- Al Pacino
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Al Pacino
Données clés Nom de naissance Alfredo James Pacino Naissance 25 avril 1940
East Harlem, Manhattan, New York, États-UnisNationalité Américain Profession Acteur
Producteur
RéalisateurFilms notables Le Parrain (Michael Corleone)
Le Parrain 2 (Michael Corleone)
Le Parrain 3 (Michael Corleone)
Serpico (Frank Serpico)
Un après-midi de chien (Sonny Wortzik)
Scarface (Tony Montana)
Le Temps d'un week-end (Frank Slade)
L'Impasse (Carlito Brigante)
Heat (Vincent Hanna)
Donnie Brasco (Benjamin "Lefty" Ruggiero)
L'Associé du Diable (John Milton / Satan)Alfredo James Pacino est un acteur américain né le 25 avril 1940 à Manhattan, New York.
Al Pacino est connu pour les rôles de Michael Corleone dans Le Parrain et ses deux suites Le Parrain 2 et Le Parrain 3, de Tony Montana dans Scarface, de Carlito Brigante dans L'Impasse, de Sonny Wortzik dans Un après-midi de chien, de Frank Serpico dans Serpico, du Lieutenant Colonel Frank Slade dans Le Temps d'un week-end, de Roy Cohn dans Angels in America, et de John Milton ou l'incarnation satanique dans L'Associé du Diable. Il a gagné l'Oscar du meilleur acteur en 1992 pour sa prestation dans Le Temps d'un week-end, après 7 nominations.
Sommaire
Biographie
Les débuts
Al Pacino est né à East Harlem et est le fils d'italo-américains, Rose (née Gerardi) et Salvatore Alfredo Pacino, qui divorcent quand il a deux ans. Sa mère déménage dans le South Bronx, pour vivre chez ses parents, Kate et James Gerardi, originaires de Corleone, Sicile. Son père part en Californie et ouvre son propre restaurant. Al Pacino entre plus tard à la High School of Performing Arts, fréquentée également par Robert De Niro. Quand il découvrit l'enseignement des principes du jeu d'acteur selon Stanislavski (« La Méthode »), il trouva cela terriblement barbant. Il n'y resta que deux ans, car l'argent vint à manquer et le besoin de trouver un travail fut plus impérieux que celui de poursuivre des études.
Carrière
Années 1960
La première partie des années 1960 est difficile pour Pacino, avec la mort de sa mère en 1962 et celle de son grand-père en 1964. À partir de ce moment, Pacino devient insomniaque. Il accumule également de nombreux petits boulots après avoir quitté le système scolaire à 17 ans. Ses petits boulots successifs lui permirent d'entrer en contact avec toutes sortes de personnages. Il fut coursier, vendeur de chaussures, caissier de supermarché, livreur de journaux. Il cira des chaussures et fut déménageur. Il s'essaya grouillot dans un bureau. Il fit briller des fruits frais chez un épicier.
Il aspirait néanmoins à mieux, aussi passa t-il une audition, encore adolescent, pour entrer à l'Actors Studio de Lee Strasberg. Recalé, mais pas découragé pour autant, il suivit un autre cursus de théâtre, le cours Herbert Berghof, où il rencontra Charles Laughton, l'homme qui allait devenir son mentor et son plus proche ami. Non seulement Laughton donna des cours à Pacino et le dirigea pour sa première pièce en public (Hello Out There, de William Saroyan), mais il le présenta à des poètes et des écrivains. Pacino fut accepté à l'Actors Studio quatre ans plus tard.
En 1966, l'argent qu'il a économisé lui permet d'intégrer l'Actors Studio (sous la direction de Lee Strasberg - Hyman Roth dans Le Parrain 2) où il rencontre des acteurs qui deviendront célèbres par la suite, tel Robert De Niro (qui portait encore son vrai nom à cette époque, Robert Di Niro[réf. souhaitée]). Son travail et son talent lui permettent d'obtenir un Obie (récompense pour le théâtre) en 1968 pour The Indian Wants the Bronx, et un Tony Award dès l'année suivante pour Does the Tiger Wear a Necktie?.
Pacino fait ses débuts au cinéma dans Me, Natalie de Fred Coe en 1969.
