- Salon international de l'aéronautique et de l'espace
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Salon international de l'aéronautique et de l'espace de Paris-Le Bourget
Salon du Bourget Localisation aéroport du Bourget Pays France Type Salon aéronautique Date d'ouverture 15 juin 2009 (professionnels), 19 juin 2009 (grand public) Date de clôture 21 juin 2009 Prix d'entrée 12 € (grand public) Le Salon international de l'aéronautique et de l'espace de Paris-Le Bourget, plus connu sous le nom de Salon du Bourget, Paris Air Show, ou sous le sigle SIAE, est une des plus importantes manifestations internationales de présentation de matériels aéronautiques et spatiaux, se déroulant à l'aéroport du Bourget, au nord-est de Paris. Il est organisé tous les deux ans (années impaires), en alternance avec le Salon aéronautique de Farnborough en Angleterre, et le Salon aéronautique international de Berlin (ILA) en Allemagne. Il est le premier rendez-vous de l'industrie aéronautique mondiale, juste avant celui de Farnborough.
Le salon comprend des journées réservées aux professionnels et des journées ouvertes au grand public. Les constructeurs présentent souvent leurs aéronefs les plus récents dans des démonstrations en vol.
Sommaire
Édition 2009 (48e édition)
- Dates : du 15 au 21 juin 2009
Le salon a ouvert ses portes aux visiteurs professionnels lundi 15 juin 2009 à 9 h 30 (heure locale) et a connu une importante affluence dès ce premier jour. Malgré la pluie qui est abondamment tombée sur Le Bourget une bonne partie de la journée, les démonstrations en vol ont pu avoir lieu entre 13 h 26 et 16 h 11 (heure locale), permettant de voir évoluer une vingtaine d'appareils de tous types, allant du Rex Composite APM 40 Simba à l'Airbus A380 en passant par le Rafale et le Tigre que l'on peut voir maintenant depuis plusieurs années, à chaque salon. Et, parmi les nouveautés, le Sukhoï Superjet 100.
Pour fêter le centenaire du salon, quelques anciens avions sont présentés en vol comme le Blériot XI, le Boeing B-17 Flying Fortress ou le Douglas DC-3.
Le semedi 20 juin a vu le grand retour de la Patrouille de France, qui n'avait pas évolué au dessus du Bourget depuis la 30e édition du salon, en 1973 qui, suite à l'accident du Tupolev 144, avait mis fin aux grandes démonstrations aériennes. Pour mémoire, lors du 27e salon en 1967, l'un des pilotes de la Patrouille de France avait trouvé la mort lors du meeting aérien, ne faisant aucune autre victime lors de son crash.
Réservé aux Professionnels entre le 15 et le 18 juin, le salon était ouvert au grand public le vendredi 19, ainsi que les deux jours du week-end (20 et 21 juin). Les organisateurs promettaient, pour chacun de ces trois jours : « un spectacle unique quotidien avec plus de 3 heures de démonstrations en vol. »[1]
Le Salon 2009 en quelques chiffres [2] :
- Plus de 2 000 exposants annoncés, dont 60% d’étrangers,
- Plus de 70% de PME, plus nombreuses à chaque édition,
- Des rencontres professionnelles entre donneurs d’ordre et fournisseurs, inaugurées en 2007, avec plus de 6 000 rendez-vous d’Affaires et Technologiques.
Les organisateurs ont annoncé, dimanche 21 juin que : « Le 48e salon aéronautique du Bourget a reçu un peu moins de visiteurs professionnels en raison de la crise mais enregistre un beau succès public. Pour les journées professionnelles, qui se déroulaient de lundi à jeudi, nous avons eu 140 000 visiteurs professionnels pour 150 000 en 2007, ce qui prouve que les sociétés ont fait quelques économies. »[3]. Le nombre total de visiteurs, tous publics confondus, est du même ordre que celui du salon de 2007.
Édition 2007 (47e édition)
Comme pour les précédentes éditions, le salon n'était ouvert au grand public que le week-end à partir du vendredi, soit les 22, 23 et 24 juin.
