Bergerie de la Blaquière

Bergerie de la Blaquière

Larzac

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Larzac
Rocher du Larzac.jpg
Région Midi-Pyrénées
Languedoc-Roussillon
Département(s) Aveyron
Gard
Hérault
Villes principales Millau, bourgs de Nant,
La Couvertoirade, Le Caylar
Géologie caussecalcaire
Régions naturelles voisines Cévennes
Garrigue
Causse de Blandas
Pays (div. territoriale) Cévennes-Causses
Région naturelle de France

Le causse du Larzac s'étend entre Millau (Aveyron), et Lodève (Hérault). Sa plus grande partie est dans l'Aveyron.

L'ensemble (relief, architecture, occupation du sol) est assez original pour avoir incité à la création du Parc des Grands Causses et justifié une demande d'inscription au patrimoine mondial de l'UNESCO.

Sommaire

Géographie

Il matérialise une fraction Sud du Massif Central à une altitude comprise entre 600 et 1250 mètres. Le Larzac est le plus vaste et le plus méridional de tous. Ses limites naturelles sont souvent nettes et sont représentées par des cours d'eau qui contribuent à son érosion. Il s'étend au Nord-Est bordé par la rivière Dourbie qui le sépare du Causse Noir puis au Nord-Ouest bordé par la rivière Tarn qui le sépare du plateau du Lévézou. A l'ouest il atteint la dépression de Roquefort.

Le puech de Cougouille, point culminant du causse du Larzac (912 m)


Paysage typique du Larzac


Géologie

Rocher dolomitique du Larzac

Le Larzac est un vaste plateau de calcaire dâtant de l'ère jurassique approximativement nivelé par l'érosion et séparé des autres causses par des rivières coulant au fond de gorges et de vallées profondes. Les sols sont en général très superficiels et séchants mais on y rencontre des dolines qui sont des dépressions concentrant le résultat de l'érosion donc avec des sols profonds, rouges et décarbonatés.

Les roches sont constituées de calcaires : cabonate de calcium (CaCO3) ou de dolomie : cabonate double de calcium et magnésium ( CaMg(CO3)2 ). Le second est moins soluble que le premier et se désengraine plus qu'il ne se solubilise, donnant des reliefs irréguliers et en particulier des tourelles.

Des falaises blanches et massives appartenant aux étages géologique Bajocien ou Bathonien ou à la superposition des deux amorcent la descente vers les frontières de ce causse.

Sous le causse, comme dans les autres régions kartiques, existent grottes et cavités. Par temps de pluie, le années spécialement pluvieuses, il peut y avoir débordement et formation de lacs tremporaires comme celui du village des Rives.

Histoire

Du XIIe au XIVe siècle, l'Ordre du Temple puis celui des Hospitaliers ont agrandi des villages situés dans les recoins stratégiques du causse du Larzac. Cinq lieux médiévaux témoignent de leur présence.

L'exode rural a dépeuplé nombre de hameaux : de 1866 à 1968, le Larzac a perdu les deux tiers de ses habitants. Mais, depuis 1968, dans la zone revendiquée à l'époque par l'Etat Français pour les militaires, cela s'est arrêté et la population n'a cessé de rajeunir.

L'eau de pluie est abondante mais les citernes sont laborieuses à construire. L'habitat est groupé, à la fois par manque de sources et à cause du poids de l'histoire: les templiers et hospitaliers ont regroupé les populations à l'Hospitalet, à la Couvertoirade et ailleurs.


Économie

Plateau du Larzac

Ce terroir à vocation agricole à une économie caractérisée par une agriculture traditionnelle extensive tournée vers l'élevage pour la production laitière de brebis destinée à l'élaboration du fromage de Roquefort, pérail, tome et la production de veaux et agneaux destinés à l'engraissement.

