- Marsillargues
-
Marsillargues
DétailAdministration Pays France Région Languedoc-Roussillon Département Hérault Arrondissement Montpellier Canton Canton de Lunel Code commune 34151 Code postal 34590 Maire
Mandat en coursBernadette Vignon (D.V.G.)
2008 - 2014Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lunel Site web http://www.marsillargues.fr/ Démographie Population 6 006 hab. (2008) Densité 141 hab./km² Aire urbaine 1 798 395 hab. () Gentilé Marsillarguoises, Marsillarguois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 0[1] m — maxi. 11[2] m Superficie 42,7 km2 Localisation carte nationaleModèle:Géolocdual/HéraultMarsillargues (Marsilhargues en occitan) est une commune française de 5700 habitants qui fait partie de la Communauté de communes du Pays de Lunel. Elle se situe dans le canton de Lunel, dans le département de l'Hérault. Ses habitants sont les Marsillarguois.On les surnomme "les bajans", littéralement les "fous, nigauds" en languedocien.
Sommaire
Géographie Physique
Situation géographique
Marsillargues est située en Europe continentale, au sud-est de la France, au bord du Vidourle, à égale distance de Montpellier et de Nîmes et à une quinzaine de kilomètres de la mer Méditerranée.
À son extrême limite est, le Vidourle constitue sa frontière naturelle avec le département du Gard. Les deux villages les plus proches sont Aimargues, en direction de Vauvert, et Saint-Laurent-d'Aigouze, en direction d'Aigues-Mortes.
La commune de Marsillargues est la commune la plus à l'est du département de l'Hérault. Marsillargues est la seconde ville du Canton de Lunel.
Elle est entourée par une ceinture de boulevards bordés de platanes centenaires qui constituent une promenade naturelle protégée du soleil par les chaudes journées d'été.
Températures moyennes
Relevés Montpellier 1961-1990 [3] Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Annuel Températures mini moyennes (°C) 2.2 3.3 4.9 7.8 11.2 14.6 17.1 16.7 14.2 10.6 5.9 2.8 9.3 Températures moyennes (°C) 6.6 7.8 9.8 12.6 16.1 19.9 22.8 22.2 19.4 15.4 10.3 7.2 14.2 Températures maxi moyennes (°C) 11.1 12.4 14.7 17.5 21.1 25.3 28.4 27.7 24.7 20.2 14.7 11.7 19.1 Précipitations
Relevés Montpellier 1961-1990 [3] Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Annuel Cumuls moyens mensuels des précipitations (mm) 72.3 72.3 55.0 54.9 52.1 33.0 20.0 41.7 62.3 109.5 62.8 63.3 699.1 Hauteur max des précipitations en 24h (mm) 115.0 55.4 120.2 68.4 120.1 150.2 57.0 79.8 177.2 148.1 143.4 89.7 177.2 Histoire
Préhistoire et Antiquité
La vigne cultivée est présente sur ce terroir depuis 5 000 ans d'après les diagrammes polliniques avec une notable augmentation à l'an 300 avant notre ère[4].
À l’origine, le village était probablement un village de pêcheurs composé de cabanes situées à proximité du Vidourle, il existe d'ailleurs une rue des Pêcheurs.
Moyen Âge
Le village dès le Moyen Âge était sous la tutelle de la célèbre abbaye de Psalmodie dont le nom est probablement dérivé des éternelles psalmodies qu’égrenaient les moines. Cette abbaye d’ailleurs était propriétaire de la plupart des terres environnantes. On prétend même qu’un souterrain communiquait avec l’ancien château féodal de Marsillargues.
Renaissance
Le château actuel est de style Renaissance.
Période moderne
Jusqu'à la Révolution, Marsillargues se trouvait dans le diocèse de Nîmes. En 1790, il en fut séparé pour intégrer le département de l'Hérault.
