- Goldman Sachs
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Logo de Goldman SachsCréation 1869 Forme juridique Société anonyme Slogan « Les intérêts de nos clients avant tout » Siège social New York (États-Unis) Direction Lloyd Blankfein, PDG (« chairman and CEO »)
Gary Cohn, Président & Directeur opérationnel
Suzanne M. Nora Johnson, Vice Président
David A. Viniar, Directeur financierActivité finance et assurance Produits investissements Effectif 32 500 Site web www.gs.com Chiffre d’affaires 29,839 milliards de dollars modifier Goldman Sachs (inscrite The Goldman Sachs Group, Inc. à la Bourse de New York), également connue sous les noms GS, Goldman et The Firm (« La Firme »), est une banque d'investissement créée en 1869 dont le siège est situé dans le Financial District de Manhattan, à New York. Goldman Sachs dispose de bureaux dans les plus importantes places financières dont New York, Londres, Tokyo et Paris.
Le domaine de compétences de Goldman Sachs est très diversifié. Il compte notamment des activités de conseil (fusion-acquisition), de financement d’entreprise en passant par les investissements de capitaux et le commerce de biens.
La firme fournit de hauts dirigeants aux États dans le secteur politique, économique et financier tels Mario Monti, chef du gouvernement italien, Robert Rubin et Hank Paulson, anciens Secrétaire du Trésor des États-Unis, Mario Draghi, gouverneur de la Banque d'Italie puis Président de la Banque centrale européenne, et Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada. Elle recrute aussi d'anciens hauts responsables financiers tel Otmar Issing, qui fut économiste en chef de la Banque centrale européenne[1].
Histoire
1869–1894 : Marcus Goldman
Goldman Sachs est fondée en 1869 par Marcus Goldman sous le nom de Marcus Goldman & Co.[2]. La firme est à la base spécialisée en gestion d'effets de commerce et gère jusqu'à 5 millions de dollars américain par an en papier commercial.
En 1882, Goldman invite son beau-fils Samuel Sachs à rejoindre l'entreprise et renomme cette dernière M. Goldman and Sachs. La compagnie croit rapidement dans les années 1880 au fur et à mesure qu'elle gère un capital croissant. En 1885, Goldman recrute son fils Henry et son beau-fils Ludwig Dreyfuss dans l'affaire et renomme la firme en Goldman Sachs & Co[3],[4]. La compagnie se forge un nom, devenant une pionnière dans l'utilisation des papiers commerciaux pour les entrepreneurs.
1894-1930 : Samuel Sachs
En 1894, Samuel Sachs remplace son beau père Marcus Goldman à la tête de firme. Elle s'inscrit à la bourse de New York en 1896[5].
Au début du vingtième siècle, Goldman joue un rôle dans la création des règles d'introduction en bourse (initial public offering, IPO). En 1906, elle génère l'un des plus grands IPO à ce jour, celui de la Sears, Roebuck and Company. Elle devient l'une des premières compagnies à recruter massivement des détenteurs de MBA des plus grandes écoles de commerce[réf. souhaitée].
Le 4 décembre 1928, la compagnie crée le Goldman Sachs Trading Corp., une société d'investissement à capital fixe (en) avec des propriétés similaires à celle d'une chaîne de Ponzi. La société échoue à la suite du Krach de 1929, nuisant à la réputation de la firme pour plusieurs années[6].
1930-1969 : Sidney Weinberg
En 1930, Sidney Weinberg devient associé principal et déplace l'accent de Goldman du négoce vers la banque d'investissement. Il quitte la compagnie en 1969. Une autre crise financière pour la firme s'est produite en 1970, quand la Penn Central Transportation Company a fait faillite avec plus de 80 millions de $ en papier commercial en circulation, la plupart émis par Goldman Sachs. La faillite était de grande ampleur, et les poursuites en découlant ont menacé le capital du partenariat et la vie de l'entreprise. C'est cette faillite qui a entraîné la création de notations de crédit pour chaque émetteur de papier commercial aujourd'hui émises par plusieurs services de notation de crédit.
1969-1976 : Gus Levy
En 1969 Gus Levy prend la tête de la firme.
En 1970, Goldman Sachs compte environ 1 300 employés[7].
1976-1990 : John C. Whitehead et John Weinberg
John Weinberg, le fils de Sidney Weinberg dirige la firme entre 1976 et 1990.
