Élections législatives françaises de 1978

Élections législatives françaises de 1978
Élections législatives de 1978
Image illustrative de l'article Élections législatives françaises de 1978
Majorité sortante Majorité présidentielle (UDR, MR, RI, CDP, DVD)
Gouvernement sortant Barre II
Législature élue VIe de la Ve République
Majorité élue Majorité présidentielle (RPR, UDF)
Gouvernement désigné Barre III
link=Élections de 1973 Élections de 1973
Élections de 1981 link=Élections de 1981

Les élections législatives de 1978 ont eu lieu les 12 et 19 mars 1978 (VIe législature).

Sommaire

Les enjeux du scrutin

La bipolarisation

Ces élections sont placées sous le signe d'une bipolarisation accrue de la vie politique. En 1973, les électeurs avaient le choix entre trois blocs : la gauche unie (PCF-PS-MRG), la majorité sortante (UDR-RI) élargie à une partie des centristes (le Centre Démocratie et Progrès de Jacques Duhamel) et le Mouvement réformateur (regroupant principalement le Parti radical et le centrisme d’opposition autour du Centre Démocrate). En 1978, le choix des électeurs se résume à une alternative simple : la droite (alliance RPR-UDF) et la gauche (autour des trois anciens partenaires du programme commun). Cette bipolarisation accrue trouve son explication d’abord dans le rassemblement des familles de la droite non-gaulliste au sein de l’Union pour la Démocratie Française (UDF) en février 1978, ancrant ainsi ces familles définitivement dans une majorité solidaire de l’héritage pompidolien. Cette bipolarisation se justifie d’autre part et surtout par la signature du programme commun (1972) dans la mesure où celui-ci va alimenter à partir de 1972 une polémique virulente avec la droite qui en dénonce la logique collectiviste, stalinienne et rétrograde, clivant ainsi fortement la vie politique française.

La cohabitation

Les succès des partis de gauche aux élections cantonales de mars 1976 et aux élections municipales de mars 1977 permettent aux anciens signataires du programme commun, malgré les divisions récentes, d'envisager raisonnablement une victoire sur la majorité sortante. Ainsi se pose la question d’une cohabitation possible entre le Président de la République élu en 1974 et une assemblée nationale dans laquelle la gauche serait devenue majoritaire. Dès le moment où la gauche s’est présentée unie aux élections législatives sur la base d’un accord commun de gouvernement, la question d’une possible cohabitation s’est posée. Le Président de la République, Georges Pompidou avait refusé d’indiquer son attitude en cas de la victoire de la gauche aux élections législatives de mars 1973 [1]. Cette question se pose à nouveau à l’approche du scrutin de mars 1978. La gauche indique qu’elle ne souhaite pas demander la démission du Président de la République en cas de victoire : elle s’inscrit dans la perspective d’une cohabitation avec Valéry Giscard d’Estaing. François Mitterrand déclare : « nous cohabiterons dans le même pays, désireux de préserver le tissu national commun, mais il y aura deux politiques pour la France : la sienne et la nôtre, et elles ne pourront être confondues » [2] En définissant la cohabitation comme la mise en œuvre d’une politique opposée aux orientations du Président de la République, François Mitterrand s’approche de la signification que le mot va revêtir à partir de 1986. La plupart des commentateurs ne parlent pas encore de cohabitation mais de dyarchie ou de contradiction des majorités [3] .

Les rapports de force au sein des coalitions

En réalité, l’enjeu va au-delà d’un choix entre deux coalitions. Les élections vont permettre de déterminer le rapport de force entre les partis qui composent chaque coalition. La rupture du programme commun en septembre 1977 accélère la rivalité entre le PCF et le PS pour assurer le leadership à gauche. En effet, la victoire du Parti Socialiste aux élections municipales et cantonales de mars 1977 a créé une ambiance délétère entre socialistes et communistes et a conduit à l’échec de la réactualisation du programme commun. Dès lors, chacun se renvoie la responsabilité de la rupture. Cette situation ne peut qu’ébranler l’électorat de gauche car « le programme commun aura été, pendant six ans, à la fois la carte d’identité de la gauche, un engagement passé avec le peuple, un slogan et une promesse de changement démocratique[4]. » À droite, la création de l’Union pour la Démocratie Française (UDF) regroupant les partis de la droite non gaulliste [5] pour soutenir l’action du Président de la République en février 1978 engendre de vives tensions avec le RPR de Jacques Chirac. En effet, cette nouvelle situation remet en question les accords électoraux conclus en 1977 entre le RPR et d’une part le PR et d’autre part le CDS : le RPR présente alors des candidats dans des circonscriptions où il avait auparavant accepté de soutenir celles du PR ou du CDS.

