C., les chefs politiques des cités reçoivent le droit de cité romain et sont ainsi intégrés dans le système romain de clientèles. À la fin du siècle, leurs descendants font carrière à Rome. Plusieurs sont inscrits parmi les chevaliers, voire les sénateurs. Au Ier siècle ap. J.-C., cette romanisation s'étend à l'ensemble des élites politiques et se double d'une romanisation culturelle (adoption du mode de vie urbain).

Les magistrats municipaux reçoivent, pour eux-mêmes et pour leurs proches le droit de cité romaine. 37 colonies latines sont ainsi fondées sous Auguste et les premiers empereurs. Trois reçoivent ensuite le droit romain (Valence, Vienne et Aix-en-Provence).

Les agglomérations se dotent de monuments romains : enceintes fortifiées, arcs de triomphe, forum, temples, théâtres, amphithéâtres et cirques (Arles, Cimiez, Orange, Vaison-la-Romaine), aqueducs.

Le Haut-Empire

Rome change d'attitude à l'égard des provinces à partir d'Auguste. En 22 av. J.-C., Auguste organise définitivement les provinces gauloises. La Provincia Narbonensis est gouvernée par un proconsul assisté d'un questeur, désignés par le Sénat romain et résidant à Narbonne.

La Narbonnaise est une province inermes : aucune troupe n’y stationne. La pacification des confins alpestres n'est cependant terminée qu'en 6 av. J.-C., comme le montre le trophée d’Auguste (trophée des Alpes) à La Turbie, qui commémore sa victoire sur les peuples des Alpes. Le nouveau territoire occupé entre les Gaules et l’Italie est divisé en trois petites provinces confiées à des procurateurs qui ont sous leurs ordres des cohortes militaires. À l’est de la Provence, la région montagneuse (Cimiez, Vence, Senez et Castellane) forme la province procuratorienne des Alpes Maritimes.

L'Antiquité tardive

La Narbonnaise est épargnée par les invasions qui ravagent la Gaule au IIIe siècle. Le IVe siècle est marqué par la conquête du pouvoir par Constantin qui met, en vain, le siège devant Marseille, où s'est réfugié son rival Maximilien.

La fin du IIIe siècle et le IVe siècle sont marqués par de profondes réformes administratives. Par une première réforme commencée par Dioclétien et achevée par Constantin, le Sud de la Gaule est divisée en cinq provinces. Les Alpes-Maritimes sont accrues des territoires de Digne et Embrun. Les provinces d'Aquitaine et de Narbonnaise sont divisées. Pour cette dernière, le territoire à l'ouest du Rhône garde son ancien nom tandis que les cités de l'autre rive du fleuve forment la Viennoise. Avec Embrun, qui remplace Cimiez comme chef-lieu des Alpes-Maritimes, Vienne est la principale bénéficiaire de cette réforme. Elle joint en effet à son rôle de chef-lieu de province celui de chef-lieu de diocèse.

Cette importance nouvelle de Vienne ne dure pas. Autour de 375, une nouvelle province, la Narbonnaise Seconde, naît du démembrement de la Viennoise en regroupant autour d'Aix les cités de Gap, Sisteron, Riez, Antibes, Fréjus et Apt. À la fin du IVe siècle ou au début du Ve, la préfecture du prétoire des Gaules, située à Trèves, est installée à Arles à cause de la pression des Barbares.

Arles devient une ville importante. L'empereur y réside parfois (Constantin, puis Constance II), y donne des jeux, y fait battre monnaie et y installe de grandes manufactures d'État. La ville s'enrichit grâce au commerce.

Après avoir pris Rome, les Wisigoths d'Alaric en marche vers l'Espagne traversent le sud-est de la Gaule en 413. Une fois installé à l'ouest du Rhône, ils tentent ensuite leur chance sur l'autre rive par des incursions en 426, 452 et 458. De leur côté, les Burgondes, transférés en Savoie depuis 443, gagnent progressivement Valence, Die, Embrun et vont jusqu'à la Durance avec l'accord de l'empereur. Le partage d'influence devient effectif à partir de la fin du Ve siècle, au moment où disparaît l'Empire romain d'Occident : les pays au nord de la Durance reviennent aux Burgondes et ceux du sud vont aux Wisigoths d'Euric, qui a pour capitale Toulouse. Trente ans plus tard, l'effacement des Wisigoths laisse le champ libre aux Burgondes, mais le roi ostrogoth Théodoric fait lever le siège d'Arles, entre à Marseille et prend Avignon en 508.

La christianisation

Au milieu du IIIe siècle, un évêque est en poste à Arles. La liste des Églises représentées au concile d'Arles en 314 atteste l'existence de communautés à Narbonne, Marseille, Nice, Apt, Orange et Vaison. Ces communautés ne connaissent pas les grandes persécutions du IIIe siècle et du début du IVe siècle. Certaines sont riches et importantes, comme celle d'Arles. De nouveaux évêchés apparaissent autour des années 400 et au cours du Ve siècle à Aix, Avignon, Antibes, Carpentras, Cavaillon et Riez. En Provence orientale, la carte ecclésiastique est calquée sur la carte civile : Aix et Embrun deviennent églises métropolitaines. Dans la Provence rhodanienne, Arles obtient juridiction sur la partie méridionale de la Viennoise. La ville connaît d'importants évêques issus du monachisme, comme Honorat, Hilaire et Césaire.

