Vallee de l'Ubaye

Vallee de l'Ubaye

Vallée de l'Ubaye

Vallée de l'Ubaye
Vallée ubaye.JPG
Une petite partie de la vallée de l'Ubaye, vers l'ouest. Vue prise du hameau de Lans-en-Ubaye
Massif Massif de l'Ubaye / Massif du Mercantour / Massif des Trois-Évêchés
Pays France France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Latitude
Longitude
44° 29′ Nord
       6° 46′ Est
/ 44.483, 6.767
 
Orientation ouest
Longueur 50 km
Type Vallée glaciaire
Cours d'eau / Glacier Ubaye, Ubayette
Voie d'accès principale D 900, D 902, D 25
Vallée - géographie physique |  v ·  · m 

La vallée de l'Ubaye (en valéian Valéia) est située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et compte environ 7700 habitants[1], appelés Ubayens ou Valéians. La ville principale de la vallée est la sous-préfecture de Barcelonnette.

Sommaire

Géographie

La vallée de l'Ubaye est une vallée d'origine glaciaire[2]; la rive droite de l'Ubaye est ensoleillée et cultivée (adret), la rive gauche quant à elle est ombrée et forestière (ubac). Son altitude va de 771 mètres au point le plus bas de la commune du Lauzet-Ubaye, jusqu'à 2 655 mètres à la source de l'Ubaye. Son sommet culminant est l'Aiguille de Chambeyron avec 3 412 mètres d'altitude. La vallée de l'Ubaye ainsi que ses dépendances ont une superficie totale de 93 962 hectares[3].

Hydrographie

Lac de Marinet, au pied de l'Aiguille de Chambeyron

La vallée de l'Ubaye tire son nom de la rivière éponyme qui la traverse. L'Ubaye naît à la frontière franco-italienne, au col du Longet, dans le massif du Mont Viso, et mesure environ 80 kilomètres[4]. Elle coule ensuite du nord-est au sud-ouest jusqu'à la commune de Jausiers, où elle bifurque ensuite vers l'ouest jusqu'au confluant avec la Durance, au niveau du lac de Serre-Ponçon. Son principal affluent est l'Ubayette qui prend sa source dans le lac du Lauzanier. Son régime est nivo-pluvial avec de hautes eaux à la fin du printemps et une recrudescence en automne et de basses eaux en été et surtout en hiver.

Du fait de la prédominance de roches meubles (flyschs et marnes noires) et des fortes pentes, la vallée compte de nombreux torrents permanents ou occasionnels. Les torrents permanents principaux sont le torrent des Sagnes (appelé aussi torrent d'Abriès), le torrent de Terre Plaine, le Riou Bourdoux et le torrent de l'Abéous. À la fonte des neiges ou lors des orages estivaux, les torrents comme celui de Faucon ou des Sanières prennent vie, occasionnant parfois d'importants dégâts : la chaussée de la D900 a été fortement endommagée il y a quelques années durant d'un orage par le torrent de Faucon. Avant le XIXe siècle, on comptait plusieurs dizaines de torrents de ce genre, lorsque la vallée était déboisée, ce qui occasionnait chaque été des inondations ou des glissements de terrain[5]. Ainsi, au XVIIIe siècle, un de ces cours d'eau occasionnels a provoqué un important glissement de terrain en Haute-Vallée, au point que l'Ubaye a été bloqué par un barrage naturel, menaçant Jausiers d'un mini-tsunami qui heureusement n'a pas eu lieu[6]. Depuis la vallée a été reboisée, et le risque est devenu minime même s'il existe encore.

Le lac du Lauzet-Ubaye

La vallée compte un certain nombre de lacs, certains artificiels (plan d'eau de Jausiers ou retenue de Pra Loup), d'autres naturels parmi lesquels :

Climat

Climat de montagne mais à influences méditerranéennes, avec environ 300 jours de soleil par an[7]. L'hiver est froid en fond de vallée (moyenne de 0°C à Barcelonnette en janvier), plus agréable sur les villages et stations des versants, tandis que l'été est chaud et orageux[8].

