Banane

Banane
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Des bananes sur un étal.

La banane est le fruit, ou baie dérivant de l’inflorescence du bananier. Les bananes sont les fruits climactériques très généralement stériles issus de variétés domestiquées. Les fruits des bananiers sauvages possèdent des graines et sont généralement jaunes lorsqu'ils sont mûrs.

Les bananes constituent un élément essentiel du régime alimentaire de certains pays et constituent une nourriture de base pour des millions de personnes sous les tropiques.

Le mot « banane » est dérivé du portugais, lui-même probablement emprunté au bantou de Guinée ou à l’arabe « banan » (بنان) (qui signifie « doigts »), dans l’expression en portugais rapportée en 1602 « Figuera Banana » (« figuier portant bananes »)[1]. Elle est appelée « figue », en créole, à la Réunion et aux Antilles.

Sommaire

Histoire

Les bananes trouvent leur origine dans une zone qui va de l'Inde au sud de la Chine via la Birmanie, de Taïwan jusqu'au nord de l'Australie et la Polynésie via les Philippines, l'Indonésie et la Nouvelle-Guinée. On retrouve encore dans ces régions des bananiers sauvages riches en graines et pauvres en pulpe dans les milieux ouverts (clairières, lisières des forêts). Des traces de production bananière pour une consommation humaine datant d'environ sept mille ans[2] ont été trouvées en Malaisie et en Nouvelle-Guinée.

Les plantations de bananes commerciales sont devenues un des symboles de la colonisation : une monoculture imposée pour répondre aux besoins des consommateurs de métropole. Au XIXe siècle, la United Fruit Company investit l'Amérique centrale, utilisant sa puissance économique avec la menace de l'appui militaire des États-Unis pour transformer les fragiles démocraties en républiques bananières. Strictement parlant, ces pays producteurs n'étaient pas des colonies, mais l'influence de la United Fruit Company, initialement au Costa Rica et bientôt dans pratiquement toute l'Amérique centrale, a donné naissance à l'expression « république bananière » pour désigner l'immense pouvoir « néocolonial » qu'exerçait la compagnie fruitière américaine. En 1911 par exemple, lors d'un soulèvement populaire contre le gouvernement du Honduras, la raison officielle invoquée pour l'intervention de l'armée américaine était la protection des « travailleurs américains » de la United Fruit Company, qui avait fait de ce pays son principal fournisseur de bananes.

Les exportations (essentiellement la variété « Gros Michel »[3]) au début du XXe siècle sont assurées par les navires à vapeur produisant du froid dans les cales. Le mode de transport par navire reefer s'impose dans les années 1950 alors que la demande des marchés développés s'accroît au nord. Les années 1970 à 1990 voient les armateurs accumuler d'importantes capacités de transport en ligne pour s'adapter au mieux à la massification et à la conteneurisation des exportations bananières en défiant la concurrence. Le mode de transport bascule dans les années 1990 du navire reefer vers le conteneur à 55 %.

Botanique

Description

La banane est un long fruit légèrement incurvé, souvent regroupé sur le bananier en grappes nommées « régimes ». La banane possède une peau de couleur jaune ou verte facile à détacher. La partie intérieure est une pulpe {{wikt:amylacé|amylacée}} au goût sucré et à la consistance généralement fondante. Sur le plan botanique, la banane sauvage diploïde (2 × 11 chromosomes) est une baie polycarpique, c'est-à-dire contenant de nombreux pépins anguleux durs. Cependant, les variétés commerciales triploïdes (3 × 11 chromosomes) produisent des baies parthénocarpiques formées sans fécondation, qui ne contiennent donc pas de graines (si on fend cette « banane domestique » dans le sens de la longueur, on observe une série longitudinale de taches noires qui sont des ovules non fécondés).

Les bananes mûres sont riches en potassium et en sucres. Elles sont très nourrissantes (90 kcal/100 g) et très digestes en raison de leur faible teneur en graisses. C’est la raison pour laquelle elles sont le plus souvent consommées crues. Les bananes sont cueillies vertes dans les plantations, aussi appelées bananeraies. Moins fragiles que les bananes mûres, elles supportent mieux le transport. Elles sont immédiatement acheminées vers les centres de distribution (marchés d’exportation), où le processus de maturation est parfois activé en ajoutant aux fruits de l’éthylène (fruit climactérique[4]). En conditions naturelles, cet hydrocarbure est fabriqué par la plante elle-même.

