- Saint-Jean-de-Losne
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Saint-Jean-de-Losne Administration Pays France Région Bourgogne Département Côte-d'Or Arrondissement Beaune Canton Saint-Jean-de-Losne
(chef-lieu)Code commune 21554 Code postal 21170 Maire
Mandat en coursGilles Chatel
2008–2014Intercommunalité Rives de Saône Démographie Population 1 204 hab. (2007) Densité 2 007 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 179 m m — maxi. 182 m m Superficie 0,6 km2 Saint-Jean-de-Losne est une commune française, située dans le département de la Côte-d'Or et la région Bourgogne.
Sommaire
Géographie
Situation
Saint-Jean-de-Losne est située sur la Saône, au niveau du confluent de celle-ci et de l'Ouche. C'est le carrefour entre trois grandes voies de transport fluvial :
- la Saône, vers le Rhône et la Méditerranée
- le canal de Bourgogne, vers la Seine et le bassin parisien
- le canal Rhin-Rhône, vers le Rhin et l'Europe du nord et de l'est
Saint-Jean-de-Losne est également une des plus petites communes de France occupant seulement 0,6 km² (la plus petite étant Castelmoron-d'Albret avec 0,0354 km²).
Climat
Le climat de Saint-Jean-de-Losne, comme toute la Côte-d'Or est de type océanique à tendance semi-continentale mais également de type méditerranéen. L'influence océanique se traduit par des pluies fréquentes en toutes saisons (avec néanmoins un maximum en automne et un minimum en été) et un temps changeant. L'influence semi-continentale se traduit par une amplitude thermique mensuelle parmi les plus élevées de France (18 °C contre 15 °C à Paris), des hivers froids, avec des chutes de neige relativement fréquentes, et des étés plus chauds que sur les côtes, avec à l'occasion de violents orages. C'est cette influence semi-continentale qui rend possible la culture de la vigne en Côte-d'Or.
Le tableau des données météorologiques suivant est basé sur les informations relevées dans la station de Dijon, la plus proche de Saint-Jean-de-Losne.
Données climatiques[1] Dijon Moyenne nationale Ensoleillement 1831 h/an 1973 h/an Pluie 732 mm/an 770 mm/an Neige 25 j/an 14 j/an Orage 26 j/an 22 j/an Brouillard 68 j/an 40 j/an Les températures se situent dans les normales saisonnières pour la plupart. Pour la période de mesure allant de 1961 à 1991, les données montrent une variabilité très faible d'une année sur l'autre. La température moyenne la plus basse est ainsi mesurée en janvier (- 16 °C en 1962)[N 1] alors que celle la plus élevée est mesurée en juillet avec 19,7 °C en 1990[N 2]. Néanmoins les dernières années ont confirmé une hausse constante des températures, en moyenne de + 2,05 °C à Dijon[2]. Enfin, l'insolation moyenne annuelle est de 1.831 heures.
Mois Janv Fev Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Année Températures moyennes Dijon (°C) 1,6 3,3 6,7 10,3 14,5 17,6 19,6 19,0 16,1 10,9 5,8 3,1 10,7 Températures moyennes Paris (°C) 4,2 5,3 7,8 10,6 14,3 17,4 19,6 19,2 16,7 12,7 7,7 5,0 11,7 Températures moyennes Trappes (°C) 3,0 4,0 6,3 9,1 12,7 15,8 18,0 17,7 15,3 11,4 6,5 3,8 10,3 Histoire
- Un point stratégique
À cet endroit, la voie romaine entre Salins et Dijon, utilisée pour transporter le sel, franchissait la Saône. C'est en face, sur l'autre rive, à Losne, que se situait l'agglomération. Notre-Dame-de-Losne, un prieuré dépendant de Clugny s'y trouvait. Sa fondation remonterait, selon Mabillon, au VIIe siècle et elle était le siège d'un évêché. Son église restera cocathédrale de l'évêché de Chalon jusqu'au milieu du XVIIIe siècle. Le concile de Saint-Jean-de-Losne y a lieu de 673 à 675[3]. D'après A. Colombet, Saint-Jean-de-Losne n'était qu'une banlieue de Losne, et s'est développé grâce à la batellerie. Il explique ainsi la très petite taille de cette commune[4]. Bénéficiant d'une place privilégiée avec un pont sur la Saône, terrain neutre entre l'Empire et le Royaume, une entrevue entre Louis VII et Frédéric Barberousse s'est déroulée à cet endroit en septembre 1162[5]. Ce pont sur la Saône était un point de passage important, et un péage y était installé. En 1309, il y avait aussi un visiteur général, faisant office de douanier, installé au passage de Saint-Jean-de-Losne, pour surveiller la circulation des laines et autres marchandises réglementées[6]. D'abord dépendante des ducs de Bourgogne, la ville sera rattachée au domaine royal sous Louis XI, à la mort de Charles le Téméraire[7], devenant le siège d'un bailliage[8]. Il y a aussi un grenier à sel dans la ville, qui, en 1625, vend 10 muids, ce qui correspond théoriquement à 6720 rations annuelles individuelles[9].
