Israéliens

Israéliens
Israël - Wikipédia

Israël

31° 37′ 31″ N 35° 08′ 43″ E / 31.625321, 35.145264

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Israël (homonymie).
מְדִינַת יִשְׂרָאֵל (Medīnat Yisra'el) (he)
دولة إسرائيل (Dawlat Isrā'īl) (ar)
État d’Israël[1] (fr)
Drapeau d'Israël Armoiries d'Israël
(Détails) (Détails)
Devise nationale : Aucune[2]
carte
Langue officielle hébreu, arabe
Capitale voir le paragraphe capitale d’Israël
55°30′N 37°20′E / 55.5, 37.333
Plus grande ville Jérusalem
Forme de l’État
 - Président
- Premier ministre
République
Shimon Peres
Benyamin Netanyahou
Superficie
 - Totale
 - Eau (%)
Classé 148e
20 770 km²
2 %
Population
 - Totale (2008)
 - Densité
Classé 98e
7 282 000 hab.
338 hab./km²
Indépendance
 - Date
Du Mandat des Nations Unies confié au Royaume-Uni
14 mai 1948


Gentilé Israéliens, Israéliennes


Monnaie Nouveau shekel (NIS)
Fuseau horaire UTC +2
Hymne national Hatikvah
Domaine internet .il
Indicatif
téléphonique
+972

Israël est un pays du Proche-Orient situé sur la côte orientale de la Méditerranée. Depuis sa création en 1948, il se définit comme l’État du peuple juif, héritier de l’Israël biblique. Il est le seul pays où l’hébreu est langue officielle ; son régime politique est de type démocratie parlementaire.

L’État d’Israël a été impliqué dans plusieurs conflits armés avec les pays arabes voisins et reste impliqué dans le conflit israélo-palestinien.

Sommaire

Nom

La première mention d’Israël apparaît sur la stèle de Mérenptah vers 1200 avant J.-C. Cette stèle comporte un hymne célébrant la paix entre l’Égypte de Merneptah et Canaan :

« Canaan a été razzié de la pire manière. Ashqélôn a été enlevée. Gézer a été saisie. Yeno‘am est comme si elle n’avait pas existé. Israël est dévasté, sa semence n’existe plus. Huru est devenue une veuve du fait de l’Égypte… »

— Stèle de Mérenptah.

Israël y apparaît comme une population du pays de Canaan qui habitait dans une partie de la Cisjordanie centrale.

La tradition biblique rapporte l’origine de ce nom dans le livre de la Genèse (verset 32:28), quand le troisième des patriarches hébreux, Jacob, est renommé Israël (Celui qui lutte avec Dieu[3]) après avoir combattu avec un ange de Dieu. Jacob étant considéré comme le père des douze tribus qui sortirent d’Égypte, la nation biblique constituée est connue sous le nom des « enfants d’Israël » ou « Israélites ».

Comme décidé dans la déclaration d’indépendance, l’État moderne créé en 1948 a pris pour nom Israël, rejetant les possibles autres noms de Sion ou Judée[4], et ses citoyens sont israéliens.

Histoire

Article détaillé : Histoire d’Israël.

L’histoire de cet État s’inscrit dans le cadre de l’histoire du peuple juif et dans la continuité de l’histoire du sionisme. Son indépendance est vue par ses pères fondateurs comme la mise en œuvre des promesses de la Déclaration Balfour de 1917. Les premières années du pays sont marquées par l’arrivée des rescapés de la Shoah et d’importantes vagues d’immigration juive en provenance de nombreux pays du monde.

Pour les historiens palestiniens et arabes, ainsi que plusieurs historiens israéliens appartenant au groupe des nouveaux historiens, la création de l’État est marquée par l’expulsion de 800 000 Palestiniens[5],[6]. Selon l’historiographie israélienne traditionnelle, au contraire, les réfugiés (500 000 tout au plus) se sont pour la plupart enfuis volontairement, répondant aux appels de dirigeants[Qui ?] qui leur promettaient un retour rapide après la victoire[7].

Les frontières du pays ont largement évolué depuis le plan de partage de la Palestine de 1947 voté par les Nations unies par 33 voix pour, 13 contre et 10 abstentions, au gré des guerres israélo-arabes, des armistices et des traités de paix.

