Abbon (Patrice)

Abbon (Patrice)
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Waldelenus est le beau-frère du roi Gontran, que nous voyons ici avec Childebert II. Il est aussi l’arrière-grand-père d’Etichon-Adalric d'Alsace et donc l’ancêtre des Étichonides, mais aussi de la gens Abbo.

Abbon est né peut-être vers 685 et il teste le 5 mai 739[1].

Ab(b)o, son nom, est apparemment germanique, mais peut être l’hypocoristique du vieux nom gaulois Abolenus-Abelonius. Ces formes abrégées ne sont pas toujours claires. En tous les cas Abbon est considéré comme un allié gallo-romain par les Francs[2]. Il est recteur de Maurienne et de Suse, patrice du Viennois en 722. Abbo, ou Abbon, combat Mauronte et ses alliés les sarrasins de Yusuf ibn 'Abd al-Rahman al-Fihri. Charles Martel pour le récompenser le fait duc de Provence en 732. Abbon fonde l'abbaye de la Novalaise en 726, à laquelle il laisse une grande partie de son immense héritage en 739. Il est le dernier patrice de Provence.

Sommaire

Origines

Dagobert reçoit le royaume Franc par les évêques et les grands de Burgondie. Parmi eux figurent certainement des membres de la toute puissante famille d’Abbon.

Abbon est issu de la famille de Waldelenus, dit de Besançon. Celui-ci est le fils de Magnachar (de) (vers 506-565), Alaman, allié des Francs, duc du pagi d'Aventicum[3]. Il a un frère, Giuccio et une sœur Marcatrude, reine de Bourgogne, par son mariage avec le roi Gontran. Cette sœur est enfermée chez des moniales arlésiennes au monastère Saint-Jean, en 567, après la naissance d’un enfant mort-né.

Waldelenus des Francs transjurans (vers 531-610) est patrice de Burgondie, maire du palais d’Austrasie en 581[4]. Il fonde le monastère de Luxeuil.

La femme de Waldelenus, Aelia Flavia, est une noble gallo-romaine[5]. Elle est peut-être la descendante du proconsul Felix Ennodius (en) et du côté maternel de Syagrius[6].

Waldelenus et Aelia Flavia ont quatre enfants :

Etichon-Adalric d'Alsace est l’arrière-petit-fils de Waldelenus et donc un parent d’Abon.
  • Aquilina du Jura fonde l’abbaye de Bèze en l'an 616, selon Mabillon, et en 630, selon Charles Le Cointe, sous le vocable de saint Pierre, avec Amalgar de Dijon, duc du palais du roi d’Austrasie. Ils sont à l’origine aussi d’un couvent à Bregille. En 630, le roi Dagobert à Saint-Jean-de-Losne donne l'ordre d'assassiner Brodulf, oncle de son frère Charibert. Le meurtre est exécuté par les ducs Amalgar de Dijon et Arnebert et par le patrice Willibad. Douze ans plus tard Amalgar combat avec son beau-frère Félix Chramnelenus contre ce Willibad, qui est tué dans une bataille.
  • Syrude, qui est religieuse au monastère de femmes crée par sa mère[9]

Abbon, né environ un siècle plus tard que les enfants de Waldelenus et Aelia Flavia, est le fils de :

  • Félix de la gens Abbo, un grand propriétaire terrien burgonde[10], dont son fils Abbon nous dit dans son testament qu’il est évêque de Turin et marié à Rustica.

Abbo, Abbon, peut paraître franchement germanique, mais il ne l’est pas tant que ça. Ce peut être en effet un hypocoristique du gaulois Abelonius. On aura un Abbon, comte de Viennois en 831. Félix, son père, apparenté au clan des Waldelenus est plus un bon aristocrate de souche gallo-romaine, du fait de ce nom qu’un Burgonde, même fortement romanisé. Ce patronyme est peut-être aussi un diminutif d'Ebraldus-Ebrardus ?

