serbe :
Српска култура et
Sprska kultura) se rapporte à la culture de la
Serbie et, plus généralement, à celle de tous les
Serbes vivant sur le territoire de l'
ex-Yougoslavie et ailleurs de le monde (voir
Diaspora serbe). Elle a subi une forte influence de la part de la
Tradition, notamment dans les
arts, dans l'
artisanat et dans la
musique. Cette culture traditionnel s'est formé aux
Moyen Âge, via l'influence de l'
Empire byzantin et celle de l'
Église orthodoxe. Lors des cinq siècles de la
présence ottomane, elle a été préservée dans les traditions familiales (voir
Slava) et dans les
monastères, tout en continuant de se développer dans les régions contrôlées par les
Habsbourgs (voir
Confins militaires) et la
République de Raguse (voir
Monténégro). Au début du
XIXe siècle, après le
premier et le
second soulèvement serbe contre les Turcs, elle a connu un nouvel essor avec une importante influence de la
culture occidentale. Cette occidentalisation ultrarapide fut grandement dû à l'importante minorité serbe de l'
Empire d'Autriche qui modernisa l'appareil d'état aux cours du XIX. Après
1945 et la
République fédérale socialiste de Yougoslavie, elle a subi l'influence du
titisme via son programme d'
autogestion, le titisme, régime de type socialiste, avait la particularité d'être ouvert vers l'extérieur, elle continua donc à recevoir simultanément, l'influence de la
culture occidentale, tout en conservant une forte imprégnation de sa
culture traditionnelle orthodoxe.
Religion orthodoxe
Langue serbe
Article détaillé :
Serbe.
La constitution de 2006 fait du serbe la langue officielle de la Serbie (article 10)[1].
Même si les linguistes utilisent encore le terme de serbo-croate pour définir la langue parlée en Serbie, au Monténégro, en Bosnie-Herzégovine et en Croatie, officiellement le serbo-croate n'existe plus, chaque pays nommant sa langue serbe, bosniaque ou croate. Les locuteurs de ces diverses langues se comprennent spontanément, sans traducteur ; la séparation et la définition de ces langues est donc historique et politique. En revanche, d'une langue à l'autre, on peut noter des différences partielles dans le lexique ou la morphologie (certaines conjugaisons ou déclinaisons varient). Il y a surtout une différence d'alphabet : il est cyrillique et latin en Serbie, au Monténégro et dans la République serbe de Bosnie, mais seulement latin en Croatie et dans la Fédération croato-musulmane de Bosnie-Herzégovine. En Serbie proprement dite, le serbe s'écrit ainsi avec deux alphabets, l'alphabet cyrillique et l'alphabet latin. Le cyrillique est utilisé par les journaux de référence comme Politika ; les journaux en alphabet latin sont des journaux plus généralistes et populaires, comme Blic ; il caractérise aussi des journaux d'opposition ou progressistes comme Danas. L'administration serbe, quant à elle, privilégie l'alphabet cyrillique[2], tout en utilisant aussi l'alphabet latin[3]. Le cyrillique est également l'alphabet officiel du Patriarcat de Serbie.
Littérature
Le début de la littérature serbe correspond à l'introduction de l'alphabet cyrillique par les saints Cyrille et Méthode aux IXe siècle. Parmi les textes médiévaux, on retiendra un texte écrit en alphabet glagolitique datant XIe siècle, qui traite des Soins aux blessures, ainsi que un texte politique et religieux du XIIe siècle, l'Évangile de Miroslav (en serbe : Мирослављево Јеванђеље et Miroslavljevo Jevanđelje, qui évoque Miroslav, prince du Hum et frère de Stefan Nemanja. Ce manuscrit, qui date de 1180 et qui est conservé au Musée national de Belgrade, a été inscrit en 2005 sur la liste Mémoire du monde de l'UNESCO[4],[5].
Pendant la période turque, du XIXe siècle au XVIIIe siècle, la littérature serbe se caractérise par son lyrisme épique.
Dès le XVIIIe siècle, l'écrivain Dositej Obradović (1742-1811) renonça au slavon, la « langue savante », et choisit d'utiliser le serbe comme langue littéraire. Les Serbes le considèrent comme le premier grand auteur ayant écrit dans la langue de leur pays. Au XIXe siècle, l'écrivain et le linguiste Vuk Stefanović Karadžić modernise la langue serbe et pose ainsi les fondations de la littérature moderne ; il est l'auteur du slogan : « Écris comme tu parles » (en serbe « Пиши као што говориш »).