1990-1994 : Robert Rubin et Stephen Friedman
En 1990 Robert Rubin et Stephen Friedman prennent la tête de Goldman Sachs. Robert Rubin quitte la firme pour devenir le 70e Secrétaire au Trésor des États-Unis de 1995 à 1999 pendant l'administration Clinton.
1994-1998 : Jon Corzine
Jon Corzine prend la tête de la firme en 1994. Il la quitte pour devenir sénateur puis gouverneur du New Jersey dans les années 2000.
GS est critiquée lors de la crise financière russe de 1998, conseillant la Russie tout en spéculant contre sa capacité à payer sa dette[8].
1998-2006 : Henry Paulson
Henry Paulson prend la tête de la firme suite à la crise financière russe. Il quitte Goldman Sachs pour devenir Secrétaire au Trésor des États-Unis.
La rentabilité moyenne annuelle des fonds propres de Goldman Sachs est de 29 % de 2000 à 2008 : ce chiffre est à comparer au 19 % du secteur financier américain et au 1 % de la grande distribution[9].
Depuis 2006 : Lloyd Blankfein
Dans la deuxième partie de l'année 2007, Goldman Sachs est l'une des seules entreprises dans le domaine financier à ne pas avoir perdu d'argent en anticipant la crise des subprimes[10]. En 2008, Goldman Sachs compte environ 30 000 employés[7]. La même année, le groupe bancaire annonce un bénéfice en baisse de 70 %.
Le 21 septembre 2008, en raison des pertes considérables subies par leurs implications dans la crise des subprimes, le groupe demande et reçoit l’approbation de la Réserve Fédérale (Fed) pour un changement de statut : de banque d’investissement (investment bank) elle devient la quatrième holding company du pays[11]. Le groupe peut alors bénéficier des nouvelles liquidités de la Réserve Fédérale débloquées par le plan Paulson[12]. Puisque Henry Paulson est un ancien président et directeur de la banque Goldman Sachs, des critiques soulèvent qu'il y a un possible conflit d’intérêts[réf. souhaitée]. Ce sauvetage semble ne pas être sans contreparties : le capital de Goldman Sachs change de mains. Ainsi, Warren Buffett entre officiellement dans le capital de la banque en injectant 5 milliards de dollars.
Goldman Sachs a reçu, à l'automne 2008, près de 13 milliards de dollars que lui devait American International Group, qui lui-même a été renfloué par la Fed[13].
En juillet 2009, le magazine américain Rolling Stone publie un article de l'écrivain politique Matt Taibbi où ce dernier accuse Goldman Sachs d'avoir provoqué la plupart des « manipulations de marché » ou bulles, lors de ces 80 dernières années[14].
En février 2010, le New York Times affirme que GS porte une responsabilité directe dans l'agravation de la crise de la dette publique grecque. Elle aurait aidé le gouvernement grec à camoufler sa dette grâce à des outils financiers qui lui auraient permis de dissimuler ses transactions tout en renflouant ses comptes avec l'aide d'autres banques américaines. Goldman Sachs en aurait tiré 300 millions de dollars de bénéfices[15]
En avril 2010, la Securities and Exchange Commission poursuit Goldman Sachs et Fabrice Tourre, un de ses vice-présidents, pour fraude dans les événements entourant la crise des subprimes, « une affaire qui pourrait avoir coûté plus d'un milliard de dollars aux investisseurs »[16],[10]. Le 15 juillet 2010, la société a décidé de verser 550 millions USD pour mettre fin à la poursuite[17].
En mai 2010, le Département de la Justice des États-Unis « a ouvert une enquête pénale sur Goldman Sachs au sujet de vente de titres adossés à des crédits hypothécaires à risque »[18].
Le 30 août 2010, Axa cesse d'être le premier actionnaire de Goldman Sachs.
Le 2 septembre 2011, le gouvernement des États-Unis entame des poursuites judiciaires contre Goldman Sachs pour son rôle dans la crise des subprimes[19].
En octobre 2011, La Tribune publie un article dans lequelle elle soupçonne Goldman Sachs ainsi que d'autres gros acteurs du marché des matières premières de créer artificiellement, avec la complicité du London Metal Exchange, une pénurie de zinc et d'aluminium et ainsi spéculer à la hausse sur les cours[20].
