Գյումրի

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Gyumri

Gyumri
Գյումրի
Blason de GyumriԳյումրի
Héraldique

Gyumrigeneralview.jpg
Administration
Pays Arménie Arménie
Région Shirak
Maire Vartan Ghukassian
Géographie
Latitude 40° 47′ 22″ Nord
       43° 50′ 51″ Est
/ 40.7894, 43.8475
Longitude
Altitude 1 546 m (mini : 1 470 m) (maxi : 1 590 m)
Superficie 3 626 ha = 36,26 km²
Démographie
Population 140 318 hab.
Densité 3 869,8 hab./ km²
Localisation
Armenia location map.svg
City locator 12.svg
Gyumri
Գյումրի
Internet
Site de la ville www.gyumri.am

Gyumri ou Gumri (en arménien Գյումրի) est la capitale et la principale ville du marz de Shirak, au nord-ouest de l'Arménie. Avec plus de 140 000 habitants, elle est la deuxième ville de l'Arménie après la capitale Erevan.

D'abord connu sous le nom de Kumaïri, le hameau, devenu « Gyumri », ne se développe vraiment qu'au XIXe siècle. En 1837, la ville est rebaptisée Alexandropol sous l'empire russe puis, en 1924, Léninakan pendant la période soviétique. Après l'indépendance de l'Arménie en 1991 elle retrouve son nom de Gyumri.

Le 7 décembre 1988, la ville est détruite à 60 % par un séisme de 6,9 sur l'échelle de Richter.

Sommaire

Histoire

Antiquité et Moyen Âge

À l'emplacement actuel de la ville aurait été fondée une colonie grecque au Ve siècle av. J.-C., peut-être vers 401 av. J.-C.[1] ; cette hypothèse repose sur une identification incertaine avec la ville de Gymnias mentionnée par Xénophon[2],[3]. Une théorie alternative suggère que la ville aurait été fondée par les Cimmériens, théorie basée sur le fait que ces derniers ont occupé la région vers 720 av. J.-C. et que le nom original de la ville était Kumaïri. Les preuves d'habitations de cette époque sont nombreuses : en 1879 on a trouvé des objets en bronze datant du IIIe siècle av. J.-C.[4]. En 1928, des couteaux et des bracelets en fer des Xe ‑ IXe siècles av. J.-C. ont été trouvés pendant les fouilles[4]. Tout près de Gyumri, dans le village nommé Vahramaberd, figure sur une roche une inscription cunéiforme du roi urartéen Argishti Ier disant qu’il a envahi le pays d'Eriani (selon certains historiens, il s'agirait de Shirak, qui correspond à Kumaïri).

Cette situation persiste sporadiquement pendant les deux millénaires suivants, jusqu'à ce qu'une forteresse russe majeure soit construite sur le site en 1837[1].

XIXe siècle

Gyumri commence à se développer au XIXe siècle, quand, avec sa région, elle passe sous contrôle russe en 1804[5], pendant la guerre russo-iranienne (1804 - 1813)[4]. En 1829, environ trois mille familles des villes arméniennes occidentales de Kars[6], Erzurum, Dogubeyazit et d'autres endroits migrent et s'installent à Gyumri — un temps où la ville a un « aspect » relativement entassé[4]. En 1830, elle ne compte encore que 11 280 habitants ; c'est alors la seule ville totalement arménienne d'Arménie orientale[7].

En 1837, le tsar russe Nicolas Ier arrive à Gyumri et renomme la ville Alexandropol[8]. Le nom est choisi en hommage à la femme du tsar Nicolas Ier, la princesse Charlotte de Prusse, qui a changé son nom et qui est devenue Alexandra Fyodorovna après sa conversion au christianisme orthodoxe. En 1840, la ville d'Alexandropol croît rapidement. Elle est un avant-poste important pour l'armée russe impériale en Transcaucasie, où de petites maisons militaires sont établies[4].