Abbon est le petit-fils de Marron et de Dodine. Toujours grâce à son testament on sait qu’il est le neveu de :

Biographie

Un patrice du Viennois

Ruines gallo-romaines à Vienne, où vit Abbon.

Son père en fait l’un des plus grands propriétaires terriens qui aient existé dans les Alpes, puisqu’il possède une série presque ininterrompue de domaines de Marseille à Grenoble[12]. Abbon est recteur de Maurienne et de Suse. Sa famille commande les passages alpestres de Suse, Briançon, Embrun, et Gap. Il est revêtu de la dignité de patrice du Viennois par Charles Martel, prince des Francs, et il succède à Agnarius qui exerçait cette charge en 722. Les patrices de Vienne gouvernent tous les pays renfermés entre le Rhône, la Durance et les Alpes Pennines, ou en d'autres termes les trois anciennes provinces gallo-romaines soumises à l'autorité primatiale de l'église métropolitaine de Vienne.

Ce patrice fait sa résidence ordinaire dans l'un des châteaux forts qui dominent l'ancienne cité de Vienne[13]. Une majorité d’auteurs le disent patrice romain, quelques autres patrice franc[14]. Les Francs, très peu nombreux et souvent peu cultivés doivent élever des Gallo-romains ou des étrangers à des dignités importantes. Lupus, dont parle Frère Fortanat, son parent Félix Chramnelenus, dont parle Frédégaire, l’Athénien Gelsus, un Amatus, un Eunius Mummole[15], dont parle Grégoire de Tours, et Abbon en sont quelques exemples, parmi d’autres[16].

Charles Martel (733)

L’invasion musulmane

Le Viennois regroupe les territoires de la Bourgogne d’alors qui vont du sud du Rhône aux limites de la Provence (au nord de la Durance) et à l’est va jusqu’au royaume des Lombards.

Vers le milieu des années 710, des troubles sont signalés en Provence occidentale[17] fait écho à une révolte conduite par le patrice Antenor contre le pouvoir franc de Pépin de Herstal, puis de Charles Martel, révolte qui s'accompagne de spoliations de biens ecclésiastiques.

Le danger vient surtout des alliés de ces rebelles, les Sarrasins, qui s'aventurent dans la vallée du Rhône, jusqu'à Autun(725)[18].

La grande irruption des Maures force Abbon à se réfugier à Suse, avec beaucoup de réfugiés. C'est dans cette ville qui dépend alors de évêque de Saint-Jean-de-Maurienne, qu'il stipule la fondation de l'abbaye de la Novalaise (Novaliciensis) en 726.

La fondation de l’abbaye de la Novalaise en 726

Cette abbaye de la Novalaise est fondée le 30 janvier 726, aux pieds du Mont-Cenis, par Abbon, recteur de la Maurienne et de Suse, patrice du Viennois.

Elle est construite sur la Via Francigena, l'ancien chemin de 1,700 km du pèlerinage de Rome qui mène de Cantorbéry, (capitale de l'Église d'Angleterre), à la tombe de Saint Pierre, dans la Basilique Saint-Pierre du Vatican, à Rome.

La riche abbaye des saints Pietro et Andrea va connaître une très grande renommée à l’époque carolingienne, où elle accueillera plus de cinq cents moines. Dès le départ elle est dotée de nombreuses terres en Maurienne et en val de Suse.

La Novalaise attire les marchands et les pèlerins au détriment du Montgenèvre[19] Elle aussi dans un premier temps un lieu de refuge pour des chrétiens menacés par les Sarrasins et la guerre qui fait rage à l’ouest du Piémont.