Réunis sous les Ducs de Bourgogne, la Comté et le Duché sont à nouveau séparés, puisque à la succession de Charles le Téméraire, en 1477, Louis XI s'empare du Duché, et Marie de Bourgogne, par son mariage avec Maximilien d'Autriche, fait passer la Comté à l'Autriche, et par la suite, avec son petit-fils Charles Quint, à l'Espagne. Et en 1522, un traité de neutralité entre les deux Bourgogne est signé à Saint-Jean-de-Losne[10], cette fois-ci à l'intérieur de la ville, et non plus sur le pont[11]. Ce n'est qu'en 1678, avec le traité de Nimègue sous Louis XIV, que la Saône ne sera plus une frontière.
Pendant la Ligue, à partir de 1591, le gouverneur de la garnison est monsieur de Vaugrenant, parlementaire devenu homme de guerre, qui est un royaliste convaincu, alors que la Bourgogne, dont le gouverneur est Mayenne, frère du duc de Guise assassiné au château de Blois, est proche de la Ligue. Il renforce et termine les fortifications de la ville. Il mènera surtout de nombreux coups de main dans les environs et contre les garnisons ligueuses[12]. En mai 1594, il « ravage l'abbaye de Citeaux », et en décembre, « la garnison de Saint-Jean-de-Losne enlève ce qui restait à Citeaux » nous raconte Gabriel Breunot dans son journal[13]. Il exaspère les bourgeois de Dijon, qui adressent à leur Gouverneur des plaintes au sujet de Saint-Jean-de-Losne, « ce repaire de voleurs, de renégats et de maudits ». Quant aux Auxonnais, ils se plaignent au Roi du tort causé à leur commerce[14].
Sa position stratégique valut aussi à la ville d'avoir été le siège de nombreuses batailles, dont deux ont fait la gloire de la ville.
- Le siège de 1636 (guerre de Trente Ans) [15]
- Le 28 octobre 1636, les troupes autrichiennes dirigées par Matthias Gallas secondé par le lorrain François de Mercy (Franz von Mercy),après avoir pénétré dans le royaume de France depuis les villes de Gray et Dole en Franche Comté, décidèrent de s'établir à Saint-Jean-de-Losne pour l'hiver. Elles avaient auparavant complétement détruit de nombreux villages et villes de la plaine de la Saône, (dont Pontailler-sur-Saône, Mirebeau, Saint Léger, Maxilly-sur-Saône, Talmay, Heuilley-sur-Saône,Saint-Sauveur), et massacré leurs habitants. Mais le 2 novembre, après deux assauts et malgré une brèche dans les fortifications, la ville ne fut pas prise et les habitants assiégés refusèrent catégoriquement toute reddition. Un troisième assaut n'y suffit pas : les assiégeants ne prirent pas possession de la ville. La pluie continue qui tomba pendant le siège, fit entrer en crue la Saône; les assiégeants manquèrent de vivres, et une avant-garde des troupes royales, dirigée par le maréchal Josias Rantzau, arriva en soutien des habitants : les troupes autrichiennes levèrent le camp le 3 novembre, et durent se replier vers la Comté. Cette retraite dans des conditions météorologiques défavorables fut très difficile et l'armée impériale y laissa de nombreux canons et de nombreux morts.
