- Urban (Vaucluse)
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Beaumes-de-Venise
Beaumes-de-Venise Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Vaucluse Arrondissement Arrondissement de Carpentras Canton Canton de Beaumes-de-Venise Code Insee 84012 Code postal 84190 Maire
Mandat en coursChristian Gonnet
2008-2014Intercommunalité Communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin Latitude
LongitudeAltitude 44 m (mini) – 442 m (maxi) Superficie 18,89 km² Population sans
doubles comptes2 185 hab.
(2006)Densité 116 hab./km² Beaumes-de-Venise est une commune française, située dans le département de Vaucluse et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés balméens.
Ce fief devint la deuxième baronnie du Comtat après Sérignan : seigneurie des Agoult au XIIIe siècle, des Clermont-Lodève au XIVe siècle, des Astorg de Peyre et, enfin, des Fortia jusqu'à la Révolution. Il fut érigé en duché à la fin XVIIIe siècle par le pape Pie VI[1].
Sommaire
Dénomination
Beaumes-de-Venise est également nommée, en occitan provençal : Baumas de Venisa selon la norme classique ou Baumo de Veniso selon la norme mistralienne)
Le qualificatif "de Venise", pour séduisant qu'il soit au plan touristique et viticole, ne doit rien à la ville de Venise, c'est une déformation de "de Venisse", c'est à dire "du Comtat Venaissin", cette dernière appellation venant elle-même selon l'hypothèse la plus probable de comitatus avecinnus, c'est à dire "comtat avignonnais".
Géographie
Le village est situé au pied des Dentelles de Montmirail.
Accès
La route départementale 7 passe à l'ouest du village et relie celui-ci par la route départementale 81. La route départementale 90 venant du sud, traverse le bourg et part au nord-est en direction de la commune de Suzette. Au sud-est de la commune, les routes départementales 21 et 222 arrivent aussi au village.
Communes limitrophes
Relief et géologie
Les Dentelles de Montmirail sont une chaîne de montagnes du massif des Baronnies. Elles forment des dalles rocheuses du jurassique (tithonique). Les sols sont calcaires. Localement, une résurgence de roches trias permet la culture d’un vin spécifique, nommé ainsi (trias) et récompensé au Concours général 2006[2].
Hydrographie
Source d'eau salée au quartier Font-Salée, source thermale de Durban[3]; source sulfureuse de Lafare ; belle cascade de Saint-Christophe[1].
Le canal de Beaumes est un canal d’irrigation.
Climatologie
Le climat, méditerranéen, est soumis à un rythme à quatre temps : deux saisons sèches, dont une brève en hiver, une très longue et accentuée en été ; deux saisons pluvieuses, en automne, avec des pluies abondantes sinon torrentielles, et au printemps[4].
Tableau comparatif des précipitations relevées en nord Vaucluse lors de l'année 2006[5].
Pluie. Oct. Nov. Dec. Jan. Fev. Mars. Avril. Mai Juin Juil. Août Sept. % de précipitations
comparé à la normale[6]90% 100% 48% 103% 61% 84% 16% 42% 5% 174% 60% 175% Fort orage
(grêle)0 0 0 0 0 0 0 0 0 7 2 2 Températures relevées en nord Vaucluse lors de l'année 2006[5].
Température. Oct. Nov. Dec. Jan. Fev. Mars. Avril. Mai Juin Juil. Août Sept. t° la plus chaude
(date)25,2°
(le 09)21,7°
(le 03)14,2°
(le 04)13,3°
(le 19)15,5°
(le 13)23,9°
(le 31)26,7°
(le 26)30,9°
(le 17)35,2°
(le 28)38,9°
(le 21)34,1°
(le 01)34,2°
(le 04)Nombre de jours
t° > à 30°0 0 0 0 0 0 0 2 16 31 2 8 t° la plus froide
(date)6,6°
(le 05)-5,8°
(le 28)-6,9°
(le 30)-6,8°
(le 15)-4,7°
(le 03)-3,2°
(le 02)-2,8°
(le 08)4,9°
(le 01)9,4°
(le 02)17°
(le 07)11,1°
(le 15)10,3°
(le 01)Nombre de jours
t° < à -6° (forte gelée)0 1 2 5 0 0 0 0 0 0 0 0 Bien que les terres soient situées à proximité de l'axe nord-sud qu'est la vallée du Rhône, le relief des Dentelles de Montmirail permet une certaine protection face au mistral. Le tableau suivant correspond aux différentes vitesse du vent enregistrées et à sa fréquence au cours de l'année 2006.