Honorat est l'un des pères du monachisme en Occident. Sa fondation des îles de Lérins, en 410, précède de peu l'arrivée à Marseille de Jean Cassien. Ce dernier fonde des communautés religieuses d'hommes et de femmes vers 416. Ses Conférences connaissent un grand succès. Le rayonnement des Lériniens et des Cassianites dépasse largement la Provence. L'élite chrétienne vient, parfois de loin, chercher une formation à Lérins ou à Marseille. Des clercs comme Gennade ou Fauste de Riez prennent part aux débats théologiques de l'époque. L'afflux des réfugiés qui fuient les Barbares attire en outre de fortes personnalités, comme Paulin de Pella, Prosper d'Aquitaine et Salvien. Lérins et Marseille fournissent des évêques à toute la région (Arles, Cimiez, Vence, Riez, Orange), mais aussi à des cités plus lointaines comme Narbonne, Lyon, Genève ou Troyes.

Au VIe siècle, l'implantation chrétienne est achevée dans les villes. Des évêchés sont même créés dans des agglomérations qui ne sont pas des cités, comme Toulon ou Uzès. Dans les campagnes, l'évangélisation progresse.

Moyen Âge

La région fut successivement occupée par différentes peuplades germaniques comme celles des Ostrogoths, des Burgondes et des Francs.

La formation de la Provence

Croix des Bosonides

En l'an 879 après J.-C., la région fut incorporée à la Bourgogne Cisjurane ou Cisjurásica, et elle fut ensuite intégrée au royaume d'Arles au Xe siècle. En 947, Boson d'Arles, comte d'Arles fut investi du comté de Provence. Ce dernier fut détenu, en indivis, par ses descendants.

La division de la Provence

Les droits sur le comté furent transférés, par mariage, aux comtes de Toulouse (1019) et aux comtes de Barcelone (1112). Les maisons des deux comtés entrèrent en conflit pour la possession de la Provence. À la suite d'un traité conclu en 1125, le comté fut divisé en un marquisat de Provence - au nord de la Durance - attribué aux Toulouse - et un comté de Provence - au sud de la Durance - attribué aux Barcelone. La partie nord-est de la Provence forma le comté de Forcalquier qui devient autonome au début du XIIe siècle. Toutefois, le mariage d'Alphonse II de Provence avec Gérsande de Forcalquier, en 1193, permet l'unification du comté de Provence et de celui de Forcalquier.

Le comté d'Orange, vassal du marquisat de Provence, fut érigé en principauté autonome en 1181.

Carte des trois fiefs provençaux en 1125

À la suite de la Croisade des albigeois, le Traité de Meaux-Paris (1229) imposa le passage du marquisat de Provence à la papauté. Toutefois, il resta aux comtes de Toulouse jusqu'à en 1271, lorsqu'il passa au roi de France. Philippe III de France le cèda finalement, en 1274, au pape et le marquisat format le Comtat Venaissin.

À la mort, en 1245, de Raymond-Bérenger V de Provence, les comtés de Provence et de Forcalquier passent à sa fille Béatrix qui les transmettra à son fils qui fondera la première maison capétienne d'Anjou. Cette dynastie accumula rapidement les titres royaux (Naples-Sicile, Jérusalem, Chypre, Acre, Thessalonique, Hongrie, Bosnie). À la mort de la reine Jeanne, en 1382, le comté de Provence passera à Louis Ier d'Anjou, que la reine Jeanne avait adopté. Ceci entraina une période de troubles opposant les partisans de la seconde maison d'Anjou-Provence aux partisans de Charles de Durazzo, issu de la première maison d'Anjou-Provence, dont les partisans formèrent l'Union d'Aix (1382-1387). La défaite politique de Charles de Durazzo assit la seconde dynastie d'Anjou sur le comté de Provence (1387). La seconde maison capétienne d'Anjou-Provence donnera, notamment, le célèbre Bon Roi René. En revanche, la Provence orientale (à l'est du Var restée fidèle à Charles choisit, en 1388, la dédition de Nice à la Savoie), se constituant en Terres neuves de Provence.

La Provence devient française

Le roi René d'Anjou meurt le 10 juillet 1480. Il avait déshérité son successeur naturel René II de Lorraine au profit de Charles V d'Anjou qui reçoit l’hommage de la Provence. N'ayant pas d'enfants, ce dernier lègue son État à Louis XI et à ses successeurs. À la mort de Charles, en 1481, la Provence passa au roi de France Louis XI et elle fut définitivement rattachée au domaine royal en 1487.

Évolution historique du rattachement de la Provence

Révolution française

Nihil aliud in nobis, Champfleury, Histoire des faïences patriotiques sous la Révolution

Lors de la Révolution française, la Provence est divisée en départements : Bouches-du-Rhône, Var et Basses-Alpes (futur département des Alpes-de-Hautes-Provence). Le 14 septembre 1791, Avignon et le Comtat Venaissin sont rattachés à la France. Le territoire est partagé entre Drôme et Bouches-du-Rhône et le 12 août 1793 le département de Vaucluse est créé.

Toujours en 1793, la Provence retrouve le comté de Nice et donne naissance au département des Alpes-Maritimes avant que celui-ci ne repasse sous le contrôle piémontais et sarde à la Restauration. En 1860, à la suite d'un plébiscite, le rattachement définitif du comté de Nice à la France ramène Nice à la Provence. Quelques territoires alpins du comté restent cependant italiens jusqu´en 1947 où un référendum demande leur rattachement à la France, mettant un terme à près de sept siècles de division de la Provence.

Notes et références

  1. Sauf le Pays niçois, qui depuis le 1e siècle de notre ère et jusqu’en 1860, est situé dans la géographie de la péninsule italienne.

Voir aussi

Articles connexes


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