Les parcours sont majoritaires et permettent au bétail de pâturer sur les immenses pelouses. Les dolines conviennent bien à diverses cultures : légumineuses, céréales... Jusqu'à la première guerre mondiale, la croissance lente des arbres de plein vent concentrés dans les haies a obligé les paysans à concevoir une architecture privilégiant la pierre (arches et voutes) pour la construction des bergeries, des fermes, des citernes... Depuis, le paysage c'est métamorphosé avec la déprise agricole des terres les moins productives. Le bois est beaucoup plus présent et représente une petite économie.

Le Larzac est sillonné du Nord au Sud par un nouveau morceau de l'autoroute A 75 qui assure la liaison entre le Nord de la France et la Méditerranée via le Massif Central. Il débouche sur le causse par le Viaduc de Millau qui a attiré un nombre exceptionnel de curieux durant les mois qui ont suivis son inauguration.

La ligne SNCF Béziers - Neussargues contourne le Larzac par l'ouest.

Lutte des paysans contre le camp militaire

En octobre 1971, le gouvernement français, sous la direction du ministre de la Défense, Michel Debré, décida de l'agrandissement du camp militaire. Les paysans et leurs sympatisants s'opposèrent à ce projet d'extension, qui fut finalement annulé en 1981 par le nouveau Président de la République, François Mitterrand, après dix ans de luttes non-violentes.