Alexandropol est considérée comme le troisième centre commercial et culturel du Caucase en termes de transactions après Tiflis et Bakou. À la fin du XIXe siècle siècle, la population d'Alexandropol atteint 32 000 habitants[4]. De 1858 à 1876, l'église Surp-Prkich (Saint-Sauveur) est érigée, sur le modèle de la cathédrale d'Ani. Le premier chemin de fer d'Alexandropol est achevé en 1899 et baptisé du nom de chemin de fer Tiflis-Alexandropol ; un second le prolonge jusqu'à Erevan. En 1906 le chemin de fer atteint Djoulfa (Tabriz). La construction de ce chemin de fer a fait de la ville un lieu important.

XXe siècle

Carte postale ancienne de la ville.

Pendant la Première Guerre mondiale, les Arméniens habitant des villes comme Kars, Erzurum et d'autres, sujets de l'empire ottoman, migrent à nouveau vers Alexandropol. Après la Révolution russe et l'effondrement du front du Caucase, les Ottomans entrent en Transcaucasie ; Alexandropol est bombardée et tombe le 15 mai 1918[9]. Elle ne revient à l'Arménie qu'après l'Armistice de Moudros, lorsque le général Dro y entre, le 6 décembre de la même année[10]. À l'époque, les gens considèrent la ville comme plus importante qu'Erevan, qui reste discrète jusqu'à ce qu'elle soit proclamée capitale de la Première République d'Arménie en 1918 puis de la République socialiste soviétique d'Arménie en 1920. L'Université d'État est ainsi inaugurée à Alexandropol le 31 janvier 1920, avant d'être transférée à Erevan à l'automne suivant[11].

Pendant la guerre arméno-turque, la Turquie attaque Gyumri et l'occupe le 7 novembre 1920 après la victoire de la bataille d'Alexandropol[12]. Les Turcs présentent alors aux Arméniens un ultimatum que l'Arménie est forcée d'accepter, sous peine de voir la Turquie envahir Erevan, vu sa position à Gyumri. L'Arménie signe donc le traité d'Alexandropol pour arrêter l'avancée des Turcs, mettant ainsi un terme à la guerre arméno-turque[13].

En 1924, le nom Alexandropol est remplacé par Leninakan, après la mort du leader soviétique, Lénine[1]. Leninakan est un centre industriel majeur pour la République socialiste soviétique arménienne et la deuxième ville de par la taille, après Erevan.

La ville subit un premier tremblement de terre en 1926 puis un deuxième en 1988, très dévastateur, qui la détruit à 60 %. À la veille de ce séisme, elle compte encore environ 250 000 habitants[14]. Des efforts considérables au regard des moyens du pays sont alors consentis pour la reconstruction ; ce n'est cependant qu'en 2005 qu'est adopté un nouveau plan d'aménagement urbain[15].

En 1991, à la chute de l'Union soviétique, la ville retrouve son nom historique de Gyumri[16]. Aujourd'hui, elle est toujours la deuxième plus grande ville d'Arménie[16].

Géographie

Gyumri est la deuxième ville d’Arménie par sa population, son industrie et son importance culturelle et scientifique[1]. Elle occupe une superficie de 3 626 hectares[17].

Topographie et situation

La ville se situe au nord-ouest de l’Arménie, sur la rive gauche de la rivière Akhourian, à une altitude moyenne de 1 550 mètres au-dessus du niveau de la mer[17].

La partie ouest est la plus haute, composée de deux hauts plateaux. Le relief est plat, peu séparé, couvert de 300 à 350 mètres de sédiments volcaniques et de lacs[17].

Gyumri, à 126 km au nord d'Erevan, n'est qu'à 196 km à vol d'oiseau de la mer Noire et à 2 760 km de Moscou[17].

Climat

Le climat est continental mais, du fait de son altitude, est altéré par des influences du climat montagnard. Les hivers y sont notamment très froids et relativement neigeux tandis que les étés sont un peu moins chauds que dans les autres villes de la région.

La température moyenne annuelle est de 10 °C, avec une moyenne de –8 °C en janvier (la température minimale descend jusqu'à -41 °C) et de 27 °C en juillet (pouvant monter jusqu'à 36 °C[17]). La ville reçoit en moyenne 2 400 heures d'ensoleillement[17]et 500 millimètres de précipitations par an.

Risques naturels

Gyumri a été détruite à près de 60 % après le tremblement de terre de 1988.