Organisation

  • La vallée de l'Ubaye n'est pas linéaire, mais compte plusieurs embranchements :
    • Son « tronc » va d'est en ouest du Le Lauzet-Ubaye à Jausiers sur environ 27 km (légèrement courbé vers le sud), puis remonte entre Jausiers et la source vers le nord-est, sur 35 km environ
    • Entre le Lauzet et Méolans-Revel, une « branche » part vers le sud : le vallon du Laverq.
    • Au niveau de Barcelonnette, une seconde, toujours vers le sud : la vallée du Bachelard, avec la commune dUvernet-Fours. Cette branche se divise encore en deux : vers le sud et le col d'Allos, et vers l'est dans les Gorges du Bachelard proprement dites, qui fait ensuite un coude vers le sud vers le col de la Cayolle.
    • Puis vers Jausiers, elle se divise en deux : une « branche » vers le sud, et le col de la Bonette et une vers l'est et le vallon des Sagnes
    • Peu après La Condamine-Châtelard, un nouvel embranchement vers l'est : le vallon de l'Ubayette, vers Larche et l'Italie.
  • Traditionnellement, on divise aussi la vallée en trois : la Basse-Vallée du Lauzet à Barcelonnette (771 à 1150 mètres), la Moyenne-Vallée du Barcelonnette à Jausiers (aux alentours de 1200/1300 mètres), puis la Haute-Vallée jusqu'à la source (de 1200 à Jausiers jusqu'à 2650 mètres à la source).

Situation

La vallée (appelée familièrement la Valéia par ses habitants) se situe à l'extrémité orientale des Alpes-de-Haute-Provence. Elle se situe entre les Hautes-Alpes au nord, les Alpes-Maritimes au sud et l'Italie à l'est.

Historiquement, elle marque aussi la limite entre le Dauphiné et la Provence, en faisant partie de cette dernière.

Sommets

La vallée de l'Ubaye est cernée par de hauts sommets qui dépassent souvent les 3000 mètres, le point culminant de la vallée est l'Aiguille de Chambeyron à 3412 mètres d'altitude, sur la commune de Saint-Paul-sur-Ubaye, au Nord-Est de la vallée.

Par ailleurs, d'autres hauts sommets dépassant les 3000 mètres sont le Brec de Chambeyron (3 389 m), les Pics de la Font Sancte (3 385 m), le Grand Bérard (3 046 m), la Tête de Siguret (3032 m). Le Chapeau de Gendarme, la Grande Séolane et le Pain de Sucre, au sud de Barcelonnette, sont moins élevés mais sont cependant emblématiques de la vallée

Les deux plus importants massifs de l'Ubaye sont le massif de Chambeyron et celui du Parpailllon.

Villes

Le Lauzet-Ubaye

Dont les plus anciens sont :

Accès

Le col d'Allos

La vallée ne compte que 6 accès carrossables :

On peut par ailleurs rejoindre Embrun par le col du Parpaillon sur un chemin non goudronné.

De plus, la vallée dispose d'un petit aérodrome ouvert aux vols privés : l'Aéroport de Barcelonnette - Saint-Pons.

Faune

Une marmotte de l'Ubaye

La vallée de l'Ubaye est peuplée d'une faune alpine classique : marmottes, chamois, renards, oiseaux divers (lagopèdes, chocard, corneilles, corbeau), rapaces divers (dont quelques couples d'aigles royaux, et de très rares gypaètes barbus).

Les chamois sont nombreux et présents sur toutes les hautes crêtes de la vallée. Ils sont cependant très difficiles à observer. Un endroit accessible à tous où on peut les voir plus facilement se trouve dans le Bachelard, au sud de la vallée. C'est un vallon au pied nord du Mont Pelat, sur la route du col de la Cayolle.

Les marmottes sont elles aussi présentes, mais dans les hauts alpages. L'endroit le plus propice pour les observer est le vallon du Lauzanier, près de la source de l'Ubayette, le long de la frontière italienne. L'accès est facile et les marmottes nombreuses et peu farouches.

Des bouquetins et des mouflons vivent dans la Haute-Vallée, ainsi que dans le massif des Séolanes et du Pain de Sucre.

De plus, des traces de passages du loup ont été retrouvées, et certains guides de haute-montagne en ont aperçu. le 30 décembre 2005, un jeune loup fut retrouvé mort sur la route près de Meyronnes, renversé par une voiture. On sait que deux meutes sont installées près de la vallée de l'Ubaye, celle du Bachelard et celle de la Haute-Tinée. Cependant, il semble qu'une nouvelle meute soit établie dans la Haute Vallée, dans le massif du Parpaillon, près de Saint-Paul-sur-Ubaye

Au niveau domestique, nombreux sont les moutons dans les alpages, et les vaches dans les prés bas.