Ce 47e salon a connu une affluence record avec, notamment, plus de 2 000 exposants venus de 42 pays, 153 920 visiteurs professionnels[4] et plus de 400 000 entrées tout public pendant les trois derniers jours. Les constructeurs y ont enregistré d'importantes commandes, notamment Airbus avec 425 ventes fermes[5].
Malgré le temps peu clément, les démonstrations en vol ont pu avoir lieu.
Le Rafale, après une démonstration au cours de laquelle il effectue de nombreux changements de trajectoire, termine son vol par un passage en vol lent à basse altitude au dessus de la piste, dans le sens du vent. Afin de réussir ce vol lent, il adopte une attitude de vol très cabrée. Cette phase de vol nécessite de développer, malgré sa lenteur, une très forte puissance.
A la fin de ce vol lent, il monte pratiquement à la verticale, effectue un tonneau dans cette position afin de se positionner dans le bons sens pour son atterrissage face au public, puis amorce une demi-boucle. Lorsqu'il est sur le dos, il réduit les moteurs, sort le train d'atterrissage, termine sa demi-boucle sur l'élan et se pose. Il est rare de voir ce genre d'appareil se poser en planant à la sortie de sa boucle.
Il est interdit, au Bourget, de couper volontairement un moteur en vol et, d'autre part, l'alimentation hydraulique des commandes de vol doit être maintenue ; cependant, pendant cette phase,les moteurs restent en fonctionnement sans pour autant donner à l'avion leur poussée habituelle.Le Tigre, qui est le seul hélicoptère capable de se maintenir sur le dos. Bien sûr, il ne peut pas voler longtemps dans cette attitude qui est possible grâce à une inversion de pas de son rotor.
Signalons aussi, pour son deuxième salon consécutif, le vol de l'Airbus A380 qui, contrairement à celui qui évoluait en 2005, était équipé de moteurs Engine Alliance GP7200.
Et également, pour sa première présentation en vol[6], le Bell/Agusta BA609, un convertible de type « Tiltrotor », avec son mode de décollage en hélicoptère et son passage en mode avion grâce à une rotation de 90° de ses deux moteurs.
Édition 2005 (46e édition)
Les principaux avions civils présentés durant cette édition ont été : l'Airbus A380 (première présentation sur un salon), le Boeing 777-240 LR, des avions ukrainiens et russes, des avions régionaux d’Embraer (dont le 190), de Bombardier (avec le Global 5000), etc. L’aviation d’affaires est aussi représentée par Dassault Aviation et son nouveau Falcon 7X, Gulfstream, Raytheon, Piaggio, Pilatus... 238 aéronefs ont ainsi été présentés, dont une soixantaine en vol, et 1 926 exposants venus de 41 pays étaient présents.
L’aviation militaire occupe une place significative et les plus grands constructeurs mondiaux d’hélicoptères sont présents : Eurocopter, Agusta Westland, Bell Helicopter qui revient cette année au Salon, HAL.
Sans oublier les aéronefs non habités avec les drones d’EADS, Dassault, IAI et Northrop Grumman, les conférences UAV-Drones, l’Espace, et cette année pour la première fois un focus sur l’aviation légère (sur l’aire Galilée en zone sud du Salon).
L'entrée du salon est réservée aux professionnels les quatre premiers jours, les trois jours suivants étant ouverts au public. Au total ce sont près de 480 000 visiteurs qui se sont rendus au salon pour cette édition, dont 120 000 personnes pour le samedi et le dimanche.
