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Vert-le-Petit
Pour les articles homonymes, voir Vert (homonymie).Vert-le-Petit Administration Pays France Région Île-de-France Département Essonne Arrondissement Évry Canton Mennecy Code Insee abr. 91649 Code postal 91710 Maire
Mandat en coursLuc Borg (PS)
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du Val d'Essonne Démographie Population 2 536 hab. (2006) Densité 371 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 47 m — maxi. 77 m Superficie 6,83 km² Vert-le-Petit (prononcé [vɛʁ lǝ pǝt̪i]) est une commune française située à trente-quatre kilomètres au sud-est de Paris dans le département de l'Essonne et la région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Vertois[1].
Sommaire
- 1 Géographie
- 2 Toponymie
- 3 Histoire
- 4 Démographie
- 5 Administration et politique
- 6 Vie quotidienne à Vert-le-Petit
- 7 Économie
- 8 Culture locale et patrimoine
- 9 Pour approfondir
- 10 Sources
Géographie
Situation
Occupation des sols en 2003 Type d'occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)Espace urbain construit 17,72 % 121,3 Espace urbain non construit 4,95 % 33,87 Espace rural 77,33 % 529,28 Source : Iaurif[2] Hydrographie
Relief et géologie
Communes limitrophes
Climat
Article détaillé : Climat de l'Essonne.Vert-le-Petit, située en Île-de-France, bénéficie d'un climat océanique dégradé aux hivers frais et aux étés doux, et est régulièrement arrosée sur l'ensemble de l'année. Mais cette commune possède quelques spécificité en comparaison du climat de la région dû au relief avoisinant. Les étés sont doux mais aussi humide à cause de la proximité des étangs. Le vent dominant va du Sud-ouest vers Nord-Est. En moyenne annuelle, la température s'établit à 10,8 °C, avec une maximale de 15,2 °C et une minimale à 6,4 °C. Les températures réelles relevées sont de 24,5 °C en juillet au maximum et 0,7 °C en janvier au minimum. Du fait de la moindre densité urbaine entre Paris et sa banlieue, une différence négative de un à deux degrés celsius se fait sentir. L'ensoleillement est comparable à la moyenne des régions du nord de la Loire avec 1 798 heures par an. Les précipitations sont également réparties sur l'année, avec un total de 598,3 millimètres de pluie et une moyenne approximative de cinquante millimètres par mois.
Données climatiques à Vert-le-Petit mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 0,7 1,0 2,8 4,8 8,3 11,1 13,0 12,8 10,4 7,2 3,5 1,7 6,4 Température moyenne (°C) 3,4 4,3 7,1 9,7 13,4 16,4 18,8 18,5 15,6 11,5 6,7 4,3 10,8 Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,6 11,4 14,6 18,6 21,8 24,5 24,2 20,8 15,8 9,9 6,8 15,2 Ensoleillement (h) 59 89 134 176 203 221 240 228 183 133 79 53 1 798 Précipitations (mm) 47,6 42,5 44,4 45,6 53,7 51,0 52,2 48,5 55,6 51,6 54,1 51,5 598,3 Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Brétigny-sur-Orge de 1948 à 2002[3],[4].Transports
Lieux-dits, écarts et quartiers
Toponymie
Histoire
Les temps préhistoriques
Les traces d’un foyer magdalénien (-12 000 ans environ), accompagnées de quelques silex taillés et d’éclats de taille, au bord de l’ancien sentier muletier de la Ferté-Alais à Corbeil, Un morceau de hache en silex poli (environ -5 000 ans), ramassé dans un champ, au-dessus du cimetière, témoignent très modestement d’une présence humaine, vraisemblablement temporaire, sur le territoire de la commune, à ces époques reculées.
Les temps anciens
Une pointe de framée, une lame d’épée rouillée, trouvées à proximité de l’antique chemin d’Etampes à Corbeil qui coupait en travers le territoire communal, nous prouvent que les Mérovingiens, à l’époque du roi Dagobert, eux aussi connaissaient les lieux. Mais si leur implantation permanente, à cette époque, est attestée à Itteville, Leudeville et Vert le Grand, rien ne prouve qu’il en soit de même ici. A moins que… le lieu-dit «miseriacum » (Misery maintenant) dont il est question, en 829, dans un cartulaire de l’abbaye de Saint-Denis, qui signifie «les ruines », ne se rapporte à une ancienne Villa (ferme avec ses dépendances) mérovingienne, dont les ruines étaient encore très visibles au début du 9ème siècle.