En novembre 2011, la crise de la dette grecque en Europe nécessite plusieurs remaniements dans les gouvernements. En Grèce, le premier ministre Geórgios Papandréou est remplacé par Loukás Papadímos, ayant travaillé à Goldman Sachs[21]. En Italie, le Cavaliere est remplacé par Mario Monti, ayant aussi travaillé à Goldman Sachs[21]. Mario Draghi, vice-président de la branche européenne de la banque d'affaires américaine Goldman Sachs de 2002 à 2005, succède à Jean-Claude Trichet le 1er novembre 2011 à la présidence de la Banque centrale européenne (BCE).
Activités
Goldman Sachs est subdivisée en trois branches principales : une Banque d'Investissement, une Banque de Capitaux et d'Echange, une Société de Gestion d'Acquis et d'Assurance.
De 8,2 milliards de dollars en 2005, le revenu net avant impôt de la banque est passé à 19,8 milliards en 2009. Les opérations de trading représentent 75 % des 45 milliards de dollars de revenus de Goldman Sachs en 2009. Selon Lloyd Blankfein, Goldman Sachs est un Market maker qui réalise 10 à 15 % de ses activités pour son propre compte[22].
La Banque d'investissement
La Banque d'investissement est séparée en deux services : le conseil financier (fusion-acquisition, restructurations, filiales, etc.) et la gestion d'actifs (placements privés ou boursiers, gestion de dette...). Goldman Sachs est un leader du secteur des banques d'investissement, toujours en tête des classements en particulier concernant les placements boursiers. En fusion-acquisition, sa renommée tient historiquement dans ses conseils efficaces pour éviter les OPA hostiles. Elle fut d'ailleurs la seule grande banque d'investissement qui, dans les années 1980, refusait à offrir toute aide en vue de telles OPA hostiles, renforçant d'autant sa bonne réputation auprès des entreprises. Cette branche représente environ 15 % des revenus de la firme.
La Banque de capitalisation et d'échange
La Banque de capitalisation et d'échange est la branche la plus développée de Goldman Sachs et lui apporte le gros de ses revenus. Elle est séparée en trois services dont le prêt à taux fixe, change et contrats à terme (gestion de taux d'intérêt et crédits, prêts et hypothèques, change...), placements en bourse et gestion de principal. Cette branche consiste en les revenus et profits engendrés tant par le comportement des clients que par celui de la banque elle-même.
La plupart des échanges effectués par Goldman Sachs ne sont pas spéculatifs et se contente de profiter du jeu de l'offre et de la demande en créant du marché. Cela représente près de 65 % des profits de la firme.
Bien que son fondateur, Goldman, eût prédit que cette branche ne pourrait pas se développer aussi rapidement que la Banque d'Investissement et ne pourrait apporter qu'une part relativement négligeable des revenus, c'est pourtant l'inverse qui s'est produit et a conduit à la nomination de Lloyd Blankfein au poste de Président et Administrateur après le départ de John Thain pour le NYSE et de John L. Thornton pour un poste en Chine.
La Société de gestion d'actifs et d'assurance
La Société de gestion d'actifs et d'assurance est la branche au développement le plus rapide actuellement. Séparé en deux services de gestion d'actifs et assurance, elle représente près de 19 % des profits de la firme.
Implication dans les entreprises étrangères
Goldman Sachs est beaucoup impliqué dans les capitaux des entreprises étrangères. Elle possède notamment 25 % des droits de vote d'Eurotunnel[23], 20% de la Banque industrielle et commerciale de Chine[24], et 12 % de l'assureur chinois Taikang[25].
Elle est propriétaire du groupe ISS, leader mondial du « facility services »[26] et de la compagnie allemande Xella[27].
Le groupe a investi 500 millions de dollars dans Facebook[28].
Données financières
En 2009, le chiffre d'affaires de Goldman Sachs est de 51,67 milliards de dollars, dont 13,39 milliards de dollars de bénéfices[29].
En 2010, la compagnie verse 15,38 milliards de dollars en salaires et en primes à ses employés, ce qui représente une diminution de 5 % par rapport à 2009[30].
Personnalités
Personnalités politiques
- Mario Draghi est vice-président de Goldman Sachs pour l'Europe entre 2002 et 2005 chargé des "entreprises et pays souverains". D'après Marc Roche, journaliste au journal Le Monde, "l'une de ses missions est [alors] de vendre le produit financier "swap" permettant de dissimuler une partie de la dette souveraine, qui a permis de maquiller les comptes grecs"[31]. Il est Gouverneur de la Banque d'Italie entre 2006 et 2011. Il est Président de la Banque centrale européenne depuis 2011.
