- Histoire des Juifs en Alsace
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La présence juive est attestée en Alsace depuis l’an mil. Hors le royaume de France, les Juifs alsaciens n’ont pas à souffrir des expulsions décidées par les rois de France, mais ils sont persécutés lors de l’épidémie de peste noire du XVe siècle et expulsés des villes.
Le judaïsme alsacien prend alors un caractère rural très original en Europe occidentale. Il en reste aujourd’hui de nombreuses synagogues, souvent désaffectées, car les Juifs alsaciens ont regagné à partir du XIXe siècle les grandes villes alsaciennes ou même Paris. Constituant historique majeur du judaïsme français, très affecté par la Shoah, il est aujourd'hui largement surpassé en nombre par les Juifs venus d’Afrique du Nord, pendant les années 1950 et 1960.
Origines
La première communauté alsacienne s’est constituée vers l’an mille. Une pierre votive évoquant un don à la synagogue, et datant de la même époque, a été retrouvée près de la rue des Juifs il y a plus d’un siècle. Épargnés par les hordes qui massacrèrent, en 1096, les Juifs de Worms, de Mayence ou de Spire, ils se constituent en communautés « protégées » par l’Empereur, l’évêque du lieu ou les municipalités.
Au cours du XIIe siècle, Benjamin de Tudèle signale de nombreux savants, à Strasbourg, où il mentionne plusieurs Israélites « sages et riches ».
À partir de la Deuxième Croisade, les documents historiques mentionnent les Juifs d’Alsace. Le XIIIe siècle est marqué par de nombreuses brimades et discriminations, depuis Wissembourg jusqu’à Rouffach. L’Église donne une image dévalorisante des Juifs comme en témoigne la célèbre statue de la cathédrale de Strasbourg représentant la Synagogue aux yeux bandés et à la lance brisée. Des statues identiques existent en Allemagne comme en France à la même époque[1].
Persécutions en Alsace : le massacre de la Saint-Valentin
De 1336 à 1339, un mouvement insurrectionnel de paysans pauvres, les Judenschläger ou tueurs de Juifs, mené par un aubergiste surnommé Armleder, fait régner la terreur en Alsace et menace les Juifs qui, à Colmar en 1337, ne doivent leur salut qu'à la protection des autorités impériales et épiscopales[2].
Mais l’époque la plus terrible est celle de la peste noire qui sévit en Europe de 1347 à 1349. En Alsace et ailleurs, les Juifs sont accusés d'avoir empoisonné les puits. Si dans le Comtat-Venaissin, le pape protège les Juifs[3], les autorités ne pourront rien faire à Strasbourg, d'autant plus que les représentants des villes impériales réunis à Benfeld avaient décidé d'anéantir (« abzuschaffen ») les Juifs. Malgré l'opposition de « l'Ammeister » (c'est-à-dire du chef des corporations) Pierre Schwarber qui y perdra sa charge, sa fortune et son droit de résidence, la populace menée par les corporations d'artisans prend le pouvoir dans la ville et le 14 février 1349, jour de la Saint-Valentin se livre à la chasse aux Juifs. Ceux qui échappent aux premiers massacres sont rassemblés et jetés dans un bûcher[4]. A la même époque, les Juifs de Colmar sont aussi brûlés vifs au lieu-dit Judenloch (la fosse aux Juifs)[2], nom encore porté par un chemin communal de Colmar[5].
Même si, après les émeutes, les Juifs survivants qui ont trouvé refuge dans les campagnes alentour peuvent revenir en ville, ces événements marquent la transformation du judaïsme alsacien qui devient rural pour les cinq siècles suivants.
De la peste noire à l'annexion par la France en 1648
L’Alsace, jusqu’à l’annexion par Louis XIV est constituée de multiples seigneuries laïques ou ecclésiastiques relevant du Saint-Empire romain germanique. Les Habsbourg, l’évêché de Strasbourg et la république de Strasbourg sont les puissances temporelles les plus notables. Le sort des Juifs y dépend donc à chaque fois des autorités locales.
Au milieu du XIVe siècle, les massacres liés à la peste noire anéantissent la communauté de Strasbourg et d’autres villes alsaciennes. Cette interdiction des Juifs en ville est transformée en règle dès la fin du XIVe siècle. Les Juifs sont expulsés de Strasbourg en 1388, de Riquewihr en 1420, de Molsheim et Saverne en 1440, de Sélestat en 1470, de Rouffach en 1472 et des villes de la Décapole en 1477. On estime à cent vingt le nombre de familles restant en Alsace au XVIe siècle, notamment à Bergheim où résident dix sept familles et où siège le rabbinat de Haute-Alsace[6].