Le Moyen-Âge
Il faut attendre le début du 12ème siècle et le cartulaire du prieuré Notre-Dame de Longpont, pour qu’il soit question d’une paroisse appelée Ver parvum, avec une église (pas celle de maintenant).
Ver parvum, en latin roman, signifie Ver le petit. Le premier terme vient du Gaulois : Verna, mot qui signifie Aulne. On rencontre plus souvent ce toponyme sous la forme : Verne ou Vergne.
Sensiblement à la même époque (12ème siècle ) «de Bocheto » : le Bouchet apparaît comme un lieu habité.
Des seigneurs ecclésiastiques : les archives des communautés religieuses, les mieux tenues et les plus complètes, à l’époque, nous apprennent, qu’au début du 12ème siècle, les trois sites habités de l’actuelle commune avaient pour seigneurs des établissements tenus par des religieux :
- Le chapitre Saint-Marcel et aussi la collégiale Saint-Spire de Corbeil, à Misery
- Le prieuré de Longpont dans le village, où quelque temps plus tard, on rencontre aussi les sœurs de Sainte-Catherine du Val des écoliers
- Les maîtres et frères de l’Hôtel-Dieu de Paris au Bouchet.
Le lien, entre les habitants de ces différents sites habités, était l’église paroissiale, ayant pour patron Saint-Martin de Tours. Construite sous le règne de Saint-Louis (2ème moitié du 13ème siècle), c’est celle que nous connaissons.
Dans les annales de cette période, il est peu question du village. Comme tous ceux de la région, il eut beaucoup à souffrir des effets de la Guerre de Cent ans. A la fin de celle-ci, au début du règne de Louis XI, la paroisse ne comptait plus que 8 foyers, soit une quarantaine d’habitants.
La Renaissance
Au milieu du XVIème siècle, l’Hôtel-Dieu de Paris vendit ce qu’il possédait au Bouchet à un seigneur laïque, Michel Tambonneau, un des présidents de la chambre des comptes de Paris.
Lui et ses descendants, membres de la noblesse de robe, procédèrent à de nombreuses acquisitions de terres situées à Verlepetit, pour agrandir leur propriété du Bouchet, profitant en particulier de la misère du temps, liée aux guerres de religion. De nombreux petits cultivateurs se retrouvèrent ainsi locataires, là où ils étaient propriétaires auparavant.
Cette même famille fit construire, vers la fin du XVIème siècle ou au début du XVIIème, un beau château de plaisance, comprenant un corps de bâtiment central, encadré de quatre pavillons d’angle, ceinturé de douves d’eaux vives, alimentées par la Juine.
A la même époque, Misery devint la propriété de riches bourgeois, tandis que François Jacquelot, procureur au Parlement, faisait l’acquisition du fief de Sainte-Catherine.
Les Temps Modernes
1637
Pierre Boucher, contrôleur de l’artillerie, sieur d’Essonville (à Brétigny), acheta le Bouchet à la famille Tambonneau avec les privilèges qui s’y rattachaient, en particulier le droit de haute justice.
1640
Pierre Boucher échangea, avec le prieuré de Longpont, des biens qu’il possédait à Brétigny contre ce que les moines détenaient à Ver le petit dont certains droits féodaux. Il réunit ainsi en une seule main, les fiefs du Bouchet et de Verlepetit. Quelques années plus tard, il acheta les biens de la famille Jacquelot dont ce qui composait le fief Sainte-Catherine. Ainsi, à partir du milieu du XVIIème siècle, les différents fiefs de la paroisse furent tenus par des laïques.
1652
Pierre Boucher décéda à la fin de cette année, pendant les troubles de la Fronde, qui ravagèrent la région. Il était alors criblé de dettes. Sa succession, saisie, en particulier tout ce qu’il possédait à Vert le petit, fut adjugée par décret, à Messire Roland Gruyn, fils d’un riche cabaretier parisien, mais noble parce que «secrétaire du Roi », charge anoblissante. Déjà détenteur de fiefs à Verlegrand,
1658
Messire Roland Gruyn obtint du roi Louis XIV, l’érection de ses différents fiefs, en « baronnie du Bouchet-Valgrand ». Verlepetit devint, à cette occasion : Valpetit, du moins dans les divers documents émanant des seigneurs. Pour les petits Vertois, et pour longtemps encore, ce fut toujours : Verlepetit.