Certaines résolutions de l’ONU ont revêtu une importance capitale pour Israël, entre autres la résolution 181[8] qui soutient notamment la constitution d’un État juif, puis les résolutions 242 du 22 novembre 1967 et 338 du 22 octobre 1973 du Conseil de sécurité, qui proposaient un cadre pour le règlement du conflit israélo-arabe.

À ce jour, l’Égypte, la Jordanie, la Mauritanie (Nouakchott a rompu tous ses liens diplomatiques avec Israël depuis le mois de mars 2009[9]) et l’Autorité palestinienne ont reconnu l’État d’Israël, mais pas les autres pays arabes. La Syrie, l’Iran , la Tunisie et des groupes politiques hostiles qui ne reconnaissent pas l’existence d’Israël, comme le Hamas, le désignent par les expressions « entité sioniste » et refusent officiellement tout contact avec Israël.

Organisation politique

Article détaillé : Politique d’Israël.
La Knesset, est le Parlement israélien situé à Jérusalem

Israël est une république parlementaire multipartite et une démocratie libérale qui a adopté le suffrage universel.

L’unique chambre de son Parlement est la Knesset dont les 120 membres siègent à Jérusalem et qui est renouvelée tous les 4 ans.

Le chef d’État est le président d’Israël qui n’a essentiellement qu’une fonction honorifique. Il désigne le Premier ministre dans le parti ou la coalition majoritaire à la Knesset afin que celui-ci compose son gouvernement.

Israël n’a pas de constitution écrite mais s’appuie sur les principes énoncés dans la Déclaration d’indépendance de 1948 et sur les 14 lois fondamentales adoptées par la Knesset. La Cour suprême est la plus haute instance judiciaire israélienne. Les jugements sont rendus par des juges professionnels laïcs. Des tribunaux religieux propres à chaque confession gèrent les questions matrimoniales.

Israël n’est pas membre de la Cour pénale internationale : le Statut de Rome, qui a créé cette institution, a été signé par le gouvernement israélien le 31 décembre 2000, mais n’a pas été ratifié par la Knesset.

Économie

Les tours Azrieli à Tel Aviv, symbole du dynamisme économique du pays

Ce pays se distingue par sa vie culturelle riche, son économie avancée industriellement et technologiquement, et son niveau de développement qui le situe au 22e rang mondial selon l’indicateur de développement humain de l’ONU (valeur 2008[10]), soit au premier rang des pays du Moyen-Orient et au troisième rang en Asie.

L’économie israélienne est un système capitaliste moderne d’un pays jeune et se caractérise par un secteur public relativement important et un secteur de la high-tech en croissance rapide depuis plus de dix ans. Les ressources naturelles limitées du pays et le haut niveau d’éducation des Israéliens ont joué en faveur du développement des technologies de pointe. Les entreprises israéliennes, principalement dans ce domaine, sont très appréciées sur les marchés financiers mondiaux. Israël est le second pays en nombre de sociétés cotées au NASDAQ et reçoit de gros investissements étrangers. Le pays possède le plus grand nombre de start-ups au monde et ses dépenses en Recherche et Développement sont considérables. Cependant, malgré le bon développement économique du pays, 11 % de la population vit des rations distribuées par des organisations non-gouvernementales, d’après les réseaux intégrés d’information régionale (IRIN) de l’ONU[11].

Les contributions israéliennes à la science sont significatives dans la médecine, la physique et l’agriculture et plus particulièrement encore en génétique, en informatique, en électronique et en optique. Des prix Nobel en science et en économie ont été décernés à quatre Israéliens depuis 2002. Les nombres de publications scientifiques par habitant (109 publications par 10 000 personnes)[12] et de brevets déposés par habitant sont parmi les plus élevés au monde.

Géographie

Article détaillé : Géographie d’Israël.
Photo satellite - Israël en janvier 2003

Le climat des zones côtières peut être très différent de celui des zones montagneuses du pays, particulièrement pendant les mois d’hiver. Les régions de Tel Aviv et Haïfa ont un climat typiquement méditerranéen avec des hivers doux et pluvieux et des étés chauds et humides. Les montagnes au nord sont par contre souvent enneigées l’hiver, et Jérusalem peut aussi connaître des épisodes de neige certaines années.