Chronologie historique du Larzac en luttes

CRS et manifestants
  • 28 octobre 1971 : Michel Debré, ministre de la Défense, prend la décision d'extension du camp militaire du Larzac créé en 1902. Cet agrandissement ferait passer la surface du camp de 3 000 à 17 000 Hectares. Plus de cent fermes sont incluses partiellement ou en totalité dans le nouveau périmètre.
  • 6 novembre 1971 : manifestation de 66 000 personnes à Millau, à l'appel de la FDSEA (Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles).
  • 7 novembre 1971 : prise de position de l'évêque de Rodez contre l'extension du camp.
  • 19 mars 1972 : fondateur de la Communauté non-violente de l’Arche située dans l’Hérault à proximité du Larzac, Lanza del Vasto, âgé de 75 ans, débute un jeûne de 15 jours à la Cavalerie, sur le Larzac. À ce jeûne sont associés des paysans, des habitants de Millau et les évêques de Montpellier et de Rodez.
  • 28 mars 1972 : les paysans concernés par l’extension du camp décident à l’unanimité de refuser toute vente de terrain à l’armée quelles que soient les conditions d’achat, c’est le « Serment des 103 ».
CRS en action
  • 14 juillet 1972 : une manifestation à Rodez rassemble 20 000 personnes derrière 70 tracteurs.
  • 25 octobre 1972 : un troupeau de 60 brebis est conduit par des paysans du Larzac sur les pelouses du Champ-de-Mars à Paris.
  • 26 décembre 1972 : le préfet de l'Aveyron signe le décret déclarant d'utilité publique 13500 Hectares du causse du Larzac.
  • 7 janvier 1973 : montée de 26 tracteurs et de nombreux marcheurs jusqu'à Paris. Après 8 jours, cette première marche sera bloquée à Orléans par les CRS. Ce sont les paysans des environs d’Orléans qui vont prêter leurs tracteurs afin que la marche des 26 du Larzac puisse arriver à son terme.
  • 10 juin 1973 : pose de la première pierre de la bergerie de la Blaquière. 3 000 personnes participeront financièrement à cette reconstruction hors de toute autorisation officielle.
Lanza del Vasto, Jean-Marie Muller, Jacques de la Bollardière sur le plateau du Larzac
  • 25-26 août 1973 : rassemblement au Rajal del Guorp (cirque naturel dolomitique au nord-ouest de la Cavalerie) et marche sur le Larzac organisée par les Paysans-travailleurs. 80 000 personnes venant de toutes les régions de France et d’Europe convergent pour la première fois vers le Larzac.
  • 4 octobre 1973 : ouverture d'une école sur le Larzac.
  • 16 février 1974 : inauguration de la bergerie de la Blaquière construite durant l’été précédent.
  • 17-18 août 1974 : c’est le second rassemblement au Rajal del Guorp : plus de 100 000 personnes se rendent sur le Causse pour une fête des moissons intitulée « Moisson Tiers-monde ». Lors de cette manifestation, François Mitterrand se fera même caillasser par des militants maoistes qui contestaient sa présence.
  • 6 juin 1975 : parution du premier numéro du journal « Gardarem lo Larzac ». GLL comptera bientôt 4 000 abonnés.
  • 2 juillet 1976 : procès des « 22 » à Millau, condamnés à cinq ou six mois de prison pour avoir détruit des documents concernant l’enquête parcellaire avant expropriation. Cette action avait été menée l’année précédente dans 10 mairies.
  • 13-14 août 1977 : nouveau rassemblement d’environ 50 000 personnes au Rajal del Guorp. Défilé d’une centaine de tracteurs sur lesquels prennent place des appelés du contingent cagoulés et en uniforme (comités de soldats).
  • 21 octobre 1977 : nombreux procès à Millau contre les paysans du Larzac pour insoumission, renvoi de livrets militaires, entrave à la circulation, etc. Au cours du procès un troupeau de brebis envahit le tribunal.
  • Septembre à décembre 1978 : la préfecture signe les arrêtés d’expropriation des terrains de 14 communes. En riposte 150 tracteurs et 5 000 personnes vont labourer les terrains de l’armée.
  • 28 octobre 1978 : journée nationale d’action organisée par les Comités Larzac : défilés, meetings, grèves de la faim mobilisent des dizaines de milliers de sympathisants.
  • 2 décembre 1978 : 18 paysans ont marché 710 km en 25 étapes depuis le Larzac. Ils seront soutenus tout le long du trajet par des paysans de la FDSEA et des riverains qui les hébergent. À leur arrivée, 40 000 personnes défilent aux portes de Paris, le centre-ville étant bloqué par les CRS : ce sera la plus grande manifestation de l’année.
  • Février 1979 : organisation de référendums locaux dans les communes environnantes (Millau, Creissels, La Couvertoirade). De 88 à 95% des électeurs votent NON à l’extension du camp.
  • Mai 1979 : assemblée plénière de tous les mouvements de soutien et d’action : Comités Larzac, GFA (Groupement Foncier Agricole créé en 1973), abonnés à GLL, Larzac-Université (créée en 1975), APAL (Association pour la promotion de l’agriculture sur le Larzac créée en 1975) etc.
  • Été 1979 : des centaines de travailleurs bénévoles passent une partie de leurs vacances sur le causse pour y remettre en état les infrastructures (téléphone, voies de communication, bâtiments).
  • Mai 1980 : annulation par la cour de cassation de 66 procédures d’expropriation. L’action de renvoi des papiers militaires commencée en 1972 continue et 1 030 livrets militaires sont déposés à Strasbourg à la présidence du Parlement européen ; 3 000 citoyens feront de même.
  • Octobre 1980 : ouverture d’une nouvelle enquête parcellaire.
  • 27 novembre 1980 : à Paris, 74 membres de plusieurs familles du Larzac montés pour une action sous la tour Eiffel, campent sur le Champ-de-Mars. Expulsés au bout de 5 jours, ils vont continuer leur séjour sur une péniche prêtée par la commune de Conflans-Sainte-Honorine jumelée avec Costeraste du Larzac. Cette campagne de jumelage a débuté en 1979 : ainsi 14 municipalités de l’hexagone sont jumelées avec des fermes du causse (Montpellier / Montredon, Grenoble / Cavaliès, ...).
  • Mars 1981 : édition de « Dessine-moi le Larzac. 1971 – 1981, dix ans de luttes dix ans de dessins » par le Comité Larzac de Paris.
  • 3 juin 1981 : François Mitterrand, élu président de la République le 10 mai, déclare en Conseil des ministres que le projet d'extension du camp militaire du Larzac est abandonné.
  • Septembre 1985 : José Bové et des paysans du Larzac offrent symboliquement des terres et une « caselle » à la communauté kanake représentée par Jean-Marie Tjibaou, leader du FLNKS.
  • 8, 9 et 10 août 2003 : Larzac 2003 (voir ci-dessous).

