Scorpiones

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Scorpions

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 Heterometrus spinifer
Heterometrus spinifer
Classification
Règne Animalia
Embranchement Arthropoda
Sous-embr. Chelicerata
Classe Arachnida
Ordre
Scorpiones
Koch, 1837

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Les scorpions (ou Scorpiones en latin) sont un ordre d'arthropodes de la classe des arachnides. Ils se distinguent des araignées par leurs pédipalpes en pinces et par l'aiguillon venimeux qu'ils portent au bout de leur abdomen.

Sommaire

Anatomie

Caractéristiques

Sous le terme général de scorpions il est entendu non seulement les vrais scorpions (scorpio), mais également tous les arachnides de l'ordre des Scorpiones, caractérisés par :

  • leurs chélicères terminées en pinces didactyles ;
  • leur abdomen divisé en deux régions, dont la postérieure, effilée en queue, finie par un aiguillon aigu dans lequel débouchent des glandes à venin.

Morphologie

Le corps d'un scorpion est divisé en trois parties : le céphalothorax (ou prosoma), le mésosoma et le métasoma (certains regroupent ces deux derniers en abdomen ou opisthosoma).

  • le céphalothorax est recouvert sur sa face dorsale par la carapace (ou bouclier) qui porte deux yeux médians et de deux à cinq paires d'yeux latéraux plus petits, et présente, sur sa face ventrale, quatre paires de pattes locomotrices et une paire de pédipalpes (ou pattes mâchoires). La bouche située en partie tout à fait antérieure est encadrée par une paire de chélicères ;
  • le mésosoma, la partie avant de l'abdomen, est divisée en sept segments. Le premier contient les organes sexuels qui débouchent en face ventrale sous l'opercule génital, le second porte les peignes (organes sensoriels) et les trois suivants portent quatre paires de poumons qui s'ouvrent en face ventrale par des stigmates ;
  • le métasoma, ou queue, est divisé en cinq segments, le dernier portant l'anus et le telson qui est la vésicule à venin terminée par un aiguillon.

Les pattes locomotrices sont composées de huit articles et se terminent par une paire de griffes. Les pédipalpes couramment appelés « pinces » servent principalement pour la capture des proies mais aussi lors des danses nuptiales. Ils sont divisés en six segments. Le premier est la pince elle-même, divisée en un doigt fixe (tibia) et un doigt mobile (tarse). Leur taille varie fortement selon les espèces.

Les peignes, organes spécifiques aux scorpions sont recouverts de milliers de capteurs chimiques. Leurs fonctions sont mal connues, ils servent à détecter la texture et sans doute d'autres caractéristiques du sol. La cuticule des scorpions qui constitue leur exosquelette, a la particularité d'être fluorescente en lumière noire (rayonnement UV de 350 à 370 nm). Cette fluorescence due à la structure même de la cuticule se conserve à la mort de l'animal, et certains fossiles sont encore fluorescents.

Les chélicères sont les "mâchoires" des scorpions. Situées à l'extrémité antérieure du prosoma, elles se composent de trois articles dont deux distaux forment une pince, l'ensemble étant dans un plan horizontal ; les doigts sont recouverts de longues soies et certaines espèces possèdent des soies spatulées qui ont une fonction stridulatoire. Les doigts mobiles et fixes des chélicères possèdent des dents pour la mastication[1].

Cycle de vie et reproduction

La plupart des scorpions se reproduisent par reproduction sexuée, mais quelques espèces sont parthénogénétiques, des œufs non fécondés donnant naissance à des jeunes. Le dimorphisme sexuel est faible, les mâles sont parfois plus élancés avec une queue plus fine et des segments plus longs, mais seuls des détails anatomiques subtils permettent aux spécialistes de distinguer à coup sûr les sexes.

Lors de la parade, mâle et femelle se tiennent par les pinces et semblent exécuter une danse qui permet en fait au mâle de tirer la femelle vers un endroit propice où il va déposer son spermatophore (baguette de quelques millimètres à un centimètre selon les espèces) qu'il colle au sol. Le mâle doit ensuite amener la femelle exactement au-dessus de ce spermatophore pour qu'il rentre dans ses organes sexuels. Il peut arriver que la femelle dévore le mâle à la fin de cette danse.

