- Université Laval
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Université Laval Devise Deo favente haud pluribus impar (Avec la grâce de Dieu,
à nul autre comparable)Informations Fondation 1663 Type Corporation privée Régime linguistique Français Dotation 700 millions $CAN Localisation Coordonnées Ville Ville de Québec, Québec Pays Canada Campus Urbain, parc Direction Recteur Denis Brière Chiffres clés Étudiants 45 000 étudiants[1] Divers Mascotte Victor, l'alérion Site web www.ulaval.ca/ Géolocalisation sur la carte : Québec
modifier L’Université Laval est l'une des plus grandes universités au Canada. Elle a comme origine le Séminaire de Québec, fondé en 1663 et constitue ainsi le plus ancien établissement d’enseignement supérieur du Canada, le quatrième en Amérique du Nord, après l’Université autonome de Saint-Domingue, l’Université nationale autonome du Mexique et l’Université Harvard, donc le plus ancien établissement d’enseignement francophone d’Amérique.
Son principal campus est situé dans la Cité-Universitaire de l’arrondissement de Sainte-Foy–Sillery–Cap-Rouge à Québec. Son recteur actuel est Denis Brière.
En 2010, l'Université Laval offrait 384 programmes d'études, du premier au troisième cycle, à plus de 45 000 étudiants. Elle fait partie des 10 plus importantes universités canadiennes en matière de recherche avec plus de 250 millions de dollars en fonds de recherche et coopération internationale. L'Université attire également près de 2 500 étudiants étrangers chaque année, et environ 1 000 étudiants du Canada anglais et d'Acadie. En outre, le programme Français langue étrangère[2] offre une formation aux étudiants canadiens ou étrangers qui désirent apprendre ou parfaire leur connaissance du français.
Sommaire
Historique
L'origine de l'Université remonte à 1663 avec la fondation du Séminaire de Québec par François de Montmorency-Laval, le premier évêque de la Nouvelle-France. En 1852, une charte royale de la reine Victoria constitue l'Université Laval, qui aura comme gestionnaire le Séminaire de Québec. En 1878, le Séminaire ouvre une « succursale » de l'Université Laval à Montréal, qui deviendra l'Université de Montréal en 1920.
En plus d'être le premier établissement d'enseignement supérieur au Québec et au Canada, l'Université Laval a également été la première université francophone en Amérique, et la cinquième plus ancienne (toutes langues confondues) après l'Université autonome de Saint-Domingue (1538), l'Université nationale de San Marcos (1551), l'Université nationale autonome du Mexique (1552) et l'Université Harvard (1636).
Le 8 décembre 1852, fête de l'Immaculée-Conception, l'abbé Louis-Jacques Casault reçoit une charte royale octroyée par la reine Victoria, ce qui vient officiellement constituer l'Université Laval en tant qu'université. Ce sera désormais cette date qui sera la date anniversaire de l'université.
Située dans le quartier latin du Vieux-Québec pendant son premier siècle d'existence, elle déménagera la majeure partie de ses activités sur un vaste campus qui est érigé dans le quartier de la Cité universitaire dans l'arrondissement de Sainte-Foy–Sillery–Cap-Rouge dans les années 1950 et 1960. En 1971, une nouvelle charte est approuvée par l’Assemblée Nationale du Québec. L'université sera désormais non confessionnelle.
Symboles
La devise de l'Université Laval est: « Deo favente haud pluribus impar », ce qui signifie: « Avec la grâce de Dieu, à nul autre comparable ». Elle est inspirée par celle de Louis XIV, « Nec pluribus impar ».
Les armes reproduisent les traits du blason de Montmorency-Laval, fondateur du Séminaire de Québec : un écu orné d'une croix chargée de cinq coquilles et cantonnée de seize alérions sans bec ni pattes, symbolisant les ennemis vaincus lors de pèlerinages auxquels avaient pris part les ancêtres de Laval. Toutefois, les couleurs du blason de l'Université sont inversées par rapport à celles du blason de Montmorency-Laval.