Période contemporaine
Après la Seconde Guerre mondiale, le village se tourne essentiellement vers la viticulture qui devient sa principale ressource. Après avoir connu des hauts et des bas et même après les dégâts causés par le « mildiou », la vigne est demeurée jusque dans les années 1958 ; la cave coopérative locale était dans les années 1950 et 1960 la première d’Europe par la quantité de vin réalisée. Avec les difficultés rencontrées par la production massive de « vin de coupe » qui s'est avéré difficile à vendre, les viticulteurs sont encouragés par des primes à arracher les vignes. Une nouvelle activité se met en place : l’arboriculture fruitière (pommes, pêches, nectarines, etc.), mais elle connaît à son tour un essoufflement. L'inactivité et le peu de débouchés locaux conduisent de nombreux jeunes à quitter la région.
Toponymie
Héraldique
Les armes de Marsillargues se blasonnent ainsi : d'azur à une lettre M gothique d'argent incluse dans une orle du même[5].
Traditions
La particularité du village est qu'il se situe en Petite Camargue, région de traditions taurines. L'expression ultime de ces traditions est atteinte lors des fêtes votives, généralement organisées au début du mois d'août et qui durent une dizaine de jours. Le programme de ces journées est organisé, avec la participation de la municipalité, par les clubs taurins dont le plus célèbre fêtera son quatre-vingtième anniversaire en 2007 : « La Sounaïa », du nom de la cloche qui pend au cou du taureau rassembleur, le « Simbèou ».
Généralement, la journée commence par une sortie dans les près, au milieu des taureaux et des gardians des diverses manades locales. C'est ou plutôt, c'était l'occasion pour les jeunes et les moins jeunes de passer un bon moment, de participer au tri des taureaux, et de déguster la fameuse saucisse grillée accompagnée de vin rosé. Ensuite, le départ des taureaux des prés, généralement du Cailar (3 km) était organisé pour « l'Abrivado » terme qui désigne l'arrivée des taureaux entourés des chevaux de Camargue montés par les gardians et de tout un cortège de remorques remplies de jeunes gens et de jeunes filles, et aussi de personnes de toutes les générations, tirées par des tracteurs, ainsi que de nombreux autres acteurs courant après les taureaux pour essayer de les faire échapper du cortège, en saisissant leur queue.
Le moment le plus attendu des Marsillarguois était le franchissement du pont du Vidourle dit depuis peu « Pont BOULET », où s'amassaient les badauds venus assister à « l'Abrivado ». C’était en principe sur le coup de midi où chevaux et gardians, taureaux, et caravane d'accompagnateurs accomplissaient cette phase commémorative des fêtes votives, chaque jour à la même heure. Cette « abrivado » arrivait à son terme dès le franchissement des arènes, où les taureaux enfin arrivaient au terme de la matinée. La course d'une vachette « emboulée » (= avec des boules protectrices sur les cornes) sollicitée par les jeunes et moins jeunes, précédait l'apéritif traditionnel de 13 heures. C'était le moment de repos mérité après une matinée aussi riche d'événements de tous ordres. Un orchestre jouait des Paso doble qui animaient de nombreux couples déambulant sur la piste de danse, tandis que d'autres assis autour des « guéridons » et le regard attendri, sirotaient le pastis qui coulait à flots.
L'après-midi, une course à la cocarde de taureaux était organisée et chaque marsillarguois se faisait un point d'honneur d'y assister en prenant place dans les gradins des arènes. La course, entrecoupée d'un entracte, se déroulait avec six taureaux. Selon la journée concernée ces taureaux pouvaient être des « cocardiers » (les vedettes de la manade) ou des anoubles (jeunes taureaux) et le montant des attributs (cocarde, glands ou ficelles) primés plus ou moins important. Les « rasetteurs », tout de blanc vêtus et les « tourneurs » essayaient d'accomplir des prodiges sous les acclamations chaleureuses d'un public déchaîné.
C'était alors qu'intervenait le troisième acte de la journée : « la bandido » c'est-à-dire le retour aux près des taureaux sous la vigilance des gardians avec la même animation de la population.
Le dernier acte de la journée était clôturé par des repas énormes, que les divers groupes de jeunes organisaient et qui se terminaient à l'aube après le bal.
La reproduction de ce scénario, était quotidienne à tel point que l'épuisement de la jeunesse était total lors du dernier jour.