Flore

Végétation alpine typique. Il y a de grandes forêts de sapins, mélèzes, épicéas ; notamment le Grand Bois, grande forêt de résineux dans le vallon des Sagnes. Au niveau floral, on trouve du rhododendron, du saxifrage, de l'aulne, de la renoncule des glaciers et du joubarde d'Allioni.

Géologie

Gastronomie

La vallée étant au confluent entre la Provence, le Dauphiné et l'Italie, la cuisine locale marie les influences alpines, méditerranéennes et italiennes.

Quelques spécialités locales : la liqueur de génépi, la jausiereine et la tomme de l'Ubaye.

Histoire

Article détaillé : Histoire de la vallée de l'Ubaye.
D'après le marquis de Saint-Simon[9], Hannibal aurait traversé les Alpes en passant par la vallée de l'Ubaye, mais cette hypothèse est aujourd'hui rejetée par la majeure partie des historiens

La vallée fut habitée dès la fin de la Préhistoire comme en témoignent les très nombreux vestiges découverts un peu partout. Durant l'Antiquité, la tribu celto-ligure des Esubiens peupla la vallée[10],[11].

Cette dernière fut rattachée à l'Empire romain par Auguste[12] et fit partie de la petite province des Alpes Cottiennes. Une voie romaine traversait la vallée, nommée alors Vallis nigra[13]. Les Romains ont occupé le site de Faucon, et aussi probablement la position fortifiée de Tournoux, laquelle est utilisée depuis la préhistoire jusqu'à Maginot. D'ailleurs, le site tirerait son nom d'un certain Turnus, officier romain. Mais rien n'est moins sur car au Moyen Âge, le nom est Tourneis, « soleil tournant », rappelant le micro-climat de son exposition, et la présence de nombreux cadrans solaires. Les Esubiens furent romanisés et leur civilisation disparut. Peu à peu, la vallée de l'Ubaye perdit une partie de sa population et retourna partiellement à l'état sauvage[14].

Christianisée à la fin de l'époque romaine[15], la vallée dépendait de l'évêché d'Embrun. La vallée est rattachée au comté de Provence durant tout le Moyen Âge. Son chef-lieu, Barcelonnette, fut fondé en 1231 par Raimond-Bérenger IV de Barcelone, comte de Barcelonne. Avant cette date, la « capitale » de la vallée était Saint-Pons.
En 1388, la vallée fut annexée au duché de Savoie. François Ier emprunta le col de Larche pour aller attaquer l'Italie.

La vallée de l'Ubaye fut rattachée à la France en 1713 par le traité d'Utrecht grâce au maréchal de Berwick, conscient de son importance stratégique, échangée au duc de Savoie Victor-Amédée III devenu roi de Piémont-Sardaigne contre plusieurs territoires piémontais. Elle demande alors son rattachement à la Provence, car elle avait fait partie du comté de Provence plusieurs siècles avant, et pour des raisons économiques (la vallée de l'Ubaye étant commercialement plus tournée vers la Provence que vers le Dauphiné)[16]. Sur décision royale, la vallée est donc rattachée à la Provence[17] et non au Dauphiné (comme le souhaitait le parlement dauphinois[18]). Durant la Révolution, la vallée fut l'une des bases de l'Armée des Alpes[19].

Dans les années 1830, la première route carrossable est ouverte, désenclavant la vallée : la N100. Elle est devenue la D900 en 1973. Aux XIXe et XXe siècle, à la suite des frères Arnaud partis de Jausiers, une partie des Ubayens émigrent au Mexique pour faire fortune. Une petite communauté ubayenne s'établit là-bas, contrôlant une part de l'industrie textile mexicaine. Une partie d'entre eux reviendront, certains très riches (lesquels se feront construire les belles « villas mexicaines »). D'autres restent au Mexique, où on trouve aujourd'hui plus de 50 000 de leurs descendants. Ce mouvement a été initié en 1805 par Jacques Arnaud, l'un des fameux Frères Arnaud de Jausiers, qui partit en Louisiane, et fonda la ville d'Arnaudville. Dès 1821, les frères Arnaud partirent au Mexique.

