- Vaas
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Vaas
Le barrage
DétailAdministration Pays France Région Pays de la Loire Département Sarthe Arrondissement La Flèche Canton Mayet Code commune 72364 Code postal 72500 Maire
Mandat en coursRaymond Buron
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes Aune et Loir Site web www.vaas.fr Démographie Population 1 621 hab. (2008) Densité 54 hab./km² Gentilé Védaquais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 38 m — maxi. 119 m Superficie 30,14 km2 Vaas est une commune de France située dans le département de la Sarthe et la région des Pays de la Loire.
Ses habitants sont appelés Védaquais et Védaquaises.
Géographie
La commune est située dans le Haut-Anjou sarthois, surnommé le Maine angevin.
Implanté sur le Loir, le village de Vaas est assurément l'une des plus anciennes paroisses située aux confins des provinces du Maine et de l'Anjou. Les deux rives du Loir totalisent 18 kilomètres. Il fut navigable jusqu'au début du XXe siècle.
Localisation de Vaas - (Distances en kilomètres par la route et orthodromique) Communes limitrophes
Hameaux et lieux-dits
Hameaux et lieux-dits de la commune de Vaas Les Halles · Moriers · Valette · La Chalopinière · Launay · Les Dureaux · Montsureau · Le Port Denet · La Davière · Le Bout de la Rue · Le Grand et le Petit Fief · Le Tertre · La Matinière · La Sauvagère · Le Grand et le Petit Pin · La Titonnière
Armoiries et blasons de Vaas
- La ville de Vaas, origine ancienne, répertoriage 1531 de Tours et 1696 (d'Hozier).
- De gueules, à une fasce d'argent, écartelé d'argent, à un pal de gueules.
- Avec son emblème de baronnie : Couronné d'un cercle d'or, entouré d'un tortil de perles et de pierreries.
- L'abbaye Notre-Dame de Vedatio de l'ordre de Saint-Augustin.
- Ses attributs : la mitre et la crosse.
- D'argent à une fasce de gueules chargée d'un calice d'or.
- Les Chanoines réguliers de Prémontré. Ils prennent possession de l'abbaye en 1726,
- D'azur, semé de fleurs de lys d'or, à deux crosses du même passées en sautoir brochants sur le tout
- L'azur, semé de fleurs de lys d'or est une concession Saint-Louis selon une description de Xavier Barbier de Montault[1].
- Le blason dans l'église de Vaas .
- Ce blason, visible sur une des clés de voûte de l'église rappelle l'écu des Prémontrés. Il est de l'époque de René-Charles Venier, abbé commendataire de l'abbaye, nommé par le roi et le Saint-Père en 1723 qui introduisit cette congrégation.
Les armoiries et blasons -
1 - La ville de Vaas
-
2 - Abbaye royale Notre-Dame de Vaas
Histoire
Passé historique néolithique, puis gallo-romain, l'ancienne voie romaine Tours-Le Mans franchissait le Loir à Vaas. Aux abords de cette ancienne voie, il a été trouvé de nombreux fragments de céramique et de poteries, des tessons d'amphores, des monnaies, des meules et divers autre objets répertoriés par le Centre archéologique de Sablé (Sarthe).
Un fanum, repéré par prospection aérienne a permis de localiser une petite agglomération ou vicus au passage à gué de la rivière.
Une petite statuette en bronze, une applique de meuble représentant un buste d'enfant, appelée l'Amour argenté de Vaas est visible au Carré Plantagenêt au Mans. Elle daterait de la première moitié du premier siècle. C'est une production soignée pouvant provenir d'un atelier situé à Alexandrie (Égypte).
Au IVe siècle l'église du village est consacrée par saint Julien, premier évêque du Mans. Vaas a hérité de l'administration gallo-romaine pendant près d'un millénaire. À l'époque mérovingienne, Vedatio[2] (ancien nom de Vaas) devient chef-lieu d'une condita, le territoire du Védacensis qui s'étendait sur une grande partie de la vallée du Loir. On y battait la monnaie.