Les Juifs alsaciens n’échappent pas à l'accusation de crimes rituels. En 1470, à Endingen, les paroissiens découvrent lors de travaux dans l’ossuaire de l’église, le corps d’un homme et d’une femme ainsi que les restes de deux enfants décapités. Aussitôt, ils sont identifiés par la rumeur publique à une famille pauvre, disparue huit ans plus tôt après avoir été vue pour la dernière fois entrant dans la maison d’un Juif. Un procès pour crime rituel s’en suit. Malgré l’absence de preuves, les Juifs de la ville sont condamnés et exécutés[7].
Les Juifs sont serfs de la Chambre Impériale, en fait serfs du pouvoir local et soumis à toute contribution arbitraire. Depuis 1388, les Juifs n’avaient le droit de se rendre à Strasbourg que pour la journée. Une sonnerie de trompe du haut de la cathédrale, le Grüsselhorn indique aux Juifs jusqu’au 18 juillet 1791 le moment auquel ils doivent quitter la ville. Les restrictions de commerce, d'établissement et de culte sont nombreuses et le port de la rouelle est même imposé au XVIe siècle à Haguenau.
Une figure domine le judaïsme alsacien de cette période, celle de Josselmann de Rosheim[8],[9], qui par ses connaissances, son talent et ses interventions auprès des empereurs Maximilien Ier, Charles Quint et Ferdinand Ier défendit avec succès les Juifs contre les mesures édictées à leur encontre. Charles-Quint le nomma Commandant de notre nation juive dans le Saint-Empire (Befelshaber Gemeiner unser Judenshafft in Heiligen Reiche)[6].
Du traité de Westphalie à la Révolution
En 1648 est signé le traité de Westphalie qui donne une partie de la Lorraine (les Trois-Évêchés) et de l’Alsace à la France. Toutefois, Strasbourg ne deviendra française qu’en 1681.
Ni en Alsace, ni en Lorraine les Juifs ne sont expulsés. Ils gardent le statut qu’ils avaient sous la domination germanique, c'est-à-dire un statut proche de celui des étrangers. En Alsace, ils ne sont pas nombreux, guère plus de 2 000, et misérables.
Les Juifs n’ont pas le droit de résider en ville ni de posséder des terres. Ainsi ils ne peuvent être paysans. Cette règlementation est à l’origine de la physionomie du judaïsme rural alsacien. Les Juifs peuplent les petits bourgs et les villages où ils sont maquignons, colporteurs ou prêteurs.
Les choses vont un peu s’améliorer avec les ordonnances de 1674 publiées par l’intendant La Grange : le statut des Juifs de l’Alsace royale est aligné sur celui des Juifs de Metz et le péage corporel est aboli pour eux. Ceux du reste de la province restent cependant assimilés à des étrangers et donc soumis à ce péage corporel. Et puisque les Juifs d'Alsace royale ont le même statut que les Juifs messins, un rabbinat des Juifs d’Alsace est créé qui siège d’abord à Saint-Louis.
En règle générale, en Alsace, les princes protégeront les Juifs qui sont sources de revenus pour eux quand les villes en interdiront l’établissement par crainte de concurrence commerciale. Et surtout, le pouvoir royal tendra à généraliser un statut unique des Juifs plutôt plus favorable que celui imposé par les autorités locales.
À la fin du XVIIIe siècle, Cerf Beer[10], fournisseur aux armées, préposé général puis syndic des Juifs d’Alsace, mena un long combat pour la communauté juive. En janvier 1784, un édit royal abolit le péage corporel (Leibzoll) pour les Juifs mais la ville de Strasbourg continua jusqu’à la Révolution de vouloir faire payer le péage sur le pont du Rhin. De même, Cerf-Berr était toujours en procès avec la ville de Strasbourg pour obtenir le droit de résidence et de propriété à Strasbourg quand la loi du 21 septembre 1791 de l’Assemblée constituante rendit ce procès caduc[11],[12].