- Mario Monti est commissaire européen au Marché intérieur, des Services, des Douanes et de la Fiscalité, à partir de 1995. Il est commissaire européen à la Concurrence en 1999. Il est conseiller international de Goldman Sachs à partir de 2005. Il est chef du gouvernement italien depuis novembre 2011.
Autres personnalités de Goldman Sachs
- Lloyd C. Blankfein
- John H. Bryan
- Mark Carney
- Alan Cohen
- Gary D. Cohn
- Edith W. Cooper
- Claes Dahlbäck
- Stephen Friedman
- William W. George
- James A. Johnson
- Lois D. Juliber
- Marc Mezvinsky, conjoint de Chelsea Clinton
- Lakshmi N. Mittal
- Dambisa Moyo
- Gregory Palm
- Henry Paulson
- John F.W. Rogers
- Robert Rubin
- James J. Schiro
- Michael Sherwood
- Esta Stecher
- David A. Viniar
- John S. Weinberg
Anecdotes
En décembre 2010, la Banque a publié un guide destiné à montrer aux chercheurs d'emploi comment « bluffer» les recruteurs lors d'un entretien d'embauche[32].
En raison des mauvais résultats attendus en 2011, la Banque veut réduire ses frais de fonctionnement en réduisant la taille des tasses de café lors des pauses[33].
Notes et références
- Jean Quatremer, « Grèce : Goldman, prise la main dans le Sachs », Libération, 20 et 21 février 2010 Grégoire Biseau et
- (en)History and Growth, Goldman Sachs Group, Inc.. Consulté le 10 March 2010
- (en)Business & Finance: Cash & Comeback
- (en)Lis Endlich, Goldman Sachs - The Culture of Success, Touchstone, 1999, p.34
- (en) Leah Nathans Spiro et Stanley Reed, « Inside the money machine ; In a big-is-all business, Goldman vows to go it alone », dans BusinessWeek, The McGraw-Hill Companies Inc., 22 décembre 1997 [texte intégral]
- (en) Justin Fox, « Goldman: we run Wall Street », dans Fortune magazine, Cable News Network LP, LLLP. A Time Warner Company, 16 mai 2005 [texte intégral]
- Gill 2009, p. 48
- (en)Joseph Kahn, « For Russia and Its U.S. Bankers, Match Wasn't Made in Heaven », The New York Times, 18 octobre 1998. Consulté le 19 mai 2010
- Challenges, n°211, du 6 mai 2010, page 20. Goldman Sachs : une créature hors de contrôle,
- La SEC accuse Goldman Sachs de fraude », Le Devoir, 17 avril 2010 François Desjardins, «
- (en)Jessica Hall, « Reuters.com Goldman Sachs to be regulated by Fed », 21 septembre 2008
- Goldmansachs.com
- A.I.G. Lists Firms It Paid With Taxpayer Money, New York Times, publié le 15 mars 2009.