Les scorpions sont vivipares ou ovovivipares et donnent naissance à chaque portée selon les espèces entre trois et plus d'une centaine de petits appelés pullus que la femelle porte sur son dos de quelques jours à quelques mois. Comme tous les animaux possédant un exosquelette, la croissance se fait par mues successives. Les jeunes scorpions muent fréquemment jusqu’à l’âge adulte ; à partir de ce moment, les mues seront plus espacées dans le temps. Un scorpion vit entre 3 et 10 ans selon les espèces, les plus grandes vivant plus longtemps.

Écologie

Habitat

Les espèces actuelles sont toutes terrestres et elles peuvent être retrouvés dans une zone limitée au nord comme au sud aux environs du 50e degré de latitude. Les scorpions sont des animaux particulièrement résistants que ce soit au froid, à la chaleur, au jeûne ou même aux radiations ionisantes (plus de 150 fois la dose mortelle pour l'homme : 900 Gy contre 6). Ils ont une grande faculté d'adaptation qui leur a permis de s'installer sur tous les continents et dans tous les biotopes y compris sous la neige et des zones marines intertidales. On peut aussi bien les trouver à 800 m de profondeur qu'à 5 500 m d'altitude. La plus forte concentration de scorpions se trouve dans l'hémisphère sud, et on les trouve surtout dans les régions chaudes.

En France, il y en a au Sud de la ligne Bordeaux - Lyon. Les deux seules espèces présentes dans cette zone sont le Buthus occitanus et l'Euscorpius flavicaudis. Les piqûres de ces deux espèces ne sont ni mortelles, ni même dangereuses. Si leur venin peut avoir une action paralysante modérée, en s'attaquant aux nerfs, la plupart du temps le traitement est seulement symptomatique. Dans le sud de la France, ces deux espèces sont dans les caves pendant l'hiver et remontent dans les habitations l'été. Fréquemment, dans la nature, elles sont découvertes sous les pierres ou dans les vieille souches. Leur absence totale de Nouvelle-Zélande dénote une intéressante similarité avec la répartition des mammifères. (chat du désert)

Activité

Leur activité est essentiellement nocturne et crépusculaire. Les scorpions sont des prédateurs essentiellement insectivores. Ils se nourrissent uniquement de proies vivantes qu'ils paralysent à l'aide de leur venin ou maintiennent solidement entre leurs pinces (appelées pédipalpes). Ils utilisent toutefois leur venin avec parcimonie, le stock mettant deux semaines à se reconstituer. La piqûre de l'aiguillon caudal, très douloureuse, produit des accidents qui peuvent devenir mortels pour l'homme, surtout quand il s'agit des grands Androctonus d'Afrique et Centruroides d'Amérique du Sud.

Ils sont retrouvé sous les pierres, dans les endroits arides, dans les vieux murs, mais quelques-uns y préfèrent les habitations : ils peuvent se cacher sous les lits, les draps ou dans les couvertures.

Venin

Plus d'un million de personnes sont piquées chaque année par un scorpion, le nombre de décès s’élevant à un peu plus de 3000[2], mais les chiffres sont très vraisemblablement sous estimés car les piqûres sont loin d'être toutes inventoriées et les décès souvent en dehors de toute prise en charge médicale[3].

Toutes les espèces de scorpions sont venimeuses et la quasi totalité des espèces utilisent des venins neurotoxiques (à l'exception d’Hemiscorpius lepturus qui possède un venin cytotoxique). Les neurotoxiques utilisés sont en général de petites protéines et des ions sodium et potassium qui vont interférer avec le système nerveux de la victime[4]. Leur action est en général très rapide.

Le venin des scorpions est particulièrement efficace contre les autres arthropodes mais peu contre les humains. Les piqûres chez ces derniers ne produiront que des effets locaux divers : douleur, engourdissement et gonflements. Cependant, quelques espèces, en particulier de la famille Buthidae peuvent être plus dangereux. Parmi les espèces les plus dangereuses pour l'homme citons le Leiurus quinquestriatus, et les espèces des genres Parabuthus, Buthus, Tityus, Centruroides et Androctonus. Il est généralement estimé que passées les 24 premières heures après la piqûre, tout risque mortel est écarté.