L’arôme principal de banane est l’acétate d’isoamyle.

Sélection au cours des siècles

Bananes rouges

Les bananes consommées de nos jours appartiennent toutes au genre Musa, au sein duquel on distingue quatre sections : Rhodochlamys, Callimusa, Eumusa et Australimusa. Les deux premières contiennent essentiellement des variétés ornementales. La section Australimusa contient un certain nombre d’espèces sauvages, parfois cultivées pour leurs fibres (Musa textilis), et des variétés cultivées pour leurs fruits, les Fe’is, présents uniquement dans le Pacifique. La section Eumusa est quant à elle à l’origine de la majorité des bananiers cultivés pour leurs fruits dans le monde. On y retrouve des variétés sauvages, diploïdes et fertiles, des variétés ancestrales, également diploïdes mais assez fortement stériles pour que leurs fruits soient consommables (absence de graines dans les fruits), et de nombreuses variétés cultivées, triploïdes et stériles.

Origine

Une hypothèse récente est que la domestication des bananes Eumusa se soit produite il y a environ 10 000 ans, dans les hautes terres de Nouvelle-Guinée. La variété Musa acuminata banksii, à l’origine de la plupart de celles qui sont cultivées aujourd’hui, y serait née et se serait ensuite répandue en Asie du Sud-Est où elle se serait hybridée avec les variétés locales[5]. Les formes sauvages Musa acuminata et Musa balbisiana se rencontrent encore aujourd’hui dans une grande partie du Sud Est Asiatique, de l’Inde à la Papouasie-Nouvelle-Guinée.

Sélection

La sélection par l’homme a permis au fil des siècles de créer les variétés consommées de nos jours. Plusieurs équipes de recherche développent actuellement des programmes d’amélioration variétale du bananier à travers le monde, comme l'Université catholique de Louvain (Belgique), le Cirad aux Antilles françaises, l’Embrapa au Brésil, la FHIA au Honduras, le CARBAP au Cameroun et de nombreux autres organismes en Inde, au Viêt Nam, en Afrique… Selon les écoles, les stratégies d’amélioration sont variées, mais reposent toutes plus ou moins sur des biotechnologies modernes. Elles permettent de créer de nouvelles variétés plus résistantes aux parasites et ravageurs de cette culture. La recherche internationale sur le bananier est fédérée par l’INIBAP, une organisation internationale membre du CGIAR. L’INIBAP gère entre autres une banque de gènes du bananier, stockée in vitro à Louvain (Belgique) ainsi qu’une base de données sur les ressources génétiques du bananier appelée Musa Germplasm Information System (MGIS[6]). Le système d’information sur les ressources génétiques de Musa contient une information détaillée et standardisée sur les accessions détenues par de nombreuses banques de gènes autour du monde.

La plante

Article détaillé : Bananier.

Bien que le bananier puisse atteindre une taille relativement grande (9 mètres), ce n’est pas un arbre. En effet, il ne forme pas un tronc ligneux. Le pseudo-tronc est en réalité formé par les pétioles des feuilles. Ceux-ci se recouvrent partiellement et constituent une structure portante, un « faux tronc ». Les pétioles portent à leur extrémité un grand limbe allongé avec au centre une nervure médiane. Les feuilles peuvent atteindre 4 m de long et 1 m de large. La tige du bananier est très courte et entièrement souterraine. Elle apparaît sur un rhizome, qui produit régulièrement de nouvelles tiges. Le rhizome porte une masse importante de racines longues et fines, situées juste sous la surface du sol.

Floraison

La floraison se produit au bout de sept mois et les fruits mûrissent quatre mois plus tard. Après la floraison, le bananier meurt, mais en même temps, la tige souterraine forme des rejets latéraux. Ce sont ceux-ci qui reforment de nouvelles plantes.