L'Arménie entière est située dans une zone à forte activité sismique[18]. Elle est en effet à la limite convergente (zone de subduction) des plaques arabique et eurasienne[19],[20].

La région de Gyumri a déjà subi plusieurs séismes conséquents par le passé. Le plus récent et le plus marquant est le séisme du 7 décembre 1988 dont l'épicentre était situé dans la région de Spitak, à quelques dizaines de kilomètres à l'est de Gyumri, et qui a fait entre trente mille et cent mille morts[21]. D'une magnitude de 6,9 sur l'échelle de Richter, ses secousses ont détruit 60 % des bâtiments de la ville.

Démographie

La ville de Gyumri compte officiellement 150 917 habitants, de facto 140 318[22]. La population est composée à 98 % d'Arméniens, mais on y trouve aussi des Russes, des Kurdes et des Grecs.

À peine peuplée de plus d'une centaine d'habitants au début du XIXe siècle, Gyumri se développe brutalement en 1829 avec l'arrivée de 3 000 familles en provenance d'Arménie occidentale. Avec l'arrivée du train et le développement socio-économique qui s'ensuit, la population grimpe à 32 000 habitants à la fin du siècle[4].

Évolution démographique
1831 1914 1923 1977 2006
3 444 51 316 58 630 80 000 146 000

Urbanisme

L'église du Saint-Sauveur avant le séisme de 1988.
L'église Sourp-Hagop.

Le district de la vieille ville, que les habitants appellent par le nom d'origine de la ville, Kumaïri, est, avec son millier de bâtiments des XVIIIe et XIXe siècles un des seuls endroits du pays où il est possible de visiter une ville arménienne typique de cette époque[23]. C'est une des rares zones à avoir résisté aux deux derniers grands séismes. En effet, les quartiers plus modernes, construits sous l'ère soviétique, n'ont pas résisté au séisme de 1988 et ont depuis été entièrement reconstruits, avec de nouveaux immeubles, nouveaux parcs et de nouvelles routes. Cependant, à cause de la lenteur des travaux et du manque d'argent, le principal problème des habitants de Gyumri reste toujours l'absence de logement. En 2006, le nombre de personnes vivant dans des abris de fortune est encore estimé à 7 000[24].

Monuments religieux

La ville de Gyumri compte cinq églises[25]. L'église Sourp-Asdvatzadzin trônant sur la place centrale de la ville en est un des monuments symboliques. Une des églises historiques qui figure parmi les plus importantes est l'église du Saint-Sauveur (Sourb-Amenaprkich), ressemblant à la cathédrale d'Ani. Sa construction a débuté en 1858 et s'est achevée en 1876. Elle a été énormément endommagée par le tremblement de terre de 1988, mais elle est actuellement en reconstruction ; les travaux devraient être achevés en 2010[26]. L'église Sourp-Hagop, plus récente, a été construite après le tremblement de terre de 1988 sous l'impulsion de l'Américain d'origine arménienne Sarkis Acopian, décédé en janvier 2007. Acopian a fait construire cette église massive en basalte gris clair en l'honneur de sa petite-fille[27].

La ville abrite également une chapelle russe[25]. Construite en 1879 et 1880 à quelques pas du grand parc central, elle servait autrefois principalement aux rites funéraires. Un cimetière aujourd'hui disparu y était d'ailleurs adossé[23].

Monuments militaires

L'autre curiosité architecturale de la ville est Sev Ghul (la sentinelle noire), une forteresse russe construite en 1834 à la sortie ouest de l'Alexandropol d'alors. La ville étant alors un point militaire stratégique, les Russes décidèrent d'y construire d'importantes fortifications, dont la forteresse. Elle possède trois entrées et a été conçue pour pouvoir accueillir jusqu'à 15 000 hommes. Les lieux sont aujourd'hui occupés par la 102e division militaire russe[23].

Parcs et jardins

La place de la liberté, avant les travaux de 2008.