L'Ubaye est occupée par les Italiens en 1942 puis par les Allemands en 1943 et 1944 (et même 1945 pour une partie de la Haute-Ubaye)

Une vallée à vocation militaire

Entrée du fort de Saint-Ours Haut
Partie visible du Fort de Tournoux

De la préhistoire au XXIe siècle, la vallée de l'Ubaye a très souvent eu une vocation militaire, plus ou moins prononcée selon les époques. En effet, elle a une position géographique importante : carrefour entre l'Italie à l'est, la Haute-Provence à l'ouest, l'Embrunais et le Queyras au nord, le Verdon et la Tinée au sud. C'est donc une voie de passage, qui est militairement intéressante à posséder. L'altercation entre les Ésubiens et les Romains sous la République[20] est la plus ancienne trace de la position stratégique de la vallée, de même que la légende du passage d'Hannibal par le col de Larche. Bien qu'il soit aujourd'hui presque sûr qu'Hannibal n'emprunta pas le col de Larche, ce dernier, grâce à sa relative faible altitude par rapport aux autres cols frontaliers (1991 mètres, qui le laisse ouvert parfois jusqu'à tard dans l'année en cas d'enneigement faible), en fait un point de passage privilégié pour une armée voulant se rendre en Italie (ou en France par le chemin inverse) et désireuse d'éviter le chemin de la côte niçoise, ou alors les cols plus célèbres des Alpes du Nord. C'est comme cela que François Ier put surprendre ses ennemis en 1515.

En 1713 a lieu un évènement capital pour la vallée de l'Ubaye : son rattachement officiel au royaume de France, toujours en raison de cette position stratégique. Quelques années auparavant, Vauban avait fait construire dans la Haute-Vallée la fameuse Redoute dite de Berwick, une petite forteresse, qui est réutilisée aux XIXe et XXe siècle comme dépôt de munitions.

Sous la Révolution, jusqu'à 10 000 hommes[21] de l'Armée des Alpes furent stationnés dans la vallée, pour verrouiller le col de Larche et les armées austro-piémontaises. Cette vocation militaire s'évanouit lors du Premier Empire, Napoléon ayant rattaché le Piémont à la France. Mais elle revint lors de la défaite napoléonienne.

C'est dans les années 1830, sous l'impulsion du général Haxo, que la fortification en masse de la vallée de l'Ubaye fut entreprise, avec la construction du fort de Tournoux[22], le « Versaille militaire du XIXe siècle ». Après la mort d'Haxo, Séré de Rivières fut son continuateur. Achèvement de Tournoux, fort de Cuguret, caserne de Jausiers, caserne de Restefond, Observatoire militaire de Siguret, autres ouvrages de moindre importance : à la fin du XIXe siècle, la vallée n'a que peu à craindre d'une invasion italienne.

Dans les années 1930, un siècle après Haxo, un autre bâtisseur marqua la vallée : André Maginot.

Les forts Séré de Rivières étant devenus vulnérables avec les progrès de l'artillerie, des forteresses en béton armé, souvent enterrées, furent construites. Ce fut le puissant fort de Roche-la-Croix, un « sous-marin terrestre », verrou du vallon de Larche, avec les autres ouvrages de Saint-Ours Haut. Puis un nouveau fort à Restefond. Plus quelques petits ouvrages annexes, comme les petites tranchées bétonnées des Sagnes. Ces effort portèrent leurs fruits. En 1940, grâce à la ligne Maginot des Alpes, de la frontière suisse à Nice en passant par l'Ubaye, 100 000 chasseurs alpins français résistèrent victorieusement à l'assaut de 600 000 soldats italiens. Seuls quelques territoires mineurs avaient été perdus, et le carrefour ubayen était toujours français. En 1939 s'installa aussi dans la vallée le 11e bataillon de chasseurs alpins, qui malgré la débâcle de 40 s'illustra brillamment dans le nord de la France.

Malheureusement, malgré la victoire française dans les Alpes, l'Italie en 1942 et l'Allemagne en 1943/1945 occupèrent l'Ubaye et surtout ses forts. En 1945, des combats eurent lieu entre les Français ayant repris Tournoux, face aux Allemands retranchés dans le « sous-marin » de Roche-la-Croix. Une fois de plus, la Haute-Ubaye avait connu les combats.

Après la guerre, le 11e BCA resta dans la vallée (hormis la parenthèse de la guerre d'Algérie) et les fort furent démilitarisés, abandonnés.