Le 10 juillet 1784 sont publiées des lettres patentes portant règlement concernant les Juifs d’Alsace. Elles ordonnent l’expulsion des Juifs sans domicile fixe ou qui n’ont pas acquitté les droits de réception. Les étrangers ne sont pas admis plus de quatre mois et demi. Les Juifs peuvent louer des terres ou des fermes à condition de les exploiter eux-mêmes. Mais ils ne peuvent les acquérir. Ils n’ont pas le droit d’employer des chrétiens. Des syndics administrent la répartition de l’impôt et garantissent l’ordre. Les mariages sont soumis à autorisation royale et de manière générale les actes d’état-civil doivent obligatoirement être déclarés. Ces lettres patentes ordonnent aussi le « Dénombrement général des Juifs qui sont tolérés en la province d’Alsace » de façon à préparer l'expulsion des Juifs sans droit légal de résidence. Seront recensées ainsi dans toute l’Alsace 3 918 familles soit environ 20 000 personnes[13].
Ces lettres patentes sont discriminatoires mais montrent un effort de compréhension des Juifs par le pouvoir royal. Un progrès notable est l'autorisation de travailler la terre, donnée dans le but de permettre aux Juifs de vivre d’autre chose que l’usure. Et aussi, elles les soustraient à l’arbitraire des autorités locales pour leur donner un début de statut légal, même si les Juifs ne sont pas encore sujets de plein droit.
En définitive, à la veille de la Révolution, le judaïsme alsacien est rural et pauvre, même comparé aux autres communautés juives de France. Il n’a pas donné d'éminents rabbins comme à Metz. Les synagogues y sont très modestes telles celle de Traenheim[14] établie dans un grenier ou celle de Pfaffenhoffen inaugurée en 1791 mais qui occupe tout de même une maison entière.
Le XIXe siècle
La liberté acquise grâce à la Révolution et aussi à l’implication de Juifs alsaciens tels Cerf Berr ou le rabbin David Sintzheim, un des représentants des Juifs alsaciens aux États généraux de 1789 puis au Grand Sanhédrin puis le financement du culte israélite voté en 1831 permettent un essor remarquable du judaïsme alsacien : 176 synagogues sont bâties en Alsace et en Lorraine de 1791 à 1914 mais seule la moitié d’entre elles subsiste de nos jours. On pourra se reporter au site du judaïsme d’Alsace et de Lorraine cité en lien externe pour la liste et souvent la description de celles encore existantes.
La défaite française de 1870 entraîne l'annexion par l’Allemagne de l'Alsace mais un nombre considérable de Juifs alsaciens choisissent d'émigrer vers la France (voir Histoire des Juifs en France).
Durant le XIXe siècle s'amorce aussi le grand mouvement des Juifs des campagnes alsaciennes vers les villes d’Alsace ou Paris qui offrent plus de chance d'ascension économique.
En 1898, la communauté juive de Strasbourg érige une synagogue monumentale, sur le quai Kléber, dans le style néoroman allemand, et qui peut accueillir 1 639 fidèles.
La seconde guerre mondiale
Dès années 1880 à la Seconde Guerre mondiale, les pogroms et la montée du nationalisme en Europe centrale et orientale ont rendu la vie difficile pour les Juifs. Beaucoup émigrent en France et notamment en Alsace. Un estimation de 1931 établit que 39 % de la population juive de Strasbourg est d’origine étrangère. Ce mouvement s'accentue à partir de 1933, année de l'avènement du nazisme.
En 1939, le 2 juillet, René Hirschler devient Grand Rabbin du Bas-Rhin à la place d'Isaïe Schwartz, élu Grand Rabbin de France, le 8 mars 1939. Le 3 septembre, la France déclare la guerre à l'Allemagne. 15 000 Juifs d’Alsace-Lorraine fuient leur région. Le 13 juillet 1940, le gauleiter Robert Wagner décide d’expulser les Juifs encore restés en Alsace et de confisquer tous leurs biens, intérêts et droits au profit de l’État[16]. Le 15 juillet, l’Alsace et la Moselle sont annexées par le Reich. Le 12 septembre, la synagogue du quai Kléber à Strasbourg est incendiée puis rasée par les Nazis. Sur les vingt rabbins français disparus en déportation, 11 sont nés ou ont exercé en Alsace, dont René Hirschler, et sur les vingt-cinq ministres officiants disparus, c'est le cas de vingt et un d’entre eux.
Les Juifs alsaciens, aujourd’hui
De 1945 à 1960, la vie juive se reconstruit. Les Juifs alsaciens qui ont survécu reviennent pour la plupart au pays, même si certains choisissent Israël. En 1948 est fondée l’école Aquiba à Strasbourg sous la direction de Benno Gross[17].