Années 1970
Al Pacino obtient le rôle principal dans Panique à Needle Park (1970) de Jerry Schatzberg, drame qui se déroule dans le milieu toxicomane à Manhattan. Ce film marque un tournant dans sa carrière car, outre sa bonne prestation, il attire l'attention de Francis Ford Coppola.
En effet, en 1972, alors que les producteurs tentent de lui imposer Robert Redford pour le rôle de Michael Corleone dans Le Parrain, Francis Ford Coppola, après de longues négociations, choisit Al Pacino, qui est quasiment inconnu à l'époque.
Sa première rencontre avec Marlon Brando est pour lui très stressante, mais reste un des moments les plus importants de sa carrière comme il le définit lui-même ; elle se fera lors de la scène de l'hôpital, lorsque Michael Corleone doit surveiller son père. On connaît la suite : le film est un énorme succès et lance définitivement sa carrière. L'année suivante, il renouvelle sa collaboration avec Jerry Schatzberg pour L'Épouvantail. Al Pacino donne la réplique à Gene Hackman dans ce film qui reçut la Palme d'or au festival de Cannes 1973. La même année, il signe son premier film avec Sidney Lumet : Serpico. Grâce à son interprétation de flic libéral et incorruptible, dans ce film qui fait de bons résultats au box-office, Pacino asseoit définitivement sa popularité.
En 1974, il reprend le rôle de Michael Corleone pour le second volet du Parrain. Cette fois, c'est Robert De Niro qui interprète Vito Corleone (dans sa jeunesse). Le film est un succès et est souvent considéré comme supérieur au premier. Le personnage de Michael Corleone, taciturne et froid, est à l'opposé de Frank Serpico, ce flic instable et colérique qui doute et se démène au sein d'un New York très violent et d'une police corrompue.
En 1975, Pacino incarne un nouveau personnage un peu instable, un braqueur de banque dilettante qui devient très vite populaire grâce à son inexpérience, dans Un après-midi de chien (Dog Day Afternoon) de Sydney Lumet. Deux ans plus tard, il se lance dans le mélodrame avec Sydney Pollack (grand cinéaste des années 1970) qui est aux commandes de Bobby Deerfield (1977).
Années 1980
Les années 1980 débutent de façon marquée pour Al Pacino, puisqu'il interprète un policier évoluant dans le milieu homosexuel dans un très sombre polar de William Friedkin, La Chasse (Cruising, 1980). En 1983, c'est la rencontre tant attendue avec Brian De Palma qui lui offre le rôle de Tony Montana dans Scarface, remake du film de Howard Hawks (Scarface, 1932). Pour toute une génération (principalement les rappeurs), le personnage de Tony Montana est devenu un mythe et un objet de fascination (avec toutes les ambiguïtés que cela comporte), et Al Pacino en fait une très bonne interprétation dans ce rôle d'immigré cubain qui connaît une phénoménale ascension financière et sociale au sein de la pègre tandis qu'il devient fou, dévoré par la paranoïa et la drogue inhérentes à ses activités de gangster. Les années 1980 s'achèveront avec le succès de Mélodie pour un meurtre, entièrement porté sur les épaules d'un Pacino criant de vérité dans son personnage de Frank Keller.
Années 1990
Al Pacino tient plusieurs rôles importants dans les années 1990, qui lui permettent de revenir, sinon au premier plan, tout du moins au stade de la reconnaissance indiscutée. Il reprend le rôle de Michael Corleone dans le troisième et dernier volet du Parrain. Sa nouvelle collaboration avec Brian De Palma est une nouvelle réussite : L'Impasse (Carlito's Way). Dans ce film sombre et triste, Al Pacino convainc avec le personnage de Carlito Brigante. En 1992, il interprète dans le film de Martin Brest Le Temps d'un week-end le rôle d'un lieutenant-colonel aveugle, Frank Slade. Ce rôle lui permet enfin de décrocher l'Oscar du meilleur acteur après 7 nominations. Il y partage l'affiche avec un jeune talent, Chris O'Donnell.