En général, les scorpions ne peuvent injecter assez de venin pour tuer des adultes en bonne santé sauf pour les espèces très toxiques. En revanche, les enfants, les personnes âgées et les personnes malades sont plus exposées. Le danger d'une allergie au venin existe pour certaines espèces. De manière générale, les scorpions ne piquent que s'ils se sentent menacés et préfèrent souvent prendre la fuite, mais l'agressivité diffère en fonction des espèces. Les espèces les plus dangereuses se trouvent au Sahara. À titre d'exemple, selon les statistiques du ministère de la santé algérien, sur 45 391 personnes piquées par des scorpions, 62 sont mortes en 2006. Au Maroc, plus de 80 personnes sont mortes durant l'année 2006. Tandis que durant des années records au Mexique, il a été fait état de 1 000 morts en une seule année.

Les signes peuvent aller d'une simple douleur sur le point de ponction à des signes généraux sévères, à type de troubles de la coordination des mouvements, troubles visuels ou œdèmes pulmonaires[5].

Il a aussi été démontré récemment que le venin de l'espèce Androctonus crassicauda pouvait entraîner en 90% des cas une érection sur une très longue durée qui selon les chercheurs pourrait être mortelle[réf. nécessaire]. Cependant cette espèce n'est pas réputée pour être agressive. Des traitements sont aujourd'hui en cours de test dans de nombreux laboratoires.

Toxicité du venin

Toxicité du venin de scorpions d'importance médicale selon leur dose létale 50 (en mg par kg)

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Toxicité du venin de scorpions d'importance médicale
Taxon DL50
(en mg/kg)
Leiurus quinquestriatus 0,25
Androtonus mauretanicus 0,31
Androctonus bicolor 0,31
Androctonus australis 0,32
Centruroides santa maria 0,39
Androctonus crassicauda 0,40
Tityus serrulatus 0,43
Tityus stigmurus 0,43
Buthiscus bicalcaratus 0,60
Centruroides limpidus tecomanas 0,69
Androctonus amoreuxi 0,75
Mesobuthus martensii 0,80
Buthus occitanus tunetanus 0,90
Centruroides sculpturatus 1,12
Buthus mardochei 1,50
Tityus trinitatis 2,0
Mesobuthus tamulus 2,25
Parabuthus transvaalensis 4,25

(Ici sont présentés seulement les tests de venins en injection sous-cutané « SC ». Le modèle le plus proche de la réalité lorsqu'une piqûre de scorpion survient)

Traitement

La base en est l'administration de sérum anti-venimeux. Sa disponibilité est cependant précaire, la production de ces derniers étant bien inférieure aux besoins estimées, comme le pointe un rapport publiée par l'Organisation Mondiale de la Santé datant de 2007[6]. L'efficacité de tous les sérums n'est cependant pas sure[7] ou n'a été testé que sur un faible nombre de patients[8].

Le traitement des formes graves requiert une hospitalisation en milieu spécialisé avec administration de fortes doses de benzodiazépines[9]. L'utilisation de sérum anti-venimeux, lorsqu'il est disponible, permet la rétrocédation rapide des symptômes[5].

Taxonomie

Origines

Les scorpions font leur apparition il y a 450 millions d'années à l'époque ordovicienne  : ce sont les premiers arthropodes terrestres connus. À cette époque, ils sont aquatiques ou du moins amphibies, munis de branchies et d'yeux latéraux.

Le Pterygotus ou « scorpion de mer » était un arthropode marin d'environ deux mètres de long. Les scorpions passent ensuite à une existence uniquement terrestre à l'aide de poumons et de griffes, entre −380 millions et −350 millions d'années (Carbonifère - Dévonien).

Classification

Tous les scorpions actuels sont classés dans l'infra-ordre des Orthosterni[10].

