- Alien (film)
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Alien
(Le Huitième Passager)Données clés Titre québécois L'Étranger : Le Huitième Passager Titre original Alien Réalisation Ridley Scott Scénario Dan O'Bannon
Walter HillActeurs principaux Sigourney Weaver Sociétés de production Brandywine Productions
Twentieth Century FoxPays d’origine Royaume-Uni
États-UnisGenre Film d'horreur
(science-fiction)Sortie 1979 Durée 117 min Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Alien : Le Huitième Passager[1] (Alien) est un film américano-britannique d'horreur science-fiction réalisé par Ridley Scott, sorti en 1979. Le titre du film se réfère à l'antagoniste principal, une créature extraterrestre très agressive qui chasse et tue l'équipage d'un vaisseau spatial.
À sa sortie, Alien : Le Huitième Passager a reçu un succès critique et commercial, il est désormais considéré comme un classique. En 2002, il a été sélectionné par la National Film Registry de la Bibliothèque du Congrès américain pour être conservé comme étant « culturellement, historiquement ou esthétiquement important ». Le succès du film a engendré une franchise, dont trois suites directes appartenant à la saga Alien où l'on retrouve l'héroïne principale Ellen Ripley en confrontation avec la même espèce de créatures ; Aliens, le retour, Alien 3 et Alien, la résurrection. La franchise inclut également deux films cross-over avec la saga Predator.
Sommaire
Synopsis
En 2122, le vaisseau de commerce Nostromo retourne vers la Terre pour y rapporter des minéraux lorsqu'un signal venant d'une planétoïde inconnue interrompt sa course. Réveillés de leur biostase par l'ordinateur de bord (appelé « Maman »), l'équipage composé de sept astronautes apprend qu'il est tenu par la société qui l'emploie d'enquêter sur toute possibilité de vie extraterrestre. Ils atterrissent alors sur la petite planète, endommageant leur vaisseau. Le capitaine Dallas (Tom Skerritt), le second officier Kane (John Hurt), et la pilote Lambert (Veronica Cartwright) s'aventurent à pied vers la source du signal alors que le lieutenant Ripley (Sigourney Weaver), l'officier scientifique Ash (Ian Holm), et les ingénieurs Brett (Harry Dean Stanton) et Parker (Yaphet Kotto) restent dans le vaisseau pour guider leurs coéquipiers et pour faire des réparations.
Dallas, Kane et Lambert découvrent que le signal provient d'une épave de vaisseau extraterrestre. En l'explorant, ils tombent sur une créature humanoïde fossilisée dont les côtes semblent avoir explosé de l'intérieur. Pendant ce temps sur le Nostromo, l'ordinateur de bord détermine que le signal est un message d'avertissement. Continuant l'exploration du vaisseau extraterrestre, Kane se retrouve dans une grande salle contenant une quantité importante d'œufs. Alors qu'il en examine un, l'œuf éclot et éjecte une créature (facehugger) qui s'agrippe à son visage.
Kane est ramené inconscient sur le Nostromo malgré les protestations de Ripley qui souhaite le maintenir en quarantaine. L'équipage s'ingénie en vain à détacher la créature du visage de Kane, découvrant que la créature maintient sa victime en vie, et que son sang est un acide très corrosif. Finalement, celle-ci meurt naturellement plusieurs heures plus tard et se détache de Kane qui se réveille péniblement mais apparemment en bonne santé.