Le drapeau de l'Université est une bannière aux armes de l'écu. L'hymne de l'Université s'intitule « Savoir et beauté », une œuvre de Jeanne Landry, professeure émérite de la Faculté de musique.
Le campus
Le campus de l'Université Laval, l'un des plus remarquables du Québec, est composé d'une trentaine de pavillons sur une surface totale de 1,9 km² au cœur de l'agglomération québécoise, véritable ville dans la ville.
La cité universitaire est un quadrilatère délimité grosso modo au nord par le Chemin des Quatre-Bourgeois et le Chemin Sainte-Foy, au sud par le Boulevard Laurier, à l'est par l'avenue Myrand et, à l'ouest, par l'autoroute Robert-Bourassa (le Pavillon des Services et l'Envirotron font toutefois exception, ceux-ci étant situés à l'ouest de l'autoroute). De nombreux espaces de stationnement sont disponibles à proximité de la plupart des pavillons. Une piste cyclable passe par le campus, lequel est également desservi par de nombreux parcours d'autobus.
Le campus possède un service de sécurité 24h/24h et 4 résidences étudiantes (2 400 chambres au total). Trois des résidences sont mixtes et une autre réservée au femmes .
56 % de la superficie du campus est recouverte de bois, d'espaces verts, et de terrains de sports. Le campus héberge une flore et une faune très diversifiées, comptant environ 67 espèces de feuillus et de conifères, 60 espèces d'oiseaux, ainsi que 15 espèces d'animaux. On y retrouve un jardin botanique de 6 hectares, le Jardin botanique Roger-Van den Hende.
De plus, le campus de l'Université Laval est situé à une dizaine de minutes de marche du Cégep de Sainte-Foy et du Cégep François-Xavier-Garneau.
Le campus de l'Université Laval vu haut des airs sur Google Maps et en 3D dans Google Earth.
L'art public
L’art public est « l’art localisé à l’extérieur des espaces et des conventions des galeries et des musées »[3]. En 2008, selon cette définition, la collection d’art public de l’Université Laval comptait 96 œuvres, réparties sur son campus principal situé à Sainte-Foy et sur le site de la Forêt Montmorency[4]. Cette collection s’est depuis enrichie de plusieurs œuvres, par exemple lors de l’application de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics dans le cadre de l’agrandissement du pavillon Ferdinand-Vandry en 2009.
Plusieurs efforts de catalogage et de mise en valeur de cette collection ont été accomplis au fil des ans. Les plus récentes initiatives ont concerné la publication, en 2008, du répertoire « L’art public sur le campus de l’Université Laval » par le Comité d’aménagement et de mise en œuvre[4]. On note également la création d’un parcours de découverte de l’art public, animé par le Bureau de la vie étudiante de l’Université Laval. Ce parcours peut être réalisé en tout temps, mais fait l’objet d’un concours annuel dans le cadre des Journées de la culture qui ont lieu chaque année au mois de septembre[5].
Les premières œuvres d’art public du campus datent de 1949, soit à l’occasion de la construction du pavillon d’Arpentage et de génie forestier, le premier à avoir été construit à Sainte-Foy[4]. La collection comprend des contributions d’artistes de renom, tels Jordi Bonet, Omer Parent ou Armand Vaillancourt. La presque totalité de la collection est accessible en tout temps aux visiteurs.
Les souterrains
Pratiquement tous les pavillons sont reliés par un réseau de tunnels long de plus de 10 km. Ces tunnels sont très fréquentés, surtout en hiver ou lors d'intempéries.
En 2008, un sondage effectué auprès de 2700 répondants a montré que 30 % d'entre eux, et 42 % des femmes, ne s'y sentait pas en sécurité après 18h00[6]. Un réseau de caméras et 40 téléphones d'urgence y étant installés et des agents de sécurité les patrouillant, les crimes qui s'y produisent sont en réalité des méfaits, bris et vandalismes[6].