Édition 2003 (45e édition)
Pour ce 45e salon aéronautique du Bourget, il y avait :
- 1 728 exposants venus de 41 pays
- 202 aéronefs
- 94 159 visiteurs professionnels venus de 141 pays
- 143 199 visiteurs grand public
- 3 422 journalistes
- 154 délégations officielles en provenance de 66 pays
- 106 201 m² d’exposition couverte (halls, village, chalets, bâtiments extérieurs)
- 192 000 m² d’exposition statique
Historique
Les débuts
En décembre 1908, une section « Réservée aux Choses de l’Air » est créé dans le cadre du salon de l'Automobile au Grand Palais à Paris[7] L'année suivante, en septembre 1909, bien que toujours associé au Salon de l'Automobile, la manifestation devient la 1ere exposition internationale de la locomotion aérienne, première manifestation purement aéronautique, marquant les débuts de l'industrie aéronautique en France[7]. Ce salon est créé par André Granet (1881-1974) et Robert Esnault-Pelterie (1881-1957), pionnier de l'aéronautique et inventeur, qui ont créé l'année précédente l'Association des industriels de la locomotion aérienne[7]. André Granet, architecte des bâtiments de France, à mis en scène au Grand Palais la quarantaine d'aéronefs dont le Blériot XI qui a réalisé 2 mois plus tôt, la 25 juillet, la première traversée de la Manche, exposé au centre de la galerie, non loin de son concurrent malheureux, le Levavasseur Antoinette, exemplaire similaire de celui d'Hubert Latham qui a fini dans la Manche à cause d'une panne de moteur[7]. le salon est un succès avec plus de 380 exposants dont 115 dans la construction ou la fourniture d'équipement aéronautique et plus de 100000 visiteurs[7]. Le salon va jusqu'au début de la Première Guerre mondiale se tenir tous les ans, au Grand Palais. La Ve exposition internationale en décembre 1913 est dominée par les matériels militaires et s'ouvre plus largement aux constructeurs étrangers. Ainsi le Britannique Bristol présente t-il un système de largage de bombes et les Français Blériot et Farman des avions de reconnaissance. Ce salon marque aussi l'apparition des nouvelles techniques aéronautiques avec des fuselages conçus en soufflerie ou des moteurs plus puissants. Aucun salon ne se tient pendant la Première Guerre.
L'Entre-deux guerres
La VIe édition est organisée en décembre 1919. Elle marque les progrès accomplis par l'aéronautique pendant le conflit et le public vient voir les « avions de la Victoire ». Une quarantaine d'aéronefs sont exposés dont les Breguet XIV, les SPAD ou les Nieuport[7]. Mais apparaissent aussi les premiers avions commerciaux avec les Goliath de Farman ou le premier avion « économique » présenté par Henry Potez[7]. Mais la fin de la guerre marque le temps des restrictions et une décroissance de l'industrie aéronautique (ses effectifs vont passer de 100 000 personnes en 1919 à moins de 4000 en 1921[7] !). Le salon ne se tiendra plus qu'une année sur deux, décision est prise de l’organiser les années impaires conjointement par Louis Breguet, président de la Chambre syndicale des industries aéronautiques (CSIAé), et André Granet, le commissaire du salon.
Le salon de 1921 ne réunit que 33 appareils et peu de constructeurs étrangers. Cette situation un peu morose se prolongera tout le long des années 1920 et début des années 1930 avec une industrie certes innovante mais manquant de moyens. L'exposition de 1934, qui a pris le nom de salon de l'Aviation[7], marque un tournant avec 62 avions exposés et la participation de constructeurs allemands, italiens, britanniques, polonais et soviétiques. Sont ainsi exposés les avions de transport allemand Junker 52 et italien Macchi MC-72, détenteur du record du monde de vitesse ou le chasseur français Dewoitine D-500. Ce salon montre les progrès réalisés par les autres pays en aéronautique. Les salons, redevenus annuels, marqueront le relatif déclin de l'aéronautique française qui devient alors plus suiveuse que pionnière[7]. Le XVIe salon et dernier salon avant-guerre se tient au Grand Palais en novembre et décembre 1938. 74 appareils sont exposés dont de nombreux avions militaires. Il marque le retard de l'aéronautique française où le Morane Saulnier MS-406 français fait pâle figure face aux Spitfire britannique et Messerschmitt bf-109 allemands[7]. Les moteurs exposés témoignent aussi de ce retard, les modèles français accusant 100cv de moins que les plus puissants modèles étrangers[7]. La France expose bien des prototypes prometteurs comme le Dewoitine D-520 et le bombardier Lioré-et-Olivier LeO-45 destinés à la nouvelle armée de l'Air française qui vient d'être créé mais ceux-ci ne pourront être produits en masse avant l'entrée en guerre[7].
