- Vins de Jerez
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Xérès (vin)
Vignoble d'Andalousie Solera de Jeres Désignation(s) Vignoble d'Andalousie Appellation(s) principale(s) Xérès (fino, amontillado, oloroso)
Manzanilla-Sanlucar de BarramedaType d'appellation(s) Denominación de Origen (DO) Reconnue depuis 1933 pour l'appellation et 1977 pour la Denominación de Origen Xérès et Manzanilla Sanlucar de Barrameda Pays Espagne Région parente Vignoble de l'Andalousie Sous-région(s) province de Cadix Andalousie Localisation Jerez de la Frontera Saison hiver humide et doux, été chaud à torride. Climat méditerranéen sus influence maritime Ensoleillement
(moyenne annuelle)300 jours Sol calcaire, crayeux, argileux et sableux Superficie plantée 10 500 hectares Nombre de domaines viticoles 2 800 producteurs de raisin et 75 négociants Cépages dominants Palomino fino, Pedro ximénez et Moscatel Vins produits blanc Production 485 000 hectolitres Les xérès[1] sont des vins blancs de Denominación de Origen (DO), produits dans le sud de l'Andalousie. Ces vins sont mutés à l'eau-de-vie pour obtenir deux grandes catégories : les finos pour lesquels est fait un ajout d'alcool à 15, 5°, et les olorosos, à 18°. Ils sont fort appréciés des Britanniques, qui leur ont donné le nom de sherry[2] ou sack[3]. Le vinaigre de Xérès est également produit à partir de ces vins.
Sommaire
- 1 Histoire
- 2 Étymologie
- 3 Situation géographique
- 4 Vignoble
- 5 Notes et références
- 6 Bibliographie
- 7 Voir aussi
Histoire
Préhistoire et antiquité
Selon la légende, rapportée par Homère dans son Odyssée, après la Guerre de Troie un grec nommé Ménesthée aurait fait voile avec ses troupes vers les Colonnes d'Hercule et fait relâche à l'embouchure du Guadalete. Ils se seraient établis ici et appelèrent ce havre Menestheus[4].
Or le site archéologique de Doña Blanca est située près de Puerto de Santa María. Au cours des fouilles, entre 1979 et 1995, ont été trouvés, sur ce site de Turpa, des restes de remparts, de maisons, des sites de vinification, un port fluvial sur le Guadalete et une nécropole, d'origine phénicienne. L'ensemble a été daté du VIIIe au IIIe siècle avant notre ère. C'est à la plus ancienne cité phénicienne trouvée jusqu'à présent dans la péninsule ibérique. Son état de conservation exceptionnel est devenu un élément clé pour les recherches sur la colonisation phénicienne dans le Baie de Cadix et de ses relations avec les peuples autochtones de la Basse Andalousie. Tartessos eut probablement comme capitale Turpa. Et c'est de sa racine « tr » que proviendraient toutes les formes du nom Tartessos, de Turdétans jusqu'à Turdetana, nom latin de la province romaine d'Andalousie.
Bien qu'originaire de la Tarraconaise, Martial, poète pauvre aux goûts de luxe, chanta le ceretanum, vin issu d'un vignoble situé sur l'actuel terroir du xérès[5].
Moyen-Âge
Conquis en 711 par les Maures, la région ne retrouva son indépendance qu'à partir de 1264. Jerez, qui avait longtemps été sur la ligne de démarcation entre les chrétiens et les musulmans, en garda le souvenir dans son nom Jerez de la Frontera[2]. Le vignoble fut dès lors l'objet de tous les soins. Un manuel de culture proposait d'arroser les pieds de vigne avec de l'eau de rose afin de développer les arômes. Et un moine avait entrepris de protéger les grappes du vignoble abbatial, menacées par les guêpes et les abeilles, en badigeonnant chaque grain d'huile d'olive[3].
Renaissance
Durant cette période, le sack a été le premier nom donné en Angleterre au vin de xérès. Contrairement à une idée reçue, il ne provient pas de l'espagnol seco, car ce vin était alors doux, mais de sacar (sortir) pris dans le sens de « vin exporté »[6]. En 1565, une charte accorda, à quelques négociants de la Vintner's Company, le privilège de vendre ces vins sans licence. Leurs tavernes furent surnommées les free vintage et il existe encore à Londres le Gordon's Sherry Bar, dans Villers Street qui en est l'émanation[7].