De cette même époque, il a été trouvé, lors de travaux effectués sur la voie publique, des fragments de sarcophages, quelques-uns sont encore à peu près bien conservés ; ils sont datés des VIe et VIIe siècles et proviennent de carrières de falun (origine du Saumurois) de Doué-la-Fontaine (Maine-et-Loire). On peut penser que le centre ville était une petite nécropole. Ces sarcophages, d'un poids de 800 kg environ, étaient acheminés par voie d'eau.
Une abbaye, dont l'origine reste inconnue, remonterait au IXe siècle. Elle fut sous l'autorité de chanoines réguliers de l'ordre de Saint-Augustin et eut un rayonnement important jusqu'au XIIIe siècle. De nombreuses missions lui furent confiées par le Saint-Siège.
En 1034, un premier pont fut construit sur le Loir, en même temps que celui de Tours.
Au Moyen Âge, autour de son monastère, la ville est fortifiée et ceinturée de douves. Elle subit un siège pendant la guerre de Cent Ans à la suite duquel le connétable Bertrand du Guesclin chassa les Anglais, après la bataille de Pontvallain en 1370. La ville est ruinée et brûlée, seule la vieille tour abbatiale et son église sont conservées.
Sous l'Ancien Régime et jusqu'à la Révolution, Vaas dépendait du pays d'élection de La Flèche et de la province d'Anjou (sénéchaussée secondaire de La Flèche, dépendante de la sénéchaussée principale d'Angers). La Bruère-sur-Loir dépendait de la sénéchaussée angevine de Baugé et du tribunal spécial ou « greniers à sel » du Lude.
L'abbaye royale qui détenait la seigneurie de la ville, sera vendue en 1791 sous la Révolution comme bien national, le village deviendra chef-lieu de canton jusqu'en 1804 alors rattaché au district de Château-du-Loir. Aujourd'hui, le logis des abbés abrite l'hôtel de ville.
Védacensis
Le Védacensis fut une division territoriale de la région du Maine qui, de temps immémoriaux, était située dans la vallée du Loir, au carrefour des voies fluviales et terrestres.
Le Loir parait avoir été une première limite de la cité des Cénomans en voisinage des Andes et des Turones.
Héritière de l'époque celtique, la contrée fut généralement adjugée au fisc impérial et conservée par les Gallo-Romains.
Védacensis Association est le nom d'une association, créée en 1995 qui publie chaque année un cahier relatant l'histoire du village de Vaas et des environs.
Administration
Liste des maires successifs de Vaas Période Identité Étiquette Qualité 1938 1953 Auguste Fournier 1953 1954 Henri Dezileau 1954 1959 Georges Renou 1959 1971 Maurice Voisin 1971 1977 Georges Rambure 1977 1995 Daniel Barriere Notaire 1995 2001 Raymond Buron 2001 2008 Éric D'Augustin 2008 en cours Raymond Buron Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous. Liste des maires avant 1938Liste des maires de 1790 à 1938 Période Identité Étiquette Qualité 1800 1824 Nicolas Joseph Valorie de Herte de Merville 1824 1825 André Emmanuel Triquet 1825 1837 François Charles Le Coy 1837 1843 Louis Lepingleux 1843 1848 Louis Aimé Fronteau 1848 1857 Laurent Auguste Gaudin 1857 1860 Charles De Vallois 1860 1861 Alphonse Potier 1862 1881 Joseph Olivier 1881 1884 Étienne Renard 1884 1911 Anatole Carre 1911 1912 Magny 1912 1925 Alphonse Simon 1925 1926 Raymond Legeay 1926 1927 Lucien Chevallier 1927 1938 Georges Renou Toutes les données ne sont pas encore connues. Démographie
Graphique de l'évolution de la population 1793-2007 Monuments et lieux touristiques
Monuments mémoriaux
Monument aux morts
Érigé vers 1920 sur la place du village, puis déplacé dans le jardin de l'ancienne abbaye, il rappelle les noms de soixante treize Morts pour la France, victimes des conflits 1914-1918 (63) et 1939-1945 (10).