Comportement suicidaire

Dans la préface de sa pièce Chatterton, l'écrivain français Alfred de Vigny raconte l'anecdote suivante :

« Il y a un jeu atroce commun aux enfants du midi ; tout le monde le sait. On forme un cercle de charbons ardens ; on saisit un scorpion avec des pinces et on le pose au centre. Il demeure d'abord immobile jusqu'à ce que la chaleur le brûle ; alors il s'effraie et s'agite. On rit. Il se décide vite, marche droit à la flamme, et tente courageusement de se frayer une route à travers les charbons ; mais la douleur est excessive, il se retire. On rit. Il fait lentement le tour du cercle et cherche partout un passage impossible. Alors il revient au centre et rentre dans sa première mais plus sombre immobilité. Enfin, il prend son parti, retourne contre lui même son dard empoisonné, et tombe mort sur-le-champ. On rit plus fort que jamais[11]. »

— Alfred de Vigny, Dernière nuit de travail (préface à Chatterton).

De même, il est parfois perçu que l'alcool fort, versé en plus ou moins grande quantité sur le scorpion, produirait le même comportement suicidaire[12].

Expérience de Jean-Henri Fabre

Dans la septième série de ses Souvenirs entomologiques[13], le naturaliste Jean-Henri Fabre se demande ce qu'il y a « de vrai dans l’histoire du Scorpion qui, entouré d’un cercle de feu, met fin à son supplice en se piquant de son dard empoisonné »[14] et cherche à trancher la question du « suicide du scorpion affirmé par les uns, nié par les autres »[14] à l'aide d'expériences sur « le gros Scorpion blanc du Midi, le Buthus occitanus »[14].

Il commence par s'assurer de la toxicité pour les scorpions de leur propre venin en forçant deux individus à se battre : « L’assaut est bref. L’un des Scorpions est atteint en plein par l’arme empoisonnée de l’autre. C’est fini : en peu de minutes le blessé succombe. »[14] Après quoi le vainqueur dévore lentement le vaincu.

Puis il procède à l'expérience proprement dite :

« Au centre d’une enceinte de charbons allumés, je dépose le plus gros sujet de ma ménagerie. Le soufflet active l’incandescence. Aux premières morsures de la chaleur, l’animal tourne à reculons dans le cercle de feu. Par mégarde, il se heurte à la barrière ardente. C’est alors, d’un côté, de l’autre, au hasard, recul désordonné qui renouvelle le contact cuisant. À chaque essai de fuite, la brûlure reprend plus vive. L’animal est affolé. Il avance et se rôtit ; il recule et se rôtit. Désespéré, furieux, il brandit son arme, la convolute en crosse, la détend, la couche, la relève avec telle précipitation et tel désordre qu’il m’est impossible d’en suivre exactement l’escrime.

Le moment serait venu de s’affranchir de la torture par un coup de stylet. Voici qu’en effet, d’un spasme brusque, le torturé s’immobilise, étendu à plat, tout de son long. Plus de mouvement, l’inertie est complète. Le Scorpion est-il mort ? On le dirait vraiment. [...].

Dans mon incertitude, je cueille du bout des pinces l’apparent trépassé, et je le dépose sur un lit de sable frais. Une heure plus tard, le prétendu mort ressuscite, vigoureux comme avant l’épreuve. Je recommence avec un second, avec un troisième sujet. Mêmes résultats. Après des affolements de désespéré, même soudaine inertie de l’animal, qui s’étale à plat comme foudroyé : même retour à la vie sur la fraîcheur du sable[14]. »

— Jean-Henri Fabre, Souvenirs entomologiques (Livre VII, Chap. 3)

Bien qu'il reconnaisse n'avoir pas pu suivre les mouvements du dard, Jean-Henri Fabre en conclut que c'est la chaleur qui cause un spasme au scorpion, et non pas sa propre piqûre[15].

Autres explications

D'autres sources laissent entendre que le scorpion mourrait bien de sa piqûre lorsqu'il est en situation de danger, mais que cela serait accidentel : « En situation de danger, le scorpion frappe au hasard. Il lui arrive d'être sa propre victime »[16].

