- Politique du maroc
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Politique du Maroc
Maroc
Cet article fait partie de la série sur la
politique du Maroc,
sous-série sur la politique.Monarchie : - Roi :
- Mohammed VI (depuis 1999)
Pouvoir exécutif : - Abbas El Fassi (depuis 2007)
- Gouvernement
Pouvoir législatif : Élections : - Élections législatives ; 1963, 1970,
1977, 1984, 1993, 1997 2002, 2007
- Élections communales ; 2003 ; 2009
Partis politiques Autres : Portail politique - Portail national La politique du Maroc s'inscrit dans une monarchie constitutionnelle dotée d'un parlement élu. Cependant l'essentiel du pouvoir est concentré entre les mains du roi qui, le plus souvent, nomme le Premier ministre en tenant compte de la majorité du parlement.
Le pouvoir exécutif est exercé par le gouvernement. Le pouvoir législatif est exercé par le gouvernement et les deux chambres du parlement, la chambre des représentants et la chambre des conseillers. La constitution marocaine prévoit une monarchie parlementaire et un ordre judiciaire indépendant.
Sommaire
Pouvoir exécutif
Fonction Nom Depuis Roi Mohammed VI 23 juillet 1999 Premier ministre Abbas El Fassi 19 septembre 2007 Le pouvoir exécutif est principalement détenu par le palais (c’est-à-dire le roi et ses conseillers [réf. nécessaire]) et par le gouvernement.
Le palais
Article connexe : Liste des monarques du Maroc.Le roi est le chef politique suprême. Il préside le Conseil des ministres ; nomme le premier ministre après des élections législatives ; nomme tous les membres du gouvernement tenant compte des recommandations du Premier ministre ; et peut, à sa discrétion, renvoyer n'importe quel ministre, dissoudre le Parlement, suspendre la constitution, appeler pour de nouvelles élections, ou diriger par dahir (décret royal). Le roi est le chef des armées et chef religieux du pays ("le Défenseur de la foi").
Après la mort de son père Mohammed V, le roi Hassan II hérita du trône en 1961. Il régna pendant les 38 années suivantes jusqu'à sa mort en 1999. Son premier fils, Mohammed VI, héritier du trône prit sa suite.
Le gouvernement
En février 1998, le roi Hassan II nomme comme premier ministre Abderrahman El Yousoufi, le leader socialiste de l'opposition. Celui-ci forme le premier gouvernement tiré principalement des partis d'opposition depuis plusieurs décennies. Des partis socialistes, centriste de gauche, et nationalistes sont inclus et cette majorité reste jusqu'aux élections de septembre 2002. Le nouveau roi Mohammed VI, alors, nomme Driss Jettou, ancien ministre de l'Intérieur du précédent gouvernement mais membre d'aucun parti pour former une nouvelle coalition qui comprend six partis politiques : l’USFP et l'Istiqlal qui se taillent la part du lion, avec huit portefeuilles chacun, le RNI (6 portefeuilles), le MP (3), le PPS (2) et le MNP (2). Les islamistes (PJD), malgré leurs succès électoraux, restent dans l'opposition.
Le Premier ministre
Article connexe : Premiers ministres du Maroc.Le Premier ministre est le chef du gouvernement. Il est chargé de diriger le gouvernement et de coordonner l'activité des différents ministres. En cas de besoin, il lui faut arbitrer les divergences de vues qui peuvent apparaître entre les ministres à propos de l'interprétation des grandes lignes de la politique gouvernementale ou de ses modalités de mise en œuvre.
Le Premier ministre exerce le pouvoir réglementaire, pouvoir réglementaire d'exécution des lois et pouvoirs réglementaires autonomes ; les décrets du Premier ministre sont contresignés par les ministres chargés de leur exécution. Le premier ministre contresigne les dahirs pris par le roi en matière administrative.
Le Premier ministre peut également prendre des décrets-lois soit il y est habilité par la chambre des représentants pour un objectif déterminé et pendant une durée limitée. Le Premier ministre peut déléguer des pouvoirs.
Ministres
La liste des ministres et des secrétaires d'États du Maroc[1]:
- Mustapha Mansouri : président de la Chambre des représentants (RNI).
- Premier ministre : Abbas El Fassi (nouveau premier ministre nommé suite aux éléctions du septembre 2007) (PI).
Gouvernement sortant
- Mohamed El Yazghi : ministre d’État (USFP).
- Mohand Laenser : ministre d’État (MP).
- Abdelwahed Radi : ministre de la Justice (USFP).
- Chakib Benmoussa : ministre de l’Intérieur (Technocrate).
- Taieb Fassi Fihri : ministre des Affaires étrangères et de la coopération (Technocrate).
- Mohammed Ouzzine Aherdane : secrétaire d'État auprès du ministre des affaires étrangères et de la coopération (MP).