La municipalité a accordé en 2007 un budget de 100 millions de drams (330 000 dollars) pour la réfection de la place de la Liberté, autrefois appelée « place centrale ». Depuis septembre 2008, la place a changé de visage avec ses nouvelles fontaines et monuments, notamment une œuvre du sculpteur Artouch Papoyan qui trône à 5,50 m de haut et qui représente plusieurs figures emblématiques du pays tel que Vardan Mamikonian. Le centre de la place, à l'instar de la place de la République à Erevan, sera orné d'une « tapisserie » de 3 600 m2 composé de quatre sortes de pierres différentes. En l'honneur de Mamikonian, il est prévu de rebaptiser la place « Vartanants »[28].

Le parc central a été aménagé dans les années 1920 à la place d'un ancien cimetière. Son panorama sur la ville, ses pelouses, attractions et terrasses de café sont particulièrement appréciés en période estivale. Le parc abrite aussi le vieux théâtre de la ville qui a donné sa première représentation en 1913[23].

Transports

Routes

Gyumri est reliée aux grandes villes de la région par un réseau de routes de grande circulation en toile d'araignée. Contrairement à celles de la capitale Erevan, elles ne sont pas aménagées en « autoroutes » 2x2 voies.

Train

À la fin du XIXe siècle, l'empire russe décide de doter Alexandropol de la technologie ferroviaire. La ville est reliée à Tiflis dès 1899 et le prolongement vers le sud et l'Iran est réalisé en 1906.

Sous l'Union soviétique, le pouvoir central investit dans tout le pays pour créer de nouvelles voies puis les électrifier. Après l'indépendance du pays en 1991, tout le réseau tombe en désuétude. Gyumri, sur le chemin des ports géorgiens, reste cependant un passage obligé pour les échanges commerciaux du pays, la frontière turque étant aussi fermée aux trains.

La gare centrale de Gyumri, située dans le sud-est de la ville, ne voit que peu de passagers. En effet aujourd'hui, le rail est principalement utilisé pour le fret. Pour atteindre les ports de la mer Noire, le chemin de fer suit la route M7, montagneuse et sinueuse, en passant par Spitak et Vanadzor. Au sud, en direction d'Erevan, le relief permet un parcours plus rectiligne[31].

Aéroport

Article détaillé : Aéroport international Shirak.

Situé à cinq kilomètres du centre-ville, l'aéroport international Shirak dessert Gyumri, tout le marz et globalement tout le nord-ouest du pays. En 2006, l'Arménie prenant conscience de la nécessité d'un deuxième aéroport international aux normes occidentales, elle cède la gestion de celui de Gyumri à la société argentine Corporation America dirigée par le milliardaire d'origine arménienne Eduardo Eurnekian, déjà gérante de l'aéroport de Zvartnots d'Erevan. Les travaux débutent à l'été 2007, obligeant même à fermer l'aéroport durant plusieurs mois. La modernisation va se poursuivre afin de permettre à Shirak de pouvoir accueillir des vols internationaux dans des conditions satisfaisantes, surtout l'hiver, lorsque Zvartnots, situé à moins de 800 m d'altitude, se retrouve parfois plongé dans un épais brouillard plusieurs jours durant.

Culture et loisirs

Musées

Gyumri étant la ville où est né et a vécu le poète Hovannès Chiraz, elle abrite logiquement un musée dans la maison qu'il a habitée. L'autre maison-musée est celle d'un autre poète, contemporain de Chiraz, Avetik Issahakian. Ces deux maisons, en plus d'apporter les témoignages d'une vie culturelle très riche à la fin du XIXe et au début du XXe siècles, sont aussi des exemples typiques de l'architecture du tournant du siècle[23].

Fondé en 1997, le Centre d'art contemporain de Gyumri (Gyumri Centre of Contemporary Art (GCCA)) tâche de présenter nombre d'œuvres et expériences d'artistes arméniens et internationaux. Depuis sa création, c'est l'unique structure de toute la CEI à avoir organisé des biennales internationales d'art contemporain (la première a eu lieu en 1998) de ce niveau[32].

Sports

La ville de Gyumri possède un club de football, le Shirak FC Giumri, fondé en 1958 à l'époque où la ville s'appelait encore Leninakan. À partir des années 1970, il prend le nom d'« Olympia Leninkan » qu'il gardera jusqu'en 1991 et la chute du communisme. Dès lors, le club, qui appartenait jusque là à l'État, est financé par les fonds privés d'amateurs de football[33].

