- Ternant (Nièvre)
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Ternant Administration Pays France Région Bourgogne Département Nièvre Arrondissement Château-Chinon (Ville) Canton Fours Code commune 58289 Code postal 58250 Maire
Mandat en coursJosette Vivant
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes entre Loire et Morvan Démographie Population 201 hab. (2008) Densité 10 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 231 m — maxi. 415 m Superficie 19,38 km2
Ternant est une commune française, située dans le département de la Nièvre et la région Bourgogne.Sommaire
Géographie
Localisation
Ternant est une commune du sud-est de la Nièvre dont le territoirea une frontière commune avec la Saône-et-Loire. La commune est située entre les monts du Morvan et la vallée de Loire. La rivière qui traverse la commune est la Cressonne. Elle se jette dans la Loire 17 km plus en aval, à Saint-Hilaire-Fontaine. Le climat est tempéré, d'affluence océanique.
Géologie
Ternant possède la particularité d'être une zone calcaire (datant majoritairement du Sinémurien) et marneuse (marnes du Trias) entre des zones sableuses du côté fleuve (ouest) et d'origine éruptive du côté du massif du Morvan (est). La terre y est très fertile. Le calcaire de Ternant sert encore aujourd'hui à la fabrication de la chaux grasse.
Une description de Ternant en 1909
Louis Malvy, instituteur à Ternant au début du XXe siècle, a écrit cette description du village et de son château : « Perchée sur un petit monticule, la bourgade de Ternant se dresse, ainsi qu'une sentinelle avancée, semblant protéger les hauts sommets du Morvand nivernais (...). Que l'on vienne de Saint-Seine, de La Nocle ou de Bourbon, on monte, et si on continue sur Luzy, on arrive à Satenot, côte rapide et longue, qui fait dire aux gars de Râpourçon ( = Villapourçon) « Passé Ternant, ça tenôt » (...) Avec ses quelques petites rues étroites, ses maisons vieilles et délabrées couvertes en tuiles, et ses vingt hectares de vignes, (...) tout est vieux ici : vieilles maisons, vieux château, vieux remparts, vieilles histoires. C'est que Ternant a un passé très ancien ; on affirme qu'il a vu César et ses légions. Son vieux manoir féodal, avec sa double enceinte et ses remparts, (...) souvent réparé, le château des sires de Ternant avec sa toiture plusieurs fois abaissée et ses fenêtres Renaissance n'a plus aucun style. Nous avons pu reconstituer ainsi ses dépendances : le château proprement dit, le donjon (maison Perret), le pressoir (maison Chandelier), la ferme (maison du père Chopin), la prévôté (maison Néant), la chanoinerie (cure actuelle), le grenier à sel (maison Choquin), le four banal (maison en face Chandelier), etc.. »[1].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Quelques traces d'habitat préhistorique existent à Ternant, en particulier dans une petite grotte proche de la rivière Cressonne ont été trouvé des restes de feu et une "assiette" datés du néolithique. Trois énormes mégalithes en granite (le gisement le plus proche est à une bonne vingtaine de kilomètres), apportés là par les hommes, se trouvent à proximité (traces d'un lieu de culte ?). Des pierres taillées en calcaire de Ternant, probablement de l'âge du fer, ont été récemment identifiées.
Ternant faisait partie du territoire éduen dont la capitale, Bibracte, n'étit qu'à 35 km de là ; les légions de Jules César ont séjourné sur les bords de la Cressonne, peut-être à Hiry[2].
Moyen Âge
La famille de Digoine construisit le château de Ternant. La grande Tour du château est achevée en 1285 par Guillaume de Digoine et un village médiéval se construit aux alentours : ce donjon est profondément remanié au XVe siècle[2].
La famille de Ternant (ou de la Motte-Ternant)
On ne sait pas à quelle date les seigneurs locaux prirent le nom de Ternant, mais cette famille noble, implantée à Ternant (Nièvre) et La Motte-Ternant (Côte-d'Or) (peut-être aussi à Ternant (Côte-d'Or) à moins qu'il ne s'agisse d'une homonymie), a joué pendant trois siècles un rôle important en Bourgogne. Parmi les personnes connues :
- Guillaume, seigneur de Ternant, rend hommage au comte de Nevers Louis Ier de Dampierre en 1285 pour « la grande cour de Ternant et les villes de Mulot, Salais (Savigny-Poil-Fol), Perrigny, Mézeray, Rigny, Hiry[3], et quelques autres » ; Guy, sire de Ternant, en fait autant en 1310[4].