Le nouveau baron fit réaliser d’importants travaux d’amélioration au château et dans le parc de celui-ci. Puis quelques années plus tard, il revendit « la baronnie du Bouchet avec ses circonstances et dépendances » au Prince de Conti et à sa femme, Anne Laure Martinozzi, une des nièces du cardinal Mazarin.
Le magnifique château du Bouchet-Valgrand, que l’on comparait, à l’époque au premier Versailles, construit dans un superbe parc de 60 ha, n’a pourtant jamais été une demeure à laquelle se soit attachée une famille. Il s’agissait plutôt d’une résidence campagnarde, pour de riches et puissants seigneurs possédant déjà un grand hôtel particulier à Paris, qui ne firent que de courts séjours au Bouchet avant de revendre l’ensemble de la baronnie.
Le plus célèbre des propriétaires de cette époque (mais pas le plus riche, loin de là) fut Abraham Duquesne, lieutenant général des armées navales à qui, une royale dotation de 300 000 livres permit d’acquérir la Baronnie du Bouchet-Valgrand, en récompense des «éminents services » rendus à Sa Majesté Louis XIV qui, pour les mêmes raisons érigea la baronnie en Marquisat du Quesne. Mais, malgré ses mérites ainsi reconnus, Abraham Duquesne ne fut jamais promu amiral, parce qu’il était protestant en un temps où il fallait être catholique…
1688
Pour la même raison, lors de son décès, en cette année, il fut enterré quelque part, dans le parc de son château du Bouchet, sans aucun monument funéraire.
Après sa mort, ses héritiers ne purent pas conserver la propriété. Elle fut revendue quelques années plus tard à Marc-Antoine Bosc, beau-frère de Henri Duquesne, le fils aîné d’Abraham. Lui non plus n’en resta pas très longtemps propriétaire, ses biens ayant été saisis pour dettes.
1720
Le Quesne fut vendu, une nouvelle fois, par décret en cette année. Le nouvel acheteur, Claude le Bas de Montargis, bénéficia, lui, du titre de : Marquis du Bouchet-Valgrand. Plus attaché, semble-t-il à son domaine que certains de ses prédécesseurs, il reprit une politique d’extension de son marquisat. A son décès, en 1741, celui-ci s’était accru des Renouillères à Saint-Vrain, de l’Epine à Itteville et de la ferme de Montaubert à Verlegrand.
Par le mariage de sa petite-fille, Anne Claude Louise d’Arpajon avec un membre de la famille Noailles-Mouchy, le Marquisat du Bouchet entra alors dans le patrimoine de celle-ci.
1784
Le château, inhabité depuis des années, fut vendu par la famille Noailles-Mouchy et démoli.
La Révolution
Plusieurs événements importants ont marqué, à cette époque, la vie du village : entre autres,
- La mort tragique du curé de la paroisse, victime des massacres de septembre 1792
- L’exécution, en 1794, de l’ancien marquis du Bouchet, le duc de Mouchy, guillotiné ainsi que sa femme
- L’achat par Henri Sanson, bourreau de la Révolution, du presbytère vendu comme bien national.
Pendant la Révolution, le Marquisat du Bouchet fut démembré, certaines parties vendues comme biens nationaux, d’autres séquestrées et utilisées par l’Etat (comme le Moulin de Gommiers, transformé en manufacture d’armes). La plus grande partie fut vendue volontairement par les Noailles après leur retour d’émigration, sous le Consulat. Les Vertois profitèrent peu de ces ventes qui bénéficièrent surtout à de riches bourgeois.
Le XIXème siècle
1801
En cette année Verlepetit comptait 463 habitants dont plus de 400 dans le bourg qui se présentait sous la forme d’un village-rue dont les chaumières, bordées de potagers s’étiraient de part et d’autre de la rue du Bouchet (actuelle rue du Général Leclerc), de la rue de la Croix (rue de la liberté) et de la rue d’enfer (rue Amand Louis).
De place en place, on rencontrait des bâtiments plus importants : la grande ferme, la ferme de la croix, anciennement propriétés du seigneur et, bien sûr, l’église.