Après environ un an et demi, le bananier est capable de fleurir. La tige souterraine forme alors une inflorescence qui se développe au travers du « faux-tronc » creux pour apparaître au centre des feuilles. Au début, l’inflorescence est dressée mais, sous l’effet du poids, elle va rapidement devenir pendante. Les fleurs qui apparaissent à l’extrémité de l’inflorescence (donc en dessous) sont mâles, celles situées plus vers le début de l’axe (donc au-dessus) sont femelles. Ces dernières vont donner naissance aux bananes. Entre les fleurs mâles et les femelles, il peut encore y avoir des fleurs stériles. Sur l’axe de l’inflorescence, les fleurs sont implantées en plusieurs rangées doubles transversales. Chaque rangée double est protégée par une bractée pourpre. Chaque jour, une bractée va s’enrouler et tomber, libérant ainsi les fleurs qui pourront être pollinisées. Les fleurs fécondées donneront naissance aux fruits. Dans la nature, ce sont les chauves-souris qui assurent la pollinisation. Chaque régime peut comporter jusqu’à 200 fruits. Les bananes sont généralement vendues sous forme de « mains », correspondant chacune à une double rangée de fleurs femelles.

Culture en zone tempérée

Parmi les bananiers comestibles, seul le bananier nain, Musa acuminata 'Dwarf Cavendish', se prête facilement à être cultivé chez soi. Cette variété reste relativement petite, 2 m au maximum. La plante demande beaucoup d’eau, beaucoup de nourriture, une forte humidité atmosphérique et beaucoup de lumière. Le bananier nain n’est pas trop sensible aux basses températures et supporte jusqu’à un minimum de 10 °C durant l’hiver. D’autres bananiers sauvages peuvent être cultivés de la même manière. Musa textilis (qui fournit des fibres textiles) et Musa basjoo conviennent à une serre de petite dimension.

Typologie

Différentes variétés de bananes

Il existe de très nombreuses variétés de bananes, utilisées comme fruit (banane dessert) ou comme légume (banane à cuire).

  • Banane Cavendish : la banane fruit classique, sucrée, longue et de couleur jaune.
  • Plantain ou banane plantain : fruit d’une variété de Musa Paradisiaca. Elle est généralement plus grosse et plus longue que la banane fruit. Sa chair est un peu rosée et est plus pauvre en sucre et plus riche en amidon, ce qui la rend plus ferme, lui conférant une bonne tenue à la cuisson. Elle est de ce fait beaucoup utilisée comme un légume. Souvent cuisinée avant complète maturité, elle doit être blanchie (passage à l’eau bouillante salée) pour pouvoir être pelée puis passée à la friture ou utilisée dans des ragouts comme la pomme de terre.
  • En Afrique sub-saharienne, la banane plantain est le plus souvent consommée à maturité, bouillie, grillée ou frite. Dans ce cas, l’étape de blanchiment n’est pas nécessaire, elle est cependant plus molle et sucrée à ce stade.

Économie

Les bananes figurent incontestablement parmi les fruits tropicaux les plus importants. En 1992, la production totale s’élevait à 66 millions de tonnes (bananes et bananes plantains) ; elle n’était dépassée que par la production d’agrumes.

Le marché de la banane est libéralisé depuis 2006. Les exportations connaissent en conséquence des mutations rapides et récentes. Trois grandes destinations d'exportations de bananes par transport reefer subsistent :

  • les États-Unis depuis l'Amérique centrale (zone historique de la banane dollar)
  • le Japon depuis les Philippines
  • l'Europe depuis l'Afrique et l'Amérique latine.

Pour donner un aperçu succinct en 2008 des dépendances économiques engendrées par l'économie bananière libéralisée, l'Amérique latine exporte 10,3 millions de tonnes de bananes, alors que l'Asie exporte 1,9 million.

Le marché mondial de la banane est dominé à 60 % par trois multinationales américaines :

Au niveau macroéconomique, la part du prix final - payé par le consommateur - qui revient dans le pays producteur est de 10 à 20 %. La part des hommes et des femmes qui travaillent dans les plantations est de 1,5 à 3 %. Au Guatemala par exemple, la plupart des salariés de l'industrie de la banane ne gagnent pas le salaire minimum légal de 5 dollars par jour.

Bien que l'économie bananière soit dominée par des plantations de moyenne et grande taille, il existe une dizaine de milliers de petits producteurs qui continuent de fournir le marché international.

Marché mondial de la banane

Production

En termes de valeur de production, les bananes et les bananes plantain se situent au quatrième rang des plantes alimentaires d’importance au niveau mondial. Les bananes exportées sont placées au quatrième rang des produits de base au niveau mondial et au troisième rang en tant que fruit (derrière l’orange et le raisin).