Les pavillons du campus
L'année entre parenthèses est celle d'inauguration du pavillon.
- Pavillon Abitibi-Price (1950) : Il comprend la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, ainsi que les départements de géographie et des sciences du bois et de la forêt. Il fut ainsi nommé en l'honneur de la compagnie Abitibi-Price, généreuse donatrice. La sculpture monumentale d'une feuille d'arbre en acier corten orne le bâtiment. C´est le premier pavillon qui fut construit sur le site du campus
- Pavillon Adrien-Pouliot (1962) : Il comprend plusieurs départements de sciences appliquées (génies chimique, civil, métallurgie et matériaux, électrique et informatique, géologique, mécanique) ainsi que les départements d'informatique et génie logiciel et de géologie de la Faculté des sciences et de génie. Il héberge aussi des centres et des chaires de recherche, tels le Centre de recherche sur les infrastructures en béton (CRIB), le Regroupement Aluminium (REGAL) et la Chaire industrielle de recherche en exploitation des infrastructures soumises au gel (CREIG). Il fut nommé en l'honneur du mathématicien Adrien Pouliot, doyen de la faculté entre 1940 et 1956. Une mosaïque de l'artiste québécois de renom Jordi Bonet orne la devanture nord du bâtiment.
- Pavillon Agathe-Lacerte (1965) : Le pavillon Lacerte est une résidence pour femmes et il comporte une garderie. Son nom célèbre la mémoire d'Agathe Lacerte, première professeur de l'Université.
- Pavillon Alexandre-Vachon (1962) : Il compte plusieurs départements de sciences pures de la Faculté des sciences et de génie (physique, génie physique et optique, biochimie et microbiologie, biologie, chimie (incluant le Centre de recherche en science et ingénierie des macromolécules, dit CERSIM), mathématiques et statistiques), l'école d'actuariat ainsi que la bibliothèque scientifique. On y retrouve également le Centre de recherche sur les propriétés des interfaces et la catalyse (CERPIC) ainsi que le Centre d'optique, photonique et laser (COPL). Il est nommé en l'honneur d'Alexandre Vachon, recteur de l'Université en 1939-1940. Le super-calculateur (module COLOSSE du CLUMEQ), qui se trouve dans l'ancienne tour de l'accélérateur de particules, est situé au nord-ouest du pavillon.
- Pavillon Alphonse-Marie-Parent : Il s'agit d'une résidence mixte et il y a une garderie. Son nom lui fut donné en mémoire d'Alphonse-Marie Parent, recteur de l'Université de 1954 à 1964, et président de la Commission royale d'enquête sur l'éducation au Québec de 1961 à 1966 (la Commission Parent).
- Pavillon H.-Biermans-L.-Moraud (1955) : Il comporte des résidences étudiantes. Il fut nommé ainsi en l'honneur de deux généreux donateurs, le sénateur Lucien Moraud et l'homme d'affaires belge Jean-Hubert Biermans. Il s'agit d'une résidence mixte.
- Pavillon Jean-Charles-Bonenfant (1968) : Il comporte la Faculté des études supérieures, l'Institut d'études anciennes, le Service des finances, le Service des ressources humaines, le Vice-rectorat aux ressources humaines, etc., mais surtout la Bibliothèque de l'Université. S'y retrouve également l'Institut d'études anciennes Jean-Charles Bonenfant fut professeur à l'Université mais également bibliothécaire à la bibliothèque de la législature du Québec.