C'est en 1995 que se déroule la première vraie rencontre cinématographique entre Al Pacino et Robert De Niro, dans le film Heat, réalisé par Michael Mann. Les deux acteurs s'étaient déjà côtoyés sur le tournage du Parrain, 2e partie, mais n'avaient joué aucune scène ensemble. Ce film relate le jeu du chat et de la souris auquel se livrent un braqueur de banque d'exception (De Niro) et un inspecteur de police tenace (Pacino) qui a juré de le faire arrêter. Pacino et De Niro sont d'un très haut niveau et nous réservent un face-à-face mémorable. Les seconds rôles, tenus entre autres par Val Kilmer, Tom Sizemore et Jon Voight, sont également convaincants. Le long-métrage rencontrera un important succès critique et commercial. Mais, s'ils jouent dans la même scène, Al Pacino et Robert De Niro ne figurent à aucun moment dans le même plan ou la même image. Il faudra attendre, pour cela, leur autre rencontre qui aura lieu à la fin des années 2000...
En 1996, Pacino passe derrière la caméra pour témoigner de sa fidélité au théâtre avec Looking for Richard, mi-adaptation de Richard III de Shakespeare, mi-documentaire sur le tournage de la pièce dans le film. Après L'Associé du diable, de Taylor Hackford (1997), où l'acteur dépeint un portrait du Diable applaudi des spectateurs et Donnie Brasco (1997), de Mike Newell, Al Pacino nous offre encore deux autres prestations d'acteur, tout d'abord aux côtés de Russell Crowe, dans Révélations (The Insider), de Michael Mann, puis dans L'Enfer du dimanche (Any Given Sunday), d'Oliver Stone.
Années 2000
Avec le film S1m0ne, comédie loufoque d'Andrew Niccol, Al Pacino prouve une nouvelle fois au public qu'il peut s'adapter à n'importe quel type de rôle. L'année suivante, il joue pour la première fois aux côtés de Robin Williams dans le remake d'un film norvégien : Insomnia. Le film est une réussite, Al Pacino réussit très bien dans son rôle de flic fatigué et désabusé.
Après Robin Williams, c'est au tour de Colin Farrell de partager l'affiche du film La Recrue avec Al Pacino.
En 2003 sort Influences avec Kim Basinger et Téa Leoni, un film malmené par la critique, mais sauvé par la prestation d'Al Pacino.
En 2003 toujours, Al Pacino participe au projet du réalisateur Mike Nichols, la série Angels in America, qui comprend 6 épisodes d'environ une heure chacun. Cette série traite de l'homosexualité et du sida dans les années 1980 et la difficulté des homosexuels à surmonter la maladie. Pacino offre une prestation remarquable dans le rôle de Roy Cohn, et il a à ses côtés une des meilleures actrices britanniques du moment : Emma Thompson, ainsi que Meryl Streep, Justin Kirk, ou encore Jeffrey Wright. Un style assez anti-conformiste pour une série très attachante. La performance de Pacino lui vaudra d'ailleurs d'être récompensé par un Emmy Award.
Le Marchand de Venise (2004) inspiré de la pièce de William Shakespeare marque un retour aux sources pour Al Pacino dont le théâtre reste le premier amour. Il y joue le rôle de Shylock, un marchand juif.
En juillet 2006, Pacino démontre une fois de plus ses talents d'acteur dans le film de D. J. Caruso, Two for the Money, dans lequel il joue un bookmaker qui mène la vie dure à Matthew McConaughey, un joueur de football américain forcé de prendre une retraite anticipée à cause d'une grave blessure.
En 2007, on peut le voir dans 88 Minutes, film dans lequel Pacino devra tout faire pour éviter la mort qu'on lui promet au téléphone. Il est également à l'affiche d'Ocean's Thirteen, le dernier volet de la saga de Daniel Ocean et de ses compères. Rififi, Dali & I: The Surreal Story devraient suivre.
Cette année est aussi celle de sa réception du célèbre AFI Life Achievement Award, le plus convoité des prix honorant une carrière. Au cours de la cérémonie, tenue en juin à Hollywood, d'autres immenses acteurs tel que Sean Connery, Kirk Douglas ou encore Robert De Niro affirmèrent que Pacino était certainement le plus grand acteur de sa génération, voire de tous les temps, cela s'expliquant aussi par le fait que Pacino est l'un des rares acteurs à ne s'être jamais écarté un seul instant de La Méthode Strasberg, dite de l'Actors Studio, mais aussi le seul à l'avoir fait aussi longtemps.
Il est également en post-production d'un nouveau documentaire du même type que celui qu'il a déjà réalisé sur Richard III de Shakespeare qui cette fois abordera l'œuvre Salomé d'Oscar Wilde. Il jouera le rôle du Roi Hérode.
