- Politique du Maroc
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Maroc Cet article fait partie de la série sur la
politique du Maroc,
sous-série sur la politique.Pouvoir exécutif- Roi
- Mohammed VI (depuis 1999)
- Premier ministre
- Abbas El Fassi (depuis 2007)
- Gouvernement actuel
Pouvoir législatifAutres
v · monarchie constitutionnelle dotée d'un parlement élu. Cependant l'essentiel du pouvoir est concentré entre les mains du roi qui nomme le Premier ministre en tenant compte des résultats aux élections.Le pouvoir exécutif est exercé par le gouvernement. Le pouvoir législatif est exercé par le gouvernement et les deux chambres du parlement, la chambre des représentants et la chambre des conseillers. La constitution marocaine prévoit une monarchie parlementaire et un ordre judiciaire indépendant.
Le 9 mars 2011, craignant que les protestations marocaines né à l'instar des mouvements populaires dans le monde arabe ne prennent de l'ampleur, le roi Mohammed VI annonce une réforme de la Constitution, qui sera soumise à référendum, visant à renforcer du pluralisme, des droits de l'homme et des libertés individuelles, ainsi que réduire ses pouvoirs au profit d'un Président de gouvernement élu par le Parlement et non plus nommé par lui[1].
Sommaire
Pouvoir exécutif
Fonction Nom Depuis Roi Mohammed VI 23 juillet 1999 Président de gouvernement Abbas El Fassi 19 septembre 2007 Le palais
Article connexe : Liste des monarques du Maroc.Le roi est le chef politique suprême. Il préside le Conseil des ministres ; nomme les membres du gouvernement tenant compte des recommandations du Premier ministre ; et peut renvoyer n'importe quel ministre, dissoudre le Parlement, suspendre la constitution, appeler pour de nouvelles élections, ou diriger par dahir (décret royal). Le roi est le chef des armées et chef religieux du pays ("le Défenseur de la foi").
Après la mort de son père Mohammed V, le roi Hassan II hérita du trône en 1961. Il régna pendant les 38 années suivantes jusqu'à sa mort en 1999. Son premier fils, Mohammed VI, héritier du trône prit sa suite.
Le gouvernement
En février 1998, le roi Hassan II nomme comme premier ministre Abderrahman El Yousoufi, le leader socialiste de l'opposition. Celui-ci forme le premier gouvernement tiré principalement des partis d'opposition depuis plusieurs décennies. Des partis socialistes, centriste de gauche, et nationalistes sont inclus et cette majorité reste jusqu'aux élections de septembre 2002. Le nouveau roi Mohammed VI, alors, nomme Driss Jettou, ancien ministre de l'Intérieur du précédent gouvernement mais membre d'aucun parti pour former une nouvelle coalition qui comprend six partis politiques : l’USFP et l'Istiqlal qui se taillent la part du lion, avec huit portefeuilles chacun, le RNI (6 portefeuilles), le MP (3), le PPS (2) et le MNP (2). Le (PJD), malgré leurs succès électoraux, restent dans l'opposition.
Le Premier ministre
Article connexe : Premiers ministres du Maroc.Le Premier ministre est le chef du gouvernement. Il est chargé de diriger le gouvernement et de coordonner l'activité des différents ministres. En cas de besoin, il lui faut arbitrer les divergences de vues qui peuvent apparaître entre les ministres à propos de l'interprétation des grandes lignes de la politique gouvernementale ou de ses modalités de mise en œuvre.
Le Premier ministre exerce le pouvoir réglementaire, pouvoir réglementaire d'exécution des lois et pouvoirs réglementaires autonomes ; les décrets du Premier ministre sont contresignés par les ministres chargés de leur exécution. Le premier ministre contresigne les dahirs pris par le roi en matière administrative.
Le Premier ministre peut également prendre des décrets-lois soit il y est habilité par la chambre des représentants pour un objectif déterminé et pendant une durée limitée. Le Premier ministre peut déléguer des pouvoirs.
Présidents du gouvernement
Article détaillé : Gouvernement Abbas El Fassi.Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !Ministres
La liste des ministres et des secrétaires d'États du Maroc[2]:
- Abdelwahed Radi : président de la Chambre des représentants (USFP).
- Mohamed Cheikh Biadillah : président de la Chambre des conseillers (PAM).
- Président du gouvernement : Abbas El Fassi (PI).