La rébellion de Mauronte (733)

Mauronte est duc de Provence et du Viennois, du fait de l’exil d’Abbon et des alliés Charles Martel. Il cherche à secouer les liens déjà bien faibles qui unissent les populations de l'est de la Francie avec le royaume et Charles Martel. Il se ligue avec les autres gouverneurs. Tous ces seigneurs trament un complot dans l'espérance que Charles alors occupé de différentes guerres, soit contre les peuples de la Germanie et les Aquitains, soit contre les Sarrasins, serait hors d'état de les empêcher de créer un royaume indépendant.

En 733, lorsque Charles Martel lance une offensive dans le Lyonnais et la Provence) il gagne, moyennant des postes stratégiques, le soutien de quelques grands aristocrates de la région[20]. Parmi eux se trouve Abbon.

Mauronte et les autres rebelles font semblant de se soumettre. Mais, ils sont résolus de se soustraire à n’importe quel prix à l'obéissance due à Charles Martel et à leur roi, Ils forment une ligue secrète avec Yusuf ibn 'Abd al-Rahman al-Fihri, gouverneur de la Septimanie pour les Sarrasins.

A nouveau le danger sarrasin (735 à 738)

Du fait de ces guerres les villes et les villages se transforment en forteresses. Une des tours de l’amphithéâtre d’Arles.

En 735, Mauronte appelle à l'aide les Sarrasins d’Yusuf ibn 'Abd al-Rahman al-Fihri, Wali de Narbonne. Toutefois Charles Martel fait la paix avec Hunald, fils du duc Eudes de Gascogne et en 736 il marche promptement contre ces rebelles et leurs alliés. Avec son frère Childebrand, ils soumettent en peu de temps tout le pays depuis Lyon jusqu'à Marseille et Arles et pourvoit de nouveau à sa sûreté. Puis, il part combattre une révolte de Saxons.

En 737, Mauronte peut de ce fait livrer Avignon à Yusuf ibn 'Abd al-Rahman al-Fihri. Les villes d'Uzès, de Viviers, de Valence, de Vienne, de Lyon et plusieurs autres, sont attaquées. Les églises détruites, des monastères ruinés, des villes pillées, des maisons saccagées, des châteaux démolis, et un nombre infini de personnes massacrées[21].

Mais, en 739, Childebrand, renforcé par les Lombards, remportent une victoire décisive près d'Avignon[22] et les Sarrasins sont refoulés en Septimanie.

Abbo a aidé Charles Martel et Childebrand dans la campagne contre Mauronte de 736 à 739 dans la vallée du Rhône les Alpes. Mauronte se réfugie à son tour dans les Alpes. Après avoir vaincu les rebelles et leurs alliés arabes, Charles Martel établit définitivement, en 739, son autorité sur la Bourgogne et la Provence. Et il confie le pouvoir à Abbon dans une grande partie de ses provinces.

Patrice ou duc du Viennois et de Provence

Abbon est alors fait patrice de Provence et bénéficie de nombreux biens confisqués à cette occasion. D'après F. Moyran-Gattefossé, qui cite Georges de Manteyer, au VIIIe siècle, le patrice Abbon administre toutes les Alpes du Sud : la Maurienne, la Tarentaise, le Grésivaudan, le Viennois, le Mâconnais, l'Embrunais, le Gapençais, l'Ubaye, Vaison, les pays de Sisteron, Marseille, Arles, Toulon, Riez, Die, Apt, Cavaillon. La liste de ses domaines s’agrandit. Il conquiert, respectant ainsi l’une des dernières volontés du roi Thierry IV, les terres de Rieulfe, Robdal et du clerc Maurenge, nobles du Midi qui s'étaient alliés aux Sarrasins. Bien qu'Abbon ne soit pas un membre de la famille de Charles Martel, son manque d'héritiers pousse ce dernier à lui donner le maximum de titres et de terres qu’il pense pouvoir récupérer à sa mort. Ses origines gallo-romaines permettent d’assurer une transition permettant par la suite l’implantation de comtes souvent d’origines franques.

Son testament (739)

L’abbaye de la Novalaise, détruite en 906, sera reconstruite.

