- Jack Nicholson
-
Jack Nicholson
Jack Nicholson au Festival de Cannes 2002.
Données clés Nom de naissance John Joseph Nicholson Naissance 22 avril 1937
New York City, New York
États-UnisNationalité Américaine Profession Acteur
Producteur
RéalisateurFilms notables Easy Rider
Chinatown
Vol au dessus d'un nid de coucou
Missouri Breaks
Shining
Batman
Crossing Guard
The Pledge
Les infiltrés
The Two Jakes
Hoffa
Des hommes d'honneur
Wolf
Crossing Guard
Blood and Wine
Étoile du soir
Mars Attacks !Jack Nicholson (de son vrai nom John Joseph Nicholson) est un acteur et réalisateur américain né le 22 avril 1937 à Manhattan, New York.
Jack Nicholson est connu pour ses personnages sombres et névrosés qu'il a incarné dans une multitudes de classiques du cinéma comme Easy rider, Chinatown, Vol au-dessus d'un nid de coucou, Shining, Batman, Mars Attacks, Pour le pire et pour le meilleur et Les Infiltrés.
Avec 13 nominations et 3 récompenses, il est l'acteur le plus nommé et le plus récompensé aux Oscars. Au total des nominations, il arrive deuxième derrière Meryl Streep (16 nominations et deux victoires), et à égalité avec Walter Brennan pour le plus grand nombre de prix obtenus par un acteur, ainsi qu'avec Ingrid Bergman pour le nombre et le type de trophées remportés (2 pour le meilleur premier rôle et 1 en tant que meilleur second rôle). Dans ce classement, il reste néanmoins derrière Katharine Hepburn au vu du nombre total de ses victoires (Hepburn a gagné 4 Oscars). Il a également remporté 6 Golden Globe.
Sommaire
Biographie
Vie privée
Jack Nicholson est né le 22 avril 1937 à l'hôpital Saint Vincent à New York. Il est le fils d'une showgirl, nommée June Frances Nicholson (nom de scène June Nilson)[1] d'origine anglaise (par sa mère) et irlandaise (par son père)[2]. Six mois plus tôt, le 16 octobre 1936[3], June se marie à Elkton[4] dans le Maryland, avec Donald Furcillo (nom de scène : Donald Rose), un showman d'origine italienne. Furcillo était cependant déjà marié et, bien qu'il ait offert de prendre soin de l'enfant, la mère de June, Ethel, insiste pour l'élever, notamment afin que June puisse continuer sa carrière de danseuse. Nicholson a été élevé en pensant que ses grands-parents John J. Nicholson (un vendeur de fenêtres dans un grand magasin à Asbury Park (New Jersey)) et Ethel May Rhoads (une coiffeuse, esthéticienne et artiste amateur à Neptune (New Jersey)) étaient ses parents. Il est allé au lycée Manasquan High School, qui lui a décerné plus tard une récompense honorifique d'arts dramatiques. C'est seulement en 1974 lors d'une entrevue[5] que Nicholson a été informé par un journaliste du Time Magazine que ses parents étaient en réalité ses grands-parents et que sa sœur était sa mère. À cette époque, sa mère et sa grand-mère étaient déjà mortes (respectivement en 1963 et en 1970). Nicholson a déclaré qu'il ne savait pas qui était son père et que « seules Ethel et June savaient et elles ne l'ont dit à personne »[6].
Bien que Donald Furcillo ait prétendu être le père de Nicholson et avoir été polygame en se mariant avec June, le biographe Patrick McGilligan, auteur de Jack's Life (publié en décembre 1995) a affirmé qu'Eddie King, le manager de June, pouvait être le père biologique[7]. D'autres sources suggèrent que June Nicholson n'était pas sûre de l'identité du père. Jack Nicholson a choisi de ne pas faire de test ADN ni de s'en préoccuper. De plus, il faut signaler qu'il n'existe aucun certificat de sa naissance, juste une déclaration a posteriori faite lorsqu'il avait environ 17 ans annonçant Ethel en tant que mère.