Gouvernement sortant
- Mohamed El Yazghi : ministre d’État (USFP).
- Mohand Laenser : ministre d’État depuis le 30 juillet 2009 (MP).
- Mohamed Naciri : ministre de la Justice. Lors du remaniement le 4 janvier 2010.
- Moulay Taib Cherkaoui : ministre de l’Intérieur (Technocrate) le 4 janvier 2010.
- Taieb Fassi-Fihri : ministre des Affaires étrangères et de la coopération (Technocrate).
- Mohammed Ouzzine : secrétaire d'État auprès du ministre des affaires étrangères et de la coopération depuis le 30 juillet 2009 (MP).
- Ahmed Toufiq : ministre des Habous et des affaires islamiques (Technocrate).
- Driss Dahak : Secrétaire général du gouvernement (Technocrate) remplace Abdessadek Rabiî décédé le 12 août 2008.
- Mohamed Saâd Alami : ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de la Modernisation des Secteurs publics (PI). Lors du remaniement le 4 janvier 2010.
- Driss Lachgar : ministre chargé des relations avec le Parlement (USFP) lors du remaniement le 4 janvier 2010.
- Salaheddine Mezouar : ministre de l’Economie et des finances (RNI).
- Karim Ghellab : ministre de l’Equipement et du transport (PI).
- Ahmed Toufiq Hjira : ministre de l’Habitat, de l’urbanisme et de l’aménagement de l’espace (PI).
- Yassir Zenagui : ministre du Tourisme et de l’artisanat (RNI). Lors du remaniement le 4 janvier 2010.
- Amina Benkhadra : ministre de l'Energie, des mines, de l’eau et de l’environnement (RNI).
- Yasmina Baddou : ministre de la Santé (PI).
- Nawal El Moutawakil : ministre de la Jeunesse et des sports (RNI) remplacé par Moncef Belkhayat lors du remaniement.
- Aziz Akhennouch : ministre de l’Agriculture et de la pêche maritime (RNI).
- Ahmed Akhchichine : ministre de l’Education nationale, de l’enseignement supérieur, de la formation des cadres et de la recherche scientifique (Technocrate).
- Khalid Naciri : ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement (PPS).
- Jamal Rhmani : ministre de l’Emploi et de la Formation Professionnelle (USFP).
- Ahmed Réda Chami : ministre de l’Industrie, du Commerce et des nouvelles technologies (USFP).
- Abdellatif Maâzouz : ministre du Commerce extérieur (PI).
- Nouzha Skalli : ministre du Développement social, de la famille et de la solidarité (PPS).
- Touria Jebrane Kryatif : ministre de la Culture (Technocrate). Remplacé par Bensalem Himmich lors du remaniement.
- Abderrahmane Sbaï : ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l’Administration de la Défense nationale (Technocrate). Décédé le 22 octobre 2010 à Rabat. Abdellatif Loudiyi lui succède le 2 décembre 2010.
- Nizar Baraka : ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé des affaires économiques et générales (PI).
- Mohammed Ameur : ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la Communauté Marocaine résidant à l’étranger (USFP).
- Mohamed Bernoussi : Secrétaire général au ministère chargé de la communauté marocaine résident à l’étranger (MRE) (Technocrate). Nommé le 2 mars 2009 à Rabat.
- Abdelkébir Zahoud : Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Energie, des mines, de l’eau et de l’Environnement, chargé de l’eau et de l’environnement (PI).
- Anis Birou : Secrétaire d’État auprès du ministre du tourisme et de l’Artisanat, chargé de l’artisanat (RNI).
- Mohamed Saâd Hassar : Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur (Technocrate).
- Latifa El Abida : Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Education nationale, de l’enseignement supérieur, de la formation des cadres et de la recherche scientifique, chargé de l’enseignement scolaire (Technocrate).
- Ahmed Lakhrif : Secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères et de la coopération (PI). Démis de ses fonctions le 23 décembre 2008 par le Roi Mohammed VI.
- Latifa Akherbach : Secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères et de la coopération (Technocrate).
- Abdeslam Al Mesbahi : Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Habitat, de l’urbanisme et de l’aménagement de l’espace, chargé du développement territorial (PI).
Présidence des régions
- Oued Ed-Dahab-Lagouira: Mami Boucif de l'Union socialiste des forces populaires (USFP).