Capitale d’Israël

Mur des Lamentations, symbole du judaïsme à Jérusalem.

La désignation par la loi israélienne de Jérusalem comme capitale est contestée actuellement par la quasi-totalité de la communauté internationale. Cette position date des débuts de l’histoire d’Israël, quand en 1949 Israël décide que sa capitale est la partie ouest de Jérusalem[13] et y installe le gouvernement et la Knesset. La communauté internationale n’accepte pas cet état de fait qui ne tient pas compte des recommandations de l’ONU et les ambassades sont en conséquence à Tel Aviv ou même dans d’autres villes (jusqu’en 1973, il y avait toutefois à Jérusalem quelques ambassades africaines et jusqu’en 1980 y siégeaient aussi 13 ambassades de pays de l’Amérique Latine et des Pays-Bas). La proclamation de Jérusalem réunifiée comme capitale, à la suite la guerre des Six Jours, n’est pas plus acceptée car l’annexion n’est pas reconnue par la communauté internationale. La désignation de Jérusalem ou de Tel Aviv comme capitale a fait l’objet de controverses médiatiques[14].

Position des institutions internationales

Les principaux organismes internationaux (notamment l’ONU[15]) ne reconnaissent aucune capitale pour Israël. La résolution 478 du Conseil de sécurité des Nations unies déclare « nulle et non avenue » la loi fondamentale adoptée par l’État israélien définissant Jérusalem capitale éternelle et indivisible[16].

Position des différents États et organismes nationaux

  • Allemagne : Jérusalem[17]
  • Canada : pas de capitale définie[18].
  • Chine : pas de capitale définie[19]
  • Danemark : pas de capitale définie[20].
  • Espagne : pas de capitale définie[21]
  • États-Unis : Jérusalem[22].
  • France : La position française précise : « L’État d’Israël a fixé sa capitale à Jérusalem, malgré l’absence d’accord international sur le statut de cette ville. »[23]. L’ambassade française est néanmoins demeurée installée à Tel Aviv.
  • Inde : La position indienne précise : « Jérusalem, proclamée comme capitale indivisible d’Israël mais cela n’a pas reçu une acceptation internationale »[24]
  • Royaume-Uni : La position britannique précise : « Israël soutient que sa capitale est Jérusalem, une revendication non reconnue par la communauté internationale »[25]
  • Suisse : cite les deux villes (Jérusalem et Tel Aviv) comme capitales[26]
  • OLP[27]

Territoire

Frontières

Article détaillé : Frontières d’Israël.

Israël partage ses frontières avec le Liban au Nord, avec la Syrie au Nord-Est, la Jordanie et la Cisjordanie à l’Est, et avec l’Égypte et la bande de Gaza au Sud-Ouest. Il possède un littoral sur la mer Méditerranée à l’Ouest et dans le golfe d’Aqaba au Sud.

Les frontières d’Israël ne sont pas définies et reconnues par l’ensemble de la communauté internationale. Elles ont évolué au cours de son existence et sont contestées par certains pays. Leur évolution historique, le droit international, les revendications politiques et historiques les concernant sont un sujet complexe et controversé.

Depuis que la bande de Gaza n’est plus occupée par Israël, restent en dispute la Cisjordanie, le plateau du Golan (revendiqué par la Syrie), les fermes de Cheba (revendiquées par le Liban) ainsi que le cas de plusieurs colonies dit - territoires contestés. Israël occupe humainement et militairement certaines zones territoriales attribuées aux Palestiniens de la Cisjordanie malgré la résolution 242 de l’ONU. Les résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU définissent comme frontières entre Israël et la Palestine celles de la fin de guerre de 1949. Ce sont celles juste antérieures à la guerre de 1967. C’est ce qu’on appelle la « ligne verte ».

Armée

Article détaillé : Tsahal.

