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Marcel Bigeard
Marcel Bigeard Naissance 14 février 1916
Toul, FranceOrigine France Allégeance Armée française Arme Infanterie de marine (parachutiste) Grade 1974 : Général de corps d'armée
1966 : Général de brigade
1936 : 2e classeService 1936 - 1976 Conflits Seconde Guerre mondiale
Guerre d'Indochine
Guerre d'AlgérieCommandement 6e Bataillon de Parachutistes Coloniaux
3e Régiment de Parachutistes ColoniauxFaits d’armes Bataille de Diên Biên Phu
Bataille d'Alger
Combat de Tu LêDistinctions Grand-croix de la Légion d’honneur
Croix de guerre 1939-1945
Croix de guerre des TOE
Croix de la Valeur militaire
Médaille de la RésistanceAutres fonctions Secrétaire d'état à la Défense nationale
DéputéMarcel Bigeard est un militaire français qui a la particularité d'avoir été appelé sous les drapeaux comme 2e classe en 1936 et d'avoir terminé sa carrière militaire en 1976 avec le grade de général de corps d'armée. Il est de plus considéré comme une des personnalités militaires les plus décorées de France. Ancien résistant, son nom reste associé aux guerres de décolonisation.
Sommaire
Origines familiales
Marcel-Maurice Bigeard est né le 14 février 1916 à Toul en Meurthe-et-Moselle (54). Il est le fils de Marie-Sophie Bigeard (1880-1964) et de Charles Bigeard (1880-1948) aiguilleur à la Compagnie des chemins de fer de l'Est.
Le 6 janvier 1942, il épouse à Nice son amie d'enfance Gaby Grandemange. Son unique fille, Marie-France, nait de cette union le 13 février 1946.
Carrière militaire
Avant-guerre
Après 6 ans passés à la Société générale comme employé de banque, Marcel Bigeard effectue son service militaire à Haguenau au sein du 23e régiment d'infanterie de forteresse (23e RIF). Incorporé comme soldat de deuxième classe en septembre 1936, il est libéré avec le grade de caporal-chef en septembre 1938.
Seconde Guerre mondiale
Six mois après sa libération, devant l'imminence du conflit, il est rappelé le 22 mars 1939 au sein 23e RIF et est promu sergent.
Quand en septembre 1939, les quatre bataillons du 23e RIF deviennent quatre régiments de forteresse[1], Bigeard est affecté au 79e RIF dans le sous-secteur fortifié de Hoffen sur la Ligne Maginot[2]. Volontaire pour les corps francs, il prend la tête d'un groupe de combat à Trimbach en Alsace et devient rapidement sergent chef puis adjudant à l'age de 24 ans.
Le 25 juin 1940, il est fait prisonnier et passe 18 mois en captivité au Stalag 12A à Limbourg en Allemagne. C'est à sa troisième tentative, le 11 novembre 1941[3], qu'il parvient à s'évader et à rejoindre la zone libre.
Volontaire pour l'AOF, il est affecté en février 1942 au camp de Bandia près de Thiès au Sénégal, dans un régiment de tirailleurs sénégalais de l'Armée d'armistice. Nommé sous-lieutenant en octobre 1943, il est dirigé avec son régiment sur Meknès au Maroc.
Recruté par des parachutistes, il subit une formation commando de 3 mois au Club des Pins près d'Alger puis est affecté avec le grade fictif de chef de bataillon au BCRA[4]. Officier Jedburgh, avec le titre de délégué militaire départemental, le commandant Aube est parachuté en Ariège le 8 août 1944 avec trois compagnons[5] afin d'encadrer l'action des résistants. A la libération du département le 22 août 1944, les pertes franco-espagnoles sont de 44 tués et blessés tandis que de leur côté, les Allemands déplorent 1 420 prisonniers et 230 tués et blessés[6].
Au début de l'année 1945, Bigeard crée puis dirige pendant un semestre l'école régionale des cadres du Pyla, près de Bordeaux, destinée à former des officiers issus des FFI. Décoré de la Légion d'honneur et du Distinguished Service Order britannique pour ses actions en Ariège, il est finalement nommé capitaine à titre définitif en juin 1945.