Après guerre
Le XVIIe salon s'ouvre en novembre 1946 à l'initiative de Raymond Saulnier et de l'Union syndicale des industries aéronautique, nouveau nom de la Chambre syndicale[7]. André Granet en a fait le décor[7]. L'aviation à réaction est apparu à la toute fin du conflit et les premiers chasseurs à réactions sont exposés dont le biréacteur britannique Gloster Meteor détenteur du nouveau record de vitesse avec 911 km/h ou l'américain Lockheed F-80 Shooting Star. Le premier avion a réaction français y est aussi exposé, le SNCASO SO.6000 Triton qui n'a fait son vol inaugural que 4 jours avant l'ouverture du Salon[7].
Le salon suivant se tient en 1949. Y sont exposés le Dassault Ouragan, premier chasseur français à réaction de série et le premier hélicoptère 100 % français, le SNCASE SE-3101. Pour la première fois, une partie du salon se tient hors du Grand Palais avec des démonstrations et une parade aérienne à Orly sur la journée du 14 mai. Afin de faciliter ses démonstrations, le salon se tient désormais au milieu du printemps (à l'exception du salon de 1928, les salons précédents s'étaient toujours tenus en fin d'année)
Le XIXe salon de 1951 est le dernier qui se tient au Grand Palais. Il est doublé de démonstrations aériennes et d'importantes parades à l'aéroport du Bourget. Celles ci durent 9 jours du 22 juin au 1er juillet). Les deux sites connaissent une affluence exceptionnelle. Sur le site du Bourget, plus de 200 appareils civils et militaires sont présentés au public.
Le Bourget
Le XXe salon de 1953 se tient intégralement au Bourget. André Granet y a construit un bâtiment en demi-rotonde (toujours utilisé aujourd'hui) pour accueillir les exposants. 160 avions et hélicoptères sont exposés. Kostia Rozanoff y franchit pour la première fois en France et en public le mur du son sur un Mystère IV suivi par Jacques Guignard sur Vautour[7].
Le salon de 1955 voit la présentation de la première Caravelle avec le prototype SE-210. Le salon accueille 283 000 spectateurs[7] et de l'hélicoptère Alouette II. Ce salon et les salons suivants seront marqués par le développement de l'avion commerciale, des hélicoptères et de la compétition aéronautique militaire avec entre autres l'apparition des bombardiers stratégiques[7].
Le salon de 1961 voit exposer, au Salon de l'Espace organisé conjointement, le premier engin spatial, avec la cabine Mercury américaine. Il est marqué aussi par le premier accident mortel avec le crash du B-58A Hustler de l'US Air Force dans lequel périssent ses 3 membres d'équipage.