Dans sa vie privée adulte, Nicholson a été connu pour son incapacité à « se fixer ». Il a eu quatre enfants de trois femmes différentes :
- Jennifer Nicholson avec son ancienne épouse Sandra Knight ;
- Caleb Goddard avec Susan Anspach, sa collègue sur Cinq pièces faciles ;
- Lorraine Nicholson et Raymond Nicholson avec Rebecca Broussard.
Il trompa Anjelica Huston, sa compagne pendant 17 ans, avec la meilleure amie de sa fille. Il eut aussi des liaisons avec de nombreuses actrices et top models (tel que Lara Flynn Boyle, de trente ans sa cadette). Sa plus longue liaison dura 17 ans avec l'actrice Anjelica Huston, la fille du légendaire réalisateur John Huston. Cependant, cette relation se finit lorsque les médias rapportèrent que Rebecca Broussard était enceinte de lui.
Malgré son éducation catholique, Nicholson a dit à Vanity Fair en 1992 qu'il ne croyait pas en Dieu[précision nécessaire]. Concernant la question de l'avortement, il est personnellement pro-choix.
Ses amis de lycée le surnommaient « Nick » et il fut élu « clown de la classe » en 1954 à la Manasquan High School. En 2004, Nicholson assista à la réunion des anciens de l'école à la surprise et au plaisir de ses anciens camarades. Un théâtre de l'école fut baptisé en son honneur[8].
Il est fan des New York Yankees et des Los Angeles Lakers. Son soutien au Lakers est presque légendaire, assistant à tous les matchs se déroulant au Forum et au Staples Center pendant vingt cinq ans. Parfois, Nicholson s'est disputé avec des arbitres et des joueurs adverses et il est même descendu sur le terrain[9]. Parce qu'il s'était trop disputé avec les arbitres lors d'un match de final en 2001, il entraîna une faute pour les Lakers. Aussi ceux qui travaillent avec lui doivent-ils parfois prendre en compte sa passion pour les Lakers et ne pas le faire tourner lors de la retransmission des matchs, par exemple[10].
Nicholson fut le voisin de Marlon Brando pendant de nombreuses années sur Mulholland Drive à Beverly Hills. Warren Beatty a aussi vécu tout près, donnant à la rue le surnom de « Bad Boy Drive ». Après la mort de Brando en 2004, Nicholson a racheté le bungalow de son voisin pour 6,1 millions de dollars, afin de la démolir par respect pour l'héritage de Brando, car la maison était laissée à l'abandon [11].
L'acteur Harry Dean Stanton fut le témoin au mariage de Nicholson. Les deux acteurs sont apparus dans six films ensemble. Il est aussi un ami proche du réalisateur Roman Polanski, le soutenant lors de nombreuses crises personnelles, telles que la mort de son épouse, Sharon Tate, tuée par la « famille de Charles Manson ». Il a aussi soutenu Polanski lors de sa condamnation pour viol sur une mineure, un crime qui se serait déroulé dans le domaine de Nicholson à Mulholland Drive.
Premières années
Nicholson a débuté sa carrière en tant qu'acteur, scénariste et producteur, travaillant pour et avec Roger Corman, parmi d'autres. Cette collaboration inclut sa première apparition dans The Cry Baby Killer (1958), où il joue un délinquant juvénile qui panique après avoir tué deux autres adolescents, La Petite boutique des horreurs (1960), dans lequel il joue un petit rôle en tant que patient dentaire masochiste. Il joue dans deux autres films de Corman : Le Corbeau (1963) et L'Halluciné (1963), dont il partage la tête d'affiche avec sa femme de l'époque Sandra Knight.
Lorsqu'il arriva pour la première fois à Hollywood, Nicholson travailla pour les légendes de l'animation Hanna-Barbera. Découvrant son talent d'artiste, ils offrirent à Nicholson un poste d'artiste de l'animation. Cependant, il déclina l'offre en raison de ses projets d'acteur[12].