- Laâyoune-Boujdour-Sakia el Hamra: Sidi Hamdi Ould Rachid du Parti de l'Istiqlal (PI).
- Guelmim-Es Smara: Omar Bouaïda Rassemblement national des indépendants (RNI).
- Souss-Massa-Drâa: Brahim Hafidi Rassemblement national des indépendants (RNI).
- Gharb-Chrarda-Beni Hssen: Mekki Zizi Parti Authenticité et Modernité (PAM).
- Chaouia-Ouardigha: Maâti Benkaddour Rassemblement national des indépendants (RNI).
- Marrakech-Tensift-Al Haouz: Hamid Najisse Parti Authenticité et Modernité (PAM).
- L'Oriental: Ali Elhadi Belhadj Parti Authenticité et Modernité (PAM).
- Grand Casablanca: Chafik Benkirane Rassemblement national des indépendants (RNI).
- Rabat-Salé-Zemmour-Zaër: Bouaâmar Taghouane Parti de l'Istiqlal (PI).
- Doukhala-Abda: Bouchaib Ammar Parti Authenticité et Modernité (PAM).
- Tadla-Azilal: Salah Hamzaoui Parti Authenticité et Modernité (PAM).
- Meknès-Tafilalet: Saïd Chbaâtou Union socialiste des forces populaires (USFP).
- Fès-Boulemane: M'hamed Douiri Parti de l'Istiqlal (PI).
- Taza-Al Hoceima-Taounate: Mohamed Boudra Parti Authenticité et Modernité (PAM).
- Tanger-Tétouan: Rachid Talbi El Alami Rassemblement national des indépendants (RNI).
Pouvoir législatif
Depuis la réforme constitutionnelle de 1996, le pouvoir législatif, détenu par le Parlement est bicaméral et est donc composé de deux chambres :
- La Chambre des représentants (Majlis al-Nuwab)
Elle comporte 325 membres élus tous les 5 ans au suffrage universel direct à la proportionnelle sur des listes locales (295 députés) et nationales (30 députés que les partis politiques essaient de réserver aux femmes). L'âge requis pour voter est de 18 ans tandis que celui pour être élu est de 23 ans.
Les dernières élections ont eu lieu le 7 septembre 2007.
- La Chambre des conseillers (Majlis al-Mustacharin)
La Chambre des conseillers comporte 270 membres dont le mandat est de 6 ans maximum. La moitié est renouvelée tous les trois ans. Les trois cinquièmes (162 sièges) des conseillers sont élus par des élus régionaux, 91 sont élus par des chambres professionnelles et 27 par des salariés. Son actuel président est Mohamed Cheikh Biadillah, membre du PAM.
L'âge requis pour être élu est de 30 ans. Les dernières élections ont eu lieu le 13 janvier 2009.
Les pouvoirs du Parlement, bien que limités, ont été augmentés après les révisions constitutionnelles de 1992 et 1996. Il peut maintenant voter le budget, faire des propositions de lois, poser des questions aux ministres, et établir des commissions d'enquêtes pour étudier les actions du gouvernement. La Chambre des représentants du Parlement peut dissoudre le gouvernement par une motion de censure.
Courants politiques
Il existe 2 grandes entités politiques au Maroc depuis son indépendance en 1956. Il s'agit du parti de l'Istiqlal (en français l'indépendance), parti fondé durant la lutte pour l'indépendance du Maroc vis-à-vis de la France, et de l'Union socialiste des forces populaires (USFP), le parti d'opposition par excellence durant le règne de Hassan II.
Le parti de la justice et du développement (PJD), mouvement ayant une idéologie politique à tendance islamiste, est en train de devenir une force majeure de l'échiquier politique marocain, grâce à ses scores de plus en plus élevés lors des différents scrutins.