L’armée israélienne, connue sous son acronyme hébreu Tsahal (pour Tsva Hagannah LeIsrael, Force de défense d’Israël), s’est constituée en mai 1948, en remplacement des organisations armées antérieures dont la principale était la Haganah. Elle comprend aujourd’hui tous les corps d’armée dont l’armée de l’air, la marine et des services secrets (Mossad et Shabak). L’armement d’Israël est hautement sophistiqué et développé en grande partie en Israël par des sociétés comme Elbit Systems ou Israeli Military Industries (IMI). L’armement est parfois importé, des États-Unis notamment. Tsahal possède environ 750 avions de chasse dont la plupart sont des F-15 et F-16, des chars Merkavah MK-4. D’après plusieurs sources, Tsahal devrait se doter de F-22 et de F-35, les avions dernier cri des États-Unis.[réf. nécessaire]

La plupart des Israéliens sont appelés à l’âge de 18 ans pour servir dans l’armée (3 ans pour les hommes, 2 ans pour les femmes). Sont exemptés : les Arabes israéliens (pour éviter de possibles conflits d’intérêts) et les Juifs haredim qui bénéficient d’un sursis militaire renouvelable tous les six mois s’ils prouvent qu’ils étudient la Torah à plein temps. Pour les Haredim, les contraintes de ce sursis les empêchent de sortir du pays plus d’une fois par an pour une durée de 30 jours, ainsi que de travailler légalement ne serait-ce qu’à temps partiel. L’obtention de ce sursis par les jeunes étudiants de Torah était l’une des conditions du statu quo religieux concédé par Ben Gourion et qui a tenu jusqu’aux années 1980.[réf. souhaitée]

Israël n’a pas signé le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires. La position officielle israélienne a toujours été de ne pas confirmer ni infirmer les spéculations relatives à sa possession de l’arme atomique. Cependant, le lundi 11 décembre 2006, lors d’une interview de la chaîne de télévision allemande N24 à propos des ambitions nucléaires iraniennes, Ehud Olmert déclarait : « Pourriez-vous dire que c’est la même chose que pour l’Amérique, la France, Israël et la Russie ?[28] ». Auparavant, le 6 décembre 2006, Robert Gates, nouveau secrétaire d’État à la défense américain déclarait lors de son audition au Sénat : « l’Iran est entouré de pays dotés de l’arme nucléaire : le Pakistan à l’est, Israël à l’ouest… ». Ces deux déclarations entraînèrent un démenti d’Ehud Olmert, rappelant la position d’Israël sur le sujet : « Israël ne sera pas le premier pays à introduire l’arme nucléaire au Proche-Orient. C’était notre position, c’est notre position, cela restera notre position.[29] »

Démographie

Article détaillé : Démographie d’Israël.

Israël a une population de 7 150 000 habitants (recensement de avril 2007), parmi lesquels 76 % de Juifs (5 415 000 habitants) et 20 % d’Arabes israéliens (principalement musulmans, mais aussi une minorité chrétienne), auxquels il faut ajouter 306 000 nouveaux immigrants qui sont enregistrés au Ministère de l’Intérieur comme « non-Juifs » et qui constituent 4 % de la population israélienne. Les travailleurs étrangers qui vivent en Israël ne sont pas inclus dans ces données et sont estimés à 150 000.

Israël est le seul pays au monde avec une majorité juive. La population juive d’Israël est originaire du monde entier : on distingue les « sabras » (nés en Israël, de parents immigrés récents ou dont la famille vivait depuis des siècles en Palestine) des immigrés récents qui ont fait leur aliyah (« montée », c’est-à-dire retour : une grande partie vient de l’ancienne URSS, mais aussi de France, des États-Unis, d’Argentine, etc.).

Israël comprend également des Druzes d’expression arabe, une communauté circassienne et une très petite communauté arménienne. Contrairement à la grande majorité des Arabes israéliens, les Druzes et les Circassiens ont choisi de ne pas être exemptés du service militaire ; il est à noter que de nombreux Arabes Bédouins et certains autres Arabes chrétiens et même musulmans, servent comme volontaires dans l’armée régulière.

Les nouveaux immigrants, arrivés en Israël en 2005, sont au nombre de 22 500, contre 22 000 l’année précédente. Parmi eux, 9 300 sont venus des ex-pays de l’Union soviétique, 3 700 d’Éthiopie, 3 000 de France, et 2 600 des États-Unis.