Guerre d'Indochine
Au milieu de l'année 1945, le capitaine Bigeard reçoit le commandement de la 6e compagnie du 23e RIC[7] à Villingen en Allemagne; désigné pour le corps expéditionnaire en Indochine, le régiment débarque à Saigon le 25 octobre 1945 et participe jusqu'en mars 1946 à la pacification de la Cochinchine.
Le 8 mars, un détachement de la 2e DB et la 9e DIC, dont fait partie le 23e RIC, débarquent à Haiphong au Tonkin[8].
Le 1er juillet 1946, Bigeard quitte le 23e RIC et forme à Thuan Chau, au sud-est de Dien Bien Phu, une unité constituée de 4 commandos de 25 volontaires chacun au sein du bataillon autonome thaï du Lt-colonel Quilichini[9]. Au retour de ses hommes en métropole, mi octobre 1946, il prend le commandement de la 3e compagnie constituée de 400 hommes environ. Il quitte finalement l'Indochine le 17 septembre 1947 et atterrit 3 jours plus tard à Orly[10].
Volontaire pour un second séjour en Indochine, il est affecté le 1er février 1948 au 3e BCCP du commandant Ayrolles à Saint Brieuc et prend le commandement du groupement de commandos parachutistes n° 2. Quand le 3e para débarque à Saigon en novembre 1948, Bigeard, qui ne s'entend pas avec son supérieur, parvient à faire détacher son groupement au détachement amarante du commandant Romain-Desfossé à Haiphong.
Le 1er octobre 1949, Bigeard met sur pied à Son La le 3e bataillon thaï fort de 2 530 hommes répartis en 5 compagnies régulières et 9 compagnies de gardes civils et de supplétifs militaires[11]. Relevé de son commandement suite à un différend avec l'administrateur de la province, il est muté à Haïduong et prend le 5 avril 1950 la tête du bataillon de marche indochinois qui reçoit, en août, le drapeau du régiment de tirailleurs tonkinois décoré d'une croix de guerre avec palme. Le 12 novembre 1950, Bigeard embarque à Saigon sur le paquebot La Marseillaise et quitte une nouvelle fois l'Indochine.
Au printemps 1951, il est affecté à Vannes à la demi brigade coloniale du colonel Gilles et se voit confié le bataillon de passage. En septembre 1951, il obtient le commandement du 6e BPC à Saint Brieuc et le grade de chef de bataillon en janvier 1952 .
Le 28 juillet 1952, Bigeard, à la tête du 6e BPC, débarque à Haiphong pour son troisième séjour en Indochine et prend ses quartiers à Hanoi. Le 16 octobre, le bataillon est largué sur Tu Lê [12] et affronte durant 8 jours les régiments des divisions Viet Minh 308 et 312. L'unité se distingue à nouveau lors de la bataille de Na San (parachutage dans la cuvette de Ban Som le 27 décembre 1952), lors de l'opération Hirondelle sur Lang Son le 17 juillet 1953 et lors de l'opération Castor sur Dien Bien Phu le 20 novembre 1953.
Le 31 décembre 1953, il prend le commandement du GAP n° 4[13], constitué du du II/1er RCP et du 6e BPC, et intervient au moyen Laos entre Thakhek et Savannakhet où deux divisions Viet Minh se dirigent.
Parachuté en pleine bataille sur Dien Bien Phu le 16 mars 1954, Bigeard est nommé lieutenant-colonel lors des combats et devient l'un des héros de la cuvette en combattant avec son bataillon sur les points d'appuis Eliane 1 et 2, mais surtout en co-dirigeant les troupes d'intervention du camp retranché avec le colonel Langlais.
Bigeard est fait prisonnier le 7 mai 1954 lors de la chute du camp. Libéré quatre mois plus tard il quitte définitivement l'Indochine le 25 septembre.
Guerre d'Algérie
Le 25 octobre 1955, Bigeard prend le commandement du 3e BPC dans la région de Constantine en Algérie. Le 21 février 1956, le bataillon, devenu entre temps le 3e RPC, réalise la première opération héliportée de l'histoire lors de l'opération 744 en Kabylie[14]. Cette méthode est à nouveau employée en mars 1956 pour la capture des déserteurs de la 3e compagnie du 3e RTA.