- Ahmed Toufiq : ministre des Habous et des affaires islamiques (Technocrate).
- Driss Dahak : Secrétaire général du gouvernement (Technocrate) remplace Abdessadek Rabiî décédé le 12 août 2008.
- Mohamed Saâd Alami : ministre chargé des relations avec le Parlement (PI).
- Salaheddine Mezouar : ministre de l’Économie et des finances (RNI).
- Karim Ghellab : ministre de l’Équipement et du transport (PI).
- Ahmed Toufiq Hjira : ministre de l’Habitat, de l’urbanisme et de l’aménagement de l’espace (PI).
- Mohamed Boussaid : ministre du Tourisme et de l’artisanat (RNI).
- Amina Benkhadra : ministre de l’Energie, des mines, de l’eau et de l’environnement (RNI).
- Yasmina Baddou : ministre de la Santé (PI).
- Moncef Belkhayat : ministre de la Jeunesse et des sports.
- Aziz Akhennouch : ministre de l’Agriculture et de la pêche maritime (RNI).
- Ahmed Akhchichine : ministre de l’Education nationale, de l’enseignement supérieur, de la formation des cadres et de la recherche scientifique (Technocrate).
- Khalid Naciri : ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement (PPS).
- Jamal Rhmani : ministre de l’Emploi et de la Formation Professionnelle (USFP).
- Ahmed Réda Chami : ministre de l’Industrie, du Commerce et des nouvelles technologies (USFP).
- Abdellatif Maâzouz : ministre du Commerce extérieur (PI).
- Nouzha Skalli : ministre du Développement social, de la famille et de la solidarité (PPS).
- Bensalem Himmich : ministre de la Culture (USFP).
- Abderrahmane Sbaï : ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l’Administration de la Défense nationale (Technocrate).
- Nizar Baraka : ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé des affaires économiques et générales (PI).
- Mohamed Abbou : ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la modernisation des secteurs publics (RNI).
- Mohammed Ameur : ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la Communauté Marocaine résidant à l’étranger (USFP).
- Mohamed Bernoussi : Secrétaire général au ministère chargé de la communauté marocaine résident à l’étranger (MRE) (Technocrate). Nommé le 2 mars 2009 à Rabat.
- Abdelkébir Zahoud : Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Energie, des mines, de l’eau et de l’Environnement, chargé de l’eau et de l’environnement (PI).
- Anis Birou : Secrétaire d’État auprès du ministre du tourisme et de l’Artisanat, chargé de l’artisanat (RNI).
- Mohamed Saâd Hassar : Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur (Technocrate).
- Latifa Labida : Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Education nationale, de l’enseignement supérieur, de la formation des cadres et de la recherche scientifique, chargé de l’enseignement scolaire (Technocrate).
- Ahmed Lakhrif : Secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères et de la coopération (PI). Démis de ses fonctions le 23 décembre 2008 par le Roi Mohammed VI.
- Latifa Akherbach : Secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères et de la coopération (Technocrate).
- Abdeslam Al Mesbahi : Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Habitat, de l’urbanisme et de l’aménagement de l’espace, chargé du développement territorial (PI).
Pouvoir législatif
Depuis la réforme constitutionnelle de 1996, le pouvoir législatif, détenu par le Parlement est bicaméral et est donc composé de deux chambres :
- La Chambre des représentants (Majlis al-Nuwab)
Elle comporte 325 membres élus tous les 5 ans au suffrage universel direct à la proportionnelle sur des listes locales (295 députés) et nationales (30 députés que les partis politiques essaient de réserver aux femmes). L'âge requis pour voter est de 18 ans tandis que celui pour être élu est de 23 ans.
Les dernières élections ont eu lieu le 7 septembre 2007.
- La Chambre des conseillers (Majlis al-Mustacharin)
La Chambre des conseillers comporte 270 membres dont le mandat est de 6 ans maximum. La moitié est renouvelée tous les trois ans. Les trois cinquièmes (162 sièges) des conseillers sont élus par des élus régionaux, 91 sont élus par des chambres professionnelles et 27 par des salariés. Son actuel président est Maâti Benkaddour, membre du RNI.
L'âge requis pour être élu est de 30 ans. Les dernières élections ont eu lieu le 13 janvier 2009.
Les pouvoirs du Parlement, bien que limités, ont été augmentés après les révisions constitutionnelles de 1992 et 1996. Il peut maintenant voter le budget, faire des propositions de lois, poser des questions aux ministres, et établir des commissions d'enquêtes pour étudier les actions du gouvernement. La Chambre des représentants du Parlement peut dissoudre le gouvernement par une motion de censure.