Lors des années 1960, les rôles n'étant pas toujours faciles à trouver, Nicholson se mit à écrire plus souvent. Ainsi sont nés Thunder Island (1963), Flight to Fury (1964), L'Ouragan de la vengeance (1965), et Head des Monkees (1968). Ces films n'ont pas eu vraiment de succès, mais le jeune Nicholson travaillait régulièrement. Dans le monde de la sitcom télé, il a aussi fait une apparition dans deux épisodes de The Andy Griffith Show dans le rôle de Marvin Jenkins en 1966 et 1967.
La route vers la célébrité
Alors que sa carrière d'acteur ne semble mener nulle part, Nicholson se résigne à une carrière derrière la caméra en tant que scénariste/réalisateur. Son premier véritable succès en tant que scénariste vient en 1967 avec The Trip, film sous acide, interprété par Peter Fonda et Dennis Hopper. Ces derniers lui permettent deux ans plus tard de reprendre sa carrière d'acteur en lui donnant le rôle de George Hanson, un avocat alcoolique, dans le film culte Easy Rider (1969). Ce rôle lui vaudra sa première nomination aux Oscars.
Une nomination pour le meilleur acteur suit l'année suivante pour son rôle dans Cinq pièces faciles (1970). Cette même année, il apparaît dans l'adaptation de Melinda dans le rôle du demi-frère de Daisy Gamble (Barbra Streisand).
En plus de ces films, citons d'autres de ses premiers rôles les plus notables : La Dernière Corvée de Hal Ashby (1973), qui lui valut un Prix d'interprétation à Cannes et le film noir de Roman Polanski, Chinatown (1974). Nicholson a été nommé aux Oscars comme meilleur acteur pour ces deux films. Nicholson a aussi joué dans le film sur le groupe The Who et réalisé par Ken Russel, Tommy (1975), et la même année dans le film de Michelangelo Antonioni, Profession : reporter, considéré par beaucoup comme l'un de ses rôles les plus mémorables et les moins connus.
Une icône américaine
Même s'il rate la statuette pour son inoubliable prestation en détective privé hâbleur dans Chinatown (film dont il réalisera lui-même une suite quelques années plus tard), Nicholson gagne son premier Oscar du meilleur acteur grâce à son interprétation de Randle Patrick McMurphy dans Vol au-dessus d'un nid de coucou réalisé par Milos Forman en 1975 et adapté du roman de Ken Kesey. Le film reçoit également les 4 autres récompenses majeures de la cérémonie à savoir meilleur film, meilleur réalisateur, meilleure actrice et meilleure adaptation.
Bien qu'il n'ait même pas reçu de nomination aux Oscars pour son rôle de Jack Torrance dans Shining (1980) de Stanley Kubrick (adapté du roman de Stephen King), il resta comme l'une de ses interprétations les plus marquantes.
Son Oscar suivant, l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle, l'a récompensé pour son interprétation de Garrett Breedlove, un astronaute à la retraite, dans Tendres Passions (1983).
Nicholson a été très prolifique durant les années 1980, jouant dans des films tels que Le facteur sonne toujours deux fois (1981), Reds (1981), L'Honneur des Prizzi (1985), Les Sorcières d'Eastwick (1987), et Ironweed (1987). Trois nominations aux Oscars ont suivi (Reds, L'Honneur des Prizzi, et Ironweed).
Le film Batman de 1989, où Nicholson tient le rôle du Joker, fut un succès commercial international et, grâce à un arrangement qui lui permit d'obtenir un pourcentage lucratif, Nicholson gagna environ 60 millions de dollars. En 1999 Nicholson était d'accord pour reprendre son rôle dans le cinquième film de la franchise Batman, soit Batman Triumphant, cependant Warner Bros. Pictures annula le projet.
Pour son rôle du Colonel Nathan R. Jessep dans Des hommes d'honneur (1992), un film sur un crime dans une unité de la Marine US, il fut une fois de plus nommé aux Oscars. Ce film contient la scène You can't handle the truth! qui est devenue très connue et fut souvent imitée.