La production est assurée à 50 % par un seul groupe de bananes cultivées appelé Cavendish[7] qui est victime dans certains pays asiatiques de la « maladie de Panama »[8]. La maladie qui frappe la Cavendish constitue un avertissement et il serait bon de songer à lui trouver une remplaçante au cas où elle devrait subir le même sort que la variété « Gros Michel », elle aussi attaquée par un champignon, et disparue des étals depuis 1960.

Production en tonnes (2008)
Données de FAOSTAT (FAO) [9]

Drapeau d'Inde Inde 23 204 800 25,6 %
Drapeau des Philippines Philippines 8 687 624 9,6 %
Drapeau de Chine Chine 8 042 702 8,9 %
Drapeau : Brésil Brésil 7 116 808 7,8 %
Drapeau d'Équateur Équateur 6 701 146 7,4 %
Drapeau d'Indonésie Indonésie 5 741 352 6,3 %
Drapeau de Tanzanie Tanzanie 3 500 000 3,9 %
Drapeau du Mexique Mexique 2 159 280 2,4 %
Drapeau de Thaïlande Thaïlande 2 000 000 2,2 %
Drapeau du Costa Rica Costa Rica 1 881 783 2,1 %
Drapeau du Burundi Burundi 1 850 000 2,0 %
Drapeau de Colombie Colombie 1 819 874 2,0 %
Drapeau du Guatemala Guatemala 1 569 460 1,7 %
Drapeau du Viêt Nam Viêt Nam 1 355 000 1,5 %
Drapeau d'Égypte Égypte 1 062 453 1,2 %
Autres pays 14 013 640 15,4 %
Total 90 705 922 100 %

Exportations mondiales

En milliers de tonnes (2004)
Données de FAOSTAT (FAO) et L'Express[10],[11]
Drapeau d'Équateur Équateur 4 444
Drapeau des Philippines Philippines 2 383
Drapeau du Costa Rica Costa Rica 2 008
Drapeau de Colombie Colombie 1 468
Drapeau du Guatemala Guatemala 964
Drapeau du Cameroun Cameroun 262
Drapeau de Côte d'Ivoire Côte d'Ivoire 229

Accès au marché de l'Union européenne

Article détaillé : Conflit de la banane.

En 1993, des quotas ont été fixés par région de production pour l’accès au marché de l’Union européenne mais, depuis, celle des Caraïbes a diminué au profit de l’Afrique, en particulier le Cameroun. En février 2006, une révision pour réduire le commerce des licences n'a pas porté ses fruits.

Consommation

Dans les pays producteurs, les bananes et les bananes plantain constituent une ressource alimentaire importante pour plus de 400 millions d'habitants des pays tropicaux de la planète[12]. Au niveau mondial, les bananes et les bananes plantain sont la quatrième denrée alimentaire de base, plus importantes que le maïs. Deux autres atouts majeurs font de la banane un élément alimentaire vital dans de nombreuses zones rurales pauvres : sa haute valeur nutritionnelle (riches en vitamines A, C et B6, par exemple), et sa production sans interruption pendant toute l'année.

Dans les pays importateurs, même si la sécurité alimentaire des consommateurs ne dépend pas de la disponibilité de la banane, le fruit se trouve sur les étals toute l'année. En 2003, selon la FAO, les Suédois en consommaient 19 kg par habitant et par an, les Danois, 14 kg, et les Norvégiens, 13 kg.

La pomme est le premier fruit consommé en France (part de marché en 2010 : 22,6 %) devant l'orange (12,3%) et la banane (12,2%)[13].

Utilisations

Pour l'alimentation

Il existe deux grands types de banane d’un point de vue alimentaire : les bananes douces ou bananes dessert, et les bananes à cuire, parmi lesquelles les bananes plantains occupent une place prépondérante.

La banane sert à la fabrication de bières locales dans de nombreux pays africains (kasiksi, bière de banane) ainsi que de bières artisanales ou industrielles dans les pays à tradition brassicole.

La banane est un fruit très énergétique (90 kilo calories/100 g) et très riche en potassium, dont elle peut couvrir les besoins quotidiens. Nutritive, facile à digérer, elle est riche en hydrates de carbone, phosphore, calcium, fer, vitamines A, B et C. Son goût est dû à l’acétate d’isoamyle. Elle est aussi vendue sous forme de nectar.