- Louis XIII récompensa le courage de la ville en l'exemptant d'impôts. Après cette héroïque résistance fut ajouté au nom de la ville celui de "Belle Défense". À la Révolution française son nom fut d'ailleurs remplacé --- temporairement --- par celui de "Belle Défense"[16].
- Deux drapeaux pris aux Autrichiens lors des assauts sont visibles dans l'église Saint-Jean-Baptiste.
La victoire du siège imposé par Gallas est commémorée tous les cinquante ans. La dernière "Fête de la Gallas" eut lieu en 1986 et l'édition suivante est programmée pour 2036.
- Révolution française :
le 22 décembre 1789, sont créés les départements. Ce ne sera ni la Haute-Seine, ni la Seine-et-Saône, mais la Côte-d'Or, subdivisée en six districts. Saint-Jean-de-Losne fait partie de celui de Dijon, mais finalement, devient le chef-lieu d'un septième district qui regroupe Seurre et ses environs[17].
Saint-Jean-de-Losne est la première commune en France à renoncer à ses privilèges pécuniaires dans une déclaration faite devant l'Assemblée nationale le 7 juillet 1789 par son représentant M. Hernoux. (Source : Archives nationales)
- Le siège de 1814 (campagne de France)
- Le 17 janvier 1814, un avant-poste autrichien est installé au niveau du pont sur la Saône, en face de la ville. Dans un élan patriotique, les habitants se joignent aux soldats pour attaquer l'avant-poste, qu'ils enlèvent à l'ennemi. Après avoir coupé le pont, la ville résistera encore longuement aux assauts autrichiens[18]. Cependant, cette défense n'empêchera pas l'ennemi d'entrer à Dijon le 19[19].
- Durant les Cent-jours, Napoléon récompensa la ville de sa défense héroïque en lui attribuant la Légion d'honneur. Le 14 mars 1815, lors de son passage à Chalon-sur-Saône, il déclara aux représentants de Saint-Jean-de-Losne : "Dites à votre digne maire que je lui donne la croix ; car c'est pour vous, braves gens, que j'ai institué la Légion d'Honneur et non pour les émigrés pensionnés par nos ennemis"[20].
- Saint-Jean-de-Losne, Chalon et Tournus ont été les premières villes décorées de la Légion d'honneur.
- Guerre de 1939-1945
- Le 4 septembre 1944, pendant que la R.A.F détruisait le pont de Seurre, les Allemands protègent leur retraite en faisant sauter le pont de pierre de Saint-Jean-de-Losne. Le pont du chemin de fer enjambant la Saône à l'ouest de la ville est également détruit, coupant ainsi la ligne de chemin de fer Dijon- Lons-le-Saunier -via Saint-Jean-de-Losne, Chaugey et Chaussin.
Héraldique
Blasonnement « De Bourgogne, à la champagne d'azur à la Légion d'Honneur au naturel suspendue à un fermail de gueules. »Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2008 en cours Gilles Chatel Toutes les données ne sont pas encore connues. Fiscalité
L'imposition des ménages et des entreprises à Saint-Jean-de-Losne en 2009[22] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 11,04 % 0,00 % 7,28 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 23,16 % 0,00 % 11,91 % 3,65 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 54,41 % 0,00 % 25,82 % 9,17 % Taxe professionnelle (TP) 00,00 % 9,25 % 6,97 % 3,14 % La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
Démographie
Évolution démographique
D’après le recensement Insee de 2007, Saint-Jean-de-Losne compte 1 204 habitants (soit une diminution de 4 % par rapport à 1999). La commune occupe le 7 937e rang au niveau national, alors qu'elle était au 7 066e en 1999, et le 51e au niveau départemental sur 707 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Saint-Jean-de-Losne depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint en 1846 avec 2 321 habitants.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (32,4 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21,6 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,6 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 47,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 16,6 %, 15 à 29 ans = 22,7 %, 30 à 44 ans = 17,3 %, 45 à 59 ans = 18,3 %, plus de 60 ans = 25,2 %) ;
- 52,6 % de femmes (0 à 14 ans = 13,5 %, 15 à 29 ans = 17 %, 30 à 44 ans = 14,2 %, 45 à 59 ans = 16,4 %, plus de 60 ans = 38,9 %).