Parmi les auteurs du XIXe siècle, on peut citer Branko Radičević, Petar II Petrović-Njegoš, Đura Jakšić et Jovan Jovanović Zmaj et, parmi ceux du XXe siècle, Ivo Andrić, Miloš Crnjanski, Meša Selimović, Dobrica Ćosić, Danilo Kiš et Milorad Pavić, aujourd'hui Milan Rakić, Jovan Dučić, Desanka Maksimović, Miodrag Pavlović et Vasko Popa.
Théâtre
Article détaillé : Théâtre en Serbie.
Les Serbes sont particulièrement amateurs de théâtre. Joakim Vujić est le réformateur du théâtre serbe contemporain. En 1835, il rénove le style Knjažesko-srbski teatar à Kragujevac. Parmi les autres figures du théatre serbe on peut citer Jovan Sterija Popović, au XIXe siècle, et Branislav Nušić, au XXe siècle. Depuis 1967, se tient à Belgrade le festival du BITEF. Parmi les théâtres les plus importants du pays, on peut signaler le Théâtre national, le Théâtre dramatique yougoslave ou encore l'Atelier 212, tous trois situés à Belgrade. Novi Sad possède également une scène de premier plan, le Théâtre national serbe. Parmi les hommes et femmes de théâtre serbe, on peut citer Bojan Stupica, le fondateur du Théâtre dramatique yougoslave ; en tant qu'architecte, il a dessiné la nouvelle salle de l'Atelier 212. Mira Trailović et Jovan Ćirilov, tous deux dramaturges et metteurs en scène, sont les fondateurs du BITEF. Parmi les auteurs dramatiques contemporains, on peut signaler Dušan Kovačević et Biljana Srbljanović.
Peinture, architecture, sculpture
Préhistoire, Antiquité
Sur le territoire de la Serbie, il existe plusieurs sites d'installation humaine préhistorique, la vallée de la Morava étant un lieu de passage naturel pour l'homme entre l'Europe et l'Asie Mineure (Turquie). Le site paléolithique le plus célébré en Serbie est celui de Lepenski Vir voir wiki eng. Il existe en Serbie plusieurs sites datant de l'Empire romain et de l'Empire byzantin, la ville de Sirmium romaine puis byzantine, Gamzigrad sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO et Justiniana Prima voir ici sont les sites incontournables.
Moyen Âge
De tous les monuments serbes du Moyen Âge, les plus nombreux sont les églises et les monastères. Ils sont pour la plupart ornés de fresques, décrivant la vie des souverains serbes ou des scènes de la vie des Saints, notamment ceux de l'Église orthodoxe serbe. Sur le plan architectural, l'œuvre la plus originale de l'art serbe est le monastère de Studenica (1190), qui a servi de modèle pour les monastères de Mileševa, de Sopoćani et de Visoki Dečani. L'une des œuvres majeures de la peinture serbe médiévale est sans doute la Fresque de l'Ange blanc du monastère de Mileševa ; caractéristique de la « période latine » de l'art byzantin, elle a été exécutée par des peintres grecs anonymes, venus de Constantinople, de Nicée et de Thessalonique.
L'art de l'icône est un des éléments culturels principaux de la Serbie médiévale.
L'influence de l'art des romains d'orient devient après la prise de Constantinople par les croisés en 1202, prépondérante. En effet, les artistes byzantins ont abandonné Constantinople car les croisés faisaient peu d'état de l'art, préférant piller la ville plutôt que de créer de nouvelles œuvres. Une partie d'entre eux trouva refuge en Serbie où ils étaient très recherchés pour leurs qualités par la noblesse serbe et l'église orthodoxe serbe, l'exil des artistes grecs permis aux artistes serbes d'acquérir leurs techniques. Cette influence grecque est perceptible à l'Église de la Vierge de Leviša et aux monastères de Staro Nagoričino et Gračanica, tous classés sur la Liste du patrimoine mondial en péril de l'UNESCO en raison des destructions commises par les musulmans kosovars albanais lors des troubles de 2004 au Kosovo.
Le monastère de Visoki Dečani a été construit entre 1330 et 1350 ; il a été réalisé dans le style roman, donc d'influence latine. Ses murs sont couverts de portraits qui décrivent des épisodes du Nouveau Testament. Derrière l'iconostase de l'église, se trouve le sarcophage du roi Stefan Uroš III Dečanski.