Courants politiques
Il existe 2 grandes entités politiques au Maroc depuis son indépendance en 1956. Il s'agit du parti de l'Istiqlal (en français l'indépendance), parti fondé durant la lutte pour l'indépendance du Maroc vis-à-vis de la France, et de l'Union socialiste des forces populaires (USFP), le parti d'opposition par excellence durant le règne de Hassan II.
Le parti de la justice et du développement (PJD), mouvement ayant une idéologie politique à tendance islamiste, est en train de devenir une force majeure de l'échiquier politique marocain, grâce à ses scores de plus en plus élevés lors des différents scrutins.
Dernières élections
Élections parlementaires de 2007 au Maroc
Résultats des élections législatives marocaines du 07 septembre 2007 Parti Votes en % Sièges Parti Istiqlal/Parti d'Indépendance (PI) 15,59 46 Parti de la justice et du développement (PJD) 13,56 40 Mouvement populaire (MP) 12,20 36 Rassemblement national des indépendants (RNI) 11,53 34 Union socialiste des forces populaires (USFP) 11,19 33 Union constitutionnelle (UC) 9,15 27 Parti du progrès et du socialisme (PPS) 4,75 14 Front des forces démocratiques (FFD) 3,05 9 Mouvement démocratique et social (MDS) 3,05 9 Union PND-Al Ahd (PND-Al Ahd) 4,75 14 Union PADS/CNI/PSU (PADS/CNI/PSU) 2,03 6 sans appartenance politique (SAP) 1,69 5 Parti travailliste (PT) 1,69 5 Parti de l'environnement et du développement (PED) 1,69 5 Parti du renouveau et de l'Equité (PRE) 1,36 4 Parti socialiste (PS) 0,68 2 Union marocaine pour la démocratie (UMD) 0,68 2 Forces citoyennes (FC) 0,34 1 Alliance des libertés (ADL) 0,34 1 Initiative citoyenne pour le développement (ICD) 0,34 1 Parti de la renaissance et de la vertu (PRV) 0,34 1 Total (taux de participation 37 %, bulletins nuls 19 %) 100 % 295 Sources : Maghreb Arabe Presse Circonscription électorale nationale Parti Sièges Parti de la justice et du développement (PJD) 6 Parti Istiqlal/Parti d'Indépendance (PI) 6 Rassemblement national des indépendants (RNI) 5 Mouvement populaire (MP) 5 Union socialiste des forces populaires (USFP) 5 Parti du progrès et du socialisme (PPS) 3 Total (taux de participation 37 %, bulletins nuls 19 %) 30 Membres de la chambre des représentants Parti Sièges Parti Istiqlal/Parti d'Indépendance (PI) 52 Parti de la justice et du développement (PJD) 46 Mouvement populaire (MP) 41 Rassemblement national des indépendants (RNI) 39 Union socialiste des forces populaires (USFP) 38 Union constitutionnelle (UC) 27 Parti du progrès et du socialisme (PPS) 17 Union PND-Al Ahd (PND-Al Ahd) 14 Front des forces démocratiques (FFD) 9 Mouvement démocratique et social (MDS) 9 Union PADS/CNI/PSU (PADS/CNI/PSU) 6 Parti travailliste (PT) 5 Parti de l'environnement et du développement (PED) 5 Parti du renouveau et de l'Equité (PRE) 4 Parti socialiste (PS) 2 Union marocaine pour la démocratie (UMD 2 Forces citoyennes (FC) 1 Alliance des libertés (ADL) 1 Initiative citoyenne pour le développement (ICD) 1 Parti de la renaissance et de la vertu (PRV) 1 sans appartenance politique (SAP) 5 Total (taux de participation 37 %, bulletins nuls 19 %) 325 - La coalition gouvernementale est formée par le Parti de l'Istiqlal (PI), le Rassemblement national des indépendants (RNI), l'Union socialiste des forces populaires (USFP), le Parti du progrès et du socialisme (PPS).
- L'effectif du gouvernement est en baisse puisqu'en dénombre 34 portefeuilles ministériels dont un ministre d'État (titre purement honorifique), 22 ministres, 4 ministres délégués dont trois auprès du Premier ministre et 7 secrétaires d'État.
- Ce gouvernement a vu le nombre de femme augmenté puisqu'en dénombre 7 femmes et 27 hommes.
- Le Parti de l'Istiqlal compte le plus de ministres 9 portefeuilles + le premier ministre, du Rassemblement national des indépendants 7 portefeuilles, de Union socialiste des forces populaires 5 portefeuilles, du Parti du progrès et du socialisme 2 portefeuilles et enfin les SAP (Sans appartenances politiques) sont au nombre de 10.