Fin 2008, il est à l'affiche de La loi et l'ordre, un film de Jon Avnet (avec qui il a déjà collaboré sur 88 Minutes), dans lequel il a pour partenaires Robert De Niro, Carla Gugino, Donnie Wahlberg et le rappeur 50 Cent. Le film présente les deux acteurs en tant que policiers aux trousses d'un serial killer. Ce sera sa troisième collaboration avec Robert De Niro après Le Parrain II (où ils n'avaient aucune scène en commun) et Heat (où ils n'avaient que très peu de scènes ensemble). Le scénario n'était hélas pas assez inspiré pour les deux acteurs vedettes, mais il fit de bons résultats et permirent aux cinéphiles de les voir ensemble du début à la fin.
Le 22 octobre 2008, au Festival du film de Rome, Pacino a reçu, en présence de l'acteur Matthew Modine (Full Metal Jacket, Birdy), le Marc Aurèle d'Or. Il semblait très touché par cet honneur qui lui était attribué au nom de sa carrière mais aussi pour le compte de l'Actors Studio, qu'il copréside ; le jury romain l'ayant qualifié comme l'Acteur personnifiant le mieux l'Actors Studio.
Vie privée
Al Pacino a trois enfants. Julie Marie, née en 1989 avec Jan Tarrant et des jumeaux, Anton James et Olivia Rose, nés le 25 janvier 2001 avec l'actrice Beverly D'Angelo. Il ne s'est jamais marié. Il a trois sœurs et une demi-sœur. Démocrate, il prend position pour Barack Obama lors de l'élection présidentielle de 2008.
Filmographie
Années 1970
- 1969 : Me, Natalie de Fred Coe : Tony
- 1971 : Panique à Needle Park (The Panic in Needle Park) de Jerry Schatzberg : Bobby
- 1972 : Le Parrain (The Godfather) de Francis Ford Coppola : Michael Corleone
- 1973 : L'Épouvantail (Scarecrow) de Jerry Schatzberg : Lion
- 1973 : Serpico de Sidney Lumet : Frank 'Paco' Serpico
- 1974 : Le Parrain 2 (The Godfather: Part II) de Francis Ford Coppola : Don Michael Corleone
- 1975 : Un après-midi de chien (Dog Day Afternoon) de Sidney Lumet : Sonny Wortzik
- 1977 : Bobby Deerfield de Sydney Pollack : Bobby Deerfield
- 1979 : Justice pour tous (...And Justice for All) de Norman Jewison : Arthur Kirkland
Années 1980
- 1980 : La Chasse (Cruising) de William Friedkin : Steve Burns
- 1982 : Avec les compliments de l'auteur (Author! Author!) d'Arthur Hiller : Ivan Travalian
- 1983 : Scarface de Brian De Palma : Tony Montana
- 1985 : Révolution de Hugh Hudson : Tom
- 1989 : Mélodie pour un meurtre (Sea of Love) de Harold Becker : Frank Keller
- 1989 : The Local Stigmatic, de David Wheeler : Graham
Années 1990
- 1990 : Dick Tracy de Warren Beatty : Big Boy Caprice
- 1990 : Le Parrain 3 (The Godfather: Part III) de Francis Ford Coppola : Don Michael Corleone
- 1991 : In Bed with Madonna (Madonna: Truth or Dare) d'Alek Keshishian : Al Pacino
- 1991 : Frankie et Johnny (Frankie and Johnny) de Garry Marshall : Johnny
- 1992 : Glengarry (Glengarry Glen Ross) de James Foley : Ricky Roma
- 1992 : Le Temps d'un week-end (The Scent of a Woman) de Martin Brest : Frank Slade
- 1993 : L'Impasse (Carlito's Way) de Brian De Palma : Carlito Brigante
- 1995 : Instant de bonheur (Two Bits) de James Foley : Gitano Sabatoni
- 1995 : Heat de Michael Mann : Vincent Hanna
- 1996 : Looking for Richard, également réalisateur et producteur : Richard III, Al Pacino
- 1996 : City Hall de Harold Becker : John Pappas
- 1997 : Donnie Brasco de Mike Newell : Benjamin 'Lefty' Ruggiero
- 1997 : Pitch de Kenny Hotz : Al Pacino
- 1997 : L'Associé du diable (The Devil's Advocate) de Taylor Hackford : John Milton
- 1999 : Révélations (The Insider) de Michael Mann : Lowell Bergman