Le 16 juin 1956, dans les Nementchas, Bigeard, qui donne l'assaut à une bande rebelle, est grièvement blessé d'une balle au thorax. Rapatrié en métropole, il est décoré le 14 juillet 1956 par le président Coty et reçoit la plaque de grand officier de la Légion d'honneur. De retour en Algérie, il échappe le 5 septembre à un attentat et est blessé de deux balles dans l'humérus et une dans le foie.
Au début de l'année 1957, le régiment participe au sein de la 10e DP du général Massu à la bataille d'Alger. La mission des parachutistes est de ramener la sécurité dans la ville et de neutraliser les cellules du FLN de Larbi Ben M'hidi[15] qui ont organisé plusieurs séries d'attentats à la bombe contre des civils dans divers lieux publics d'Alger entre l'automne 1956 et l'été 1957.
En mars 1957, le 3e RPC se rend dans les massifs au sud de Blida et participe aux opérations Atlas et Agounnenda. Durant l'été, le 3e para arrête 90 % des combattants du FLN[16] dont Taleb Abderrahmane le chimiste des attentats du Milk Bar, de la Cafétéria et de l'Otomatic[17].
Le régiment est rappelé en juillet 1957 à Alger à la reprise des attentats. La capture et le retournement de Hassène Guandriche dit Zerrouk, chef de la région d'Alger[18] aboutissent à la neutralisation des deux responsables de la Zone 2, Mourad et Ramel, mais surtout à celle d'Ali la Pointe et à la capture de Yacef Saadi chef militaire FLN de la zone autonome d'Alger.
Nommé colonel au début de l'année 1958, il quitte l'Algérie le 1er avril et rejoint Paris où Chaban-Delmas, ministre des Armées, lui demande de créer un centre d'instruction des cadres qui voit le jour fin avril près de Philippeville. Bigeard ne participe pas aux événements du 13 mai 1958, mais dans une interview à Paris-Presse il confie ses états d'âme à Jean Lartéguy ce qui lui vaut le courroux du général Salan et son retour en métropole.
Après 4 mois passés à Toul, Bigeard repart pour l'Algérie et prend le commandement du secteur de Saida en Oranie le 25 janvier 1959[19]. Il a sous ses ordres environ 5 000 hommes répartis dans le 8e RIM, le 14e BTA, le 23e RSM, un groupe de DCA, un régiment d'artillerie, deux groupes mobiles de supplétifs, quelques avions de reconnaissance et deux hélicoptères[20].
Suite à une rencontre avec De Gaulle le 27 août 1959, il se voit confier le 1er décembre le commandement du secteur de Ain-Sefra, soit un effectif de 15 000 hommes[21].
Passant outre son devoir de réserve il rédige pendant la semaine des barricades en janvier 1960 une proclamation qui est reprise par la presse et la radio et qui lui coute son commandement malgré l'intervention du général Gambiez[22].
Il sera accusé plus tard d'avoir pratiqué la torture pendant la guerre d'Algérie par d'anciens membres du FLN mais aussi par d'anciens combattants qui ont fait la guerre à ses cotés (voir L'ennemi intime, documentaire dans lequel témoigne notamment Paul Aussaresses). Il a toujours démenti ces accusations.
Après 1960
De juillet 1960 à janvier 1963, Bigeard prend le commandement du 6e RIAOM[23] à Bouar en République centrafricaine.
Après un bref passage à l'école supérieure de guerre de juin 1963 à juin 1964, il prend le commandement de la 25e brigade parachutiste[24] à Pau le 31 août 1964, puis celui de la 20e brigade parachutiste[25] à Toulouse. Il accède au grade de général de brigade en juillet 1966.
Marcel Bigeard Parlementaire français Naissance 14 février 1916 Décès Mandat Député 1978-1988 Début du mandat Fin du mandat {{{fin du mandat}}} Circonscription Meurthe-et-Moselle Groupe parlementaire UDF Ve République Après une entrevue avec le général de Gaulle, il est nommé au poste de commandant supérieur des forces terrestres[26] au Sénégal et rejoint Dakar le 7 février 1968.