Larzac 2003 : symbole des luttes populaires

Du 8 au 10 août 2003, le plateau du Larzac a été le lieu d'une importante manifestation altermondialiste (appelée Larzac 2003), répondant à l'appel de la Confédération paysanne et d'un vaste collectif d'associations et de syndicats. Plus de 200 000 personnes se sont réunies pendant ces trois jours pour réfléchir aux impacts de la libéralisation du commerce sur leur vie quotidienne.

Société civile des terres du Larzac

Fichier:Toit citerne de lauzes Montredon Larzac.jpg
Toit citerne de lauze dans le hameau de Montredon.

Il s'agit d'une société ayant pour objet la gestion du patrimoine bâti et non bâti de l'État français sur le plateau du Larzac. Ce patrimoine provient des achats et expropriations réalisés en vue de l'extension du camp militaire. Ce projet d'extension ayant été annulé en mai 1981 sous la pression des agriculteurs du Larzac et d'une partie de l'opinion publique, l'État est devenu propriétaire de 63 km² de terres agricoles et de divers immeubles. Les agriculteurs, soucieux de poursuivre l'exploitation des terres, initient en février 1982, la création d'une commission intercantonale pour l'aménagement foncier du Larzac (CIAF) et d'une commission communale d'aménagement foncier (CCAF) dans chacune des douze communes concernées. Dès décembre 1982, ils recherchent un outil de gestion des terres qui soit indépendant de l'État. C'est ainsi qu'est créée la Société Civile des Terres du Larzac qui reçoit, par bail emphytéotique, les 63 km² de terres. Ainsi, les exploitants ne sont pas propriétaires de leur terre, qu'ils n'ont donc pas à acheter, mais ils doivent quitter leur ferme dès qu'ils cessent leur activité qui sera reprise par une nouvelle personne.

Paysage agricole sur le Larzac

Les communes du Larzac


Natura 2000

Le causse du Larzac englobe ou est bordé de plusieurs territoires qui sont inclus dans le Réseau Natura 2000 :

Fortifications médiévales

Cinq bourg médiévaux fortifiés occupent le plateau du Larzac :

Camp militaire

Défense

Un camp militaire, achevé en juin 1902, occupe une large part du plateau du Larzac. Son extension a été envisagée en 1970 ; la décision a été annulée en 1981 (voir historique ci-dessus).

Le 122e régiment d'infanterie a été basé à la Cavalerie.

En 2009, le camp est occupé par :

  • le Centre d'Entraînement de l'Infanterie au Tir Opérationnel (CEITO)


Implanté territorialement sur les communes de La Cavalerie, de Millau et de Nant, le camp du Larzac fait partie de la zone de gestion du Parc naturel régional des Grands Causses. Ce parc s'étend sur une superficie de 326,76 km² dont 30,43 km² sont réservés aux activités militaires du CEITO.

Créé en 1985 dans le camp du Larzac, le CEITO marque la volonté d’améliorer l’instruction et l’entraînement au tir des unités d’infanterie. Le camp du Larzac permet de mettre en œuvre simultanément la totalité de l’armement en dotation dans l’infanterie, d’entraîner puis de contrôler les unités de combat dans des conditions réalistes sur des parcours de tir bénéficiant d’équipements modernes (ciblerie électronique, recueil des résultats en temps réel, etc.).

Sont concernées :

  • unités blindées VAB,
  • unités blindées AMX 10 P,
  • SRR (Sections de reconnaissance régimentaire).