Mémorial Alvin Pollingue
Une stèle rappelle le souvenir d'un aviateur des États-unis tombé à Vaas le 17 juillet 1944. Elle a été inaugurée le 8 mai 2006 en présence d’une garde d'honneur de l'armée américaine et de Maurice Washburn (San Diego), vétéran de la Seconde Guerre mondiale ayant participé au débarquement du 6 juin 1944 sur les côtes normandes. À cette occasion le pont sur le Loir a été baptisé du nom de cet aviateur.
Le maire de l'époque, Monsieur Alfred Fournier, a pris l'initiative d'accueillir le corps de cet aviateur allié. La quasi-totalité de la population assista à son inhumation malgré l'interdiction des autorités allemandes. Le corps sera transféré en mars 1945 au cimetière militaire américain de Saint-James.
Patrimoine religieux
Abbaye Notre-Dame de Vaas (Beat Maria de Vedatio)
Le monastère primitif a des fondations remontant à l'époque carolingienne (an 790) — cartulaire de l'abbaye de Cormery. Les chanoines suivaient la règle de saint Augustin. Ses origines ne nous sont que partiellement connues. On sait toutefois que ce monastère assurait le franchissement du Loir.
L'abbaye qui a fait suite, selon une légende fabuleuse qui perdure encore, aurait bénéficié d'une dotation des biens confisqués au traître Ganelon, le félon de Roland à Roncevaux. Des actes d'échanges sont mentionnés au cours du Xe siècle avec l'abbaye Saint-Martin de Tours.
Elle connut une période florissante en 1160 avec son premier abbé connu et verra une riche dotation sous les Plantagenêts, ce qui fera oublier les dévastations par les Normands-Vikings au IXe siècle. Douze missions lui seront confiées par le Saint-Siège jusqu'à la veille de la guerre de Cent Ans, époque à laquelle elle sera en partie ruinée et le village brûlé en 1370 ; seules l'église et la tour monastique ont été en partie épargnées. Après restauration, ce sont les seigneurs-abbés de l'abbaye qui seront hauts justiciers sur la paroisse du village.
Un manque de rigueur dans la discipline verra l'abbaye mise en commende au début du XVIIe siècle. Selon les archives retrouvées, c'est à cette même époque qu'on connaîtra son titre d'« Abbaye royale ».
Les prémontrés en prendront possession en 1726 jusqu'à la Révolution et ses bâtiments seront vendus comme biens nationaux, sauf l'église.
Les bâtiments conventuels seront finalement démolis en mars 1981. Il ne reste de visibles actuellement que le logis de l'abbé, aujourd'hui hôtel de ville de Vaas, la tour monastique, les jardins au bord du Loir et l'église devenue paroissiale après la destruction de l'église Saint-Georges vendue comme bien national et détruite.
Église Notre-Dame de Vaas
L'église est accolée à une tour monastique plus ancienne. Construite en forme de croix latine, elle est datée du XIIe siècle. Dans son transept, deux absidioles sont conservées :
- la chapelle Notre-Dame de Pitié, romane, qui appartenait au monastère primitif et présente encore dans sa voûte, quelques fresques et peintures murales du XIVe siècle, Le Christ en majesté entouré du symbole des quatre évangélistes, en mauvais état.
- l'autre, adossée à la sacristie conserve une galerie fermée remarquable.
L'accès, comme pour la plupart des édifices monastiques, se faisait au sud par un cloître intérieur. Par la suite, sa façade fut remaniée et l'entrée y a été aménagée, ouvrant sur une petite place.
Le chœur a résisté aux dévastations et possède toujours ses voûtes de style gothique angevin avec ses liernes imagées, style dit aussi Plantagenêt. Également un maître-autel en marbre surmonté d'un grand Christ en croix et au fond, dans le chevet, les stalles des chanoines. Une grille en fer forgé sépare le chœur de la nef ; le dallage au sol (XVIe siècle) est en damiers ardoise et pierre blanche.