Toutes les performances de Nicholson n'ont pas été bien reçues. Il fut nommé aux Razzie Awards du pire acteur pour Man Trouble (1992) et Hoffa (1992).
Nicholson reçut un autre Oscar du meilleur acteur pour son rôle de Melvin Udall, un auteur névrosé souffrant de trouble obsessionnel compulsif, dans la romance Pour le pire et pour le meilleur (1997).
Années 2000
Dans Monsieur Schmidt (2002), Nicholson interprète un actuaire d'Omaha (Nebraska) qui s'interroge sur sa vie et sur la mort de sa femme. Son calme et son jeu tout en finesse contraste avec nombre de ses rôles précédents et il fut nommé pour l'Oscar du meilleur acteur.
Dans la comédie Self Control (2003), il joue un thérapeute agressif désigné pour aider le pacifiste convaincu Adam Sandler.
En 2003, dans Tout peut arriver, Nicholson joue le rôle d'un playboy qui tombe amoureux de la mère (Diane Keaton) de sa petite amie.
Fin 2006, Nicholson revient au « côté obscur » dans le rôle de Frank Costello, un parrain sadique de la mafia irlandaise de Boston aux côtés de Matt Damon et Leonardo DiCaprio dans Les Infiltrés de Martin Scorsese, le remake de Infernal Affairs de Andrew Lau.
En novembre 2006, Nicholson a joué dans le nouveau film de Rob Reiner, The Bucket List qui met en scène Nicholson et Morgan Freeman dans le rôle de deux mourants qui veulent réaliser leur liste de buts. Le film, sorti en 2008, se titre en français Sans plus attendre.
Il est le seul acteur, avec Michael Caine, à avoir été nommé aux Oscars (meilleur acteur et meilleur acteur dans un second rôle) dans cinq décennies différentes : les années 1960, 1970, 1980, 1990 et 2000.
Filmographie
Comme acteur
Années 1950-60
- 1958 : The Cry Baby Killer, de Jus Addiss : Jimmy Wallace
- 1960 : The Wild Ride, de Harvey Berman : Johnny Varron
- 1960 : Bonne chance M. Lucky (Mr. Lucky) (TV) : Martin (#1 épisode)
- 1960 : Too Soon to Love, de Richard Rush : Buddy
- 1960 : La Petite boutique des horreurs (The Little Shop of Horrors), de Roger Corman : Wilbur Force
- 1960 : The Barbara Stanwyck Show (TV) : #1 épisode
- 1960 : Studs Lonigan, de Irving Lerner : Weary Reilly
- 1961 : Tales of Wells Fargo (TV) : Tom Washburn (#1 épisode)
- 1961 : Remous (Sea Hunt) (TV) : #1 épisode
- 1961 : Bronco (TV) : Bob Doolin (#1 épisode)
- 1962 : Little Amy (TV), de Sidney Lanfield : Jefferson City Coach
- 1962 : Hawaiian Eye (TV) : Tony Morgan (#1 épisode)
- 1962 : The Broken Land, de John A. Bushelman : Will Brocious
- 1963 : Le Corbeau (The Raven), de Roger Corman : Rexford Bedlo
- 1963 : L'Halluciné (The Terror), de Roger Corman : Lt. André Duvalier
- 1964 : Ensign Pulver, de Joshua Logan : Dolan
- 1964 : Flight to Fury, de Monte Hellman : Jay Whickham
- 1964 : Back Door to Hell, de Monte Hellman : Burnett
- 1965 : L'Ouragan de la vengeance (Ride in the Whirlwind), de Monte Hellman : Wes
- 1966 : Le Jeune docteur Kildare (Dr. Kildare) (TV) : Jaime Angel (#4 épisodes)
- 1967 : The Shooting, de Monte Hellman : Billy Spear
- 1967 : L'Affaire Al Capone (The St. Valentine's Day Massacre), de Roger Corman : Gino, Hit Man (non crédité)
- 1967 : Le Retour des Anges de l'enfer (Hells Angels on Wheels), de Richard Rush : Poet