Économie
La ville de Saint-Jean-de-Losne, par sa position de carrefour est-ouest a pu développer une importante activité liée au transport fluvial, notamment au XIXe siècle avec la construction des canaux. Y passaient ainsi de nombreux radeaux de bois provenant du Jura et à destination de Paris. La ville perd de son importance à la fin du XVIIIe siècle, lorsque la route vers la Comté par Dole est construite[28].
C'est aujourd'hui le premier port français de tourisme fluvial en eau d'intérieur[29].
Grâce à ce port, un grand nombre de touristes rendent les commerces des environs de Saint-Jean-de-Losne rentables. Le port a été progressivement développé depuis 1980. Au départ, il y avait la création en un premier temps d'une société de locations de bateaux puis une société de bateaux à passagers et deux sociétés offrant des multiples services tels que gérance du port de plaisance, ventes de bateaux neufs et d'occasion, vente d'accastillage, réparation aménagement, mise à sec de bateaux. D'autres sociétés se sont installées pour profiter de l'activité du tourisme fluvial.
Vie locale
Services
On trouve dans la commune un centre de secours, une office du trésor public est aussi présent sur la commune[30] et ADMR[31]
Éducation
On trouve sur la commune école maternelle et primaire. Pour l'enseignement secondaire, il existe le collège « Les hautes pailles » à Echenon[32].
Santé
Il y a trois cabinets médicaux, deux infirmiers et deux kinésithérapeutes installés dans la commune[33].
Sports
Il y a trois clubs sportif dans cette commune : Le club de Football (3 équipes séniors) qui se nomme Association Sportive Saint-Usage, Saint Jean-de-Losne, Losne (ASUJL) et évolue pour la saison 2010-2011 en Promotion de District de Côte-d'Or pour l'équipe première[34] (9e division nationale), le club joue sur le stade municipal ; Le club de Tennis nommé Tennis Club de Saint-Jean-de-Losne qui joue sur trois terrain de tennis ; Et l'AS VBD avec les sections Canoë-Kayak, Judo, Gymnastique/Musculation et Jogging.
Lieux et monuments
Hôtel de ville
C’est un ancien hôtel particulier construit au début du XVIIe siècle. Ce bâtiment était dans un état de dégradation important au début du XVIIIe siècle. En 1709, Nicolas Hernoux rachète ce bâtiment aux enchères à Dijon. À sa mort, il partage la propriété en deux parties qu’il lègue à ses deux fils. C’est de l’une de ces deux parties que la ville va acquérir en 1829 pour y établir l’hôtel de ville. C'est à cet emplacement que s'élevait la maison forte ducale, rachetée en 1469 par l'abbaye de Citeaux. Il n'en reste rien[35].
Maison des Mariniers
Une des plus anciennes maisons de Saint-Jean-de-Losne datant du XVe siècle, accueille une exposition permanente articulée autour de l'histoire de la navigation.
Église Saint-Jean-Baptiste
L'église Saint-Jean-Baptiste, construite aux XVe et XVIe siècles, mêle styles gothique flamboyant (chœur, transept) et Renaissance (nef et portail). La toiture est couverte de tuiles vernissées polychromes, dans la plus pure tradition bourguignonne. À l'intérieur, l'orgue Bénigne Boillot (1768) est classé monument historique[36]
Voir aussi
Notes et références
Bibliographie
- Philippe Dhetel, Annales historiques de Saint-Jean-de-Losne 1908
- Giles Constable, Michel Rouche, Olivier Guillot Auctoritas: mélanges offerts à Olivier Guillot 2006
- Pacaut Marcel, Louis VII et Alexandre III (1159-1180) In: Revue d'histoire de l'Église de France. Tome 39. no 132, 1953. p. 5-45.
- Bigwood Georges, La politique de la laine en France sous les règnes de Philippe le Bel et de ses fils. In: Revue belge de philologie et d'histoire. Tome 15 fasc. 1, 1936. p. 79-102.