- 1999 : L'Enfer du dimanche (Any Given Sunday) d'Oliver Stone : Tony D'Amato
Années 2000
- 2000 : Chinese Coffee, également réalisateur : Harry Levine
- 2002 : Insomnia de Christopher Nolan : Will Dormer
- 2002 : S1m0ne d'Andrew Niccol : Viktor Taransky
- 2002 : Influences (People I Know) de Daniel Algrant : Eli Wurman (également producteur)
- 2003 : La Recrue (The Recruit) de Roger Donaldson : Walter Burke
- 2003 : Amours troubles (Gigli) de Martin Brest : Starkman
- 2004 : Angels in America de Mike Nichols (série télévisée) : Roy Marcus Cohn
- 2004 : Le Marchand de Venise (The Merchant of Venice) de Michael Radford : Shylock
- 2005 : Two for the Money de D. J. Caruso : Walter Abrams
- 2007 : 88 Minutes de Jon Avnet: Jack Gramm
- 2007 : Ocean's Thirteen de Steven Soderbergh: Willie Bank
- 2008 : La loi et l'ordre (Righteous Kill) de Jon Avnet : David Fisk
Années 2010
- 2010 : You Don't Know Jack de Barry Levinson (téléfilm)
- 2011 : The Son of No One de Dito Montiel : l'inspecteur Stanford
- 2011 : Phil Spector de David Mamet (téléfilm)
- 2011 : Jack and jill de Dennis Dugan : Lui même
Distinctions
Oscar
- nommé : Meilleur acteur dans un second rôle pour Le Parrain (1972)
- nommé : Meilleur acteur pour Serpico (1973)
- nommé : Meilleur acteur pour Le Parrain 2 (1974)
- nommé : Meilleur acteur pour Un après-midi de chien (1975)
- nommé : Meilleur acteur pour Justice pour tous (1979)
- nommé : Meilleur acteur dans un second rôle pour Dick Tracy (1990)
- nommé : Meilleur acteur dans un second rôle pour Glengarry (1992)
- Remporté : Meilleur acteur pour Le Temps d'un week-end (1992)
BAFTA Award
- nommé : Meilleur espoir pour Le Parrain (1973)
- nommé : Meilleur acteur pour Serpico (1975)
- Remporté : Meilleur acteur pour Le Parrain II (1974)
- Remporté : Meilleur acteur pour Un après-midi de chien (1976)
- nommé : Meilleur acteur dans un second rôle pour Dick Tracy (1991)
Emmy Award
- Remporté : Meilleur acteur dans une minisérie pour la télévision pour Angels in America (2004)
- Remporté : Meilleur acteur dans un téléfilm ou une mini-série pour You Don't Know Jack (2010)
Golden Globe
- Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Le Parrain (1973)
- Remporté : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Serpico (1974)
- Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Le Parrain II (1975)
- Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Un après-midi de chien (1976)
- Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Bobby Deerfield (1978)
- Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Justice pour tous (1980)
- Nommé : Meilleur acteur dans une comédie pour Avec les compliments de l'auteur (1983)
- Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Scarface (1984)
- Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Mélodie pour un meurtre (1990)
- Nommé : Meilleur acteur dans un second rôle pour Dick Tracy (1991)
- Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Le Parrain III (1991)
- Nommé : Meilleur acteur dans un second rôle pour Glengarry (1993)
- Remporté : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Le Temps d'un week-end (1993)
- Remporté : Cecil B. DeMille Award (2001)
- Remporté : Meilleur acteur dans une mini-série pour la télévision pour Angels in America (2004)
- Remporté : Meilleur acteur dans une série pour la télévision pour You don't know Jack (2010)
Doublage
Au début, Al Pacino était doublé par Sylvain Joubert et Bernard Murat. À partir de 1995 José Luccioni devient son doubleur pour presque tous les films qui suivront[1].