Shakespeare fut et reste encore le meilleur agent commercial de ce vin. Il fait dire à Falstaff :
« Un bon xérès a deux effets : d'abord, il monte au cerveau, éloigne les tristes et sottes pensées qui l'enténèbrent, délie la langue et l'esprit ; ensuite, il réchauffe le sang et en chasse la pusillanimité et la couardise[3]. »Et le dramaturge met encore dans la bouche de son héros :
« Si j'avais un millier de fils, le premier principe que je leur inculquerais, ce serait de fuir les breuvages sans force et de s'adonner au xérès[3]. »Quelques décennies plus tard, en 1650, un négociant en vins espagnol, J. M. Rivero, s'installait à Jerez. Sa marque C. Z., qui existe toujours, est aujourd'hui considérée comme l'une des plus anciennes du monde[8].
Période moderne
Le XVIIIe siècle vit apparaître en terre andalouse nombre de négociants venus des îles Britanniques. Le premier contingent fut irlandais. Il y eut d'abord, Timothy O'Neale, qui s'installa à Jerez en 1724 et y créa sa maison de négoce en vins. Il fut suivit d'autres et notamment de Patrick Murphy. Celui-ci avait pris avec lui un jeune français, Jean Haurie, auquel il appris le métier et livra ses secrets. À sa mort, en 1772, il lui légua sa bodega. Haurie obtint, après un procès qu'il gagna, que le Gremio, la guilde des producteurs, lui laissa le droit de faire son vin avec ses propres vignes, ce qui était jusqu'alors interdit. Sa bodega fut donc la première à assurer tous les stades de la production à la commercialisation[8].
À sa mort, ce furent cinq de ses neveux qui héritèrent. Parmi eux, Juan-Carlos Haurie et Pedro Domecq[9]. La bodega qui porte sa marque possède toujours des tonneaux portant les noms de Fox, Nelson et Napoléon[10]. Au début du XIXe siècle, la bodega de son cousin était devenue la plus importante maison de négoce de la place. Et quand les armées de Soult occupèrent Jerez de 1810 à 1812, il devint leur principal fournisseur. Mais à leur départ, l'intendance française omis de lui régler son dû ce qui provoqua sa faillite. Avec l'aide de sa famille, il reprit ses activité sous un autre nom et sa bodega ne tarda pas à redevenir prospère[11].
En 1868, le vin de xérès était élaboré sur la base de 42 cépages identifiés. C'était encore les deniers temps de la navigation à voile, et les bâtiments de commerce britanniques, qui doublaient le Cap de Bonne-Espérance, faisaient escale à Jérez pour ses charger, en guise de lest, de botas de xérès avant de se diriger vers les Indes. Ce voyage aler-retour, joint au roulis et au tangage, bonifiait et vieillissaint le vin. Il était alors commercialisé sous la dénomination « East Indian Sherry ». Actuellement quelques xérès amoroso (oloroso dox) sont toujours étiquetés ainsi[12]
Période contemporaine
C'est en 1977 qu'est officialisée la Dénomination d'Origine (DO) pour le xérès et la manzanilla Sanlucar de Barrameda. À cette occasion, il est décidé que l'élevage des vins en tonneaux devra être de trois ans au minimum. En dépit de ces efforts qualitatifs, la baisse des exportations continue et, en 1990, la profession doit réorganiser l'ensemble de la filière. Cela aboutit à la notification d'une mention de vieillissement, en 2002. Les vins de plus de 20 ans d'élevage sont classés VOS, ceux de plus de 30 ans VORS.
Étymologie
Ce furent les Grecs qui, les premiers, citèrent une peuplade vivant dans cette région, les Kerratanoï, nom qui fut latinisée en Cerratani. Ce peuple, pré-ibère, a donné aussi son nom à la Cerdagne, où se retrouvent Céret et Saint-Laurent-de-Cerdans[13]. Leur principale cité devint la ville de Jerez (Ceret), dont le vignoble donnait, sous les Romains, le ceretanum[5]. Ce qui a été traduit par les Arabes en cherrish puis par les Anglais en sherry[2].
Situation géographique
Le vignoble de Xérès s'étend en majorité dans la province de Cadix, la plus méridionale d'Espagne. Seul le viilage de Lebrija appartient à la province de Séville. Son terroir, bordé au sud-ouest par l'océan Atlantique est en forme de triangle de Jerez de la Frontera au nord à Puerto de Santa Maria au sud, et Sanlucar de Barrameda. Les fleuves Guadalquivir le frme à l'ouest, et Guadalete à l'est.