Dernières élections
Article détaillé : Élections parlementaires de 2007 au Maroc.Résultats des élections législatives marocaines du 7 septembre 2007 Parti Votes en % Sièges Parti Istiqlal/Parti d'Indépendance (PI) 15,59 46 Parti de la justice et du développement (PJD) 13,56 40 Mouvement populaire (MP) 12,20 36 Rassemblement national des indépendants (RNI) 11,53 34 Union socialiste des forces populaires (USFP) 11,19 33 Union constitutionnelle (UC) 9,15 27 Parti du progrès et du socialisme (PPS) 4,75 14 Front des forces démocratiques (FFD) 3,05 9 Mouvement démocratique et social (MDS) 3,05 9 Union PND-Al Ahd (PND-Al Ahd) 4,75 14 Union PADS/CNI/PSU (PADS/CNI/PSU) 2,03 6 sans appartenance politique (SAP) 1,69 5 Parti travailliste (PT) 1,69 5 Parti de l'environnement et du développement (PED) 1,69 5 Parti du renouveau et de l'Equité (PRE) 1,36 4 Parti socialiste (PS) 0,68 2 Union marocaine pour la démocratie (UMD) 0,68 2 Forces citoyennes (FC) 0,34 1 Alliance des libertés (ADL) 0,34 1 Initiative citoyenne pour le développement (ICD) 0,34 1 Parti de la renaissance et de la vertu (PRV) 0,34 1 Total (taux de participation 37 %, bulletins nuls 19 %) 100 % 295 Sources : Maghreb Arabe Presse Circonscription électorale nationale Parti Sièges Parti de la justice et du développement (PJD) 6 Parti Istiqlal/Parti d'Indépendance (PI) 6 Rassemblement national des indépendants (RNI) 5 Mouvement populaire (MP) 5 Union socialiste des forces populaires (USFP) 5 Parti du progrès et du socialisme (PPS) 3 Total (taux de participation 37 %, bulletins nuls 19 %) 30 Membres de la chambre des représentants Parti Sièges Parti Istiqlal/Parti d'Indépendance (PI) 52 Parti de la justice et du développement (PJD) 46 Mouvement populaire (MP) 41 Rassemblement national des indépendants (RNI) 39 Union socialiste des forces populaires (USFP) 38 Union constitutionnelle (UC) 27 Parti du progrès et du socialisme (PPS) 17 Union PND-Al Ahd (PND-Al Ahd) 14 Front des forces démocratiques (FFD) 9 Mouvement démocratique et social (MDS) 9 Union PADS/CNI/PSU (PADS/CNI/PSU) 6 Parti travailliste (PT) 5 Parti de l'environnement et du développement (PED) 5 Parti du renouveau et de l'Equité (PRE) 4 Parti socialiste (PS) 2 Union marocaine pour la démocratie (UMD 2 Forces citoyennes (FC) 1 Alliance des libertés (ADL) 1 Initiative citoyenne pour le développement (ICD) 1 Parti de la renaissance et de la vertu (PRV) 1 sans appartenance politique (SAP) 5 Total (taux de participation 37 %, bulletins nuls 19 %) 325 - La coalition gouvernementale est formée par le Parti de l'Istiqlal (PI), le Rassemblement national des indépendants (RNI), l'Union socialiste des forces populaires (USFP), le Parti du progrès et du socialisme (PPS).
- L'effectif du gouvernement est en baisse puisqu'en dénombre 34 portefeuilles ministériels dont un ministre d'État (titre purement honorifique), 22 ministres, 4 ministres délégués dont trois auprès du Premier ministre et 7 secrétaires d'État.
- Ce gouvernement a vu le nombre de femme augmenté puisqu'en dénombre 7 femmes et 27 hommes.
- Le Parti de l'Istiqlal compte le plus de ministres 9 portefeuilles + le premier ministre, du Rassemblement national des indépendants 7 portefeuilles, de Union socialiste des forces populaires 5 portefeuilles, du Parti du progrès et du socialisme 2 portefeuilles et enfin les SAP (Sans appartenances politiques) sont au nombre de 10.
Le benjamin est Karim Ghellab, (41 ans, 2007). Le doyen est Mohamed El Yazghi, (72 ans, 2007)
- Groupes Parlementaires de la chambre des représentants 2002
Groupes Membres Voix en % Groupe de la mouvance (U.M.P.) 72 22,2 Groupe istiqlalien de l'unité et de l'égalitarisme 60 18,5 Groupe socialiste 48 14,8 Groupe de la justice et du développement 42 12,9 Groupe du rassemblement national des indépendants 39 12 Groupe de l'union constitutionnelle démocrate (U.C.D.) 28 8,6 Groupe de l'alliance socialiste 21 6,5 Députés du front des forces démocrates 8 2,5 Députés de la gauche socialiste unifiée 3 0,9 Députés sans appartenance politique 2 0,6 Députés de l'alliance des libertés 1 0,3 Députés du renouveau et développement (P.R.D.) 1 0,3 Total 325 100 % Pouvoir judiciaire
Il est détenu par la cour suprême, dont les juges sont nommés par le roi. Le gouvernement de Youssoufi a tenté de mettre en application un programme de réformes pour développer une plus grande indépendance et impartialité de celle-ci.