Actuellement, pour des raisons de sécurité, la bandido et l'abrivado ont été modifiées car le parcours est réduit et il se limite à la traversée de Marsillargues des arènes à la « Chicanette ». Tous les autres points sont dans l'ensemble maintenus dans la tradition.
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1813 1815 Jean Anglas - - 1815 1817 Etienne Delmas* - - 1817 1830 Jean-Jacques Deshorts - - 1830 1848 Antoine-André Bassaget - - 1848 1849 Samuel Marignan* - - 1849 1854 Pierre Suquet* - - 1854 1862 Antoine-André Bassaget* - - 1962 1865 Jules Astruc - - 1865 1874 Edouard Daumas - - 1974 1876 Jean Bassaget - - 1876 1878 Henri Daumas*, Gustave Teissonière et Jean Aubanel - - 1878 1886 Eugène Olivier - - 1886 1892 Amédée Bonail - - 1892 1896 Louis Bourely - - 1896 1887 Clément Reissant* - - 1887 1905 Antoine Moulin, Stanislas Perier et Louis Amphoux - - 1905 1911 LouisMartin - - 1911 1912 Elie Ravel - - 1912 1918 Emile Jean - - 1918 1919 Elie Ravel et Auguste Daunis - - 1919 1920 Albert Fériaud - - 1920 1934 Gaston Daumas - - 1934 1937 Jean Brun - - 1937 1939 Fernand Brémond - - 1939 1944 Louis Martin* et Adrien Bosc* - - 1944 1953 Fernand Brémond - - 1953 1962 Léopold Diot - - 1962 1975 Roger Contrepas - - 1976 1979 Jacques Contrepas - - 1982 1989 René Beissière - - mars 1989 mars 1995 André Teisson PS - mars 1995 mars 2001 Michel Génibrel PCF - mars 2001 mars 2008 Philippe Ullès Sans étiquette Vice-président de la CCPL[6], délégué à l'aménagement du territoire mars 2008 mars 2014 Bernadette Vignon DVG Vice-présidente de la CCPL[6], déléguée aux affaires sociales Toutes les données ne sont pas encore connues. Les noms qui figurent avec un astérisque * ont été des maires désignés car n’oublions pas que la démocratie actuelle ne s’est pas mise en place spontanément : les élections étaient fréquemment supprimées et les Maires révoqués en fonction des changements de régime.
Démographie [7]
Évolution démographique 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856 2916 2777 2905 3078 2392 3382 3529 3522 3549 3435 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 3446 3609 3466 3368 3227 3195 3413 3507 3684 3421 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 3242 3395 3182 3334 3002 2693 2755 2812 3048 3023 1982 1990 1999 2007 3653 4386 5327 5821 Nombre retenu à partir de 1962 : Population sans doubles comptes Économie
La principale activité économique à Marsillargues est l'activité agricole. En raison de la baisse de la consommation de vin , la viticulture qui représentait l'essentiel de l'activité agricole à Marsillargues , a cédé progressivement la place à la culture maraichère diversifiée ces dernières décennies. Les produits agricoles cultivés en grande quantité à Marsillargues sont les asperges, les melons, les pommes, les pêches.
Patrimoine
Le château Guillaume de Nogaret
Le château fut fondé en 1305 par Guillaume de Nogaret, qui obtint les seigneuries de Marsillargues ; Calvisson, Congénies, Aujargues, Manduel, Beauvoisin, Générac, Vergèze, entre autres, en récompense de ses services rendus au roi Philippe IV le Bel. Du château féodal, il ne subsiste qu’une partie du sous-sol, les grandes cuisines et le donjon avec sa tourelle carrée.