"=" : idem à la normale ; "+" : supérieur à la normale ; "-" : inférieur à la normale.
Mistral. Oct. Nov. Dec. Jan. Fev. Mars. Avril. Mai Juin Juil. Août Sept. Vitesse maximale relevée sur le mois 87 km/h 91 km/h 118 km/h 96 km/h 97 km/h 112 km/h 97 km/h 94 km/h 100 km/h 90 km/h 90 km/h 90 km/h Tendance : jours
avec une vitesse >
16 m/s (58 km/h)--- = ++ -- +++ --- ++++ ++++ = = ++++ + Histoire
Préhistoire
Les grottes furent habitées dès le néolithique. Les Gaulois occupent le sommet de la montagne qui domine la ville, probablement le peuple gaulois des Cavares (Beaumes est située à la limite des territoires de ce peuple et de ceux des Voconces et des Memini)[7]. Vestiges d'occupation gallo-romaine[1].
Antiquité
Les ruines du castellas[précision nécessaire] de Durban marquent toujours l’accès de l’oppidum de Courens. Ce lieu fut occupé de la préhistoire jusqu’à la période phocéenne puis gallo-romaine où fut construit sur ce site une villa urbana, c’est-à-dire une résidence campagnarde pour un riche patricien. De défense facile, il servit de refuge pendant les grandes invasions{{précision nécessaire[8]|}}.
Moyen-Âge
La première mention Ad Balmas a été faite en 993[9].
Au XIIe siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait une église au lieu-dit la Frigoule, dont elle percevait les revenus[10].
Fief du comte de Toulouse, Raymond Vl, donné au Saint-Siège en 1209[1].
En février 1389, Raymond de Turenne, en pleine guerre privée contre Clément VII, qui l'avait spoliée de ses fiefs, venant de Vaison-la-Romaine, qu'il avait ravagé, et qui venait de détruire le village d’Aubusson, situé au pied de l’oppidum où se trouve aujourd’hui, à 400 mètres d’altitude, la chapelle de Notre-Dame d’Aubusson dont la restauration date de 1771. C’est, de nos jours, le lieu-dit de Séguret{{précision nécessaire[11]|}}, voisin de Séguret, s'attaqua à Beaumes-de-Venise et saccagea en partie l’église Saint-Nazaire, dans le bas du village{{précision nécessaire[12]|}}.
Cette seigneurie était alors partagée entre Latil IV de Mormoiron, seigneur de Durban, tandis que le village dépendait de la mense de Pierre de la Manhania, évêque d’Orange. Au XIVe siècle, le village de Durban, composé du hameau des Grottes et de quelques bastides isolées, comptait environ une centaine d’habitants et un quart de moins à la fin du XVIIIe siècle[8][précision nécessaire].
Cet épisode donna matière à Frédéric Mistral, pour apporter sa pierre à l’édifice des légendes colportées sur le compte de Raymond de Turenne. Faisant de Mormoiron son vainqueur, il versifie dans son poème « Nerte » :
« Il y aura treize ans, vienne la saint Eutrope,
Un jour, Isnard de Mormoiron
Nous réunit, quelques barons,
Pour chasser de son parc
Les loups de Raymond de Turenne.