Temps modernes et période contemporaine
Beaucoup d'artistes serbes du XIXe siècle, ont effectué leurs études en France et en Allemagne. Ils ont alors été influencés par le style avant-gardiste. Parmi les artistes du début du XXe siècle, on peut Nadežda Petrović, dont le style est caractéristique du fauvisme et Sava Šumanović, influencé par le cubisme. Le XXe siècle a connu d'autres peintres de premier plan comme Milan Konjović, Marko Čelebonović, Petar Lubarda, Miodrag Djuric (Dado), Vladimir Veličković et Mića Popović. Le Musée national de Belgrade possède une importante section consacrée à la peinture yougoslave, et notamment à la peinture serbe ; elle comprend plus de 6 000 œuvres du XVIIe siècle au XXe siècle [6].
La Serbie est également réputée pour ses peintres naïfs, comme Janko Brašić, Sava Sekulić, Martin Jonaš et Zuzana Halupova. La ville de Jagodina, dans la Serbie centrale possède important Musée d'art naïf ; on peut également signaler le Musée d'art naïf de Kovačica.
Musique
Belgrade accueille chaque année un Festival international de musique (BEMUS) ; consacré essentiellement à la musique savante, il a accueilli des formations internationales, comme l'orchestre philharmonique de Vienne ou les orchastres philharmoniques de Los Angeles, Berlin, Saint-Pétersbourg et Munich ; il a également invité l'Academy of St Martin in the Fields ou le Kronos Quartet et des artistes comme Herbert von Karajan et Zubin Mehta, Mstislav Rostropovich et Mischa Maisky, Sviatoslav Richter et Martha Argerich, Yehudi Menuhin et Maxime Venguerov[7].
La musique traditionnelle reste populaire en Serbie, comme en témoigne le succès du Festival international de trompette de Guca[8]. La musique serbe traditionnelle se retrouve sur la scène internationale dans les chansons de Emir Kusturica & The No Smoking Orchestra et de Goran Bregović. Ils utilisent également des éléments serbes folkloriques comme des éléments de la musique des Tziganes serbes. En jazz, Bojan Z utilise la même base pour ses chansons.
Dans les dernières décennies, dans toutes les Balkans on trouve un nouveau genre appelé turbo-folk. C'est un mélange culturel dans la scène musicale. On trouve des éléments serbes folkloriques, orientaux et des éléments de la musique tzigane. Le turbo-folk a évolué d'un genre « folklorique » en un pop dans la façon balkanique. Dans les dernières décennies, elle a été revisitée par le turbo-folk, dont la chanteuse Svetlana Ražnatović, veuve de Željko Ražnatović, dit Arkan, est une égérie. Parmi les groupes de rock célèbres, on peut citer Riblja Čorba[9],Ekatarina Velika,Partibrejkers,Van Gog et Bajaga i instruktori. La Serbie est également présente sur la scène du hip hop international, avec le groupe Beogradski Sindikat ou encore, plus récemment, avec le groupe VIP et avec des rappeurs comme Škabo et Marčelo[10] et, surtout, avec le label Bassivity Music[11]. Sur le plan de la variété, Marija Šerifović a remporté le Concours Eurovision de la chanson 2007[12] et à, à ce titre, Belgrade organisera le Concours Eurovision de la chanson 2008[13].
Cinéma
Le cinéma serbe est l'un des plus importants d'Europe et il figure assurément parmi les meilleurs en Europe du Sud et en Europe centrale. Avant 1945 il n'a produit que 12 long métrages. Après la Seconde Guerre mondiale, il s'est fait connaître sur la scene internationale, avec les réalisateurs Goran Marković, Aleksandar Petrović, Dušan Makavejev, Slobodan Šijan, Goran Paskaljević. Le réalisateur serbe le plus célèbre est Emir Kusturica, qui a obtenu deux palmes d'or au Festival de Cannes pour les films Papa est en voyage d'affaires en 1985 et Underground en 1995. Pendant le tournage de La vie est un miracle (2004), dans lequel la ligne de chemin de fer du Huit de Šargan (en serbe : Шарганска осмица et Šarganska osmica) joue un rôle essentiel, il a particulièrement apprécié la région de Mokra Gora ; il y a fait bâtir le « village en bois » de Küstendorf[14] ; en janvier 2008, s'y est déroulé le premier Festival international du film de Küstendorf[15]. Depuis 1971, Belgrade accueille un important Festival du film (en serbe : Београдски међународни филмски фестивал et Beogradski međunarodni filmski festival, FEST)[16]. L’essentiel de l’industrie du cinéma serbe se trouve à Belgrade.