Les contrôles ont lieu :

  • sur le camp du Larzac pour les unités d'infanterie blindées VAB ou AMX 10 P (sans engins blindés) ainsi que pour les sections de reconnaissance régimentaire,
  • sur le camp de Suippes pour les unités blindées AMX 10 P.

Internement

C'est à l'occasion de la guerre d'Algérie que le Ministère de l'Intérieur français obtint, en 1957, la possibilité de recourir à nouveau à l'internement administratif collectif. Plusieurs centres d'assignation à résidence surveillée furent créés dans des sites militaires : Larzac (Aveyron), Rivesaltes (Pyrénées-Orientales), Saint-Maurice-l'Ardoise (Gard), Thol (Ain), Vadenay (Marne). Près de 14 000 Algériens suspectés d'être membres du Front de libération nationale (FLN) y furent internés.

Le plus important était le camp de Larzac, à la fois par sa taille — plus de 30 km², près de 4 000 assignés et plusieurs centaines de membres du personnel — et par sa place dans l'organisation centrale de l'internement.

Le 28 juin 1959, une manifestation eut lieu devant le camp militaire du Larzac et devant la sous-préfecture de Millau ; des manifestants non violents vinrent s'élever contre ce camp qu'ils qualifiaient de camp de concentration.

En 1962, le camp constitua un des centres d'accueil des rapatriés d'Algérie (CARA) destiné à héberger les harkis et leur famille. Le Larzac a accueilli plus de 12 000 d'entre eux dans des tentes.

Fusées

C'est en novembre 1941 et en mars 1942, au camp militaire du Larzac, qu'ont été réalisés, par le colonel Barré, des essais statiques de moteur de fusée commandés par le Ministère de la Guerre. Le moteur était destiné à des fusées baptisées « EA 1941 » (Engin Autopropulsé 1941) qui devaient être capables d'envoyer à 100 km de distance une charge de 25 kg. Il s'agit des premières fusées à ergol liquide françaises. Ces essais se poursuivirent à Vancia, près de Lyon. Ils devaient continuer en Algérie mais furent interrompus suite au débarquement des Alliés en Afrique du Nord. Ils furent repris en 1945 et 1946 au polygone de La Renardière, près de Toulon.

Le camp a encore été un terrain militaire de lancement de 1999 à 2002.

Le Festival européen de l'Espace s'y est déroulé en août les années 2000, 2001 et 2002.

Drones

Depuis les années 1990, le camp du Larzac a été un terrain d'exercices pour les drones. À ces occasions toute circulation aérienne à l'intérieur d'un polygone d'activité comprenant, outre le Larzac, le Causse Noir et le Causse Méjean, était interdite. Entre les 11 et 13 octobre 2004 ont eu lieu des manœuvres avec les drones CL 289 (longueur 3,00 m, 250 kg, vitesse 740 km/h) et Crécerelle (longueur 2,74 m, 140 kg, vitesse 200 km/h).

Compétition automobile

Le camp militaire du Larzac a été le théâtre de compétitions automobiles. Ainsi les quatre dernières étapes spéciales du Championnat de France Super 1600 de l'année 2003 y ont été tracées.

Piste d'aviation

Aérodrome Millau Larzac, situé à 18 km au SE de Millau, 2 km au SE de La Cavalerie et 2 km au NO de L'Hospitalet-du-Larzac. Piste revêtue de 1700 x 30 mètres. Altitude 794 mètres. Cordonnées 43°59'21"N 003°11'00"E.

En 1930, Millau - Larzac - Plaine du Temple, était déjà aérodrome militaire et camp d'instruction. Le terrain faisait 650 x 800 mètres. Il était qualifié de ferme et utilisable en toute saison.

Voir aussi

Commons-logo.svg

Bibliographie

  • Francis LAUR, Le plateau du Larzac, thèse Droit Montpellier 1929

Liens externes

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