Avant de se remettre en état de biostase, l'équipage décide de se restaurer. Kane est soudainement pris de violents spasmes qui se terminent lorsqu'une créature (un xénomorphe) s'éjecte violemment de sa cage thoracique et s'échappe dans un conduit d'aération, laissant son hôte mort sous les regards médusés du reste de l'équipage. L'équipage décide de retrouver l'alien, fabriquant des détecteurs et des armes rustiques. Brett suit le chat du vaisseau dans une grande salle où il est attaqué par l'alien, désormais mué en taille impressionnante, qui s'échappe en emportant son corps. Les astronautes réalisant qu'ils ont affaire à une bête dangereuse, Dallas s'équipe d'un lance flamme et parcourt les conduits d'aération pour la tuer, mais il se fait prendre également. Lambert insiste alors que l'équipage restant s'échappe à bord de la navette, mais Ripley, désormais l'officier supérieur, explique que la navette ne peut pas transporter quatre personnes, seulement une. Ripley consulte l'ordinateur de bord et découvre que ses employeurs ont ordonné à Ash de ramener la créature, et que la survie de l'équipage est secondaire. Ash l'attaque et est finalement décapité par Parker, révélant qu'Ash est un androïde. Avant d'être incinéré par Parker, Ash, encore opérationnel, explique qu'il admire la créature et prédit la mort de l'équipage. Les trois membres restant préparent alors l'autodestruction du Nostromo et leur fuite dans la navette. Toutefois Parker et Lambert se font tuer par la créature. Ripley initialise la séquence d'autodestruction et tente de fuir vers la navette avec le chat mais son passage est bloqué par l'alien. Elle retourne désespérée pour annuler la séquence mais il est trop tard. Elle décide de se rediriger vers la navette, et l'alien est visiblement parti. Elle décolle in extremis échappant à l'explosion du Nostromo.
Se croyant sauvée et préparant sa biostase, Ripley découvre que l'alien se trouve également à bord de la navette. Elle met discrètement une combinaison spatiale et ouvre la trappe de la navette, précipitant la créature dans l'espace. Elle se met ensuite en biostase avec le chat pour le voyage retour vers la Terre.
Fiche technique
- Titre original : Alien
- Titre français : Alien ; Le Huitième Passager (titre secondaire)
- Titre québécois : L'Étranger : Le Huitième Passager
- Réalisation : Ridley Scott
- Scénario : Dan O'Bannon et Walter Hill, d'après une histoire de Dan O'Bannon et Ronald Shusett
- Décors : Michael Seymour
- Photographie : Derek Vanlint
- Montage : Terry Rawlings, Peter Weatherley ; David Crowther (pour la version director's cut)
- Musique : Jerry Goldsmith
- Production : Gordon Carroll, David Giler, Walter Hill, Ivor Powell et Ronald Shusett
- Sociétés de production : Brandywine Productions Ltd / Twentieth Century Fox Film Corporation (États-Unis)
- Société de distribution : Twentieth Century Fox
- Budget : 11 millions de dollars
- Pays d'origine : États-Unis, Royaume-Uni
- Langue : anglais
- Format : Couleurs (DeLuxe) Panavision :
- Genre : film d'horreur dans un contexte de science-fiction
- Durée : 117 minutes
- Dates de sortie : États-Unis : 25 mai 1979 ; Royaume-Uni : 6 septembre 1979 ; France : 12 septembre 1979
- Film interdit aux moins de 12 ans
Distribution
- Sigourney Weaver (VF : Tania Torrens) : Lieutenant Ellen L. Ripley
- Tom Skerritt (VF : Jean Roche) : Capitaine A. J. Dallas
- Veronica Cartwright (VF : Monique Thierry) : J. M. Lambert
- Harry Dean Stanton (VF : Alain Dorval) : S.E. Brett
- John Hurt (VF : Bernard Murat) : G. W. Kane
- Ian Holm (VF : Jacques Thébault) : Officier Ash
- Yaphet Kotto (VF : Georges Aminel) : J.T. Parker
- Bolaji Badejo : Le xénomorphe
- Eddie Powell : Le xénomorphe (non crédité)
- Helen Horton (VF : Perette Pradier) : voix de Maman
Récompenses et nominations
- Oscar des meilleurs effets visuels 1980.
- Saturn Awards 1980 du meilleur réalisateur, de la meilleure actrice dans un second rôle (Veronica Cartwright) et du meilleur film de science-fiction.
- Prix Hugo 1980 du meilleur film.
Box-office
- Entrées en France : 2 809 875
- Box-office américain : 63 millions USD
L'esthétique d'Alien
Style
L'esthétique torturée, obscure, cauchemardesque d'Alien (le monstre, mais aussi la planète du monstre) est fortement influencée par l'œuvre de l'artiste suisse H.R. Giger.
Le vaisseau extra-terrestre écrasé sur la planète LV-426, dont l'apparence est étrangement osseuse et arrondie, véhicule un message : celui d'une menace, d'un danger imminent, d'un avertissement. Sa structure d'acier et de résine biologique semble d'ailleurs endormie plutôt qu'inerte, vivante plutôt que morte. À la vue de cet univers biomécanique, hostile et moite, l'on ressent deux envies : fuir, ou explorer ce monde fascinant et si différent, qui s'adresse à l'inconscient du spectateur.