Orographie
Les vignobles sont implantés sur un terroir vallonné composé essentiellement de collines et coteaux de faible altitude.
Géologie
Le vignoble s'étend sur trois zones géologiques bien différenciées. La première, considérée comme la meilleure, est l'Albariza ou Albera, des terres blanches, qui mêlent chaux, craie, kaolin et argile. Ces sols absorbent l'eau de pluie l'hiver et la restiue aux racines de la vigne en été. En surface, la croûte dure formée par le soleil, évite un maximum d'évaporation. La réverbération sur un sol blanc favorise, quant à elle, la maturité des grappes. C'est le terroir des finos[3].
À côté un sol sablonneux, les Arenas, est beaucoup plus producteur pour la vigne, et les Barros composés d'argiles lourdes, donnent tous deux des vins moins[3].
Climatologie
La région de Jerez de la Frontera a un climat typique de la Méditerranée du sud. Avec son soleil intense, qui brille 300 jours/an, son air marin, porteur d'un peu de fraicheur la nuit et de rosée matinale, ses pluies rares concentrées d'octobre à décembre puis de février à mai, les hivers sont généralement humides mais assez doux, les étés, chaud à torride.
Un régime binaire de vents s'ajoute pour définir une climatologie excessive. Il y d'abord le levante, venu de l'est, qui assèche les grappes et surmurit le raisin, puis souffle en alternance le poniente, vent d'ouest venu de l'océan, qui favorise le développement de la flor.
Données climatologiques de l'observatoire de l'aéroport de Jerez 1971-2000 janv fév mar avr mai jun jul août sept oct nov déc TOTAL Temp. moyenne (°C) 10,7 12,0 14,0 15,4 18,4 22,0 25,5 25,7 23,5 19,1 14,7 11,9 17,7 Temp. maximale (°C) 15,9 17,5 20,2 21,5 24,6 28,8 33,0 33,1 30,2 25,0 20,1 16,8 23,9 Temp. minimale (°C) 5,4 6,6 7,7 9,4 12,1 15,3 18,0 18,4 16,8 13,3 9,2 7,1 11,6 Précipitations (mm) 89 60 42 54 37 13 2 6 22 67 86 109 598 Vignoble
Présentation
Le Marco de Xérès est le territoire vinicole espagnol des provinces de Cadix et de Séville, dans la communauté autonome d’Andalousie, où ce vin produit et élevé. Il regroupe les communes de Jerez de la Frontera, Sanlúcar de Barrameda, El Puerto de Santa María, Trebujena, Chiclana de la Frontera, Puerto Real, Rota, Chipiona et Lebrija. Il se subdivise en deux aires, la zone de production et la zone d'élevage.
Encépagement
- Palomino fino, dit encore palomino blanc ou listan[3], c'est le cépage dominant (près de 90%). Il est utilisé pour obtenir les xérès secs. Sur d'autres terroirs, ce raisin produit un vin sans originalité, doux et plat. Ici, cette apparente neutralité en fait le cépage idéal dont les qualités se révèlent grâce à la façon de vinifier le xérès.
- Pedro ximénez (ou PX), est utilisé pour produire des vins doux. À peine récoltés, ces raisins sont mis à sécher au soleil pendant deux jours afin de concentrer leurs sucres.
- Muscat, Moscatel en castillan, est utilisé de la même façon à Pedro Ximénez, mais il est moins courant.
Méthodes culturales
Les vendanges se font en deux fois au début du mois de septembre. Ce sont les grappes les plus mûres qui sont récoltés et ensuite placées dans l'almiar où elles vont sécher au soleil pendant un jour ou deux[3].
Vinification et élevage
Le goût particulier du vin de Xérès vient de la méthode de vinification employée. En effet, la maturation du xérès se fait en présence d'air dans des fûts de chêne. Il se développe à la surface une pellicule de levures appelée « flor », qui empêche l'oxydation du vin. Cette méthode est également utilisée dans la vinification du vin jaune (vin du Jura).