Une longue campagne électorale

La compétition n'avait jamais cessé depuis l'élection présidentielle de 1974 en raison de la succession des élections locales, cantonales, puis municipales. Plus concrètement, la campagne débute réellement dès les lendemains des élections municipales de mars 1977.

L'Élysée s'implique dans la campagne

Dès le 27 janvier 1978 lorsque le président de la République pose la question d'une possible cohabitation et du rôle du président de la République en ce cas. Valéry Giscard d'Estaing expose son point de vue lors de son discours dit du « bon choix », à Verdun-sur-le-Doubs : «Vous pouvez choisir l'application du programme commun. C'est votre droit. Mais si vous le choisissez, il sera appliqué. Ne croyez pas que le président de la République ait, dans la Constitution, les moyens de s'y opposer ». Cette déclaration illustre la volonté de décrispation de la vie politique dont Valéry Giscard d’Estaing a fait le cœur son action politique. Elle révèle également une lecture parlementariste de la constitution de 1958, ce dont le journaliste Georges Vedel convenait : « À partir du moment où le chef de l'État n'est plus le maître du gouvernement et le leader de la majorité, plus question de lire la Constitution, selon la pratique de la Cinquième République, comme si tous les pouvoirs attribués au Gouvernement par les textes étaient en réalité à la disposition du président de la République. Mais pas question davantage de la lire, selon la version de Jules Grévy ou d'Armand Fallières, comme si tous les pouvoirs du président de la République étaient en réalité exercés par le Gouvernement. C'est d'une autre lecture qu'il s'agit : là où la Constitution confère une attribution au Gouvernement, il faut lire 'le Premier ministre' ou 'le Gouvernement' ; là où elle confère une attribution au président de la République, il faut lire 'le président de la République'. Chacun chez soi[6]… »

Le risque d'une victoire de la gauche conduit la droite à mener une campagne particulièrement active. Valéry Giscard d'Estaing reprend sa thématique de l'élection présidentielle de 1974 en insistant sur les risques encourus par la France en cas de victoire de la gauche. Dans son discours à Verdun-sur-le-Doubs, il s'applique à démontrer que « l'application en France d'un programme d'inspiration collectiviste plongerait la France dans le désordre économique. » Il fustige ainsi selon lui « la démagogie, qui veut vous faire croire que tout est possible tout de suite. » Cette dramatisation du scrutin trouve son point d'orgue avec l'intervention télévisée du président de la République, le 11 mars, veille du scrutin, depuis la mairie de Chanonat. Il rappelle une nouvelle fois le « désastre » économique que représenterait l'application du programme commun. Le président de la République sort-il pour autant de son rôle d'arbitre par ces deux interventions ? Valéry Giscard d'Estaing donne la justification suivante : « J'agis en tant que chef de l'État et selon ma conscience, et ma conscience me dit ceci : le président de la République n'est pas un partisan, il n'est pas un chef de parti. Mais il ne peut pas rester non plus indifférent au sort de la France. Il est à la fois arbitre et responsable. Sa circonscription, c'est la France. Son rôle, c'est la défense des intérêts supérieurs de la nation[7]. »

La majorité sortante

Sur la question de la cohabitation, seul le président du RPR, Jacques Chirac, ne partage pas l'interprétation donnée par le président de la République et François Mitterrand. Il estime que le mandat du Président de la République serait compromis en cas de victoire de l'opposition et qu'il devrait démissionner[8]. Ainsi, il se singularise y compris au sein du RPR puisque, par exemple, Michel Debré soutient l'avis contraire [9]. Jacques Chirac et le RPR mènent une campagne vigoureuse.