Lorsque l'équipage du Nostromo explore LV-426, ce sont eux les étrangers par rapport à la race du pilote décédé. Puis, lorsque l'alien erre dans le vaisseau des humains (vaisseau dont le style est beaucoup plus fonctionnel, ordinaire, que celui du pilote extra-terrestre), c'est lui l'étranger et on comprend qu'il était déjà Alien dans le vaisseau écrasé. À la seconde vision, on ne peut s'empêcher de faire le parallèle entre le pilote ET et Ripley, en se disant que les deux ont dû vivre une aventure très similaire.
Le monstre
Le succès du film tient notamment à l'alien, le monstre de la saga. On le voit peu dans le premier opus, ce qui le rend encore plus inquiétant et menaçant. Cette « discrétion » était en partie motivée par le fait que le personnage de l'alien était interprété par un acteur qui endossait un costume en latex, ce qui pouvait porter atteinte à la crédibilité du monstre en tant que tel dans les scènes en gros plan. Mais bien sûr, cet aspect de dissimulation renforce aussi le côté énigmatique et dangereux de l'alien.
Le système de reproduction de l'alien, ainsi que les différentes phases d'évolution avant d'atteindre son stade adulte, sont des points forts de la mythologie de la série : tout commence par la ponte d'œufs par une reine ; œufs desquels jaillissent des parasites arachnéens (appelé « Facehugger ») qui s'agrippent à la tête de tout être passant à proximité. Les parasites implantent alors un œuf à l'intérieur du corps de la victime (dans l'estomac par le biais de l'œsophage, ce qui justifie l'attaque à la bouche de la victime) puis se détachent de la victime après un court laps de temps et meurent. Il faut également noter que ce parasite utilise une sorte de queue qu'il enroule autour de cou de la victime, si celle ci tente de retirer le parasite de son visage, la queue se resserre et étrangle la victime, l'obligeant alors à se laisser faire. L'embryon ainsi implanté grandit, alors que la victime se réveille après avoir perdu connaissance (surement du au fait que la trompe du parasite envoie une quantité d'oxygène suffisant à sa victime pour que celle ci perde connaissance) puis après une gestation très rapide (quelques heures), perfore violemment la cage thoracique de son hôte pour s'échapper. Le « bébé » alien, de taille réduite, mais complètement formé, peut alors grandir à sa guise en traquant ses proies.
Le système de reproduction incluant une Reine fait penser à un type de société de genre « insectoide », par exemple une colonie de fourmis. C'est une invention du réalisateur James Cameron. En effet, la version longue du premier film montre que la victime de l'alien se transforme petit à petit en cocon, comme l'avait imaginé Giger, le tout formant un cycle : l'œuf donne un « facehugger », qui féconde une victime, qui elle-même donne naissance à un alien, qui lui-même transforme une autre victime en œuf, et ainsi de suite. On le voit avec le personnage de Brett, lorsque Ripley retrouve le commandant Dallas, qui est à un stade de transformation avancée.
L'alien a un physique très particulier qui, sur de nombreux points, possède un aspect phallique : son crâne allongé tout d'abord ; sa « langue », un organe massif et puissant avec lequel il perfore le corps de ses victimes, et au bout duquel se situe une seconde bouche ; enfin une longue queue à l’extrémité acérée qu'il utilise comme une lance. Son corps possède tellement d'atouts, que dans le film Alien vs. Predator, un Predator fabrique des armes improvisés avec le crâne de l'alien en tant que bouclier et le pointe de la queue de l'alien au bout d'un os de sorte à en faire une lance.
Le système de défense de l'alien est tout aussi remarquable. Il comprend l'épaisse carapace, mais également une particularité génétique diablement efficace : son sang. Celui-ci est un véritable acide, qui dissout le métal le plus dur et peut brûler intensément l'épiderme de quiconque a le malheur de rentrer en contact physique avec l'alien, en lui infligeant une blessure à main nue par exemple, ou bien en étant éclaboussé par le sang de l'alien. Ce qui rend l'alien encore plus redoutable, c'est le fait qu'il soit au courant de son sang acide, à un tel point qu'un alien pourrait pratiquer l'automutilation pour tuer ses ennemis. La virulence de cet acide est soulignée dans le premier film, où l'on voit qu'il peut traverser plusieurs planchers du vaisseau spatial les uns en dessous des autres avant de perdre sa puissance corrosive. Ou bien dans Alien Résurrection, lorsque deux Aliens tuent leur camarade de cellule pour s’échapper.