La commune connut pendant ce siècle, d’importantes mutations. Tout d’abord le nom du village changea d’orthographe. On rencontrait de plus en plus souvent : VerT le Petit au lieu de Ver le petit, tout lien avec l’étymologie : Ver=aulne, disparaissant alors. Ce changement fut définitif à partir de 1830.
1820
En cette année une terrible explosion détruisit la poudrerie d’Essonne (et une bonne partie du bourg). Le gouvernement décida alors le transfert de l’établissement au Bouchet. Il acheta une partie de l’ancien parc du château, l’emplacement de celui-ci et ce qui constituait la manufacture d’armes du Bouchet pendant la Révolution et l’Empire soit environ 25 ha Au cours du siècle, d’autres acquisitions suivirent, portant la superficie de la poudrerie à plus de 60 ha en 1900.
1835
L’exploitation commerciale de la tourbe dans le fond de la vallée de l’Essonne transforma, en une soixantaine d’années, la prairie marécageuse en une succession d’étangs entourés d’espaces boisés. Une bonne partie de ces tourbières fut créée dans des marais appartenant, de temps immémorial, à la communauté des habitants, avant de devenir propriété privée de la commune. Les ventes successives du droit d’extraire la tourbe, consenti à des entreprises, fut alors une véritable manne pour Vert le Petit qui, pendant plusieurs décennies «vécut de ses rentes ».
La main d’œuvre employée dans les tourbières, le nombre croissant de Vertois travaillant à la poudrerie donnèrent à la commune un visage particulier. On y vit disparaître, plus tôt que dans la plupart des communes voisines, de nombreux petits cultivateurs et vignerons tandis que beaucoup d’anciens bâtiments à usage agricole furent transformés en logements. Dans le même temps, la tuile remplaçait le chaume sur les toitures.
Sans que le périmètre construit se soit beaucoup agrandi, la population de la commune se trouva portée à 849 habitants en 1901 (dont une compagnie de 152 artilleurs à la caserne du Bouchet).
Le XXème siècle
Celui-ci fut bien évidemment marqué, ici, par les deux guerres mondiales, compte-tenu, en particulier de l’existence de l important centre militaire que constituait la Poudrerie nationale.
Pendant la guerre de 1914 à 1918
Ce furent 5 000 travailleurs autant femmes qu’hommes qui produisirent, au Bouchet, des quantités énormes de poudre et de munitions pour les besoins du front.
De 1920 à 1940
Sans pour autant interrompre totalement la fabrication de munitions classiques, l’établissement orienta une grande partie de son activité vers de nouvelles technologies liées à l’hypothèse d’un conflit où seraient mis en œuvre des procédés chimiques, biologiques et bactériologiques. Pendant cette période, l’emprise des terrains utilisés pour les besoins de la poudrerie et de la station d’essais atteignit 100 ha
Dans le même temps, les étangs de Vert le Petit devenaient le paradis des pêcheurs de la région.
Et maintenant : de nos jours
La commune est connue par l’existence sur son territoire de plusieurs établissements, au Bouchet, tant de recherches que de fabrication de produits à haute valeur ajoutée qui regroupent un peu moins de 800 personnes (au lieu de 1200, il y a une vingtaine d’années). Elle est connue aussi par le site pittoresque de la vallée de l’Essonne, dont une bonne partie, propriété de la commune, accueille, surtout à la belle saison, de nombreux promeneurs et randonneurs.
La population (environ 2500 habitants au recensement de 1999) ayant pratiquement triplé en un siècle, le taux d’emploi sur place s’avère maintenant très insuffisant et, malheureusement, le village a tendance à devenir une commune dortoir parmi d’autres.
Démographie
Évolution démographique
Histogramme
(élaboration graphique par Wikipédia)Pyramide des âges
Administration et politique
Politique locale
Maires de Vert-le-Petit
Liste des maires successifs[9]' Période Identité Parti Qualité 1891 1895 Désiré Brochet 1895 1912 Eugène Gadet 1912 1919 Gustave Babault 1919 1925 Eugène Gadet 1925 1926 Georges De Vlieger 1926 1935 Auguste Boucher 1935 1945 Marcel Charon 1945 1965 Raymon Monniot 1965 1977 Pierre Mercier 1977 1983 Guy Leclerc 1983 1989 Joseph Djivelekian 1989 1995 Maurice Pichavant 1995 2008 Marie-Agnès Labarre PS Microbiologiste 2008 en cours Luc Borg PS Éducateur Toutes les données ne sont pas encore connues. Tendances et résultats politiques
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002 :[10] 85,30 % pour Jacques Chirac (RPR), 14,70 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 79,69 % de participation.