Tu sais ? Ce grand pillard,
Ce détrousseur, enfonceur de moûtiers
Qui, dans ses incursions, traînait
Le meurtre et l’incendie et qui passait
Sur les bastides et les châteaux
Tel un râteau aux dents de fer. »Le poète provençal ne respecte pas la vérité historique dans ces quelques vers. Outre que le rôle de Mormoiron fut bien petit dans les guerres de Raymond de Turenne, Mistral fait intervenir non pas Latil IV, mais son arrière-grand-oncle Isnard Ier ou son grand-père Isnard II. Le premier avait rendu hommage de ses fiefs comtadins, en 1274, à Guillaume de Villaret, recteur du Comtat et grand maître des hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Mort sans postérité, il légua ses titres et ses biens à son neveu Isnard II, fils de son frère Latil II{{précision nécessaire[13]|.}}
Renaissance
Lors des guerres de religion, le Comtat Venaissin fut ravagé et les huguenots massacrés en nombre. D'autant qu'un enfant du village donna un de leurs nombreux surnoms aux religionnaires. L'abbé Allègre, premier historien de la commune, narre : « En 1518, la peste ravageait Avignon. Des Avignonnais, dont Maître Perrinet Parpaille qui eut un fils avec sa servante, se réfugièrent à Beaumes. Cet enfant, dès qu'il eut vingt ans, put recueillir des témoignages et prendre ainsi le nom de son père. Il joua un grand rôle dans l'histoire du protestantisme et c'est à cause de lui que les huguenots furent surnommés parpaillots »[14]..
En 1572, la ville fut prise par le baron des Adrets.
Période moderne
Période contemporaine
Jusqu'en 1914, un établissement thermal exista au quartier de Font-Salée[1].
Article détaillé : Maquis Ventoux.Héraldique
D'azur aux trois taux d'or.[15]
Administration
Liste des maires de la Révolution française à la LibérationListe des maires de la Révolution française à 1945[16] Période Identité Parti Qualité 1790 1791 François Xavier Gaultier (déjà consul en 1787) 1791 1792 Charles Maurin 1792 1794 Marin André (déjà consul en 1778) 1794 1800 Xavier Puget 1800 1800 Claude Michel (à titre provisoire) 1800 1801 Charles Imbert Gaudemavis 1801 1802 Pierre-Antoine Ayme 1802 1803 Pierre Tartivel 1803 1807 Xavier Dumas 1807 1813 C. I. Gaudemavis 1813 1813 Thomas Bernard (à titre provisoire) 1813 1826 François Florent Vaton 1826 1832 César Ribère d’Antremont 1832 1838 Placide Bernard 1838 1846 Pierre Joseph Thomas Tartivel 1846 1859 Pierre Henri Florent Tartivel 1859 1864 François Charpenne 1864 1865 Esprit Barthélemy Bernard 1865 1866 Auguste Gaultier 1866 1870 Xavier Laforet 1870 1871 Cyprien Roubaud 1871 1874 Charles Mauric 1874 1878 Casimir Vaton 1878 1884 Hilarion Richard mai 1884 mai 1892 C. Vaton mai 1892 mai 1900 Émile Gaultier mai 1900 mai 1904 Auguste Fare mai 1904 septembre 1910 Jules Carles septembre 1910 décembre 1910 Jérôme Antoine Reynard décembre 1910 mars 1913 Pierre Ayme mars 1913 mai 1925 Joël Jouvent mai 1925 mai 1929 Aldéric Blanchard mai 1929 novembre 1930 Auguste Souchère novembre 1930 novembre 1934 André Bouychou novembre 1934 mai 1935 Louis Barjol mai 1935 septembre 1944 Joël Jouvent Liste des maires depuis la Libération Période Identité Parti Qualité septembre 1944 mai 1945 Marcel Gonnet mai 1945 octobre 1947 A. Blanchard octobre 1947 mars 1977 Claudius Amiel mars 1977 mars 1989 Camille Fare PCF mars 1989 réélu en 2008 Christian Gonnet UMP Avant la Révolution française, la ville était gérée par deux consuls élus depuis 1464[17].
Démographie
Évolution démographique 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 1386 1484 1631 1721 1784 2051 2185[18] Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes Économie
L'agriculture, dont la production viticole, est le point le plus important de l'économie locale. Les oliviers ((coopératives oléicoles), et autres arbres fruitiers (abricotiers, cerisiers, pommiers) complètent les productions du territoire.
Le tourisme, et notamment le tourisme viticole (route des vins), a aussi une part importante dans l'économie. Il existe un office de tourisme intercommunal (entre Beaumes-de-Venise, Lafare, Suzette, La Roque-Alric et Saint-Hippolyte-le-Graveyron) et un syndicat d'initiative, un camping, des gîtes ruraux, etc.