Vers la fin du mois de décembre, dès qu'est terminée la fermentation alcoolique, ont lieu les premières dégustations sous la responsabilité du catador. Celui-ci est chargé d'inscrire sur chaque tonneau un signe indicant sa classification. Cette annotation est liée à l'importance de la flor à la surface et à l'appréciation du palais des dégustateurs[14]. Le prélèvement dans les bottas se fait à l'aide de la venencia, petit récipient d'argent de forme hémisphérique qui possède une anse souple d'un mètre de long[15].
Premières classifications des xérès[14] Annotation Flor Nombre de marque Qualité Palma
(palme)abondante 1 à x... Fino Palo cortado
(bâton encoché)moins épaisse 1 à x... Oloroso Raya
(raie)1 Gordo puissant et bouqueté idem 1 + * Moins de puissance idem 2 Ârômes moins nets idem # Quema à distiller Puis chaque sélection est envoyée dans une criadera pour y être élevée par solera en étapes successives ou escalas. Trois rangées de fûts contenant le même type de xérès sont stockées les unes sur les autres. Dans chaque rangée, le xérès a un degré de vieillissement différent : en bas le plus vieux, en haut le plus jeune. On soutire régulièrement de la solera (rangée du bas) environ un tiers de xérès destiné à la mise en bouteille. A chaque fois qu’on soutire un certain volume de vin, on le remplace par du vin du fût supérieur et pour finir, on remplit la rangée supérieure ou criadera avec du vin de l’année. De cette manière, le vin jeune est transvasé du haut vers le bas et est mélangé avec des vins plus âgés. Ainsi, les caractéristiques des xérès se maintiennent au cours du temps[14] puisqu'ils sont tous des vins de coupage[16].
Afin d'empêcher que la quantité de vins mis en marché n'augmentent trop au détriment de la qualité, le Consejo Regulador, organe officiel, surveille les stocks afin que ceux-ci ne dépassent pas le quota de vente de 40% par an[2].
Terroir et vins
Le vin de Xérès dispose de deux des 60 DO (Denominación de Origen) d'Espagne : Jerez-Xérès-Sherry et Manzanilla-Sanlucar de Barrameda, deux DO différentes mais avec la même vinification qui leur donne le goût de rancio ou saveur de noistte caractéristique[17]. Elles ont été les deux premières DO espagnoles, créées en 1933.
Les finos
Les Finos sont les moins alcoolisés (environ 15°), très secs et obtenus à partir d'un vieillissement sous voile (appelé « flor »), une technique également utilisée pour l'élaboration du vin Jaune dans le Jura à partir du Savagnin[18]. Une variante, les finos des environs de Sanlùcar de Barrameda, sont vendus sous l'appellation Manzanilla.
- Manzanilla
- Manzanilla pasada
- Fino (très sec et titré à 15,5° en moyenne)
- Fino amontillado
- Amontillado (16,6° avec un goût franc de noisette)
Les amontillados sont de vieux finos qui ont perdu leur voile (ils sont donc plus oxydés) et qui ont vieilli en solera. Ce sont probablement les plus riches Jerez avec les Palo Cortado, une autre variante à mi-chemin entre Fino et Oloroso.
Les olorosos
Alexis Lihine, citant le professeur Émile Peynaud, explique que le xérès oloroso doit son excellence à un processus d'oxydation et à la formation d'aldéhydes [19]. Les olorosos sont plus alcoolisés que les finos (18° à 20°) et plus charpentés. Ils ont des arômes qui rappellent ceux du Whisky. (C'est d'ailleurs plutôt l'inverse car certains Whisky vieillissent dans d'anciens fûts de Jerez)
- Oloroso (franchement capiteux, jusqu'à 18°)
- Medium
- Palo cortado
- Cream
- Pale, pale cream, golden, brown sherry, etc.
- Moscatel
- Pedro ximénez
Structure des exploitations
Type de vins et gastronomie
Ces vins ont depuis toujours été utilisés dans la cuisine locale de Jerez ou de la Basse Andalousie. Leur large gamme offre une multitude de possibilités gastronomiques, notamment dans la nouvelle cuisine. En tant que vin de liqueur, le xérès est généralement considéré comme un apéritif parfait surtout quand il est sec (fino ou manzanilla). Ce même type de vin peut ensuite accompagner potage ou consommé. Par contre, une autre école le juge incomparable après le repas quand il s'agit d'un oloroso[20]. Ils peuvent aussi parfaitement accompagner nombre de mets :
- Le fino et la manzanilla, en apéritif, se servent avec (tapas, olives, fromages à pâte molle, coquillages, etc.) ou sur des poissons blancs. Ils se dégustent entre 7 et 9 °C.