AILE NORDVers 1560, Jean de Louet de Calvisson entreprit la construction d’un nouveau château à l’emplacement de celui de son ancêtre. L’aile nord est alors entièrement refaite : façade et escalier intérieur à mur noyau. Cette façade est d’une grande modernité avec son étage surélevé compris entre un soubassement taluté et un étage-attique aveugle coiffé d’un toit plat. Elle est rythmée par des ouvertures et des trumeaux surmontés de frontons alternativement curvilignes et triangulaires. Mais la rigueur de la mise en œuvre contraste avec la totale irrégularité de la façade. L’ensemble présente une décoration très riche et un goût pour le détail prononcé. Ainsi, alors que les trumeaux sont ornés de cartouches, volutes, bucrânes ..., les douze bas-reliefs de l’attique sont sculptés de guirlandes de fruits retenues par des mascarons en mufles de lion, des têtes joufflues ou visages barbus, palmes, bucrânes... De nombreux trophées d’armes célèbrent les exploits militaires de son propriétaire, tandis que différents emblèmes rendent hommage au pouvoir royal : porc-épic de Louis XII ; salamandre de François Ier et lune et monogramme de Diane de Poitiers. Cette représentation est une manifestation évidente du loyalisme de la famille envers la dynastie régnante et permet de dater la façade de 1560 environ. Cette façade est une des plus belles réalisations méridionales de la Renaissance et est à rapprocher de celle du château ducal d’Uzès : l’auteur semble le même mais il reste encore à identifier. En 1679, Jean-Louis II de Louet de Murat de Nogaret, marquis de Calvisson, entreprend la reconstruction d’une partie de l’aile nord avec son grand escalier suspendu ainsi que le portail d’entrée en demi-lune. Au XVIIIe s., les gypseries des salles d’apparat sont refaites à la demande de Anne-Joseph de Louet.
AILE SUDL’aile sud est construite en 1679 à la demande de Jean-Louis II de Louet de Murat de Nogaret, lieutenant général du roi en Languedoc, président des États et marquis de Calvisson : Alexis de La Feuille, ingénieur royal ; Gabriel Dardaillhon et Jacques Cubissol, architectes nîmois et Philippe Mauric, sculpteur, entreprennent les travaux. Abritant les écuries, ce bâtiment est agrémenté d’une façade quasiment identique à celle de l’aile nord. Les représentations se font néanmoins plus guerrières et les emblèmes de Louis XIV prolifèrent. Le détail décoratif est conforme aux goûts alors en vogue dans les années 1670.
ORANGERIEL’orangerie est construite en 1767 par Anne-Joseph de Louet de Murat de Nogaret afin de fermer l’ensemble constitué par les ailes nord et sud. Un vaste parc se développait alors dans le prolongement de la cour d’honneur. Il était ponctué de bassins circulaires, point d’intersection d’allées se recoupant en étoiles et en angles droits. L’orangerie a été réhabilitée en bibliothèque municipale.
Sur un autre registre , on notera que la cloche de l'église de Congénies (Gard) a été parrainée en 1759 par Anne Joseph qui en était le seigneur comme le mentionne la dédicace qu'elle comporte. À notre connaissance[Qui ?], il s'agirait là de la seule cloche encore existante en Languedoc mentionnant le patronyme de cette illustre lignée, d'où son interêt historique.
Dans la nuit du 19 au 20 mai 1936, un incendie se déclare dans l’enfilade de salles jouxtant la galerie Louis XVI, qui est totalement détruite, ainsi que l’étage supérieur (bibliothèque) et l’escalier d’honneur. La mairie de Marsillargues rachète le château en 1948 à la famille de Saizieu.
La totalité du château est classée Monument Historique depuis 1995.
Le musée Paul-Pastre
Dans la cour du château, le micocoulier séculaire veille sur l'entrée du musée Paul Pastre, niché au sein de la demeure seigneuriale. Paul Pastre, amateur éclairé d'histoire locale et d'archéologie, découvre 2 autels gallo-romains dans les ruines du château. Faisant suite à cette découverte, l'idée de créer un musée prend forme en 1949. Aujourd'hui, 400 m² d'expositions, répartis en quatre salles, vous invitent à découvrir l'histoire locale à travers ses illustres concitoyens, Guillaume de Nogaret, Fernand Janin, Louis Uni dit Apollon, et les objets de beaucoup d'autres, moins illustres.
L’Eglise Saint-Sauveur
Eglise en partie romane, façade fin 17ème , classée . A l'intérieur remarquer une huile sur toile représentant la "Nativité" est attribuée à Charles Errard. Son clocher a abrité jusqu'en 1950 une cloche datant de 1509 et classée MH. Elle fut malheureusement refondue à cette époque ...