Les formations marginales

On notera enfin la présence de nombreux petits partis se situant en dehors de ceux deux blocs présentent des candidats : 1° le Mouvement Démocrate rassemble les gaullistes de gauche. Il est animé par Michel Jobert et Henri Fouquereau et destiné à « combattre la politique giscardienne et la dérive du mouvement gaulliste ». Il présente une centaine de candidats ; 2° l’extrême gauche, bien que dispersée entre les candidats de Lutte Ouvrière (LO) et de la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR), est présente dans toutes les circonscriptions ; 3° l’extrême droite présente des candidats sous l’étiquette Front National (FN) ou Parti des Forces Nouvelles (PFN), deux formations rivales ; elle est visible dans une centaine de circonscriptions ; 4° l’écologie politique apparaît pour la première fois dans un scrutin avec près de 250 candidats. Ces mouvements restent très marginaux et ne recueillent qu’un faible écho dans l’opinion

Résultats

1er tour

Inscrits, abstentions, blancs et nuls
données numériques Pourcentage des inscrits
Inscrits 34 402 883 100%
Abstentions 5 729 750 16,65%
Blancs et nuls 567 894 1,65%
Exprimés 28 105 239 83,70%
Résultats du 1er tour [10]
Suffrages exprimés Pourcentage
Extrême gauche 919 126 3,27%
PCF 5 793 139 20,61%
PS 6 412 819 22,82%
MRG 603 932 2,15%
Écologistes 612 100 2,18%
UDF 6 007 383 21,37%
RPR 6329 318 22,52%
Majorité présidentielle 657 962 2,34%
Divers 788 860 2,74%

Alain Lancelot [11] analyse la ventilation des suffrages au sein des composantes de l'UDF comme suit :

Suffrages recueillis par les composantes de l'UDF
Suffrages exprimés Pourcentage
Parti Républicain (PR) 2 968 014 10,56%
Centre des Démocrates Sociaux (CDS) 1 452 025 5,17%
Parti radical 533 405 1,90%
MDSF 116 235 0,41%
Majorité présidentielle 186 467 0,66%
CNIP [12] 259 911 0,93%

L'extrême gauche stagne par rapport aux élections législatives de 1973 (-0,04%), mais il s'agit en réalité d'une perte d'influence dans la mesure elle a été présente dans beaucoup plus de circonscriptions en 1978. Le Parti communiste connaît également un tassement (-0,67%) tandis que la gauche non-communiste (PS-MRG) progresse nettement (+3,27%). Cependant, le gain est inférieur à celui espéré puisque François Mitterrand fondait un succès pour le PS à 7 millions de voix [13]. Or, il se situe en deçà de 6,5 millions de voix. Le score peut être jugé assez décevant. Du côté de la majorité, le bloc UDF-RPR subit un recul assez important : si l'on se rapporte à l'ensemble formé par le Mouvement réformateur et la majorité sortante (UDR-RI-PDM), le bloc UDF-RPR passe de 50,69% à 46,42%. Enfin, les petites formations progressent de 2,79% à 4,52%. Pour le second tour, François Mitterrand appelle à un désistement sans condition en faveur du candidat de gauche arrivé en tête : "Il reste maintenant à répondre à l’espérance de la majorité des Français. Cette espérance tient en un seul mot : « union ». Il convient de rassembler tous les suffrages de la gauche sur celui de ses candidats le mieux placé pour l’emporter (...)." [14]


2e tour

Résultats du 2e tour [15]
Suffrages Pourcentage
Exprimés 28 366 135 100
Gauche 13 778 792 48,57
Droite 14 483 954 52,06
Divers 103 389 0,36


Ainsi la majorité sortante progresse sensiblement, gagnant 1 436 850 voix tandis que la gauche connaît un léger effritement. La victoire de la majorité sortante s'explique par le bon report des voix des candidats éliminés sur celui restant en lice, mais aussi par l'accroissement des suffrages exprimés qui lui a nettement profité. Au contraire, la gauche perd 6 départements dans lesquels elle avait la majorité au 1er tour. La discipline de vote des électeurs de gauche a été bien moindre que celle des électeurs de droite. Ce mauvais report de voix est d'autant plus marqué dans les circonscriptions où un candidat communiste est présent au second tour. L'aversion de l'opinion vis-à-vis du parti communiste a joué un rôle notable dans l'échec de la gauche. Une aversion que l'union de la gauche et l'infléchissement des positions du PCF avaient atténuées mais que la rupture de l'union de la gauche en 1977 avait ravivée. Attaqué sur sa gauche par le PCF, le PS a surtout cherché à rassurer son ancien partenaire, notamment par une série de concessions (notamment concernant la hausse du SMIC), éloignant de lui une partie de l'électorat qui l'avait rallié à l'occasion de l'élection présidentielle de 1974. Cette frange marginale de l'électorat, notamment gaulliste, a eu le sentiment que le PS risquait de subir la volonté du PCF plutôt que lui imposer la sienne.