- José Luccioni dans :
- Heat : Vincent Hanna
- L'Associé du diable : John Milton
- Révélations : Lowell Bergman
- L'Enfer du dimanche : Tony D'Amato
- Insomnia : détective Will Dormer
- S1m0ne : Viktor Taransky
- La Recrue : Walter Burke
- The Merchant of Venice : Shylock
- 88 Minutes : Jack Gramm
- Ocean's Thirteen : Willie Bank
- Sylvain Joubert dans :
- L'Épouvantail : Lion
- Le Parrain : Michael Corleone
- Serpico : Frank 'Paco' Serpico
- Scarface : Tony Montana
- Le Parrain 3 : Don Michael Corleone
- City Hall : John Pappas
- Donnie Brasco : Benjamin "Lefty" Ruggiero
- Bernard Murat dans :
- Le Parrain 2 : Don Michael Corleone
- Un après-midi de chien : Sonny Wortzik
- Bobby Deerfield : Bobby Deerfield
- Justice pour tous : Arthur Kirkland
- La Chasse : Steve Burns
- Mélodie pour un meurtre : Frank Keller
- Frankie et Johnny : Johnny
- Le Temps d'un week-end : Frank Slade
- Michel Vigné dans :
- L'Impasse : Carlito Brigante
- Richard Darbois dans :
- Révolution : Tom Dobb
- Pascal Renwick dans :
- Dick Tracy : Big Boy Caprice
Box-office
États-Unis
Listes des films ayant dépassés les 45 millions de dollars de recettes.[2]
- Le Parrain : 134 966 411 $
- Ocean's Thirteen : 117 154 724 $
- Dick Tracy : 103 738 726 $
- L'Enfer du dimanche : 75 530 832 $
- Le Parrain III : 66 666 062 $
- Le temps d'un week-end : 63 095 253 $
- Heat : 67 436 818 $
- Insomnia : 67 355 513 $
- L'Associé du diable : 60 944 660 $
- Mélodie pour un meurtre : 58 571 513 $
- La Recrue : 52 802 140 $
- Un après-midi de chien : 50 000 000 $
- Le Parrain II : 47 542 841 $
- Scarface : 45 408 703 $
France
Listes des films supérieurs à 500 000 entrées.[3]
- Le Parrain : 4 016 877 entrées
- Ocean's Thirteen : 1 633 507 entrées
- Heat : 1 434 256 entrées
- L'Associé du diable : 1 304 042 entrées
- Le Parrain II : 1 120 577 entrées
- Insomnia : 950 791 entrées
- Dick Tracy : 798 379 entrées
- Scarface : 770 544 entrées
- Donnie Brasco : 720 753 entrées
- L'Epouvantail : 675 793 entrées
- La Loi et l'ordre : 675 323 entrées
- La Chasse : 670 259 entrées
- Révolution : 641 442 entrées
- La Recrue : 576 599 entrées
- Frankie et Johnny : 543 285 entrées
Mondial
Liste des films supérieurs à 100 millions de dollars de recettes[4]
- Ocean's Thirteen : 311 302 365 $
- Le Parrain : 267 398 921 $
- Heat : 187 436 818 $
- Dick Tracy : 162 738 726 $
- L'Associé du diable : 152 944 660 $
- Le Parrain III : 136 766 062 $
- Le Temps d'un week-end : 134 095 253 $
- Donnie Brasco : 124 909 762 $
- Insomnia : 113 622 499 $
- Mélodie pour un meurtre : 110 871 513 $
- La Recrue : 101 174 440 $
- L'Enfer du dimanche : 100 163 929 $
Bibliographie
- Al Pacino, Le dernier tragédien, Christophe Damour. Collection Jeux d'Acteurs, Éditions Scope (ISBN 978-2-912573-36-0)
- Al Pacino, Entretiens avec Lawrence Grobel, Traduit de l'anglais par Nicolas Richard. Editions Sonatine. (ISBN 978-2-35584-003-6)
Notes et références
- Al Pacino sur le site VoxoFilm
- (en) Al Pacino - Box Office Mojo. Consulté le 25 octobre 2010.
- (fr) Al Pacino : France - Jp's Box-office. Consulté le 25 octobre 2010.
- (fr) Al Pacino : Monde - Jp's Box-office. Consulté le 25 octobre 2010.
Voir aussi
Liens externes
- Al Pacino sur l’Internet Movie Database - Version plus complète en anglais
- (fr) [vidéo] Portrait d'Al Pacino en vidéos sur ina.fr
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