Le beau clocher avec sa flèche octogonale, repose sur une tour carrée qui s'élève à 45 mètres au-dessus du parvis ; il comprend trois cloches dont une datée de 1773 provenant de l'ancienne église paroissiale Saint-Georges qui occupait le centre du village.
Son sous-sol conserve des sépultures du XIVe siècle (révélées en archives).
À l'intérieur, le transept et la nef sont en partie le fruit d'une restauration du XVe siècle. Un retable, à l'entrée, est surmonté d'un tableau (Frédérico Borromée auprès des pestiférés de Milan) encadré de deux statues.
On peut également voir une chaire à prêcher du XVIIIe siècle, plusieurs œuvres intéressantes : deux statues l'une représentant saint Georges, l'autre saint Julien, toutes deux provenant de l'ancienne église paroissiale Saint-Georges, une délicate terre cuite la Vierge à l'Enfant du XVIe siècle, école de Germain Pilon.
Quelques tableaux dont le Christ servi par les anges attribué initialement à Philippe de Champaigne (1674) mais plus vraisemblablement à Charles Lebrun (XVIIe siècle).
Les vitraux détruits lors de la dernière guerre font l'objet de remplacements. Une belle réalisation, l'Assomption de la vierge, au-dessus de l'entrée a été conçue par l'Atelier du vitrail de Vaas Nouveau Souffle ; des verrières plus simples, peintes, sont en cours de réalisation pour les autres fenêtres.
En sortant, on peut voir la restauration d'un cadran solaire placé sur un contrefort du chevet en hémicycle et apercevoir des modillons très érodés, sous la toiture du transept.
De la terrasse sur le Loir, la vue se porte sur l'arrière des moulins banaux de la mense abbatiale, aujourd'hui désaffectés et propriété privée. Pas très loin se trouvaient le four banal et la goularderie (lieu d'accueil des pèlerins) .
L'aspect général est emprunt d'une grande simplicité dans son élégance ; c'est en 1935 que Monseigneur Grente, évêque du Mans, a consacré l'église Beata Maria de Vedacio à Notre-Dame de l'Assomption.
L'église fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 16 février 1926[5]. Plusieurs éléments de mobilier y sont classés monuments historiques[6].
Les châteaux
Une dizaine de châteaux ont été érigés sur le territoire de la commune.
- Le château du Petit-Perray, de la fin XVIIIe siècle, fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 28 avril 1993[7].
- Château de Lassy ou de Bas Moriers.
- Château de la Brosserie.
- Château la Renaudière.
- Château de Gagnerie.
- Château de la Roche.
- Château de Mazoüet.
Dolmen de Pierre Couverte
Le dolmen de Pierre couverte est situé à 3 km de Vaas, en direction de Mayet. Édifié entre 5000 et 2500 ans avant J.C. (Néolithique) il est niché dans l'orée de la forêt de Bercé, à 107 mètres de hauteur. Il fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 12 février 1984[8].
Site archéologique de Cherré
Ces vestiges antiques sont situés à 6 km de Vaas, en limite du Maine, de l'Anjou et de la Touraine dans une boucle du Loir, sur la commune d'Aubigné-Racan. Le temple révélerait, par son orientation, une analogie avec ceux où l’on célébrait à Rome le culte de Jupiter et Saint-Georges de Vaas étant le nom christianisé de Jupiter, on trouve là une même souche.
Particularités et curiosités
Curiosités
- La copie d'une borne milliaire, en grès roussard, séparant les territoires des Cénomans et des Turones (le Maine et la Touraine) a été placée au carrefour de Rotrou (place Thimon). Elle comporte un texte inspiré de la carte de Peutinger.