Le benjamin est Karim Ghellab, (41 ans, 2007). Le doyen est Mohamed El Yazghi, (72 ans, 2007)
- Groupes Parlementaires de la chambre des représentants 2002
Groupes Membres Voix en % Groupe de la mouvance (U.M.P.) 72 22,2 Groupe istiqlalien de l'unité et de l'égalitarisme 60 18,5 Groupe socialiste 48 14,8 Groupe de la justice et du développement 42 12,9 Groupe du rassemblement national des indépendants 39 12 Groupe de l'union constitutionnelle démocrate (U.C.D.) 28 8,6 Groupe de l'alliance socialiste 21 6,5 Députés du front des forces démocrates 8 2,5 Députés de la gauche socialiste unifiée 3 0,9 Députés sans appartenance politique 2 0,6 Députés de l'alliance des libertés 1 0,3 Députés du renouveau et développement (P.R.D.) 1 0,3 Total 325 100 % Pouvoir judiciaire
Il est détenu par la cour suprême, dont les juges sont nommés par le roi. Le gouvernement de Youssoufi a tenté de mettre en application un programme de réformes pour développer une plus grande indépendance et impartialité de celle-ci.
Politique actuelle
Article détaillé : Instance équité et réconciliation.Le cabinet royal
Le cabinet est composé du roi Mohammed VI et de ses conseillers.
Le rôle des associations
Politique extérieure
Ambassades et consulats du Maroc à l'étranger
La carte ci dessus montre les pays où se trouvent les ambassades et/ou consulats du Maroc. À noter que les ambassades du Maroc au Vénézuela et en Iran sont fermées pour des malentendus entre ces deux pays et le royaume chérifien.
Organisations internationales dont le Maroc est membre
Bibliographie
- Abdellatif Agnouche, Histoire politique du Maroc, Pouvoir - Légitimités - Institutions, Afrique-orient, Casablanca, 1987.
- Omar Bendourou, Le Pouvoir Exécutif au Maroc depuis l'Indépendance, Publisud, Cahors, 1986.
- Abdellah Bouderhain, Éléments de Droit public marocain, Éditions L'Harmattan, Paris, 1986.
- Bernard Cubertafond, Le Système politique marocain, Éditions L'Harmattan, Paris, 1997.
- Bernard Cubertafond, La vie politique au Maroc, Éditions L'Harmattan, Paris, 2001.
- Rkia El Mossadeq, Consensus ou Jeu de consensus ? Pour le réajustement de la pratique politique au Maroc, Najah El Jadida, Casablanca, 1995.
- Rkia El Mossadeq, Les labyrinthes de la transition démocratique, Najah El Jadida, Casablanca, 2001.
- Mohamed Aziz Lahbabi, Le gouvernement marocain à l'aube de XXe siècle, Imprimeries Maghrébines, préface de Mehdi Ben Barka, Casablanca, 1968.
- Abdellah Laroui, L'idéologie arabe contemporaine, Maspero, Paris, 1967.
- Roger Le Tourneau, Histoire du Maroc moderne, Publications de l'Université Aix-Marseille I, Aix-en-Provence, 1992.
- Claude Palozzoli, Le Maroc politique, Éditions Sinbad, Paris, 1977.
- Jacques Robert, La Monarchie marocaine, Librairie générale de droit et de jurisprudence, Paris, 1963.
- Mohamed Tozy, Monarchie et Islam politique au Maroc, Presses de Sciences Po, Paris, 1999.
Notes et références de l'article
- ↑ Composition du gouvernement sur le site officiel du premier ministre
- ↑ Liste des 30 membres de l’AIDE
- ↑ Liste des pays membres régionaux de la BAD
- ↑ Le Maroc sur le site de la CEN-SAD
- ↑ Le Maroc eut la présidence du groupe en 2003 ; lire l’allocution de Taieb Fassi Fihri
- ↑ 185 des 196 pays dont l’indépendance est généralement reconnue sont membres d’Interpol ; pour la liste des 9 non membres, voir ici
- ↑ (en) Le Maroc sur le site officiel de la Ligue Arabe
- ↑ Liste des États membres de l’OCI
- ↑ Liste des États membres de l’ONU
- ↑ Liste des États membres de la FAO
- ↑ Fiche du Maroc sur le site officiel de la Francophonie
- ↑ Liste des pays membres de l’ISO
- ↑ VALLUY, Jérôme, « Algérie, Libye, Maroc: des camps européens au Maghreb », in Olivier Le Cour Grandmaison, Gilles Lhuillier et Jérôme Valluy, Le retour des camps? Sangatte, Lampedusa, Guantanamo..., éd. Autrement, 2007, p.139-152
- ↑ Liste des États membres de l’OIM
- ↑ Liste des États membres de l’OMPI
- ↑ Liste des États membres de l’OMS
- ↑ Liste des États membres de l’OMC
- ↑ Liste des États membres de l’OMT
- ↑ (en) Liste des membres de l’OMM
- ↑ Liste des États membres de l’UMA
Voir aussi
Liens internes
Liens externes
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