Répartition géographique de la population

Tel Aviv, la métropole israélienne

45 % de la population d’Israël réside dans des villes de plus de 100 000 habitants, soit 3 100 000 personnes.[réf. souhaitée]

On compte 5 villes de plus de 200 000 habitants. Un quart de la population du pays réside dans ces villes :

  • Jérusalem - aujourd’hui première ville d’Israël, avec 718 900 habitants contre 84 000 en 1948 ;
  • Tel Aviv - autrefois la plus grande ville d’Israël avec ses 248 500 habitants (30 % de la population) lorsque Ben Gourion proclama l’indépendance du pays, Tel Aviv compte aujourd’hui 378 800 habitants, soit 5 % de la population globale d’Israël mais est entourée d’une conurbation dense (le « Grand Tel Aviv ») dont la population totalise les 3,15 millions de personnes ;
  • Haïfa - troisième ville du pays, avec 267 700 habitants contre 98 600 en 1948 ;
  • Rishon LeZion - quatrième ville du pays avec plus de 219 800 habitants, alors qu’elle en comprenait 11 000 lors de la création de l’État d’Israël ;
  • Ashdod.

Quatorze villes d’Israël sont peuplées de plus de 100 000 habitants. La majorité d’entre elles sont des localités périphériques de Tel Aviv.

La population rurale ne représente que 571 600 personnes de l’ensemble de la population israélienne (soit 8 %). Parmi elles, 118 000 personnes résident en kibboutz, soit 2 % de la population, alors qu’en 1948 elles constituaient 6 % de celle-ci.

Langues et Culture

Article détaillé : Catégorie:Culture israélienne.

Langues officielles

En plus des deux langues officielles, l’hébreu et l’arabe (deux langues sémitiques), l’anglais écrit est souvent employé pour faciliter la vie des touristes, tandis que le russe est encore très largement utilisé par les immigrants venus récemment de l’ex-URSS. Il faut aussi ajouter que près d’un million d’Israéliens (près de 15 % de la population) sont francophones parce que venus des anciens territoires français d’Afrique du Nord et malgré cela, Israël n’a jamais été admis dans l’organisation de la Francophonie[30] du fait de la menace de veto libanais en cas de dépôt de candidature (interview de Nissim Zvili, ancien ambassadeur d’Israël en France, le 13 décembre 2004).

Journaux israéliens

  • Haaretz, quotidien progressiste
  • Maariv, quotidien populiste
  • Yediot Aharonot, quotidien populaire à grand tirage, réputé pour ses enquêtes d’investigation
  • Israeli, premier quotidien gratuit
  • The Jerusalem Post, quotidien anglophone de droite
  • Hazofe, quotidien du courant sioniste religieux
  • Globes, quotidien économique
  • Hachavoua, hebdomadaire du courant Haredi
  • Hamodia, hebdomadaire du courant Haredi, existe aussi en anglais et en français

Littérature

Article détaillé : Littérature israélienne.

Principaux musées, mémoriaux et sites archéologiques

Situés à Jérusalem

Situés à Tel Aviv

  • Le Musée de la Haganah
  • Le Musée d’Art Moderne
  • Le Musée des Antiquités de Tel Aviv-Jaffa
  • La Maison de la Diaspora
  • Le Musée d’Eretz Israel

Dans le désert du Néguev

  • Le Musée des Bédouins et de la culture bédouine


Sites archéologiques d'Israël
Dans le sud d’Israël

  • Les piliers du roi Salomon, dans le site archéologique de Timna

Fêtes nationales israéliennes

Fêtes nationales
Date Nom français Nom hébreu Dates possibles dans le calendrier grégorien
1 Tishri Nouvel-An Roch Hachana entre le 6 septembre et le 5 octobre
10 Tishri Jour du Grand Pardon Yom Kippour entre le 15 septembre et le 14 octobre
15 Tishri Fête des cabanes Souccot entre le 20 septembre et le 19 octobre
22 Tishri Assemblée du huitième jour Chemini Atseret entre le 27 septembre et le 26 octobre
15 Nissan Pâque juive Pessa'h entre le 27 mars et le 25 avril
21 Nissan Pâque juive Pessa'h entre le 2 avril et le 1er mai
5 Iyar Jour de l’Indépendance Yom Ha'atzmaout entre le 16 avril et le 15 mai
6 Sivan Fête des semaines Chavouot entre le 16 mai et le 14 juin
25 Kislev Fête des lumières Hanoucca entre le 27 novembre et le 27 décembre