En juillet 1970, Bigeard retrouve Paris et est affecté pendant 10 mois à l'état major du CEMAT.
Le 7 aout 1971, il prend le commandement des forces françaises présentes dans l'océan Indien[27] à Tananarive et obtient le 1er décembre 1971 sa troisième étoile[28]. Suite à l'indépendance du pays, il quitte Madagascar le 31 juillet 1973 avec l'ensemble des forces françaises du secteur.
A son retour en France, il devient de septembre 1973 à février 1974 le deuxième adjoint du gouverneur militaire de Paris. Promu général de corps d'armée le 1er mars 1974, il prend le commandement de la 4e Région Militaire à Bordeaux soit 40 000 hommes dont 10 000 parachutistes[29].
Convoqué par l'Élysée, il rencontre le 30 janvier 1975 le président Valéry Giscard d'Estaing qui lui propose le poste de secrétaire d'État à la Défense rattaché au ministre Yvon Bourges. Il occupe ce poste de février 1975 à août 1976, date à laquelle il remet sa démission[30].
Après une courte retraite à Toul et suite au décès accidentel de la candidate UDF, il se présente aux élections et devient député de Meurthe-et-Moselle[31] de 1978 à 1981[32]. Durant cette première législature il occupera également la fonction de président de la commission de défense. Il est ré-élu au premier tour en juin 1981 puis en mars 1986[33]. En 1988, suite à la seconde dissolution de l'assemblée, il est finalement battu par le candidat socialiste de 411 voix[34].
Il vit désormais dans sa maison de Toul dans laquelle il écrit des livres sur sa carrière militaire et propose ses réflexions sur l'évolution de la France. Il a recemment déclaré "Je suis le dernier des cons glorieux" (Citation relevé par l'hebdomadaire Marianne)
Distinctions
(Liste non exhaustive)
Décorations
- Rubans aux couleurs des décorations Françaises plus certaines décorations étrangères:
Intitulés des décorations françaises
- Grand-croix de la Légion d’honneur
- Croix de guerre 1939-1945 avec 7 citations dont 3 à l'ordre de l'armée (palmes)
- Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieures avec 17 citations dont 12 à l'ordre de l'armée
- Croix de la Valeur militaire
- Médaille de la Résistance
- Croix du combattant
- Médaille coloniale agrafe Indochine
- Médaille commémorative de la guerre 1939-1945
- Médaille commémorative de la campagne d'Indochine
- Médaille commémorative des opérations de sécurité et de maintien de l'ordre en Afrique du Nord
- Médaille des blessés militaires avec cinq étoiles (pour cinq blessures de guerre)
Intitulés des décorations étrangères
- Distinguished Service Order (DSO)
- Grand-Officier du Mérite Sénégalais
- Grand-Officier du Mérite Togolais
- Grand-Officier du Mérite Comorien
- Grand-Officier Arabie saoudite
- Commandeur de l'ordre du Mérite national mauritanien
- Commandeur du Mérite centrafricain
- Commandeur fédération pays Thaï
- Commandeur du Dragon d'Annam
- Commandeur Legion of Merit (US)
- Officier du million d'éléphants (Laos)
Honorariat
- 1re classe d'honneur de la Légion étrangère, matricule 105 265 obtenu en 1954.