La réorganisation administrative de la Bourgogne se traduisit par l’apparition de quelques actes écrits, comme en témoigne le fameux testament d’Abbon, qui constitue l’un des premiers documents sur l’économie rurale de la Bourgogne-Provence. L’auteur se réfère au droit prétorien qui a eu une grande importance dans la formation du droit romain[23]. Le droit reste Romain dans le sud-est de la France. Certains domaines sont toujours à des descendants des Gallo-romains. Les Francs et leurs alliés ont construits très peu de forteresses.

À côté de grands domaines latifundiaires (curtes), Abbon possède pour l'essentiel de très nombreuses petites exploitations isolées (colonicæ), cultivées par des paysans aux statuts divers : libres (ingenui), colons (colonicæ), tenanciers (inquilini), affranchis (liberti), serfs (servi) ou esclaves (mancipia). Il n’est dit nulle part que ses domaines sont aux mains des Sarrasins.

Certes, Abbon, dans ce document signé du 5 mai 739, parle du malheur des temps et de la désolation des provinces qu’il administre et où il est propriétaire. Il a dû aider ses esclaves et ses affranchis à se réfugier dans les principautés voisines. Néanmoins dans son testament il leur demande de retourner dans leurs villages et villes dévastés par les Sarrasins.

Cet acte témoigne de l’ampleur des possessions de cet aristocrate. Elles s’étendent du Mâconnais jusqu’en Italie du Nord et Provence. Ce testament décrit ses possessions cinq pagi, dont Joseph Roman[24] fera la liste:

Abbon lègue en particulier à l'abbaye de la Novalaise des biens considérables situés dans le "pagi" de Grenoble, Vienne, Briançon, Embrun, Gap et Die. Ses donations seront confirmées successivement par Carloman, à Nimègue, le 26 juin 770, et par Charlemagne à Quierzy, le 25 mars 773. L'empereur Louis le Pieux confirme également ces donations à la demande de l'abbé Frodoinus à Aix-la-Chapelle, en 814.

Après sa mort

Nous ne savons pas quand in est décédé et où il est mort et a été enterré. Après Abbon le patriciat est supprimé par Pépin le Bref. Mais ce titre est peut-être déjà plus ou moins remplacé dès 736, par celui plus Franc de duc.

L’abbaye de la Novalaise sera incendiée en 906 par des bandes sarrasines[25], mais les moines pourront se réfugier à Turin avec 6.000 manuscrits[26]. Après l'incendie, les possessions de la Novalaise sont partagées. L’abbaye Saint Laurent d'Oulx recevra la majeure partie, le reste ira à l'abbaye Saint-Pierre de Breme, diocèse de Pavie, dont dépendront le monastère de Le Monêtier et Puy-Saint-Pierre jusqu'au XVIe siècle[26].

Le comte Bysardon serait l'un de ses descendants.

Une étude récente, L’Armorial Haut-Alpin, nous dit que les d’Abon, la plus ancienne famille de Gap, connus depuis un certain Abo vivant au XIe siècle, sont peut-être les descendants d’Ab{b)o(n) ou de l'un de ses parents. Cet ouvrage, très documenté, cite Georges de Manteyer qui les a rapproché de la gens Abbo, connue par Ferréol en 634 et d’Abbo[27].