Parmi les acteurs renommés de la première moitié du XXe siècle, on peut citer Ilija Stanojević (1859-1930), qui, en 1911, réalisa également le premier film muet de Serbie, ou encore Žanka Stokić et Dobrica Milutinović, et, dans la « nouvelle vague serbe », Miodrag Petrović Čkalja, Pavle Vujisić, Zoran Radmilović, Danilo Bata Stojković, Dragan Nikolić, Milena Dravić, Velimir Bata Živojinović, Ljubiša Samardžić, Mira Banjac, Bora Todorović, Miki Manojlović, Lazar Ristovski et Mirjana Karanović.
Science
Institutions culturelles
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Éducation
Les débuts du système éducatif serbe remontent aux XIe et XIIe siècle, avec la création des premiers collèges catholiques à Titel et à Bač), en Voïvodine. L'éducation prit également son essor avec la fondation de nombreux monastères orthodoxes serbes, comme ceux de Sopoćani, de Studenica ou du Patriarcat de Peć. La première université de Serbie a été fondée à Belgrade en 1808, au moment de la première révolte contre les Turcs ; créée sous le nom de Haute école ou Grande école (en serbe : Велика школа et Velika škola), est le précurseur de l'actuelle Université de Belgrade. En revanche, la plus ancienne faculté située à l'intérieur des frontières actuelles de la Serbie a été fondée en 1778 à Sombor, qui faisait alors partie de l'Empire d'Autriche ; elle était connue sous le nom de Norma et constituait le premier collège slave de professeurs en Europe du sud[17]. L'actuel système éducatif serbe est régi par le Ministère serbe de l'Éducation.
En Serbie, l'instruction commence à l'école maternelle à partir de 3 ans. Puis, à partir de 6 ou 7 ans, vient l'école élémentaire (en serbe : основна школа et osnovna škola), pour une durée de huit ans, école élémentaire qui, grosso modo, correspond à l'école élémentaire et au collège français (jusqu'à la fin de la Quatrième)[18]. Au terme de ces huit années, une bifurcation s'opére. Certains élèves s'orientent vers le Lycée (en serbe : гимназија et gimnazija nom qui lui vient des célèbres gymnases antique l'Académie, le lycée et le cynosarge), où ils suivent des études générales en quatre ans, avec un début de spécialisation entre les langues et les sciences sociales d'une part et les mathématiques et les sciences naturelles d'autre part. À l'issue des études secondaires, d'autres élèves s'orientent vers une école professionnelle (en serbe : стручна школа et stručna škola), qui tout en assurant un enseignement général offrent un enseignement plus spécialisé ; les études dans ces écoles durent elles aussi quatre ans. D'autres, enfin, entrent dans une école « vocationnelle » (en serbe : занатска школа et zanatska škola) ; les études n'y durent que trois ans et elles sont plus spécialisées, notamment dans les domaines du commerce et de l'artisanat.
Les études supérieures s'effectuent dans des écoles supérieures, dans les facultés des universités serbes ou encore dans les diveres Académies d'art. Les « écoles supérieures » (en serbe : виша школа et viša škola) proposent des études supérieures courtes, en deux ans, à peu à la manière des colleges américains. La Serbie possèdent plusieurs universités, parmi lesquelles on peut citer l'Université de Belgrade, l'Université de Niš, l'Université de Kragujevac et l'Université de Novi Sad. Le cursus universitaire s'est récemment adapté au processus de Bologne, qui met en place un système à trois niveaux, licence, master, doctorat[19]. La Serbie possède également de nombreux établissements d'enseignement supérieur privés.
Médias
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Sport
- Ana Ivanović, joueuse de tennis
- Jelena Janković, joueuse de tennis
- Novak Đoković, joueur de tennis
- Janko Tipsarevic, joueur de tennis
- Peja Stojakovic, joueur de basketball
- Vladimir Radmanovic, joueur de basketball
- Vlade Divac, joueur de basketball
- Nenad Krstic, joueur de basketball
- Dragan Džajić, joueur de football
- Dragan Stojković, joueur de football
- Siniša Mihajlović, joueur de football
- Dejan Stanković, joueur de football
Gastronomie
Les plats serbes sont en grande partie composés de viandes de toutes sortes.