- Pavillon Louis-Jacques-Casault (1960) : Créé tout d'abord sous le nom de Grand Séminaire, il fut intégré à l'Université en 1978. Œuvre du célèbre architecte québécois Ernest Cormier, sa forme rappelle les lignes épurées d'une église et est l'un des symboles de l'identité visuelle de l'Université Laval. Son nom rappelle le nom du premier recteur de l'Université, Louis-Jacques Casault. On y retrouve la Faculté de musique, le département d'information et de communication de la Faculté des lettres ainsi que le département des sciences géomatiques et le Centre de recherche en géomatique de la Faculté de foresterie et de géomatique. En outre, Bibliothèque et Archives nationales du Québec (Archives nationales du Québec) sont situées dans ce vaste bâtiment. Le centre muséographique de l'Université Laval (« Le musée des origines ») y fut également situé de 1986 jusqu'à sa fermeture en 2000. Depuis mai 2007, l'espace de l'ex-centre muséographique est occupé par le Laboratoire de muséologie et d'ingénierie de la culture ( LAMIC ), premier centre canadien de muséologie expérimentale.
- Pavillon Gérard-Bisaillon (anciennement Centrale d'énergie) : Il abrite la centrale d'énergie et le Service des immeubles (anciennement connu sous le nom de Service des terrains et bâtiments). Une centrale d'eau refroidie a été également complétée en 2004 pour répondre aux besoins des nouveaux pavillons en matière de climatisation.
- Pavillon Charles-De Koninck (1966): Nommé en l'honneur de Charles De Koninck, doyen de la Faculté de philosophie de 1939 à 1956 et en 1965, il abrite une bonne partie des facultés et départements de sciences humaines: Faculté de droit, Faculté des lettres, Faculté des sciences sociales (en partie), École des langues, départements d'anthropologie, d'histoire, des littératures, de langues, linguistique et de traduction, de science politique, de sociologie. On y retrouve de plus l'Institut québécois des hautes études internationales et le Centre interuniversitaire d'études québécoises.
- Pavillon Charles-Eugène-Marchand (1994): Nommé en l'honneur Charles-Eugène Marchand (1897-1993), homme d'affaires et philanthrope, en reconnaissance de sa contribution exceptionnelle à la Fondation de l'Université Laval. Il s'agit d'un pavillon de recherche en sciences de la vie abritant l'Institut de biologie intégrative et des systèmes (IBIS). Outre l'IBIS, il abrite le Centre de recherche sur la fonction, la structure et l'ingénierie des protéines (PROTEO), la Chaire de recherche du Canada en génomique et conservation des ressources aquatiques, la Chaire de recherche du Canada en génomique forestière et environnementale, le laboratoire de microbiologie moléculaire et génie des protéines, le Centre de bio-informatique et de biologie computationnelle, le comité de protection des animaux de l'Université Laval (CPAUL), l'Herbier Louis-Marie, le service de microscopie-histologie et la Plate-forme d'analyses génomiques de l'Université Laval.
- Pavillon Paul-Comtois (1966): Il porte le nom de Paul Comtois, agronome et lieutenant-gouverneur du Québec de 1961 à 1966. Il comporte les locaux de la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation ainsi que de la Faculté des sciences infirmières. On y retrouve de plus le Groupe d'études en nutrition publique (GENUP), le Centre de recherche en sciences et technologies du lait (STELA), le Centre de recherche en économie agroalimentaire (CRÉA), et le Groupe de recherche en économie et politique agricoles (GREPA).
- Pavillon J.-A.-DeSève (1990): On y retrouve les départements d'économique et des relations industrielles, en plus de la Direction générale de la formation continue. Son nom lui a été donné en l'honneur d'un donateur posthume Joseph-Alexandre DeSève, homme d'affaires et fondateur de la première chaîne de télévision privée au Québec: Télé-Métropole , .