Codes

Israël a pour codes :

Notes et références

  1. En français, le nom Israël s’écrit et s’épelle sans l’article défini (« le » ou « la ») et s’accorde au masculin.
  2. Voir Voici Israël : Symboles nationaux sur Ambassade d’Israël en France. Consulté le 26 mars 2009
  3. Genèse chapitre 32, verset 29 sur Sefarim.fr. Consulté le 6 septembre 2009.
  4. (en) « Popular Opinion », dans The Palestine Post, 7 décembre 1947, p. 1 [texte intégral (page consultée le 6 septembre 2009)] .
  5. Dominique Vidal et Sébastien Boussois, Comment Israël expulsa les Palestiniens (1947-1949), Éditions de l’Atelier, Éditions ouvrières, 2007.[réf. incomplète]
  6. Ilan Pappé, The ethnic cleansing of Palestine, Oneworld Publications Limited, 2007.[réf. incomplète]
  7. L’expulsion des Palestiniens revisitée par des historiens israéliens par Dominique Vidal, Le Monde diplomatique, décembre 1997.
  8. Résolution 181
  9. Israël ferme son ambassade à la demande de Nouakchott, France24.com, publié le 6 mars 2009.
  10. PNUD : (en)2008 Statistical Update - Israel - The Human Development Index - going beyond income
  11. ISRAËL : Près de 200 000 familles israéliennes ont faim, Irinnews, publié le 13 avril 2007
  12. (en)Mideast Outpost: BOYCOTT ISRAEL? DO IT PROPERLY.., article du 31 décembre 2004, consulté le 18 janvier 2009.
  13. (en)David Ben Gourion, « Statements of the Prime Minister David Ben-Gurion Regarding Moving the Capital of Israel to Jerusalem », 12 mai 1949, Knesset. Consulté le 15 mai 2008
  14. (en)BBC sorry for calling Jerusalem capital of Israel, article du Jerusalem Post, publié le 15 juin 2007.
  15. Sur le site officiel de l’ONU [pdf]
  16. Résolution 478 du Conseil de sécurité de l’ONU [pdf]
  17. (en) Israel sur le site du Ministère des affaires étrangères allemand, janvier 2009. Consulté le 26 mai 2009
  18. Affaires étrangères - Le Canada dans dans le monde : Information sur les pays et les régions
  19. (en) spokesperson on Sharon’s declaration of Jerusalem to be the capital of Israel, publié le 13 février 2001
  20. Site de l’ambassade de Danemark à Tel Aviv
  21. (es) Israel [pdf] sur le site du ministère des affaires étrangères espagnol, septembre 2008. Consulté le 26 mai 2009
  22. La CIA nuance cette position : « Israël a proclamé Jérusalem comme sa capitale mais les États-Unis maintiennent leur ambassade à Tel Aviv ». Voir (en) CIA - The World Factbook -- Israel sur le site de la CIA, 23 avril 2009. Consulté le 7 mai 2009
  23. Présentation d’Israël sur le site du ministère des affaires étrangères, 6 avril 2009. Consulté le 7 mai 2009
  24. (en) Country Brief on Israel [pdf] sur le site du Ministry of External Affairs, avril 2008. Consulté le 7 mai 2009
  25. (en) Israel sur le site du Foreign Office, 22 octobre 2007. Consulté le 7 mai 2009
  26. Israël en bref
  27. (en) PLO Negotiations Affairs Departement - Negotiations & the peace process - EXECUTIVE SUMMARY
  28. Une analyse géopolitique de la déclaration d’Olmert : « La reconnaissance de la détention de l’arme nucléaire par Israël nuira au régime de non-prolifération », publiée le 13 décembre 2006
  29. Paru dans Libération du 13 décembre 2006 http://www.dissident-media.org/infonucleaire/news_netanyahu.html
  30. Dan Assayah, « Israël aux portes de la Francophonie ? », 23 septembre 2006, Chambre de commerce franco-israélienne

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Commémorations nationales en Israël
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