La fleur de banane (babafigue) est également consommée par exemple à La Réunion en accompagnement du carry.

Valeur nutritive

Banane crue
(valeur nutritive pour 100 g)

eau : 74,91 g cendres totales : 0,82 g fibres : 2,6 g valeur énergétique : 89 kcal
protéines : 1,09 g lipides : 0,33 g glucides : 22,84 g sucres simples : 12,23 g
oligo-éléments
potassium : 358 mg magnésium : 27 mg phosphore : 22 mg calcium : 5 mg
sodium : 1 mg cuivre : 78 µg fer : 26 µg zinc : 15 µg
vitamines
vitamine C : 8,7 mg vitamine B1 : 31 µg vitamine B2 : 73 µg vitamine B3 : 665 µg
vitamine B5 : 334 µg vitamine B6 : 367 µg vitamine B9 : 0 µg vitamine B12 : 0 µg
vitamine A : 64 UI rétinol : 0 µg vitamine E : 0,10 µg vitamine K : 0,5 µg
acides gras
saturés : 112 mg mono-insaturés : 32 mg poly-insaturés : 73 mg cholestérol : 0 mg

Autre utilisation

Milena Rodrigues Boniolo a testé la poudre de pelure de banane comme support de filtration des métaux lourds ou radionucléides de l’industrie nucléaire dans l’eau, et les usines d’engrais (cadmium contaminant naturel des phosphates). Cette poudre ajoutée à l’eau fortement mélangée durant 40 minutes en extrait environ 65 % des métaux lourds, l’opération pouvant être répétée. Sa charge négative lui permet de fixer les ions métalliques positifs[14].

Galerie

Notes et références

  1. Définitions lexicographiques et étymologiques de « Banane » du CNRTL.. Il est néanmoins possible que le mot provienne de l’arabe « doigt » et non du bantou, comme indiqué par Dan Keppel, Banana, Hudson Street Press, 2008; p. 44.
  2. Alistair Smith, La Saga de la banane, éditions Charles Léopold Mayer, 2010, p.25
  3. La banane Dossier sur Futura Sciences
  4. La maturation des fruits sur Académie Martinique. Consulté le 23 novembre 2009.
  5. Jenny & al., 1999, Denham, 2005.
  6. MGIS, base de données sur les ressources génétiques du bananier.
  7. Vue d’ensemble de la production et du commerce de la banane dans le monde.
  8. Pas de risque d’extinction pour les bananes, selon la FAO.
  9. Outil de consultation des statistiques FAO pour la production.
  10. Outil de consultation des statistiques FAO pour l’import export.
  11. L’Express, no 2541.
  12. Estimation du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad)
  13. Jean-Paul Frétillet, « les petits secrets des pommes », Magazine Ça m'intéresse n° 356, octobre 2010, p. 88
  14. ADIT, BE Brésil (no 96, 3 avril 2007) citant le mémoire de Master de MR Boniolo défendue à l’Institut de Recherche Énergétique et Nucléaire (IPEN).

Voir aussi

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Bibliographie

  • Alistair Smith, La Saga de la banane, éditions Charles Léopold Mayer, août 2010
  • Denham, Tim. « Les Racines de l’agriculture en Nouvelle-Guinée ». La Recherche, no 389, septembre 2005.
  • Jenny, Ch., Carreel, F., Tomekpé, K., Perrier, X., Dubois, C., et al. (1999). « Les Bananiers ». In Diversité génétique des plantes tropicales cultivées, ed. P. Hamon, M. Seguin, X. Perrier, J. C. Glaszmann. p. 113-139. Repères. Montpellier : CIRAD
  • (en) Jenuwein, H. (1988) Avocado, Banana, Coffee. How to grow useful exotic plants for fun. British Museum Natural History.
  • (nl) Pijpers, D., Constant, J.G.& Jansen, K. (1985) Fruit uit alle windstreken. Het Spectrum.
  • (en) Purseglove, J.W. (1972) Tropical crops : Monocotyledons. Longman.
  • (en) Verheij, E.W.M., Coronel, R.E. (eds) (1991) Plant resources of South-East Asia vol. 2 Edible fruits and nuts. Pudoc Wageningen.

Articles connexes

Liens externes


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