Notes et références

  1. Georges de Manteyer - La Provence du premier au douzième siècle, page 72 ici
  2. Et nous ne retrouvons pas d’Abbon au nord de la Francie.
  3. Christian Settipani & Patrick van Kerrebrouck, La Préhistoire des Capétiens, 481-987, Première partie: Merovingians, Carolingians et Robertiens (Villeneuve d'Ascq: Editions Christian, 1993), p. 77. The Marii Episcopi Aventicensis Chronica records the death in 565 of "Magnacarius dux Francorum". Dux of Transjurania. The name of Magnacar´s wife is not known.
  4. Christian Settipani & Patrick van Kerrebrouck, La Préhistoire des Capétiens 481-987, Première partie: Mérovingiens, Carolingiens et Robertiens (Villeneuve d'Ascq: Editions Christian, 1993), p.77. Settipani écrit qu’il est comte d’Orléans entre 584 et 590 et est assassiné par le roi Gontran, son beau-frère, mais celui-ci tue ses deux frères en 577 et Donat de Besançon son fils naît en 592 et Waldelenus a encore trois autres enfants après cette date et est cité comme duc en 610. Settipani le confond aussi avec Wiliachaire, comte d’Orléans en 584 qui n’est pas Bourguignon, mais Aquitain.
  5. L'un de ses fils est même dit : ex genere Romano, The Prosopography of the Later Roman Empire, de Arnold Hugh Martin Jones, John Robert, p.309.
  6. Christian Settipani, La transition entre mythe et réalité, Archivum 37 (1992:27-67); Settipani speculates on Flavia's connections with Felix Ennodius and Syagria. Idem pour Dupraz.
  7. "Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de Franche-Comté", A. Rousset, Département du Jura, Bintot, 1855.
  8. Sainted Women of the Dark Ages, de Jo Ann McNamara, John E. Halborg, E. Gordon Whatley, p.213.
  9. Dictionnaire d'orfèvrerie, de gravure et de ciselure chrétiennes, p.1706.
  10. Selon Reginald L. Poole, The See of Maurienne and the Valley of Susa, The English Historical Review, Vol. 31, No. 121 (Jan., 1916), pp. 1-19, Published by: Oxford University Press
  11. Ce lien de parenté que lui attribue la Gallia Christiana, t.III, p.1064, n’est toutefois pas certain. D’autres sources, comme Joseph Roman, dans la Revue historique (Paris) de 1882 le disent fils d'un certain duc Mero et pas de Félix et évêque de Saint-Jean-de-Maurienne. Abbon ne mentionne d'ailleurs pas qu’il est son oncle.
  12. Bulletin de la Société d'études des Hautes-Alpes, 1899, p.212.
  13. Archiv für schweizerische Geschichte, p.101.
  14. Bulletin des sciences historiques, antiquités, philologie, par Jean-François Champollion, Champollion-Figeac (Jacques-Joseph), p.479.
  15. Comte d'Auxerre, général des armées du roi de Bourgogne Gontran
  16. Collection des meilleurs dissertations, p.5.
  17. Protocole rédigé à Digne en 780, et contenu dans le cartulaire de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille
  18. Dom Claude Devic, dom Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, 1730- 1745 (accessible ici)
  19. P-L. Rousset.
  20. Cf. Chronique de Fregedaire, deuxième continuateur : L’année suivante 733, le prince Charles, brave guerrier, parcourut la Bourgogne, et plaça sur les frontières du royaume, pour le défendre contre les nations rebelles et infidèles, ses Leudes les plus dévoués et des guerriers courageux. Ayant établi la paix, il donna la ville de Lyon à ses fidèles, conclut partout des traités ou des trêves, et s’en retourna vainqueur, plein de joie et de confiance.
  21. Histoire Générale de Languedoc, de Dom Claude Devic et Dom Joseph Vaissete, 1730- 1745.
  22. Ou près de l'étang de Berre, Chronique de Frédégaire
  23. Histoire des institutions politiques de l'ancienne France - Page 160, de Fustel de Coulanges – 1889.
  24. Et : Archiv für schweizerische Geschichte, p.101
  25. P.A. Février (sous la direction de), La Provence des origines à l'an mil, page 491.
  26. a et b F. Moyrand-Gattefossé
  27. Manteyer, R 10035, 1R 10046, Notes et copies de documents intéressant la famille d'Abon, de Gap, (664-1815), en 23 vol.

Voir aussi

Articles connexes

Liens et documents externes


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