- Le amontillado est généralement proposé avec les fromages, les potages ou consommés, des truites au bleu et des viandes blanches. Il est servi entre 13 et 14 °C.
- Le oloroso se marie avec de la viande rouge et du gibier, à une température de 13 à 14 °C .
- Le pedrojiménez, accompagne les fromages à pâte persillée. Il est parfait à 15 °C.
- Le Pale Cream s'associe au foie gras ou à des fruits frais, il doit être rafraîchi aux environs de 10 °C.
- Le Medium est parfait pour accompagner les pâtés et les entremets. Son service se fait entre 10 et 11 °C.
- Le Cream accompagne toutes sortes de pâtisseries. Il se présente soit à 13 °C soit sur de la glace.
Commercialisation
Fêtes des vendanges
la Fiesta de la vendimia jerezana, qui se déroule dans nombre de villages de l'appellation s'est transformé de fête vigneronne en attraction pour le grand public et en évènement commercial. Une partie de la vendange, réservée à cet effet, est portée solennellement vers le lagar, la cuve où va avoir lieu la pisa. C'est le foulage au pied que vont entreprendre les pisadores. Ceux-ci, tels des héros antiques, arrivent en petite tenue, accompagnés par des jeunes filles en tenue folklorique, tandis que carillonnent les cloches des églises et qu'a lieu un lâcher de colombes[3].
Marché intérieur
Le marché intérieur espagnol absorbe 25 % de la production.
Exportation
Chaque année, plus de cent millions de litres quittent l'Andalousie occidentale pour les pays de l'Union Européenne. L'Angleterre reste le principal marché extérieur avec 29 % de la production´exportée. Ce sont le fino, la manzanilla et le cream qui sont les plus appréciés par les Britanniques, tandis que que les Pays-Bas et l'Allemagne préfèrent le médium.
Le vinaigre de Xérès
Fabrication
Gastronomie
Notes et références
- ↑ Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine
- ↑ a , b , c et d Alexis Lichine, op. cit., p. 749.
- ↑ a , b , c , d , e , f , g , h et i Bibiane Bell et Alexandre Dorozynsky, op. cit., p. 191.
- ↑ Géoraphie de Strabon, III, 1, L'Ibérie et la côte atlantique, § 9
- ↑ a et b Hugh Jonhson, op. cit., p. 85.
- ↑ Alexis Lichine, op. cit., p. 657.
- ↑ Bibiane Bell et Alexandre Dorozynsky, op. cit., p. 70.
- ↑ a et b Hugh Johnson, op. cit., p. 318.
- ↑ Hugh Jonhson, op. cit., p. 319.
- ↑ Bibiane Bell et Alexandre Dorozynsky,op. cit., p. 194.
- ↑ Hugh Johnson, op. cit., p. 317.
- ↑ Alexis Lichine, op. cit., p. 443.
- ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1736.
- ↑ a , b et c Bibiane Bell et Alexandre Dorozynsky, op. cit., p. 192.
- ↑ Alexis Lichine, op. cit., p. 720.
- ↑ Alexis Lichine, op. cit., p. 325.
- ↑ Alexis Lichine, op. cit., p. 611.
- ↑ Alexis Lichine, op. cit., p. 104.
- ↑ Alexis Lichine, op. cit., p. 94.
- ↑ Alexis Lichine, op. cit., p. 29.
Bibliographie
- Bibiane Bell et Alexandre Dorozynsky, Le livre du vin. Tous les vins du monde, sous la direction de Louis Orizet, Éd. Les Deux Coqs d'Or, 29 rue de la Boétie, 75008, Paris, 1970.
- Alexis Lichine, Encyclopédie des vins et alcools de tous les pays, Éd. Robert Laffont-Bouquins, Paris, 1984, (ISBN 2221501950)
- Hugh Johnson, Une histoire mondiale du vin, Éd. Hachette Pratique, Paris, 2002, (ISBN 2012367585)
Voir aussi
Liens internes
Liens externes
- Le vignoble de Xérès, sur Persée
- Vinaigre de Xérès
- Le vin de Xérès sur le site 75cl.com
- Xérès sur le site Vinos de España
- Site officiel des vins de Xérès
- Xérès sur le site Denominaciones de Origen del vino español
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