Politique actuelle
Article détaillé : Instance équité et réconciliation.Le cabinet royal
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Le rôle des associations
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Depuis que Hassan II a tourné le dos, entre autres, au "Groupe de Casablanca, la "diplomatie" makhzenienne a adopté le sacro-saint dogme de non ingérance dans les affaires intérieures des autres états, en espérant la réciprocité naturellement ... »
Ambassades et consulats du Maroc à l'étranger
La carte ci dessus montre les pays où se trouvent les ambassades et/ou consulats du Maroc. À noter que les ambassades du Maroc au Venezuela et en Iran sont fermées pour des malentendus entre ces deux pays et le royaume chérifien.
Organisations internationales dont le Maroc est membre
Bibliographie
- Abdellatif Agnouche, Histoire politique du Maroc, Pouvoir - Légitimités - Institutions, Afrique-orient, Casablanca, 1987.
- Omar Bendourou, Le Pouvoir Exécutif au Maroc depuis l'Indépendance, Publisud, Cahors, 1986.
- Abdellah Bouderhain, Éléments de Droit public marocain, Éditions L'Harmattan, Paris, 1986.
- Bernard Cubertafond, Le Système politique marocain, Éditions L'Harmattan, Paris, 1997.
- Bernard Cubertafond, La vie politique au Maroc, Éditions L'Harmattan, Paris, 2001.
- Rkia El Mossadeq, Consensus ou Jeu de consensus ? Pour le réajustement de la pratique politique au Maroc, Najah El Jadida, Casablanca, 1995.
- Rkia El Mossadeq, Les labyrinthes de la transition démocratique, Najah El Jadida, Casablanca, 2001.
- Mohamed Aziz Lahbabi, Le gouvernement marocain à l'aube de XXe siècle, Imprimeries Maghrébines, préface de Mehdi Ben Barka, Casablanca, 1968.
- Abdellah Laroui, L'idéologie arabe contemporaine, Maspero, Paris, 1967.
- Roger Le Tourneau, Histoire du Maroc moderne, Publications de l'Université Aix-Marseille I, Aix-en-Provence, 1992.
- Claude Palozzoli, Le Maroc politique, Éditions Sinbad, Paris, 1977.
- Jacques Robert, La Monarchie marocaine, Librairie générale de droit et de jurisprudence, Paris, 1963.
- Mohamed Tozy, Monarchie et Islam politique au Maroc, Presses de Sciences Po, Paris, 1999.
Notes et références
- ↑ Article du « Monde » du 10 mars 2011
- ↑ Composition du gouvernement sur le site officiel du premier ministre
- ↑ Liste des pays membres de l'OACI
- ↑ Liste des 30 membres de l’AIDE
- ↑ Liste des pays membres régionaux de la BAD
- ↑ Le Maroc sur le site de la CEN-SAD
- ↑ Le Maroc eut la présidence du groupe en 2003 ; lire l’allocution de Taieb Fassi Fihri
- ↑ 185 des 196 pays dont l’indépendance est généralement reconnue sont membres d’Interpol ; pour la liste des 9 non membres, voir ici
- ↑ (en) Le Maroc sur le site officiel de la Ligue Arabe
- ↑ Liste des États membres de l’OCI
- ↑ Liste des États membres de l’ONU
- ↑ Liste des États membres de la FAO
- ↑ Fiche du Maroc sur le site officiel de la Francophonie
- ↑ Liste des pays membres de l’ISO
- ↑ VALLUY, Jérôme, « Algérie, Libye, Maroc: des camps européens au Maghreb », in Olivier Le Cour Grandmaison, Gilles Lhuillier et Jérôme Valluy, Le retour des camps? Sangatte, Lampedusa, Guantanamo..., éd. Autrement, 2007, p.139-152
- ↑ Liste des États membres de l’OIM
- ↑ Liste des États membres de l’OMPI
- ↑ Liste des États membres de l’OMS
- ↑ Liste des États membres de l’OMC
- ↑ Liste des États membres de l’OMT
- ↑ (en) Liste des membres de l’OMM
- ↑ Liste des États membres de l’UMA
Voir aussi
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Liens internes
Liens externes
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