- Élection présidentielle de 2007 :[11] 54,22 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 45,78 % pour Ségolène Royal (PS), 87,26 % de participation.
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 2002 :[12] 57,33 % pour Franck Marlin (UMP), 42,67 % pour Gérard Lefranc (PCF), 57,38 % de participation.
- Élections législatives de 2007 :[13] 42,90 % pour Franck Marlin (UMP) élu au premier tour, 28,60 % pour Marie-Agnès Labarre (PS), 60,89 % de participation.
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :
- Élections européennes de 2004 :[14] 31,59 % pour Harlem Désir (PS), 13,62 % pour Patrick Gaubert (UMP), 41,81 % de participation.
- Élections européennes de 2009 :[15] 21,98 % pour Michel Barnier (UMP), 18,82 % pour Daniel Cohn-Bendit (Europe Écologie), 40,57 % de participation.
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2004 :[16] 51,15 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 34,83 % pour Jean-François Copé (UMP), 66,32 % de participation.
Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2001 : données manquantes.
- Élections cantonales de 2008 :[17] 50,00 % pour Patrick Imbert (UMP), 50,00 % pour Christian Richomme (PS), 67,58 % de participation.
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :
- Élections municipales de 2001 : données manquantes.
- Élections municipales de 2008 : 577 voix pour Magali Chauvet (?), 575 voix pour Jackie Gargadennec (?), 68,96 % de participation.
Élections référendaires :
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel :[18] 70,54 % pour le Oui, 29,46 % pour le Non, 29,23 % de participation.
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe :[19] 54,15 % pour le Non, 45,85 % pour le Oui, 70,32 % de participation.
Enseignement
Santé
Services publics
Jumelages
Vert-le-Petit est jumelée avec la ville nigérienne d'Ayorou
Vie quotidienne à Vert-le-Petit
Culture
Sport
Lieux de culte
Église Saint-Martin (organiste : Axel Casadesus)
Médias
Économie
La ville de Vert-le-Petit est le site d'accueil de deux centres de recherche de l'armée dirigés par la Délégation générale pour l'Armement (DGA). D'une part le Centre d'étude du Bouchet (ou CEB), regroupant un ensemble de laboratoires militaires chargés de l'étude des risques NBC. Et d'autre part deux sites de la SNPE.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine environnemental
Patrimoine architectural
Personnalités
Héraldique
Les armes de Vert-le-Petit se blasonnent : Tranché : au premier de sinople au lion cousu de sable, au second d'azur aux quatre burèles ondées d'argent, un poisson du même nageant entre la troisième et la quatrième ; le tout flanqué en pal à senestre de gueules chargé d'épis de blé d'or en faisceau liés du même.[20]
Mythes, légendes et anecdotes
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Bibliographie
Sources
- ↑ Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 12/04/2009.
- ↑ Fiche communale d'occupation des sols sur le site de l'Iaurif. Consulté le 07/05/2009.
- ↑ Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge sur le site de lameteo.org. Consulté le 9 août 2009.
- ↑ Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge sur infoclimat.fr. Consulté le 18 août 2009
- ↑ Notice communale sur la base de données Cassini. Consulté le 25/03/2009.
- ↑ Données démographiques sur le site de l'Insee. Consulté le 25/03/2009.
- ↑ Pyramide des âges à Vert-le-Petit en 2006 sur le site de l'Insee. Consulté le 28/09/2009.
- ↑ Pyramide des âges de l'Essonne en 2006 sur le site de l'Insee. Consulté le 20/07/2009.
- ↑ Liste des maires successifs sur la base de données mairesgenweb.org Consulté le 12/06/2009.
- ↑ Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 27/08/2009.
- ↑ Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 27/08/2009.
- ↑ Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 27/08/2009.
- ↑ Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 27/08/2009.
- ↑ Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 27/08/2009.
- ↑ Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 27/08/2009.
- ↑ Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 27/08/2009.
- ↑ Résultats de l'élection cantonale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 27/08/2009.
- ↑ Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 27/08/2009.
- ↑ Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 27/08/2009.
- ↑ Blasonnement sur le site de Gaso, la banque du blason. Consulté le 28/09/2009.
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