L'artisanat local est principalement tourné vers le bâtiment et les différents travaux agricoles.
La vigne et le vin
La vigne est présente sur des coteaux situés au sud des Dentelles de Montmirail. Elle est exploitée par les vignerons de plusieurs caves et domaines. Toutes les productions sont en AOC : Muscat de Beaumes-de-Venise, Beaumes-de-venise rouge, Côtes-du-rhône rosé et blanc et Côtes-du-ventoux rouge, rosé et blanc.
Les vignes de Beaumes-de-Venise s’étendent sur trois terroirs.
Les terres du Trias
Elles tirent leur nom de la période la plus ancienne de l’ère secondaire, comprise entre -251 ± 0,4 et -199,6 ± 0,6 millions d'années : le Trias[19]. Cette formation s’est déposée dans une mer peu profonde et unique nommée la « Thétys ». Le climat de l'époque est chaud et la nature exubérante.
Enfouie sous plus de 1 500 m de sédiments, cette couche géologique ressurgit de nos jours par endroit en surface. Riches en magnésie, en carbonate de calcium et en fer, les sols des terres du trias sont reconnaissables à leurs couleurs : ocre, jaune et violet. Très peu fertiles, ces sols permettent toutefois aux ceps de ne subir ni le stress d'une sécheresse, ni celui d’une trop importante humidité.
Le vin issu de ces terres se caractérise par sa richesse, sa souplesse et sa longévité.
Les terres du Crétacé
Appelées aussi « terres blanches du Bel Air du Crétacé », les sols de ces terres sont plus jeunes. Formés après l’ère du Trias, lors du Crétacé inférieur, il y a environ 100 à 140 millions d’années, quand la mer est devenue moins profonde.
Les terres grises des farisiens du Jurassique
Ce terroir est adossé au versant sud-est des dentelles de Montmirail.
Vie locale
Un marché se tient tous les mardis
Éducation
Les enfants sont accueillis par plusieurs écoles :
- école maternelle Eve et Marie Curie
- école maternelle et primaire Saint-Sébastien
- école primaire Jacques Prévert
ainsi que d'un double service de cantines aux écoles Saint-Sébastien et Jacques Prévert.
Sports
Piscine municipale.
Sentiers de randonnées : 50 km de sentiers balisés et de routes forestières, notamment dans le massif Saint-Amand-Montmirail.[1] Un club de foot ball en fusion avec la ville d'Aubignan. Le club s'appelle l'Etoile d'Aubune. Ainsi qu'un club cycliste : L'avenir cycliste Beaumes de venise et son team VTT qui fait partie de l'élite nationale.
Santé
Le bourg possède une pharmacie et deux médecins généralistes.
Culture
La commune est équipée d’une bibliothèque de lecture publique. Le théâtre rural d'animation culturelle (TRAC) monte depuis 1999 plusieurs pièces par an[20].
Écologie et recyclage
Collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et protection et mise en valeur de l'environnement dans le cadre de la Communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin.
Accès à une déchèterie sur Aubignan et ramassage des encombrants prévu une fois par mois[21].
Lieux et monuments
- Les caves et la route des vins
- Église paroissiale du Coeur-de-Marie, érigée en collégiale en 1507, reconstruite au XIXe.
- Notre-Dame d'Aubune, classée monument historique : chapelle de la protectrice du village de Beaumes-de-Venise : la légende raconte qu'elle est intervenu lorsque le Malin a voulu détruire le monument religieux à l'aide d'un rocher surplombant celle ci. Il est possible de visiter ce site sur la colline se situant derrière le village dans le lieu nommé le Rocher du Diable en raison d'une "griffure" du démon sur cette pierre.
Article détaillé : Chapelle Notre-Dame d'Aubune.- chapelles : Saint-Nazaire ; chapelle votive Saint-Roch XVIe, reprise au XVIIe ; Sainte-Anne 1630 ; Saint-Sébastien 1629 ; Saint-Hilaire de Durban ; Notre-Dame-de-Montmirail 1855 ;
- chapelles en ruines : Saint-Michel XIIe et Saint-Alary
- oratoires
- Fontaine XVIIIe, inscrite aux monuments historiques, place de l'église.