- Gibanica : pâte feuilletée légèrement cuite mélangée avec du fromage et des oeufs. Cela devient le burek si on y ajoute de la viande hachée et des oignons, la zeljanica avec des épinards ou bien la krompiruša avec des pommes de terre.
- Ćevapčići : petites boulettes de viande de bœuf, cuits au feu de bois et servis avec des oignons. La même présentation se fait avec les pljeskavice, hamburger national fait de viande de bœuf et de porc.
- Sarma : feuilles de vigne très fines ou feuilles de choux contenant de la viande de bœuf et du riz. Les punjene paprike les accompagnent souvent car ce sont des poivrons farcis à la viande hachée.
- Čorba : soupes de légumes assez relevées et riches de morceaux de viande (mouton, poulet ou porc, selon la région).
- Medenijaci : gâteaux au miel
- Burek : pâte feuilletée fourrée au fromage ou à la viande haché de bœuf ou de porc.
- Pljeskavica : hamburger serbe composé d'une mixture d'agneau et de bœuf parfois au porc grillée avec des oignons.
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Medenijaci, gâteaux au miel
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Artisanat
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Fêtes nationales
En Serbie, les jours fériés dont définis par la loi sur les fêtes nationales et autres fêtes en République de Serbie (en serbe : Zakon o državnim i drugim praznicima u Republici Srbiji). Les fêtes suivantes sont observées sur tout le territoire national[20] :
Notes et références de l'article
- ↑ (en)[PDF] Constitution of the Republic of Serbia sur http://www.mfa.gov.rs, Site du Ministère serbe des Affaires étrangères. Consulté le 27 mars 2008
- ↑ Министарство за дијаспору
- ↑ Ambassade de Serbie en France
- ↑ (sr)(en) The Department of Mediaeval Art sur http://www.narodnimuzej.org.yu, Site officiel du Musée national de Belgrade. Consulté le 27 mars 2008
- ↑ (fr) Serbie - L'Évangile de Miroslav - manuscrit datant de 1180 sur http://portal.unesco.org, Site officiel de l'UNESCO. Consulté le 27 mars 2008
- ↑ (sr)(en) The Department of the Post-mediaeval and Modern Art sur http://www.narodnimuzej.org.yu, Site officiel du Musée national de Belgrade. Consulté le 27 mars 2008
- ↑ (sr)(en) Site officiel du Festival international de musique de Belgrade. Consulté le 27 mars 2008
- ↑ (sr)(en) Site officiel du Festival de trompette de Guča. Consulté le 27 mars 2008
- ↑ (sr) Site officiel du groupe Riblja Čorba. Consulté le 27 mars 2008
- ↑ Marčelo - Liričar među reperima sur http://www.balkanmedia.com. Consulté le 27 mars 2008
- ↑ (en) Bassivity Music. Consulté le 27 mars 2008
- ↑ (sr) Srbija pobednik Pesme Evrovizije sur http://www.politika.rs, Politika, 13 mai 2007. Consulté le 27 mars 2008 - Indisponible à cette date
- ↑ (en) Serbian ballad wins Eurovision Song Contest - Belgrade hosts in 2008, 14 mai 2008. Consulté le 27 mars 2008
- ↑ (sr)(en) Küstendorf sur http://www.zlatibor.co.yu/voz, Site de Küstendorf. Consulté le 27 mars 2008
- ↑ (sr)(en) Küstendorf international Film and Music Festival 2008, Site officiel du Festival international du film de Küstendorf. Consulté le 27 mars 2008
- ↑ (sr)(en) FEST 2008, Site officiel du Festival international du film de Belgrade. Consulté le 27 mars 2008
- ↑ (en) History by dates sur http://www.soinfo.org, Site de la ville de Sombor. Consulté le 12 avril 2008
- ↑ (fr) Système scolaire française, système scolaire serbe sur http://www.efb.co.yu, Site de l'École française de Belgrade. Consulté le 12 avril 2008
- ↑ (en) System of Higher Education in the Republic of Serbia sur http://www.mps.sr.gov.yu, Site officiel du Ministère serbe de l'Éducation. Consulté le 12 avril 2008
- ↑ (sr) Zakon o državnim i drugim praznicima u Republici Srbiji sur http://savetnik.org, Savetnik. Consulté le 12 avril 2008
Voir aussi
Articles connexes