- Pierre de Ternant, archidiacre de Beaune en 1303
- Jean de Ternant participe en 1340 au camp de Bouvines (ne pas confondre avec la bataille de Bouvines en 1214) dans l' host du comte Louis Ier de Flandre
- Othenin de Ternant, capitaine du château de Coiffy en 1361
- Hugues, sieur de Ternant et de Limanton, sire de la Motte-Ternant, chevalier, tient en fief-lige en 1353 « la grande Tour de Ternant, avec la ville et appartenances (...), la ville de Tazilly , la ville de Chônay , la ville d'Hiry, la ville de Mulot, la ville de Salais (Savigny-Poil-Fol), la ville de Périgny, la ville de Rigny (Rémilly), la ville de Montfol, etc.. »[5] ; il est lieutenant du comte Louis II de Flandre en 1362 et gouverneur du Nivernais à la même date. En 1404, il fait élever à Savigny-Poil-Fol un gibet à quatre piliers.
- Jean de la Motte-Ternant est échanson du duc Philippe II de Bourgogne en 1392
- Jean de la Motte-Ternant, conseiller du duc Philippe III de Bourgogne et envoyé à Lille en 1432 négocier au nom de ce dernier et qui est membre de la délégation qu'il envoie à Tours en 1435 le représenter lors du serment de respect du traité d'Arras.
- Philippe de Ternant (1400-1456), frère du précédent, chevalier de la Toison d'Or (voir ci-dessous), chambellan de Philippe le Bon, fut membre à partir de 1433 du "Grand Conseil" du duc de Bourgogne ; il reçoit en 1435 de Philippe le Bon (Philippe III de Bourgogne) la baronnie d'Apremont et la seigneurie de Gendrey. Philippe de Ternant fut commandant de la garde de Bourgogne, il guerroya beaucoup en Flandre pour le compte du duc de Bourgogne à partir de 1430, habitant alors le plus souvent Bruges. Il en profita pour ramener les deux retables qui ornent l'église paroissiale de Ternant. Il est prévôt de Paris en 1436. En 1454, Philippe de Ternant, accusé d'avoir fait arrêté un marchand anglais alors que la Bourgogne avait conclu une trêve avec l'Angleterre, dut demander pardon au Conseil de l'Ordre de la Toison d'Or et fut condamné à aller en pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle[6]. Philippe de Terant était aussi seigneur de la Motte (actuelle commune de La Motte-Ternant).
- Charles de Ternant, son fils, est gouverneur et capitaine de Château-Chinon ; il décède en 1472
- Claude de Ternant, fils du précédent, écuyer, chambellan du roi, est « seigneur de la Motte et de Ternant » ; il ne semble pas avoir eu de descendants.
- Au début du XVIe siècle, la baronnie de la Motte-Ternant passe aux mains de Guillaume de Pontailller, époux de Claudine de Ternant, sœur de Claude de Ternant, puis de Gilbert de Graçay, seigneur de Champeroux et époux d'Isabeau de Ternant, autre sœur de Claude de Ternant. Ce couple a des enfants dont Jean de Graçay, seigneur de Ternant, qui se maria avec Jehanne de La Châtre.
Toute trace du nom de famille "de Ternant" lié au village et au château de Ternant disparaît[7], même si le nom de famille "de Ternant" a subsisté [8].
Le blason de la famille de Ternant était « échiqueté d'or et de gueules à quatre traits »[9]. La seigneurie de Ternant disposait des droits de haute justice, moyenne justice et basse justice sur un territoire étendu et dont les limites sont précisément connues grâce au dénombrement en date du 29 décembre 1539, par Jehanne de La Châtre, dame de Ternant et de Diors (Indre), dont une copie datée du 28 septembre 1740 a été conservée[10].
La collégiale Notre-Dame de Ternant, en fait chapelle privée
Gagnare, dans son "Histoire de l'église d'Autun" écrit :
« Le chapitre de Notre-Dame de Ternant fut fondé en 1444 par Philippe de Ternant, chambellan des ducs de Bourgogne, et Isabelle de Roye, son épouse, pour quatre chanoines, un prévôt, deux enfants de chœur et un marguillier.Les fonds de cette église furent pillés et ruinés par les calvinistes en 1557, elle est réduite à la prévôté, qui est unie à la cure, et à un seul chanoine[11]. »
L'annexion de l'ancienne paroisse d'Hiry
Hiry est cité comme paroisse de l'évêché de Nevers en 1575[12]. Yves Louis Comeau de Satenot, né à Hiry en 1767 fut admis en 1778 à l'école militaire d'Autun[13].
Lors de la création des communes pendant la Révolution française, l'ancienne paroisse d'Hiry a été englobée en 1792 dans la commune de Ternant (Nièvre) et Hiry est désormais un simple hameau de cette commune. Une foire annuelle se tenait à Hiry le jour de la sainte Marthe[10].
Un lavoir caractéristique s'y trouve[14].