Quant à l'alcool, il est supposé que son évaporation rapide à la surface de sa carapace provoque une « morsure de froid »[17] tout aussi désagréable pour le scorpion (poïkilotherme) que la chaleur du feu.

Symbolique

Art martial

L'art martial du scorpion symbolise le scorpion : coriace, petit, avec une queue mortellement redoutable. L'observation et la réalisation y sont en adéquation.

Photographies

Notes et références

  1. Gérard Dupré et csrt, Les scorpions. Biologie et Elevage,Paris, Ed. Philippe Gérard, 1998
  2. Chippaux JP, Goyffon M, Epidemiology of scorpionism: a global appraisal, Acta Trop, 2008;107:71-9
  3. Mills EJ, Ford N, Research into scorpion stings, BMJ, 2011;342:c7369
  4. Rodríguez de la Vega RC, Possani LD, Overview of scorpion toxins specific for Na+ channels and related peptides: biodiversity, structure-function relationships and evolution, Toxicon, 2005;46:831-844
  5. a et b Curry SC, Vance MV, Ryan PJ, Kunkel DB, Northey WT, Envenomation by the scorpion Centruroides sculpturatus, J Toxicol Clin Toxicol, 1983;21:417-449
  6. WHO, Rabies and envenomings: a neglected public health issue. Report of a consultative meeting, 2007
  7. Abroug F, ElAtrous S, Nouira S et Als. Serotherapy in scorpion envenomation: a randomised controlled trial, Lancet, 1999;354:906-9
  8. Boyer LV, Theodorou AA, Berg RA et Als. Antivenom for critically ill children with neurotoxicity from scorpion stings, N Engl J Med, 2009;360:2090-8
  9. Gibly R, Williams M, Walter FG, McNally J, Conroy C, Berg RA, Continuous intravenous midazolam infusion for Centruroides exilicauda scorpion envenomation, Ann Emerg Med, 1999;34:620-625
  10. Gérard Dupré, 2007 :Conspectus genericus scorpionorum 1758–2006 (Arachnida: Scorpiones) Euscorpius, n. 50, p. 1-33.
  11. M. le Comte Alfred de Vigny, Dernière nuit de travail (du 29 au 30 juin 1834), préface à Chatterton — drame en trois actes, Éditeur Neirinckx & Laruel, 1835, préface p. 10. Google livres
  12. Choses étranges. Consulté le 1er août 2010, Savoir Inutile. Consulté le 1er août 2010
  13. Souvenirs entomologiques sur Wikisource
  14. a, b, c, d et e Jean-Henri Fabre, Souvenirs entomologiques, Livre VII, Chapitre 3 l'Hypnose — Le suicide, 1901
  15. Voir page de discussion pour des réserves sur l'expérience de Jean-Henri Fabre
  16. Revue Eurêka, septembre 1997 p. 72
  17. L'Enthalpie de vaporisation de l'alcool pur mesuré à son Point d'ébullition est de 35,3 kJ mol-1 ou 841 kJ kg-1.

Bibliographie

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  • Bawaskar, H. S. (1999-03-15). Scorpion Sting: Clinical Manifestations, Management and Literature. Sangam Books Ltd. ISBN 978-81-7154-718-0.
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3 Soleglad, Michael E., Victor Fet (2003), « High-level systematics and phylogeny of the extant scorpions (Scorpiones: Orthosterni) » (multiple parts), Euscorpius (Marshall University) 11: 1–175. http://www.science.marshall.edu/fet/euscorpius/pubs.htm. Consulté le 13 juin 2008.

  • Scott A. Stockwell, 1989, Revision of the Phylogeny and Higher Classification of Scorpions (Chelicerata), Ph.D. Dissertation, University of California, Berkeley
  • Soleglad, Michael E., Victor Fet & F. Kovařík (2005), « The systematic position of the scorpion genera Heteroscorpion Birula, 1903 and Urodacus Peters, 1861 (Scorpiones: Scorpionoidea) », Euscorpius (Marshall University) 20: 1–38. http://www.science.marshall.edu/fet/euscorpius/p2005_20.pdf. Consulté le 13 juin 2008.

Voir aussi

Références externes

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