- 1968 : Psych-Out, de Richard Rush : Stoney
- 1969 : Easy Rider, de Dennis Hopper : George Hanson
Années 1970
- 1970 : The Rebel Rousers, de Martin B. Cohen
- 1970 : Melinda (On a Clear Day You Can See Forever), de Vincente Minnelli
- 1970 : Cinq pièces faciles (Five Easy Pieces), de Bob Rafelson
- 1971 : Ce plaisir qu'on dit charnel (Carnal Knowledge), de Mike Nichols
- 1971 : A Safe Place, de Henry Jaglom
- 1972 : The King of Marvin Gardens, de Bob Rafelson
- 1973 : La Dernière corvée (The Last Detail), de Hal Ashby
- 1974 : Chinatown, de Roman Polanski : Jack Gittes
- 1975 : Profession : reporter (Professione: reporter), de Michelangelo Antonioni : David Locke
- 1975 : Tommy, de Ken Russell : A. Quackson
- 1975 : La Bonne fortune (The Fortune), de Mike Nichols
- 1975 : Vol au-dessus d'un nid de coucou (One Flew Over the Cuckoo's Nest), de Milos Forman : Randle Patrick McMurphy
- 1976 : Missouri Breaks (The Missouri Breaks), d'Arthur Penn : Tom Logan
- 1976 : Le Dernier Nabab (The Last Tycoon), de Elia Kazan
- 1978 : En route vers le sud (Goin' South), de Jack Nicholson
Années 1980
- 1980 : Shining, de Stanley Kubrick : Jack Torrance
- 1981 : Le facteur sonne toujours deux fois (The Postman Always Rings Twice), de Bob Rafelson : Frank Chambers
- 1981 : Reds, de Warren Beatty : Eugene O'Neill
- 1982 : Police frontière (The Border), de Tony Richardson
- 1983 : Tendres Passions (Terms of Endearment), de James L. Brooks : Garrett Breedlove
- 1985 : L'Honneur des Prizzi (Prizzi's Honor), de John Huston : Charley Partanna
- 1986 : Elephant's Child, de Mark Sottnick (narration)
- 1986 : La Brûlure (Heartburn), de Mike Nichols : Mark Forman
- 1987 : Les Sorcières d'Eastwick (The Witches of Eastwick), de George Miller : Daryl Van Horne
- 1987 : Broadcast News, de James L. Brooks : Bill Rorich
- 1987 : Ironweed, de Hector Babenco
- 1989 : Batman, de Tim Burton : Jack Napier/Le Joker
Années 1990
- 1990 : The Two Jakes (The Two Jakes), de Jack Nicholson : Jake Gittes
- 1992 : Man Trouble, de Bob Rafelson
- 1992 : Des hommes d'honneur (A Few Good Men), de Rob Reiner : Nathan R. Jessep
- 1992 : Hoffa, de Danny DeVito : Jimmy Hoffa
- 1994 : Wolf, de Mike Nichols : Will Randall
- 1995 : Crossing Guard (The Crossing Guard), de Sean Penn : Freddy Gale
- 1996 : Blood and Wine, de Bob Rafelson : Alex
- 1996 : Étoile du soir (The Evening Star), de Robert Harling : Garrett Breedlove
- 1996 : Mars Attacks!, de Tim Burton : James Dale/Art Land
- 1997 : Pour le pire et pour le meilleur (As Good as It Gets), de James L. Brooks : Melvin Udall
Années 2000
- 2001 : The Pledge, de Sean Penn : Jerry Black
- 2002 : Monsieur Schmidt (About Schmidt), de Alexander Payne : Warren R. Schmidt
- 2003 : Self Control (Anger Management), de Peter Segal : le docteur Buddy Rydell
- 2003 : Tout peut arriver (Something's Gotta Give), de Nancy Meyers : Harry Sanborn
- 2006 : Les Infiltrés, (The Departed) de Martin Scorsese : Frank Costello
- 2008 : Sans plus attendre, (The Bucket List) de Rob Reiner : Edward Cole
Années 2010
- 2010 : Comment savoir, (How Do You Know) de James L. Brooks : Charles
Comme scénariste
- 1963 : Thunder Island de Jack Leewood
- 1964 : Flight to Fury de Monte Hellman