Bibliographie
- Contre guérilla, 1957
- Aucune bête au monde ..., Édition Pensée Moderne, 1959
- Piste sans fin, Édition Pensée Moderne, 1963
- Pour une parcelle de gloire, Édition Plon, 1975, (ISBN 2-259-00571-3)
- Ma Guerre d'Indochine, Édition Hachette, 1994, (ISBN 2-01-237023-3)
- Ma Guerre d'Algérie, Édition du Rocher, 1995, (ISBN 2-01-237043-8)
- De la brousse à la jungle, Édition Hachette-Carrère pour France Loisirs, 1994, (ISBN 2-7242-8310-4)
- France, réveille-toi !, Édition n°1, 1997, (ISBN 2-863-91797-8)
- Lettres d'Indochine, Édition n°1, 1998-1999, Tome 1 ISBN , Tome 2 (ISBN 2-86391-906-7)
- Le siècle des héros, Édition n°1, 2000, (ISBN 2-86391-948-2)
- Crier ma vérité, Édition du Rocher, 2002, (ISBN 2-7028-7631-5)
- Paroles d'Indochine, Édition du Rocher, 2004, (ISBN 2-268-05058-0)
- J'ai mal à la France, Édition du Polygone, 2006, (ISBN 2-913832-07-5)
- Adieu ma France, Éditions du Rocher, 2006, (ISBN 2-268-05696-1)
Voir aussi
Articles connexes
- Liste de généraux français du XXe siècle
- 3e régiment parachutiste d'infanterie de marine
- 6e régiment parachutiste d'infanterie de marine
- Guerre d'Indochine
- Bataille de Diên Biên Phu
- Opération Castor
- Guerre d'Algérie
- Bataille d'Alger
- 10e division parachutiste
- Général Massu
- Colonel Trinquier
- Torture pendant la guerre d'Algérie
Liens externes
- (fr) General Bigeard, interview sur la bataille de Dien Bien Phu, JT de 20 h du 3 mai 2004
Sources et Biographies
- Erwan Bergot, Bigeard, Editions France Loisirs, 1988, (ISBN 2-7242-4074-X)
- Marcel Bigeard, Pour une parcelle de gloire, Édition Plon, 1975, (ISBN 2-259-00571-3)
- Marcel Bigeard, De la brousse à la jungle, Édition Hachette-Carrère pour France Loisirs, 1994, (ISBN 2-7242-8310-4)
Notes et références
- ↑ Il s'agit des 22e RIF, 23e RIF, 69e RIF et 79e RIF.
- ↑ In Bigeard, page 58
- ↑ Les dates des deux autres tentatives d'évasion sont le 14 juillet et le 22 septembre 1941
- ↑ In Pour une parcelle de gloire, page 33
- ↑ Major Bill Probert (anglais), John Deller (canadien - radio) et Casanova (français ariégeois - guide)
- ↑ In Pour une parcelle de gloire, page 42
- ↑ 6e compagnie, 2e bataillon du 23e régiment d'infanterie coloniale
- ↑ In Bigeard, page 149
- ↑ In Bigeard, page 173
- ↑ In Pour une parcelle de gloire, page 72
- ↑ In Bigeard, page 232
- ↑ In Bigeard, page 273
- ↑ In Bigeard, page 330
- ↑ In Bigeard page 390 et Pour une parcelle de gloire page 236
- ↑ Larbi Ben M'hidi sera capturé le 23 février 1957
- ↑ In Pour une parcelle de gloire, page 305
- ↑ In Bigeard, page 444
- ↑ In Pour une parcelle de gloire, page 305
- ↑ Au départ, Bigeard devait prendre le poste d'adjoint au général Ducournau à la tête de la 25e DP, In Bigeard, page 486
- ↑ 8e régiment d'infanterie motorisée - 14e bataillon de tirailleurs algériens - 23e régiment de spahis marocains, In Pour une parcelle de gloire, page 370
- ↑ In Bigeard, page 499
- ↑ In Bigeard, page 504
- ↑ 6e régiment interarmes d'outremer
- ↑ la 25e brigade parachutiste comprend alors le 1er RCP et le 9e RCP
- ↑ Il succède au général Langlais et commande les 3e RPIMa, 6e RPIMa et 9e RCP
- ↑ Les forces terrestre au Sénégal sont d'environ 2 000 hommes répartis ainsi : armée de terre 1 100, Marine 500 armée de l'air 400
- ↑ In Pour une parcelle de gloire, page 440.
- ↑ Général de division
- ↑ In De la brousse à la jungle, page 74.
- ↑ In De la brousse à la jungle, page 120
- ↑ Il arrive en tête au premier tour avec 13 208 voix contre 10 064 pour le PS et 9 526 pour le RPR, In De la brousse à la jungle, page 143
- ↑ Date de dissolution de l'assemblée par François Mitterrand
- ↑ In De la brousse à la jungle, page 212
- ↑ In De la brousse à la jungle, page 243
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