Le XIXe siècle
Une foire annuelle se tenait à Ternant (Nièvre) à la mi-août, elle existait encore au début du XXe siècle[10].
Des fabriques de chaux existaient à Ternant dans le courant des XIXe siècle et XXe siècle. Une description détaillée du four à chaux d'Hiry, mis en service en 1875, est disponible sur un site Internet[15].
Le XXe siècle
Les guerres du XXe siècle
Le monument aux morts de Ternant porte les noms de 35 habitants de la commune morts pour la France, dont 33 pendant la première guerre mondiale et deux pendant la seconde guerre mondiale[16].
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2008 en cours Josette Vivant Retraitée Toutes les données ne sont pas encore connues. Démographie
Évolution démographique[17]: 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 527 381 500 588 759 810 805 885 863 795 847 886 890 945 939 923 923 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 859 844 820 789 638 606 549 502 555 435 423 408 378 303 240 237 206 204 Nombre retenu à partir de 1968 : Population sans doubles comptes[18] Commentaire : La population de Ternant, après avoir augmenté pendant la majeure partie du XIXe siècle, gagnant 418 habitants entre 1793 et 1876, soit + 79,3 % en 83 ans, et être restée presque stable pendant le dernier quart du XIXe siècle, a décliné régulièrement pendant tout le XXe siècle, perdant 719 habitants entre 1891 et 2008, soit - 77,9 % en 117 ans (le rythme moyen annuel du déclin a été d'un peu plus de - 6 habitants par an). Par rapport au premier recensement connu, celui de 1793, la commune n'a plus en 2008 que 38,7 % de sa population d'alors, et ce déclin persiste dans la première décennie du XXIe siècle en raison de l'exode rural, de l'enclavement et de l'éloignement par rapport aux centres urbains dynamiques.
Entre 1999 et 2007, le solde migratoire reste négatif ( - 1,9 % l'an) et le solde naturel également, de peu toutefois ( - 0,1 % l'an) désormais. De 1999 à 2008, Ternant a enregistré 28 décès et 23 naissances. Le vieillissement de la population est important : en 2007, les "65 ans et plus" formaient 31,5 % de la population totale contre 21,0 % pour les "0 à 19 ans"[19].
Le nombre des logements stagne, et même baisse légèrement (165 logements en 1968 et 162 en 2007); le nombre des résidences principales est passé de 1968 à 2007 de 99 à 90, celui des résidences secondaires de 45 à 55 ; ces dernières représentent désormais 34 % du total des logements. Les constructions neuves sont rares : 3 résidences principales seulement ont été construites après 1990[20].
Lieux et monuments
- Édifice religieux :
- L' Église Saint Roch datant de 1820, elle fut construite avec les pierres de l'église d'origine et renferme deux retables dont la restauration fut décidée en 1943 et photographiés par Marc Vaux (Archives photographiques du Ministère de la Culture)[21].
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- Le retable de la Vierge (daté du milieu du XVe siècle, probablement entre 1444 et 1454, en bois peint et doré, classé Monument historique en 1881) : haut de 1,58 mètres, large de 3,15 mètres, le "retable de la Vierge" a été commandé par Philippe de Ternant, chambellan de Philippe le Bon, duc de Bourgogne, Chevalier de la Toison d'Or et son épouse Isabeau de Roye pour orner la chapelle de leur château, consacrée à Notre-Dame. Il est formé de 8 panneaux dont 5 dans la rangée inférieure et 3 dans la rangée supérieure. Les panneaux de la rangée inférieure représentent successivement, de gauche à droite, Philippe de Ternant (le donateur) portant le collier de Chevalier de la Toison d'Or, l'Annonciation, la Dormition (représentée en 4 épisodes dans le grand panneau central ainsi que dans le panneau situé immédiatement à sa droite) et enfin Isabeau de Roye, la donatrice. Les trois panneaux du registre supérieur représentent, au centre, l'Assomption et sur les deux côtés, le Couronnement de la Vierge Marie. Ce retable serait l'œuvre d'un atelier flamand et a été plusieurs fois restauré[22].
- Le retable de la Passion (daté de la fin du XVe siècle, en bois sculpté peint et doré, classé Monument historique en 1881) : Haut de 2,38 mètres, large de 5,45 mètres, le "retable de la Passion" a été vraisemblablement commandé par Charles de Ternant, fils de Philippe de Ternant, compagnon d'enfance de Charles le Téméraire. Il était destiné à orner l'église de Ternant dont la construction avait été décidée en 1448. Il est formé de neuf panneaux qui représentent, de gauche à droite, Jésus en prière au Jardin des Oliviers, le Portement de Croix, la Montée au calvaire, la Crucifixion (panneau central de plus grande dimension) avec en bas la scène de la Pâmoison de la Vierge, puis la Mise au tombeau, Jésus descendant aux limbes pour y délivrer les âmes des Justes et, panneau le plus à droite, la Résurrection[22].