Mais le judaïsme rural, déjà en perte de vitesse, a reçu un coup fatal. Ce sont les plus anciennes générations qui retournent au village, les plus jeunes préférant la ville. Le judaïsme alsacien est dorénavant citadin. La synagogue de Wissembourg est reconstruite après la seconde guerre mondiale. La communauté juive de Wasselonne, qui ne disposait pas de synagogue en 1939, est la seule à en faire construire une après la guerre, en 1960. Cependant, ces deux édifices ne sont plus utilisés que pour quelques célébrations occasionnelles.
Le 23 mars 1958, est inaugurée à Strasbourg la nouvelle synagogue de la Paix, sur les plans de l’architecte Claude Meyer-Lévy.
En 1962, la fin de la guerre d'Algérie voit affluer les Juifs séfarades d’Afrique du Nord. Ils sont accueillis fraternellement. Les différences de mentalités, de traditions, si elles surprennent et peuvent parfois occasionner quelques différends, sont aussi largement compensées par le tempérament chaleureux des nouveaux arrivants. L’intégration est un succès.
En 1965, le rabbin Jacquot Grunewald prend la direction du Bulletin de nos communautés d’Alsace et de Lorraine pour en faire Tribune Juive qui est resté jusqu'à 2010 un des rares magazines juifs à vocation nationale.
La communauté israélite de Strasbourg, constituée en association selon la loi de 1901, compte 2 000 familles. 60 % de ses effectifs sont Ashkénazes, à large majorité alsacienne, 40 % sont Séfarades. René Gutman succède en 1987 à Max Warschawski comme grand rabbin de Strasbourg et du Bas-Rhin.
Langue
Les Juifs alsaciens ont longtemps parlé le jéddich-daïtch, le judéo-alsacien, mélange de yiddish, d’allemand et de français, « langue de l’entre-soi, de l’intimité, mais aussi langue partagée avec les non-juifs du voisinage[18] ». Cette langue des campagnes alsaciennes est en voie de disparition.
Traditions
Comme toutes les communautés juives, les Juifs alsaciens ont des traditions spécifiques, que ce soit sur le plan religieux ou la cuisine qui fédère la famille pendant le chabbat et les fêtes juives. Pour une intéressante présentation de ces traditions, on peut visiter le musée judéo-alsacien de Bouxwiller ou aussi le musée alsacien de Strasbourg.
Traditions religieuses judéo-alsaciennes
- Synagogues : il reste de nombreuses synagogues dans les villages alsaciens, témoignages du passé du judaïsme rural alsacien. Malheureusement, il n'y a plus de services religieux réguliers dans la plupart d'entre elles. On peut lire quelques articles sur les synagogues alsaciennes dans la catégorie Synagogue en France
- La Mappah : il s'agit du lange de circoncision, richement peint et brodé, offert à la synagogue pour enrouler un rouleau de la Thora.
Traditions culinaires judéo-alsaciennes
Les Juifs alsaciens ont largement participé au développement de la production de foie gras[19] et leur exil, durant la seconde guerre mondiale semble être à l'origine du développement de cette production dans le sud-ouest[20].
Pour les recettes juives traditionnelles on peut se rapporter au site du judaïsme d'Alsace et de Lorraine. On peut citer les matzeknäpfle (boulettes de farine de matza), le kugel ou le chaleth aux pommes. La cuisine juive alsacienne traditionnelle associe souvent le pain azyme dans ses recettes, dont notamment les beignets de Pâque, typiquement alsaciens[21]. En effet, pour les fêtes, la cuisine judéo-alsacienne est marquée par une abondance omniprésente de mets, et la viande traditionnelle du shabat est le pot-au-feu[22]
C'est en Alsace que se situent deux des trois producteurs industriels de pain azyme, les Etablissements René Neymann de Wasselonne, plus ancienne fabrique du genre en France[23] et les établissements Paul Heumann de Soultz-sous-Forêts[24], fondés cent ans plus tard.