Au cours des différents films, le monstre conserve à peu de choses près le même aspect. Mais chaque épisode présente un alien particulier : une reine puissante et massive dans le second épisode, et un alien mi-homme mi-monstre dans le dernier épisode.
Musique
Article détaillé : Alien (bande originale).À l'origine, Ridley Scott voulait travailler avec Isao Tomita pour la musique d'Alien. Mais les producteurs de la Fox en ont décidé autrement. Ils voulaient quelqu'un de formation plus classique. Leur choix s'est porté sur Jerry Goldsmith, qui avait auparavant travaillé sur Freud en 1962. Ridley Scott a également utilisé pour le générique final la 2e Symphonie « Romantique » de Howard Hanson. Ce thème musical n'apparaît pas dans le disque de la bande originale.
Autour du film
- Accroche du film : « Dans l'espace, personne ne vous entend(ra) crier ».
- L'ordinateur du Nostromo est dénommé « Maman » (« Mother » dans la version originale).
- Un certain nombre de matériaux graphiques de H. R. Giger utilisé dans ce film est un recyclage du projet avorté de Dune par Alexandro Jodorowsky.
- Nostromo est le nom d'un roman de Joseph Conrad.
- La maquette utilisée pour filmer le vaisseau lorsque celui-ci se pose sur la planète mesurait plus de 2,40 m, pesait près de trois tonnes et était manipulée par une grue. Quant aux décors intérieurs, ils furent réalisés aux studios Shepperton.
- Le film reprend les grandes lignes de l'intrigue du roman Terrore nello spazio (1965) de Mario Bava.
- La créature du film est inspirée du Ixtl, une créature extra-terrestre du roman La Faune de l'espace de A. E. van Vogt.[réf. nécessaire]
- L'intrigue s'inspire de Dark Star, premier film de John Carpenter, qui est son projet de fin d'études. Le coscénariste et acteur de ce film, Dan O'Bannon, participera quelques années plus tard à la rédaction du scénario d'Alien. Le principe même du film repose sur une légende antique, celle du Minotaure.
- Le personnage de Ripley était à l'origine un homme mais le président de la 20th Century Fox suggéra que le rôle soit confié à une femme, les films de science-fiction donnant le premier rôle à une femme n'étant pas monnaie courante à l'époque.
- Meryl Streep a été approchée pour interpréter le rôle de Ripley.
- Veronica Cartwright devait initialement interpréter le rôle de Ripley, mais c'est Sigourney Weaver qui fut finalement retenue par les producteurs, car son physique était plus androgyne.
- Ridley Scott avait envisagé que l'équipage développe des relations gays ou lesbiennes à la suite d'une promiscuité en huis-clos s'étendant sur une longue période de temps passé dans l'espace. Il a déclaré que s'il avait à refaire le film aujourd'hui, c'est une direction qu'il développerait[2].
- Le tournage s'est révélé éprouvant pour toute l'équipe du film, soumise à un planning particulièrement serré et aux contraintes d'un budget réduit. Ainsi, Ridley Scott a un jour crevé un plafond d'un coup de poing, dans un accès de colère face aux visites de producteurs extérieurs au film[3].
- L'équipe des costumes avaient oublié de munir les faux scaphandres de trous pour respirer, de sorte que Veronica Cartwright, John Hurt et Tom Skerritt inhalaient rapidement du gaz carbonique. Le second souffrit de claustrophobie et nécessita l'intervention d'une infirmière, tout comme le troisième, qui faillit s'évanouir. Ce n'est que lors du tournage de la scène du Space Jockey, avec les enfants de Ridley Scott, que la production comprit la nécessité d'aménager les costumes[3].
- Pas moins de 120 personnes ont travaillé pendant 6 mois pour créer les décors du film[3].
- La substance visqueuse du film est en fait du Slimy, créé par le Joker Group.