- Le Roy Ladurie Emmanuel, Recurat Jeannine, L'état des ventes du sel vers 1625. In: Annales. Économies, Sociétés, Civilisations. 24e année, N. 4, 1969. p. 999-1010.
- jean Bart, La Révolution française en Bourgogne, 1996.
- Paul Delsalle, La Franche-Comté au temps de Charles Quint, 2006.
- Dominique Dinet, Religion et société: Les Réguliers et la vie régionale dans les diocèses d'Auxerre, Langres et Besançon, Publication de la Sorbonne, 1998
- Jean Richard, Histoire de la Bourgogne, Éditions Privat, 1978 (ISBN 2-7089-1680-7).
Collectif, sous la direction de J. Richard : Joseph Joly, Roland Martin, Jean Marilier, Pierre Quarré, Daniel Ligou, Pierre Lévêque, François Caron
- Albert Colombet, Bourgogne et Morvan, 1969
- Jean-Pierre Poussou, Centre Roland Mousnier, Anne Mézin, Yves Perret-Gentil, L'influence française en Russie au XVIIIe siècle
Notes
- Un record quotidien de – 21,3 °C a été mesuré en 1985.
- Un record quotidien de + 38,1 °C a été mesuré en 1989.
Références
- Dijon (Côte-d'Or - 21000) : climat
- en ligne des températures à Dijon et en Bourgogne. Récapitulatif
- Constable (2006), p.225
- Colombet (1969) p. 228
- Pacaut (1953). p. 20
- Bigwood, (1926) p.91
- Dhetel (1908), p.224
- Histoire de Saint-Jean-de-Losne sur bourgogne.cybercommuns.com
- Le Roy Ladurie Emmanuel, Recurat Jeannine (1969), p. 1001 et 1009
- Delsalle, (2006) p.62
- Dhetel (1908), p.246
- Dhetel (1908), p.366 et suiv.
- Dinet, (1999), p.31
- Poussou (2004) p. 318
- Académie de Mâcon. ISSN 0980-6032. « 1636 : Le Glorieux Défi Losnois entre deux Bourgogne », conférence du 7 décembre 2006 par le Professeur Jean Pelletier-Thibert. In édition 2007, Quatrième série - Tome 18 des Annales de l’
- Histoire sommaire du siège de 1636
- Bart, (1996) p. 144 à 147
- Siège de 1814 rapporté sur le site de le Société d'Entraide des Membres de la Légion d'Honneur
- Richard (1978) p.337
- [1] [2]. Ces propos sont rapportés sur le manuscrit accompagnant la croix de la Légion d'honneur, dans l'hôtel de ville de Saint-Jean-de-Losne.
- Brian Timms
- (fr) Impots locaux à Saint-Jean-de-Losne, taxes.com
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 30 novembre 2010
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 30 novembre 2010
- Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 30 novembre 2010
- Évolution et structure de la population à Saint-Jean-de-Losne en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 30 novembre 2010
- Résultats du recensement de la population de la Côte-d'Or en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 30 novembre 2010
- Richard (1978) p.285
- [3]
- Services, sur le site de la mairie de Saint-Jean-de-Losne, consulté le 30 novembre 2010.
- Emploi /Social, sur le site de la mairie de Saint-Jean-de-Losne, consulté le 30 novembre 2010.
- Saint-Jean-de-Losne, vie pratique, sur le site de la mairie de Saint-Jean-de-Losne, consulté le 30 novembre 2010.
- Vie municipale - Santé sur site de la mairie de Saint-Jean-de-Losne, consulté le 30 novembre 2010
- Site du district de Côte-d'Or, Championnats, page sur le classement de Promotion de district, consulté le 30 novembre 2010.
- UMR5594 ». Consulté le 11/12/2010 base de donnée sur les maisons fortes de Côte-d'Or à télécharger: Hervé Mouillebouche (resp.). "Châteaux, territoires, identités", mise en ligne le 7 octobre 2009., «
- Église Saint-Jean-Baptiste sur Rives de Saône - Communauté de communes Saint-Jean de Losne Seurre. Consulté le 30 novembre 2010
Liens externes
Catégories :- Commune de la Côte-d'Or
- Ville décorée de la Légion d'honneur
- Ancien chef-lieu de district
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