L'édition de 1963 change de nom pour s'appeler Salon de l'aéronautique et de l'espace (son nom actuel)
Liste des salons
Date Intitulé Incident ou crash du 24 au 30 décembre 1908 11e Salon de l’Automobile
section « Réservée aux Choses de l’Air »du 25 septembre
au 17 octobre 190912e Salon de l’Automobile
1re Exposition Internationale de la Locomotion Aérienne
(se tient au Grand Palais à Paris à partir de cette date)du 15 octobre
au 2 novembre 19102e Exposition de la Locomotion Aérienne du 16 décembre 1911
au 2 janvier 19123e Exposition de la Locomotion Aérienne du 26 octobre
au 10 novembre 19124e Exposition de la Locomotion Aérienne du 5 au 25 décembre 1913 5e Exposition de la Locomotion Aérienne du 19 décembre 1919
au 4 janvier 19206e Exposition Internationale de la Locomotion Aérienne du 17 au 27 novembre 1921 7e Salon de l’Aéronautique du 15 décembre 1922
au 2 janvier 19238e Exposition Internationale de l’Aéronautique du 5 au 21 décembre 1924 9e Salon d’Aviation du 3 au 19 décembre 1926 10e Salon d’Aviation du 29 juin
au 15 juillet 192811e Salon d’Aviation du 12 novembre
au 14 décembre 193012e Salon d’Aviation du 18 novembre
au 14 décembre 193213e Salon d’Aviation du 16 novembre
au 4 décembre 193414e Salon d’Aviation et
4e Exposition de la Photogrammétriedu 13 au 29 novembre 1936 15e Salon d’Aviation du 25 novembre
au 11 décembre 193816e Salon d’Aviation du 15 novembre
au 1er décembre 194617e Salon Internationale de l’Aviation du 26 avril
au 15 mai 194918e Salon de l’Aéronautique du 15 juin
au 1er juillet 195119e Salon International de l’Aéronautique du 26 juin
au 5 juillet 195320e Salon International de l’Aéronautique du 10 au 19 juin 1955 21e Salon International de l’Aéronautique du 24 mai
au 2 juin 195722e Salon International de l’Aéronautique du 12 au 21 juin 1959 23e Salon International de l’Aéronautique du 26 mai
au 4 juin 196124e Salon International de l’Aéronautique
1er Salon de l’EspaceConvair B58-A Hustler (3 morts)[8] du 7 au 16 juin 1963 25e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Hawker Siddeley HarrierP.1127 (pas de victime)[8] du 11 au 21 juin 1965 26e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Convair B58-A Hustler (1 mort - 2 blessés)[8]
FIAT G91 (9 morts)[8]du 26 mai
au 4 juin 196727e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Fouga Magister de la PAF (1 mort)[8] du 29 mai
au 8 juin 196928e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du 27 mai
au 6 juin 197129e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du 24 mai
au 3 juin 197330e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Tupolev 144 (13 morts - 28 blessés)[8] du 30 mai
au 3 juin 197531e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du 2 au 12 juin 1977 32e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Fairchild A10-A (1 mort)[8] du 9 au 17 juin 1979 33e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du 5 au 17 juin 1981 34e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Transall MBB (pas de victime)[8]
Dewoitine 520 (pas de victime)[8]du 27 mai
au 5 juin 198335e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Soko Super Galeb (pas de victime)[8] du 31 mai
au 9 juin 198536e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Hydravion "Seastar" de DORNIER (pas de victime)[8] du 12 au 21 juin 1987 37e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du 9 au 18 juin 1989 38e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Mig-29 (pas de victime)[8] du 14 au 23 juin 1991 39e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du 11 au 20 juin 1993 40e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du 11 au 18 juin 1995 41e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace 1997 (date inconnue) 42e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du 13 au 20 juin 1999 43e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Soukhoï Su-30 (pas de victime)[8] du 17 au 24 juin 2001 44e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du 15 au 22 juin 2003 45e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du 13 au 19 juin 2005 46e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du 18 au 24 juin 2007 47e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du 15 au 21 juin 2009 48e Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Notes et références
- ↑ page du site destinée au Grand Public
- ↑ Extrait du Communiqué de Presse SIAE/GIFAS de Février 2009.
- ↑ Interview de Louis Le Portz, Commissaire du salon.
- ↑ Cela représente 12 % de plus qu'en 2005.
- ↑ Bilan du Salon 2007 sur le site officiel du salon
- ↑ HELICO PASSION - Bourget 2007 - Le BA609 en vol
- ↑ a , b , c , d , e , f , g , h , i , j , k , l , m , n , o , p , q , r et s "Cent ans de salons, cent ans d'histoire" de Bernard Bombeau, Air et Cosmos, n° 2176, 12 juin 2009.
- ↑ a , b , c , d , e , f , g , h , i , j , k , l et m Thierry Davroux, Crashes au Bourget, sur le site personnel Aerofan, 30 avril 2000.
DVD
- Histoire du Salon International de l'Aéronautique et de l'Espace (réalisé par Christian Lamet et Antoine Laviolle - Gaumont Pathé Archives - 2009)
Voir aussi
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