- Pavillon Alphonse-Desjardins (1995): Ce vaste pavillon de services a été nommé en l'honneur de Gabriel Alphonse Desjardins, fondateur des Caisses populaires Desjardins qui ont contribué financièrement à sa construction avec l'Université et la CADEUL. Ce pavillon forme maintenant un tout avec le Pavillon Maurice-Pollack. On y retrouve de très nombreux lieux de rencontre (Atrium Jean-Guy Paquet, Pub de l'Université, Grand Salon, amphithéâtre Hydro-Québec) et services (locaux d'associations et de syndicats, le Centre de Services Desjardins-Pollack, Entrepreneuriat Laval, une salles d'exposition, des salles de spectacles et de conférence, des salles de réunions, le Service de placement, le Bureau de la vie étudiante, la Direction des services aux étudiants, la Direction des communications, Bureau des bourses et de l'aide financière, imageothèque, etc.) Ce pavillon est l'endroit de prédilection pour la tenue de congrès, de colloques ou de toutes autres activités communautaires.
- Pavillon de l'Éducation physique et des sports (1970): Le « PEPS » est le centre sportif de l'Université Laval. On y retrouve le département d'éducation physique de la Faculté des sciences de l'éducation et la division de kinésiologie du département de médecine sociale et préventive de la Faculté de médecine, en plus de cliniques de médecine du sport, de physiothérapie et de kinésiologie et d'une boutique d'équipement de sport. Le Service des activités sportives y est situé et propose à la fois des activités sportives pour les étudiants et le public en général, ainsi que des équipes d'élites sportives universitaires, les équipes du Rouge et Or. Le PEPS est le plus important centre sportif de l'est du Québec. On y compte une piscine de dimension olympique, deux patinoires pour le patin et le hockey, un stade couvert comprenant une piste d'athlétisme intérieure de 200 m, quatre terrains de tennis, un terrain de soccer intérieur et des murs d'escalade, un grand gymnase divisible en trois surfaces (total: trois terrains de basket-ball ou six de volley-ball ou badminton), un dōjō (arts martiaux), quatre courts de squash, quatre courts de racquetball / wallyball, des salles multi-sports, une salle de yoga, une salle de danse et des salles d'entraînement. Sur ses terrains extérieurs, on retrouve un champ de pratique de golf, un stade de football / soccer, une piste d'athlétisme de 400 m, des terrains de volleyball sur le sable, de softball / baseball, de tennis, de soccer et d'ultimate frisbee.
- Envirotron (1993) : Il abrite le Centre de recherche en horticulture de la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation, où les chercheurs travaillent sur la qualité et l'innocuité des produits horticoles ainsi que sur l'emploi de technologies respectueuses de l'environnement. Il constitue en outre l'entrée du Jardin botanique Roger-Van den Hende ouvert au public.
- Pavillon Ernest-Lemieux (1962) :Il s'agit d'une résidence mixte, le bureau d'animation religieuse et le Service de sécurité et de prévention. Il porte le nom du doyen de la Faculté de théologie et des sciences religieuses, Ernest Lemieux, qui fut aussi surintendant des premiers travaux de construction sur le campus actuel.
- Pavillon de l'Est (1975): Il est la demeure du département de médecine sociale et préventive de la Faculté de médecine.
- Maison Eugène-Roberge (1928) : Acquise par l'Université en 1948, cette maison porte le nom de son ancien propriétaire, Eugène Roberge, conseiller législatif du gouvernement de la province de Québec de 1912 à 1935. On y retrouve le bureau international de l'Université.
- Pavillon Félix-Antoine-Savard (1972) : L'une des deux tours jumelles du campus, son nom rappelle celui de Félix-Antoine Savard, doyen de la Faculté des lettres entre 1950 et 1957. Il abrite quelques services mais surtout la Faculté de philosophie ainsi que de la Faculté de théologie et des sciences religieuses. Ce pavillon inclut également l'École de psychologie ainsi que l'École supérieure d'aménagement du territoire et de développement régional.
- Pavillon Ferdinand-Vandry (1957) : Ferdinand Vandry fut recteur de l'Université de 1945 à 1954. On retrouve dans ce pavillon la Faculté de médecine et la Faculté de pharmacie. Un important projet de construction permettra de doubler sa surface en 2008 et d'accueillir les autres facultés de science de la santé comme la Faculté des sciences infirmières.