- Matt Taibbi, « The Great American Bubble Machine - From tech stocks to high gas prices, Goldman Sachs has engineered every major market manipulation since the Great Depression - and they're about to do it again », Rolling Stone, 13 juillet 2009(traduction en français)
- Goldman Sachs aurait aidé la Grèce à camoufler sa dette » sur http://www.lefigaro.fr, 15 février 2010 Hayat Gazzane, «
- La Banque Goldman Sachs accusée, la bourse chute sur http://www.radio-canada.ca, Société Radio-Canada, 17 avril 2010
- « Fraude: Goldman Sachs paiera 550 millions », dans Le Devoir, 16 juillet 2010 [texte intégral (page consultée le 16 juillet 2010)]
- Associated Press et Reuters, « Enquête pénale sur Goldman Sachs », dans Le Devoir, 1er mai 2010 [texte intégral (page consultée le 3 mai 2010)]
- Scandale hypothécaire à Wall Street - Washington poursuit les banques - Bank of America, Morgan Stanley et Goldman Sachs sont du nombre », Le Devoir, 3 septembre 2011. Consulté le 4 septembre 2011 François Desjardins, «
- La Tribune : La gestion des entrepots, véritable poule aux oeufs, d'or fait polémique
- Analyse - Les hommes de Goldman Sachs » sur http://www.ledevoir.com, Le Devoir, 15 novembre 2011 Le Monde, «
- Challenges, n°211, du 6 mai 2010, page 22. Goldman Sachs : une créature hors de contrôle,
- Goldman Sachs renforce son poids dans Eurotunnel sur http://www.latribune.fr, 28 septembre 2011
- http://french.peopledaily.com.cn/Economie/6568000.html
- Goldman Sachs : s'offre 12,02% de Taikang Life Insurance sur http://fr.finance.yahoo.com, 8 avril 2011
- Goldman Sachs rachète le géant danois des services, ISS sur http://lexpansion.lexpress.fr, 29 mars 2005
- Marchés : la Commission autorise le rachat de Xella par Goldman Sachs et PAI sur http://www.sicavonline.fr, 18 août 2008
- Goldman Sachs investit 500 millions dans Facebook, la SEC s'interroge sur http://temprsreel.nouvelobs.com, 5 janvier 2011
- (en)The Global 2000 - Goldman Sachs Group sur http://www.forbes.com, Forbes, 21 avril 2010
- En bref - Chute des profits de Goldman Sachs », Le Devoir, 20 janvier 2011 Associated Press, «
- Goldman Sachs, le trait d'union entre Mario Draghi, Mario Monti et Lucas Papadémos, Marc Roche, 14 novembre 2011
- Le guide de Goldman Sachs pour passer un entretien avec succès » sur http://actu.efinancialcareers.fr, 8 décembre 2010 Sarah Butcher, «
- Goldman Sachs, en difficulté, s'attaque aux tasses de café » sur http://www.lefigaro.fr, 2 octobre 2011 Hayat Gazzane, «
Bibliographie
Article de journaux
- Alexandra Geneste «Une pieuvre fortifiée par la crise» Libération des 20 et 21 février 2010
- « En Europe, Goldman Sachs recrute des hommes de pouvoir pour asseoir le sien», Marc Roche, Le Monde, 2 mars 2010
- Goldman Sachs, le trait d'union entre Mario Draghi, Mario Monti et Lucas Papadémos, Marc Roche, Le Monde, 14 novembre 2011
Livres
- (en) Vault, Vault employer profile. Goldman Sachs, New York, Vault, Inc., 2006 (ISBN 978-1-58131-469-4) (OCLC 182790732)
- (en) WetFeet, The Goldman Sachs Group, San Francisco, CA, WetFeet, 2004, 2005e éd. (ISBN 978-1-58207-450-4) (OCLC 56949728)
- (en) Ellis, Charles D., The Partnership: The Making of Goldman Sachs, New York, The Penguin Press HC, 2008 (ISBN 978-1-59420-189-9) (LCCN 2008025228)
- (en) Endlich, Lisa, Goldman Sachs: The Culture Of Success, New York, A.A. Knopf, 1999, 4e éd. (ISBN 978-0-679-45080-1) (LCCN 98031139)
- (en) Lindskoog, Nils, Long-term Greedy: The Triumph of Goldman Sachs, Appleton, WI, McCrossen Pub., 1998, 1re éd. (ISBN 978-0-9652153-3-6) (OCLC 39083901) (LCCN 96076405)
- (en) McGee, Suzanne, Chasing Goldman Sachs: How the Masters of the Universe Melted Wall Street Down . . . And Why They'll Take Us to the Brink Again, New York, Crown Business, 2010, 1re éd. (ISBN 978-0-307-46011-0) (LCCN 2009053440)
- (fr) Roche, Marc, La Banque. Comment Goldman Sachs dirige le monde, Albin Michel, Paris, 2010. (ISBN 2-226-20626-8)
Conférence
- Louis Gill, « La crise actuelle : écho des crises d’hier, prélude des crises à venir », dans Carré rouge, vol. 42, novembre 2009, p. 43-54 [texte intégral]
tiré d'une communication présentée dans le cadre du Séminaire Fernand-Dumont organisé par le département de sociologie de l'Université Laval les 21-23 octobre 2009, à l'Île d’Orléans.Cet ouvrage est disponible en version électronique pour consultation gratuite sur le site Les Classiques des sciences sociales (Cet ouvrage n'est pas libre de droit et toute reproduction, modification ou diffusion est soumise au droit de son auteur).
Voir aussi
Article connexe
Liens externes
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