ANCIENNE VOIE ROMAINE au passage du LOIR
à XVI lieues de Caesarodvnvm (Tours) Vindinvm (Le Mans)
Limite de territoire Fines- Etape de Vedatio - Vaas(environ 40 km de Tours et 40 km du Mans exprimé en lieue gauloise de 2.222 mètres)
- À proximité du pont, des aménagements communaux furent créés sur la rive opposée au centre-ville :
- en amont : une baignade avec ponton et plongeoir,
- en aval : un lavoir couvert.
- Le village est représenté sur une flamme philatélique pour illustrer les oblitérations du courrier postal.
Les entrepôts de munitions
Dès 1917, des Établissements de réserve générale de munitions (ERGMu) furent créés[9].
Par décret du 14 octobre 1919, l'un d'eux sera installé à Aubigné[10] en raison de la proximité de sa gare. Cependant, l'essentiel des terrains acquis par l'État, environ deux tiers des 70 hectares, était situé sur la commune de Vaas.Le stockage des munitions dont la capacité atteindra 90 000 tonnes, commence dès 1920 à l'aide de locomotives et traction animale. Les bâtiments et baraquements achevés en 1931 comportaient des logements, 462 magasins à munitions, 52 magasins à poudres, garages et ateliers, et 51 kilomètres de voies ferrées raccordées à la ligne Tours - Le Mans.
En mai 1944, le site, utilisé depuis 1940 par les troupes d’occupation, sera bombardé par l'aviation alliée. Il sera ensuite détruit par les Allemands lors de leur évacuation. Après reconstruction, l'ERGMu d'Aubigné-Racan fonctionnera jusqu'en 2002, année de sa fermeture définitive.
L’insigne de l'ERGMu d'Aubigné-Racan, homologué le 30 décembre 1976, comporte les armoiries de Vaas en partition et :
- dans les cantons 1 et 2, les attributs du matériel de l’armée de terre – roue édentée argent à sept dents avec deux cantons or croisés et grenades à quatre flammes argent.
- dans les cantons 3 et 4, un missile or représente une munition moderne de l’époque de la création de l’insigne.
Personnalités liées à la commune
- Bertrand du Guesclin, connétable de France, qui a libéré le village en 1370 suite à la bataille de Pontvallain.
- Guyon de Broc (†1481), seigneur de Vaas et de Lespinay, échanson du roi Louis XI en 1461.
- Martin Menant, né à Vaas, syndic des rentes de l'hôtel de ville de Paris au XVIIe siècle.
- Christian Pineau, ministre d'État, lié à Vaas[réf. nécessaire].
- Jean-Paul Proust, (1940 à Vaas - 2010), préfet de police de Paris et ministre d'État de la Principauté de Monaco.
- Louis de Gazeaux, écuyer, ancien lieutenant au régiment de Montmorency, chevalier de Saint-Jean, de la gendarmerie du Roi, seigneur de La Roche de Vaas en 1743.
Voir aussi
Bibliographie et liens externes
- Site officiel
- Vaast sur le site de l'Insee
- Revue historique et archéologique du Maine - 1888 - Mamers
- Cahiers de l'association Vedacensis
Notes et références
- Altitudes, superficie : répertoire géographique des communes[11].
- Xavier Barbier de Montault-Annuaire du Conseil héraldique de France. Texte de Mgr
- Vedatio : chef-lieu du Vedacensis, ancien territoire hérité des romains avec ses trois cantons ; Vedatio (Vaas) - Ruillé - Beaumont-sur-Dème. Au nord de cette contrée se trouvait Pruillé-l'Éguillé.
- Notice communale - Vaas », École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS). Consulté le 8 décembre 2011 Source : Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «
- Insee : historique des populations par commune depuis le recensement de 1962
- Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA00109982 » sur www.culture.gouv.fr.
- Liste des notices pour la commune de Vaas, sur la base Palissy, ministère de la Culture.
- Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA00125655 » sur www.culture.gouv.fr.
- Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA00109981 » sur www.culture.gouv.fr.
- Accueil du site des artificiers (A.M.A.T.)
- Page de l'ERGMu d'Aubigné-Racan-Vaas
- Site de l'IGN.
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