- L'artiste d'origine suisse H.R. Giger[4] a réalisé seul le design de la créature, considérée aujourd'hui comme une œuvre d'art. La maquette a été conçue avec de vrais ossements assemblés à de la plasticine sur des tuyaux et des pièces de moteur. C'est ce qu'il appelle la « biomécanique ».
- Une version « Director's cut » est sortie au cinéma en 2003 (puis en DVD). Elle ne présente que de légères différences avec l’œuvre originelle : certains plans ont été élagués afin d’améliorer le rythme et deux scènes ont été ajoutées, une dispute entre Lambert et Ripley, et la découverte du capitaine Dallas enfermé dans un cocon.
- Dans la version Director's cut, on apprend que l'acteur John Hurt, lorsqu'il se penche sur l'œuf, n'est pas au courant qu'une créature va lui sauter au visage. De même, Ridley Scott a souhaité que les autres acteurs ignorent ce qui allait se passer pour la scène où l'Alien sort du corps de John Hurt.
Adaptations et références
- La série de jeux Metroid par Nintendo s'inspire largement de ce film : ainsi, le personnage de Samus est un clin d'œil à Ripley, de même que son grand rival porte le prénom du réalisateur du film : Ridley.
- La série animée japonaise Cowboy bebop comporte un épisode parodique rendant hommage à Alien, où le Bebop, le vaisseau des héros, est hanté par une créature inconnue qui contamine un par un les occupants.
- Dans l'univers de Spelljammer, la description et l'apparence du Yitsan semblent être en référence directe à l'Alien.
- Un article de Dragon Magazine no 3 (janvier-février 1992) fournit les caractéristiques du monstre à différentes étapes de sa vie, selon les standards de Donjons et Dragons (AD&D 2e édition).
- Dans l'univers de Warhammer 40,000, le design des Tyranides rappele fortement celui de l'Alien.
- Le jeu Starcraft s'inspire du design de l'alien pour les zergs (les hydralisk pour être précis). Et la scène cinématique à bord de l'Amerigo est un clin d'œil au film. De plus, les unités Marines du deuxième épisode de la saga Alien ont inspirés de nombreuses unités du jeu. Exemple : les répliques anglaises de l'unité de transport Terrane : « We're on the pipe, 5 by 5 » ou encore « Hang on, we're in for some chop » que l'on retrouve à la 40e minute du film (le physique même de la pilote est identique dans le jeu et le film).
- Une des missions du jeu Microsoft Pinball 3D : Cadet de l'espace à accomplir lors du grade de lieutenant de l'espace consiste à détruire les Xenomorphes.
- La série American Dad! a parodié Le Huitième Passager dans l'épisode 18 de la saison 5, The Great Space Roaster, où Roger traque la famille Smith dans un vaisseau spatial.
Commentaires
Le film Queen of Blood (en) tourné en 1966 aborde le même thème que le film Alien. Une équipe de sauvetage terrestre doit ramener sur terre une extra-terreste qui est la seule survivante de l'écrasement de son vaisseau sur la planète Mars. On découvre que l'extra-terrestre d'aspect humanoïde tue les membres de l'équipage pour se nourrir de leur sang et pond des œufs.
Saga Alien
- Alien : Le Huitième Passager (1979) de Ridley Scott
- Aliens, le retour (1986) de James Cameron
- Alien 3 (1992) de David Fincher
- Alien, la résurrection (1997) de Jean-Pierre Jeunet
- Prometheus (2012) de Ridley Scott (prévu à l'origine comme un prequel, désormais un projet indépendant de la saga)
Notes et références
- La Cinémathèque française, Encyclociné, Dictionnaire des films Larousse, etc.). Le titre d'exploitation principal en France est Alien. Le Huitième Passager n'est considéré que comme un titre secondaire (ou un sous-titre) dans la plupart des encyclopédies (
- Commentaires audio de Ridley Scott sur le DVD Alien - Director's cut .
- Making-of du DVD Alien - Director's cut.
- Crédité pour la créature dans le générique de fin du Laserdisc CLV CBS-FOX version française.
Annexes
Articles connexes
- Alan Dean Foster a novélisé le film en 1980
- Univers d'Alien
Liens externes
- Alien (film) sur l’Internet Movie Database - Version plus complète en anglais
- Alien (film) sur AlloCiné
- Introduction au film par Jean-François Tarnowski
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