Aujourd'hui, certains forts, comme celui de Tournoux, se visitent. D'autres, comme celui de Cuguret appartiennent à des particuliers. Le 11e BCA a été dissout et la caserne de Jausiers abandonnée. Mais cependant, même si la « grande époque » de « l'Ubaye militaire » entre 1830 et 1945 est finie, tout n'a pas disparu. Aujourd'hui, le CIECM (Centre d'Instruction et d'Entrainement au Combat en Montagne ) est basé à Barcelonnette.

Administration

La Vallée fait partie de l'arrondissement de Barcelonnette, et compte deux cantons : celui de Barcelonnette et celui de Le Lauzet-Ubaye.

Démographie

  • Lors de son annexion par la France en 1713 (traité d'Utrecht), la vallée de l'Ubaye comptait environ 18 000 habitants. Après divers recensements et estimations, on a eu :
    • 1783 : 16 425 habitants
    • 1878 : 13 603 habitants
    • 1896 : 13 200 habitants
    • 1926 : 9 521 habitants
    • 1931 : 9 271 habitants
    • 2006 : 7 569 habitants

Économie

Avant le XXe siècle, la principale source de revenu de la vallée étant le secteur textile, en particulier la laine et la soie. Des colporteurs allaient vendre les produits ubayens dans toute la Provence, et parfois même dans toute l'Europe occidentale pour les plus intrépides. L'agriculture était essentiellement de subsistance.

Aujourd'hui, la vallée vit essentiellement du tourisme, qu'il soit hivernal ou estival. La vente de produits du terroir est, elle aussi, importante.

Lieux et monuments

Sites naturels

Monuments

Église de Jausiers

La vallée de l'Ubaye compte de nombreux monuments, dont les plus remarquables sont :

Personnalités

Voir aussi

Notes et références

  1. Ubaye - Vallée de l'Ubaye - Ubaye, Barcelonnette, la Condamine-Châtelard, Enchastrayes, le Sauze, Faucon, Jausiers, Larche, Lauzet Ubaye, Méolans Revel, Laverq, Meyronnes, Saint Ours, Pontis, Saint Paul sur Ubaye, Serennes, Maurin, Maljasset, Saint Pons, les Thuiles, Uvernet Fours, Bayasse, Pra Loup, la Bréole, Saint-Vincent-les-Forts, Chambeyron, Séolane, Parpaillon
  2. La Vallée de la Roya-Bévéra - Provence Web
  3. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, p.9
  4. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, p.9
  5. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, p.202
  6. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, p.144
  7. Alpes de Haute-Provence - Climat et météo
  8. Alpes de Haute-Provence - Climat et météo
  9. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, note 10 p.23
  10. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, p.11
  11. Charles Chappuis, Étude archéologique et géographique sur la vallée de Barcelonnette à l'époque celtique, Auguste Durand, 1862
  12. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, p.16
  13. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, p.17 et note 22 p.25
  14. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, p.17
  15. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, p.19
  16. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, pages 118-119
  17. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, p.120
  18. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, p.117
  19. La Vallée de Barcelonnette et la Révolution, chapitre Présence militaire en Ubaye 1789-1799, page 69 à 109, p.11 (ISBN 2-908103-00-1)
  20. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, p.14
  21. La Vallée de Barcelonnette et la Révolution, p.101 à 108 (ISBN 2-908103-00-1)
  22. Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, p.204

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

Ouvrages

  • Barcelonette en Haute-Provence, histoire de l'Ubaye, de l'Ubayette ou Val des Monts, communes de Meyronnes, Larche, Saint-Paul, La Condamine-Châtelard, Jausiers, Xavier Balp, livre déposé à la Bibliothèque de la Maison Méditerranéenne des Sciences de l'Homme à Aix-en-Provence.
  • Nombreux livres édités par la Sabença de la Valeia.
  • La Vallée de Barcelonnette et la Révolution, édité par l'association Sabença de la Valeia
  • Editions le Dauphiné Libéré, collection « Les Patrimoines » :
    • Les Troupes Alpines : montagnards et soldats
    • Les Fortifications des Alpes : de Vauban à Maginot
  • Vallis Montium : Histoire de la vallée de Barcelonnette, de Julien Coste.
  • Gilles Perdreau, Mémoires d'une terre(Monnaies découvertes dans la vallée de l'Ubaye).
  • Différents guides touristiques


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