Personnalités juives alsaciennes
Le judaïsme alsacien a donné quelques personnalités importantes pour le judaïsme tels André Néher, philosophe, Claude Vigée, poète et Georges Loinger, résistant et sauveur d'enfants ou Jules Isaac, historien, auteur du « Malet et Isaac » mais aussi de « L'enseignement du mépris ». On peut citer de nombreux rabbins français et alsaciens, dont le rabbin David Sintzheim, premier grand rabbin du Consistoire central, Zadoc Kahn, grand rabbin de France, traducteur de la bible en français et Gilles Bernheim, élu grand-rabbin de France en juin 2008.
Voir aussi
Liens internes
Références et notes
- Viollet le Duc, Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5 [lire en ligne], p. Église personnifiée, Synagogue personnifiée
- Les Juifs à Colmar des origines à nos jours », Site internet du judaïsme d'Alsace et de Lorraine. Consulté le 3 novembre 2007 Grand rabbin Jacky Dreyfus, «
- Histoire des Juifs en France, Privat, Éditeur, Toulouse, 1972 (référencé comme HJF plus loin dans cet article), première partie, chapitre 2
- Le massacre de la Saint-Valentin », Site internet du judaïsme d'Alsace et de Lorraine. Consulté le 3 novembre 2007 Lazare Landau, «
- Voie communale Judenloch à Colmar
- HJF, deuxième partie, deuxième section, deuxième chapitre
- Giovanni Miccoli, Contre-enquête sur les meurtres rituels des Juifs, L’Histoire n° 334, septembre 2008, p. 14
- Max Warschawski, « Joseph (Josselmann) ben Gerschon de Rosheim », Site du judaïsme d’Alsace et de Lorraine. Consulté le 23 décembre 2011 Grand rabbin
- Les mémoires de Josselmann de Rosheim », Site du judaïsme d’Alsace et de Lorraine. Consulté le 23 décembre 2011 Rabbi Joselman (traduction par Simon Schwarzfuchs), «
- Hirtz de Medelsheim dit Cerf Beer, représentant de la « nation juive » d’Alsace », Site internet du judaïsme d'Alsace et de Lorraine. Consulté le 16 décembre 2007 Grand rabbin Max Warschawski, «
- HJF, deuxième partie, deuxième section, troisième chapitre
- HJF, deuxième partie, deuxième section, septième chapitre
- HJF, deuxième partie, deuxième section, quatrième chapitre
- Le grenier synagogue de Traenheim », Site du judaïsme d'Alsace et de Lorraine. Consulté le 31 juillet 2007 Bernard Keller, «
- La synagogue consistoriale du quai Kléber », Site du judaïsme d'Alsace et de Lorraine. Consulté le 4 septembre 2007 Jean Daltroff, «
- La dernière expulsion des Juifs d’Alsace », Site du judaïsme d'Alsace et de Lorraine. Consulté le 9 mai 2008 Simon Schwarzfuchs, «
- La fondation et l'évolution de l'école Aquiba de Strasbourg (1948-1969) », Site du judaïsme d'Alsace et de Lorraine. Consulté le 17 mai 2008 Jean Daltroff, «
- ISBN 9782849602737) Freddy Raphaël in Alain Kahn Histoires judéo-alsaciennes. Jérôme Do Bentzinger, Éditeur, Colmar, 2011. (
- Jean-Robert Pitte, « Le foie gras, tradition juive » sur le Monde des religions, 1er nocvembre 2004
- Le Périgord et le Quercy aujourd’hui - Une industrie spécialisée sur ViaMichelin.fr
- Liste de recettes juives alsaciennes à base de pain azyme sur neymann.com. Consulté le 2 septembre 2011
- "Ce que nos mères et grand-mères nous ont transmis de la cuisine juive alsacienne" sur judaisme.sdv.fr. Consulté le 2 septembre 2011
- Le point-éco 229 (janvier-février 2004), p. 50 sur strasbourg.cci.fr
- Paul Heumann prépare des investissements » sur La Tribune, 24 août 2010 Olivier Mirguet, «
Bibliographie
- Sous la direction de Bernhard Blumenkranz, Histoire des Juifs en France, Privat, Éditeur, Toulouse, 1972. Dans le corps de cet article, les références vers cet ouvrage sont identifiées par les initiales HJF suivies de la référence dans le livre.
- David Feuerwerker.L'Émancipation des Juifs en France. De l'Ancien Régime à la fin du Second Empire. Albin Michel, Paris, 1976 (ISBN 2-226-00316-9)
- Simon Debré, L'Humour judéo-alsacien, Rieder, 1933
Source
- La source principale de cet article est le site du judaïsme d'Alsace et de Lorraine
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