Le Temple Protestant
Edifice particulièrement imposant de 31 mètres de long sur 16 de large. La façade principale comporte un vaste fronton triangulaire néoclassique surmonté d'un clocher à l'architecture inhabituelle (dôme) . Début de la construction (première pierre) en 1802. Il fut inauguré en 1806 alors qu’il n’avait pas encore de plafond. Les travaux avancèrent lentement et ce n’est qu’en 1818 que commence la construction du plafond et des tribunes. Si le clocher fut terminé en 1823 tel qu’en atteste sa clé de voûte, la cloche ne fut mise en place qu'en 1826.
Le petit temple
Dit aussi "église libre" (branche du protestantisme), fin 19ème , sorte de chapelle de style néogothique . Le bâtiment fut vendu dans les années 1990 et se trouve aujourd'hui malheureusement en état d'abandon .
Personnages célèbres
- Guillaume de Nogaret, conseiller du Roi de France Philippe le Bel, fut seigneur de Marsillargues.
- Gaston Defferre naît en 1910 au mas de Bony, demeure construite par son grand-père Causse, près de Marsillargues sur la route qui va à Saint-Laurent-d'Aigouze.
- Louis Uni dit Apollon est né à Marsillargues.
- Fernand Janin repose au cimetière de Marsillargues. Architecte et urbaniste, il fut pensionnaire de l'Académie de France à Rome de 1910 à 1912.
- Paulin d'Anglas de Praviel, auteur, naît en 1793. Il fut lieutenant au bataillon du Sénégal ; il survécut au naufrage de La Méduse et composa ce texte pour rectifier les affirmations inexactes du chirurgien à bord Savigny et d'un passager, M. Corréard. Décédé en 1872, il est inhumé au cimetière d'Aimargues.
- Martin Vignolle, général de la Révolution et de l'Empire, est né à Marsillargues en 1763. Le nom du général Vignolle est inscrit sur la 21e colonne de l'Arc de Triomphe de l'Étoile à Paris.
- Jacques Antoine Mourgue, ministre de l'Intérieur en juin 1792 et grand philanthrope, est né le 2 juin 1734 à Marsillargues.
- Henry de Justamond, Garde-magasin de la Compagnie française des Indes orientales, puis Gouverneur de l'île Bourbon (île de la Réunion) 1715-1718, naît en 1683 à Marsillargues, issu d'une famille protestante. Son nom est attaché au développement de la culture du café en provenance de Moka dans l'île.
- Toussaint-François Node-Véran, naît à Marsillargues en 1773, peintre botaniste du Jardin des Plantes de Montpellier
- Jean-Charles Bouchoux, écrivain, auteur de :
Notes et références
- étang de l'Or, la plaine méridionale se situe entre 1 et 2 mètres d'altitude d'après la carte topographique Aigues-Mortes, n°2843 OT, Institut géographique national, 2e édition, 2000. 0 mètre correspond à la partie submersible de l'étang de l'Or situé au sud-ouest du territoire communal (entre le canal de Lunel et la pointe de la Radelle (quadripoint avec Aigues-Mortes, La Grande-Motte et Mauguio) et aux rives les plus méridionales du canal de Lunel, du canal du Rhône à Sète et du Vidourle. Dans cette commune proche du littoral et de l'
- Vidourle. Ces points d'altitude apparaissent sur la carte topographique Aigues-Mortes, n°2843 OT, Institut géographique national, 2e édition, 2000. L'altitude de 11 mètres est atteinte sur le pont de Marsillargues ainsi qu'au nord de la commune sur la digue rive droite du
- Relevés Marsillargues 1961-1990
- ISBN 2917411230) Michel Bouvier, Le vin, c'est toute une histoire, Jean-Paul Rocher Éditeur, Paris, 2009, p. 27.(
- ISSN 1264-5354), p 49. Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (
- Communauté de communes du Pays de Lunel =CCPL =
- http://www.recensement-2006.insee.fr/chiffresCles.action?zoneSearchField=34151&codeZone=34151-COM&idTheme=3
- http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/fiche.php?select_resultat=21395
Liens externes
Catégorie :- Commune de l'Hérault
Wikimedia Foundation. 2010.