- 1965 : L'Ouragan de la vengeance de Monte Hellman
- 1967 : The Trip de Roger Corman
- 1968 : Head de Bob Rafelson
- 1971 : Drive, He Said (également réalisateur)
Comme réalisateur
- 1963 : The Terror, coréalisé avec Roger Corman (co-réalisation non crédité)
- 1971 : Drive, He Said
- 1978 : En route vers le Sud
- 1990 : The Two Jakes (également acteur)
Récompenses et nominations
Oscars
Golden Globe
BAFTA
Premier rôle
- 1974 : BAFTA du meilleur acteur pour La Dernière Corvée
- 1974 : BAFTA du meilleur acteur pour Chinatwon
- 1975 : BAFTA du meilleur acteur pour Vol au-dessus d'un nid de coucou
- 2002 : BAFTA du meilleur acteur pour Monsieur Schmidt
Second rôle
- 1969 : BAFTA du meilleur acteur dans un second rôle pour Easy Rider
- 1981 : BAFTA du meilleur acteur dans un second rôle pour Reds
- 1989 : BAFTA du meilleur acteur dans un second rôle pour Batman
- 2006 : BAFTA du meilleur acteur dans un second rôle pour Les Infiltrés
Festival de Cannes
Notes et références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Jack Nicholson » (voir la liste des auteurs)
- Le jeune Jack Nicholson : des débuts propices, Eve Berliner, 2001
- Rootsweb.com
- Certificat de mariage de June Nilson et de Donald Furcillo, Le jeune Jack Nicholson : des débuts propices, Eve Berliner, 2001
- Elkton est une ville connue pour ses mariages « rapides »
- 1974 Time Magazine
- 1984 Rolling Stone
- Cigar Aficionado | People Profile | Jack Nicholson
- Star News Group: Home
- BBC NEWS | Entertainment | Nicholson gets court rage
- ROTTEN TOMATOES: Scorsese Gets Jacked By Nicholson
- Movie & TV News @ IMDb.com - WENN - 9 August 2006
- McGilligan, P.: Jack's Life. W.W. Norton & Company, 1994
Voir aussi
Précédé par Jack Nicholson Suivi par Art Carney
pour Harry et TontoOscar du meilleur acteur 1975
pour Vol au-dessus d'un nid de coucouPeter Finch
for Network, Main basse sur la télévisionLouis Gossett, Jr.
pour Officier et gentlemanOscar du meilleur acteur dans un second rôle 1983
pour Tendres PassionsHaing S. Ngor
pour La DéchirureGeoffrey Rush
pour ShineOscar du meilleur acteur 1997
pour Pour le pire et pour le meilleurRoberto Benigni
pour La vie est bellePrécédé par Prix Stanislavski Suivi par Pas de lauréat Jack Nicholson 2001 Harvey Keitel
Précédé par Jack Nicholson Suivi par Rod Navarro Acteur ayant interprété le Joker 1989 - Batman Hugo E. Blick Liens externes
- Jack Nicholson sur l’Internet Movie Database - Version plus complète en anglais
- Jack Nicholson avec Kopi Luwak
- Galerie de photos
- Portail des États-Unis
- Portail du cinéma
- Portail de la réalisation audiovisuelle
Catégories :- Acteur américain
- Réalisateur américain
- Scénariste américain
- BAFTA Award du meilleur acteur
- Golden Globe du meilleur acteur
- Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle
- Oscar du meilleur acteur
- Oscar du meilleur acteur dans un second rôle
- Prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes
- Naissance à Manhattan
- Naissance en 1937
- Personnalité américaine d'origine anglaise
- Personnalité américaine d'origine irlandaise
- Personnalité américaine d'origine néerlandaise
- Personnalité new-yorkaise
Wikimedia Foundation. 2010.