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Le retable de la Vierge, partie centrale du registre inférieur, La Dormition (vue d'ensemble)
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Le retable de la Passion : la Mise au tombeau
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Le retable de la Passion ; la lamentation après la Crucifixion et la Vierge de Pitié
- Monument civil :
- Le château de Ternant : profondément remanié, ce qu'il en reste a l'aspect d'une maison bourgeoise cossue avec une tourelle dont une partie est même de construction récente[2]. Quelques morceaux de remparts subsistent dans le bourg, mais les pierres des remparts ont beaucoup été utilisées au cours des derniers siècles pour construire les maisons du village.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Article connexe
Bibliographie
- M. Anfray, "La cathédrale de Nevers et les églises gothiques du Nivernais", pages 236 à 239.
- Catalogue de l'exposition "Richesses d'art en Morvan", pages 138 à 144
Association
- L'association Camosine (CAisse pour les MOnuments et les SItes de la NièvrE) œuvre pour la restauration et la mise en valeur du patrimoine nivernais[23].
Notes et références
- http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k213823r/f221.image.r=Hiry.langFR Louis Malvy, Excursions à Ternant, "Mémoires de la Société académique du Nivernais", 1909, consultable
- http://www.chaux-de-ternant.com/Pages/histoire.htm
- L'ancienne paroisse d'Hiry fait désormais partie de la commune de Ternant (Nièvre)
- http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k213823r/f223.image.r=Hiry.langFR Lucien Gueneau, "Notes sur les seigneurs de Ternant avant le XIIe siècle", Société Académique du Nivernais, cité par Louis Malvy, Excursions à Ternant, "Mémoires de la Société académique du Nivernais, 1909, consultable
- http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k213823r/f223.image.r=Hiry.langFR Louis Malvy, Excursions à Ternant, "Mémoires de la Société académique du Nivernais, 1909, consultable
- http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k122996c/f117.image.r=Ternant.langFR Frédéric Reiffenberg, "Histoire de l'ordre de la Toison d'or, depuis son institution jusqu'à la cessation des chapitres généraux", 1830, consultable
- http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k116999c/f401.image.r=Ternant.langFR Henri Beaune, "La noblesse aux États de Bourgogne, de 1350 à 1789", 1864, consultable
- guerre d'indépendance américaine et fut ambassadeur de France aux États-Unis de 1791 à 1793 Un chevalier, puis comte, Jean-Baptiste de Ternant combattit pendant la
- http://www.chaux-de-ternant.com/Pages/histoire.htm Voir
- http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k213822c/f21.image.r=Hiry.langFR Dénombrement de la justice de Ternant, haute, moyenne et basse, des limites de la dite justice, d'après la copie prise le 28 septembre 1740 sur la grosse du 29 décembre 1539, signé Bouiller, notaire royal, "Mémoires de la Société académique du Nivernais", 1906, consultable
- http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5619656z/f215.image.r=Ternant.langFR cité par Augustin Joseph Crosnier, "Les congrégations religieuses dans le diocèse de Nevers", volume 1, Congrégations d'hommes, 1877-1881, consultable
- http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k122978f/f200.image.r=Hiry.langFR M. Auger, "Traité sur les tailles et les tribunaux qui connoissent de cette imposition", 1788, consultable
- http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k112007m/f451.image.r=Hiry.langFR Gustave Chaix d'Est-Ange, "Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle", 1903-1929, consultable
- http://www.waymarking.com/waymarks/WM5W7K_Lavoir_dHiry_Nivre_France
- http://aix-echos.pagesperso-orange.fr/histoire/fours_a_chaux2.htm
- http://www.memorial-genweb.org/~memorial2/html/fr/resultcommune.php?insee=58289&dpt=58&idsource=6954&table=bp01
- http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/fiche.php:select_resultat=37238
- http://cassini.ehess.fr/ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui
- http://www.recensement.insee.fr/chiffresCles.action?zoneSearchField=TERNANT&codeZone=58289-COM&idTheme=3&rechercher=Rechercher
- http://www.recensement.insee.fr/chiffresCles.action?zoneSearchField=TERNANT&codeZone=58289-COM&idTheme=6&rechercher=Rechercher
- Base Mérimée du Ministère de la Culture
- d'après la notice explicative disponible dans l'église, rédigée par Fabrice Cario, conservateur des Antiquités et Oblets d'Art
- http://camosine.pagesperso-orange.fr/
Lien externe
Catégories :- Commune de la Nièvre
- Commune du Morvan
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