Composition de l'Assemblée nationale

les étiquettes partisanes dans la nouvelle assemblée
RPR 150
UDF-PR 71
UDF-CDS 35
UDF-Radicaux 7
UDF-CNIP 1
UDF-Majorité présidentielle 16
UDF-MSDF 7
PS 104
MRG 10
Divers gauche 1
PCF 86
Total 491


les groupes parlementaires
Groupe RPR 154
Groupe UDF 123
Groupe Socialiste 113
Groupe Communiste 86
Non-inscrits 15
Total 491

Conséquences

La majorité sortante est confortée, et le gouvernement de Raymond Barre reconduit. Comme aux lendemains des élections de mars 1977, Valéry Giscard d'Estaing opère un vaste remaniement ministériel (31 avril 1978). C'est le gouvernement Barre III qui gouvernera jusqu'à l'élection présidentielle de 1981. Ce nouveau gouvernement Barre déçoit le RPR qui espérait traduire son leadership au sein de la majorité par un rééquilibrage de l'équipe gouvernementale en sa faveur. Dans les mois qui suivent, les tensions vont grandir entre RPR et UDF notamment autour de la question européenne.

L'échec de la gauche aux élections législatives met un terme à l'aventure du Programme commun. Désormais, Parti Socialiste et parti Communiste poursuivent des trajectoires distinctes. Le PCF s'isole davantage en rompant avec l'eurocommunisme, en réaffirmant l'exemplarité de l'Union Soviétique (soutien à l'intervention russe en Afghanistan en 1979, condamnation du boycott des JO de Moscou en 1980). Le Parti Socialiste devient la première formation de gauche en France devant le PCF pour la première fois depuis 1945. Cependant, l'échec de la gauche aboutit à une remise en cause de la stratégie d'union de la gauche promue par François Mitterrand depuis le congrès d'Epinay (1971). Une opposition se développe au sein du Parti socialiste autour de Michel Rocard qui incarne le mieux cette deuxième gauche. Les tensions culminent au congrès de Metz (1979). D'autre part, la rupture de l'union de la gauche conduit le PS a renoncer au programme commun et adopte "Le projet socialiste pour la France des années 80".

Notes et références

  1. Conférence de presse du 9 janvier 1973
  2. Déclaration reprise dans Le Monde des 4 et 22 mars 1978.
  3. Olivier Duhamel, « L’hypothèse de la contradiction des majorités », in Les régimes semi-présidentiels
  4. Témoignage de Pierre Mauroy extrait du Colloque « L’union sans l’unité. Le Programme commun de la gauche, 1963-1978 », Pantin, 19-20 mai 2010.
  5. L’UDF est une confédération faisant cohabiter principalement la droite libérale (Parti Républicain (PR) de Jean-Pierre Soissons qui a succédé aux Républicains Indépendants en mai 1977) et le courant centriste (Centre des Démocrates Sociaux de Jean Lecanuet fondé en mai 1976, fusionnant ainsi le CD et le CDP). À ce couple fondamental, s’ajoutent trois petites formations : le Parti radical « valoisien » de Jean-Jacques Servan-Schreiber, les Clubs Perspectives et Réalité (fondés en 1966) et le Mouvement Démocrate Socialiste de France autour d’Émile Müller, candidat à l’élection présidentielle de 1974.
  6. Le Point, 6 février 1978
  7. Discours du « bon choix », 27 janvier 1978, Verdun-sur-le-Doubs
  8. "De l'alternance à la cohabitation ou l'énigme résolue de la constitution", Olivier Duhamel, in Revue française de science politique, 1984
  9. Lettre de Michel Debré, mai 1977
  10. Statistique du Ministère de l'Intérieur pour les 474 circonscriptions métropolitaines. Citée par Alain Lancelot, revue Projet, juin 1978.
  11. Les élections sous la Ve République, P.U.F., collection Que sais-je? , 1983
  12. Certains candidats CNIP ont été investis par l'UDF, bien que ce parti n'en soit pas une composante
  13. Emission Cartes sur table, 15 février 1978
  14. Soirée électorale Antenne 2, le 12 mars 1978, en direct de Château-Chinon
  15. Les élections législatives de mars 1978 en métropole, Nicolas Denis, in Revue française de science politique (1978)

Voir aussi

Articles connexes


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