- vestiges féodaux du XIIe : tours, murs.
- châteaux d'Antremont et de Bouquillon.
- tour sarrasine.
- ruines du château de Durban (XIIe)
- Le Rocalinaud : rocher aux alentours de Beaumes de Venise.
- Les Mains : site où se trouve une statue.
- Musée municipal d'archéologie et d'histoire
- L’église patronnée par saint Nazaire est devenue un site romantique et couvert de lierre à l’intérieur du cimetière.
Personnalités liées à la commune
La famille des D'Agoult, noblesse de Provence et Comtat Venaissin
Filmographie
C'est la Brigade de Gendarmerie de Beaumes-de-Venise qui sert de support à la série Une Femme d'honneur pour 8 épisodes des saisons 5 et 6 en 2001 et 2002.
Voir aussi
Articles de Wikipédia
Liens externes
- Site officiel de la mairie
- Office du tourisme
- Beaumes-de-Venise sur le site de l'Institut géographique national
- Beaumes-de-Venise sur le site de l'Insee
Sources
- Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique du département du Vaucluse, Avignon, 1876.
- Abbé Allègre, Monographie de Beaumes-de-Venise (Vaucluse), 1re édition en 1888, rééditée et augmentée par Pierre Blachon (1967) ; nouvelle réédition : Paris, Léonce Laget, 1981, ISBN 2-85204-100-6.
- Philippe Jean Coulomb, Beaumes-de-Venise. Géologie, paléontologie, préhistoire, histoire et archéologie, Éd. Académie de Beaumes-de-Venise, seconde édition, 1986.
- Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986.
Notes
- ↑ a , b , c , d , e et f Beaumes-de-Venise sur le site du Quid
- ↑ Ministère de l'Agriculture et de la Pêche, Palmarès du concours général agricole, Paris, 2006, p 3. En ligne, Les médailles d'or au concours général agicole 2006. Consulté le 10 octobre 2008
- ↑ Une autorisation d'exloitation fut accordée 7 avril 1869 à MM. Gonet et Mathieu Inventaire des dossiers relatifs aux demandes de déclaration d'intérêt public, Répertoire numérique détaillé par Martine Illaire, Conservateur en chef, Section sources d'eaux minérales, Ministère des Travaux Publics, 2002.
- ↑ La climatologie du Vaucluse
- ↑ a et b Source : Services techniques d'Inter Rhône Données météorologiques concernant le millésimes 2006
- ↑ La normale correspond à la moyenne des 53 dernières années pour les relevés météorologiques d'Orange et à celle des 42 dernières pour Carpentras (Sources : Services techniques d'Inter Rhône).
- ↑ Abbé Allègre, op. cit., p 3-4
- ↑ a et b Philippe J. Coulomb, op. cit.
- ↑ Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence, Éd. Laffitte reprints, Marseille, 1994, p. 81, indique que cette dénomination se trouve dans Gallia christiana novissima d'Albanès et U. Chevalier.
- ↑ Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », inGuy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p
- ↑ Jules Courtet op. cit.
- ↑ Abbé Allègre op. cit.
- ↑ Robert Bailly, op. cit.
- ↑ Abbé Allègre, op. cit..
- ↑ Armorial du Comtat Venaissin
- ↑ D’après la liste figurant dans l’ouvrage de l’abbé Allègre, Monographie de Beaumes-de-Venise (Vaucluse), 1re édition : 1888, rééditée et augmentée par Pierre Blachon (1967) ; nouvelle réédition : Paris, Léonce Laget, 1981, ISBN 2-85204-100-6. Pages : p 235 pour les maires de 1791 à 1884, p 316-317 pour les suivants jusqu’en 1977
- ↑ Abbé Allègre, {{{1}}}, Ibid
- ↑ Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 17 février 2009
- ↑ Période subdivisée en 3 époques (Trias inférieur, moyen et supérieur) et en 7 étages stratigraphiques
- ↑ Site du TRAC
- ↑ site officiel - environnement
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