Le stade du club, le Gyumri city stadium, construit en 1924, a une capacité de 3 000 spectateurs[33].

Jumelages

Personnalités nées à Gyumri

Notes et références

  1. a , b , c  et d (en) Gyumri sur l'Encyclopédie Britannica. Consulté le 3 octobre 2008.
  2. Xénophon, Anabase, Livre IV
  3. (en) Anne Elizabeth Redgate, The Armenians, Blackwell Publishing, coll. « The Peoples of Europe », Oxford, 2000 (ISBN 0-631-22037-2), p. 60 .
  4. a , b , c , d , e , f  et g (en) Histoire de la ville sur le site de la municipalité. Consulté le 3 octobre 2008.
  5. Gérard Dédéyan (dir.), Histoire du peuple arménien, Privat, Toulouse, 2007 (ISBN 978-2-7089-6874-5), p. 114.
  6. Gérard Dédéyan (dir.), op. cit., p. 484.
  7. Gérard Dédéyan (dir.), op. cit., p. 488.
  8. Sèda Mavian, Arménie, coll. « Guides Évasion », Hachette, Paris, 2006 (ISBN 978-2-01-240509-7), p. 125.
  9. Anahide Ter-Minassian, 1918-1920 — La République d'Arménie, éditions Complexe, Bruxelles, 1989 (réimpr. 2006) (ISBN 2-8048-0092-X), p. 67.
  10. Anahide Ter-Minassian, op. cit., p. 118.
  11. Anahide Ter-Minassian, op. cit., p. 185.
  12. Anahide Ter-Minassian, op. cit., p. 222.
  13. Anahide Ter-Minassian, op. cit., p. 229-233.
  14. Gérard Dédéyan (dir.), op. cit., p. 631.
  15. Gérard Dédéyan (dir.), op. cit., p. 726.
  16. a  et b Sèda Mavian, op. cit., p. 127.
  17. a , b , c , d , e  et f (en) Géographie et localisation de la ville sur le site de la municipalité. Consulté le 7 octobre 2008.
  18. (en) United States Geological Survey, Iran - Seismic Hazard Map. Consulté le 21 mars 2008.
  19. Carte des plaques sur le site de la documentation française. Consulté le 21 mars 2008.
  20. Voir aussi l'article Tectonique des plaques.
  21. Encyclopédie Universalis. Consulté le 21 mars 2008.
  22. (hy) (en) (ru)ArmStat, Recensement de 2001, p.72 [lire en ligne (page consultée le 7 octobre 2008)].
  23. a , b , c , d  et e (en) Les lieux touristiques de la ville sur le site de la municipalité. Consulté le 8 octobre 2008.
  24. Gérard Dédéyan (dir.), op. cit., p. 733.
  25. a  et b (en) Les monuments religieux de la ville sur le site de la municipalité. Consulté le 7 octobre 2008.
  26. Krikor Amirzayan, « L’église Saint-Sauveur de Gumri sera totalement rénovée en 2010 » sur Armenews, 28 décembre 2008. Consulté le 28 décembre 2008.
  27. Lettre de l'Armenian Assembly of America annonçant le décès de Sarkis Acopian. Consulté le 8 octobre 2008.
  28. (en) Ani Hakobyan, « Main Square overhaul », ArmeniaNow, 23 mai 2008 [lire en ligne (page consultée le 8 octobre 2008)].
  29. a , b  et c (en) G. Beglaryan, Atlas of Armenia and adjacent countries, Noyan Tapan, 2007, p. 3 et 44.
  30. (en) G. Beglaryan, op. cit., p. 3 et 53.
  31. (en) G. Beglaryan, op. cit., p. 3.
  32. (en) Présentation du musée sur le site de la biennale internationale d'art contemporain de Gyumri. Consulté le 9 octobre 2008.
  33. a  et b L'histoire du club sur le site officiel. Consulté le 8 ocotbre 2008.

Voir aussi

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Articles connexes

Bibliographie

  • Vazgen Azatian, Leninakan, édition d'Erevan, 1989.
  • (hy) R. Hovesian, « Leninakan », dans Encyclopédie arménienne soviétique.
  • Données démographiques : Institut pédagogique de Gumri Artaches

Liens externes


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