- Pavillon La Laurentienne (1990) : Ce pavillon agit à titre de Centre de formation continue de l'Université; on y retrouve donc des salles de classe, de conférence et de vidéoconférence. En effet, des systèmes de vidéoconférence de marque Tandberg sont utilisés et permettent la communication avec, entre autres, d'autres universités. Le pavillon porte le nom de la compagnie d'assurance La Laurentienne qui a contribué au financement de l'Université.
- La Petite Cité (1990): Cette maison abrite un centre de la petite enfance (garderie).
- Maison Michael-John-Brophy : L'Université fit l'acquisition de cette maison de Michael-John Brophy en 1958. Le secrétariat de l'éthique à la recherche et le Syndicat des professionnels et des professionnelles de recherche de l'Université Laval s'y retrouvent.
- Maison Marie-Sirois : Cette maison abrite l'Association des étudiants inscrits aux études supérieures (ÆLIÉS). Son nom célèbre celui de la première femme diplômée de l'Université Laval en 1904.
- Pavillon Maurice-Pollack (1957) : Ce pavillon, qui forme maintenant un tout avec le pavillon Alphonse-Desjardins, est l'un des pavillons de service de l'Université, et célèbre la mémoire de Maurice Pollack, un homme d'affaires de Québec et généreux donateur. On y retrouve une pléthore de services, dont le service d'accueil et de renseignements, des associations dont la CADEUL (Confédération des associations d'étudiants et d'étudiantes de l'Université Laval), une clinique médicale, la coopérative Zone Université Laval, les bureaux du journal étudiant Impact Campus, les éditions des Presses de l'Université Laval, le service de reprographie, le service d'orientation, etc.
- Pavillon de médecine dentaire (1975) : Ce pavillon abrite, tel que son nom l'indique, la Faculté de médecine dentaire. Ses locaux abritent aussi le Groupe de recherche en écologie buccale (GREB).
- Pavillon Palasis-Prince (1952) : Nommé d'après Palasis Prince, fondateur de la Faculté des sciences de l'administration, on y retrouve tous les départements dépendant de cette faculté. On y enseigne les différentes disciplines propres à la gestion des entreprises. On y retrouve le Théâtre de la cité universitaire (TCU), pouvant contenir plus de 600 personnes.
- Pavillon des Services (1963) : Il héberge la Division des animaux de laboratoire du Vice-rectorat à la recherche ainsi que l'INAF (Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels). Cet institut est relié à la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation. Le Pavillon des Services a été complètement rénové il y a quelques années. Un grand papillon orne le devant du pavillon.
- Pavillon des sciences de l'éducation (1968) : L'une des deux tours jumelles de l'Université, elle abrite la Faculté des sciences de l'éducation, le cabinet du recteur ainsi que le Vice-rectorat à l'administration et aux finances, le Vice-rectorat à la recherche et le Vice-rectorat aux études.
- Pavillon Gene-H.-Kruger (2005) est un tout nouveau pavillon d’enseignement et de recherche en génie du bois inauguré en 2005. Nommé en l'honneur du fils du fondateur de la compagnie forestière Kruger, généreuse donatrice, Gene H. Kruger (1902-1988). Il s'agit d'un bâtiment vert, construction écologique construite entièrement en bois et de matériaux non-polluants, utilisant au maximum l'énergie solaire pour son chauffage et la ventilation naturelle.source
- Pavillon d'optique photonique laser (2006) : Le pavillon d'optique-photonique, juxtaposé au pavillon Alexandre-Vachon, abrite les laboratoires du Centre d'optique, photonique et laser (COPL), le plus important centre de recherche en optique-photonique du Canada. Sa construction a débuté en novembre 2004 et son ouverture s'est tenue en septembre 2006. Il s'agit d'un investissement de 32 millions de dollars canadiens.
Sites d'enseignement et de recherche hors-campus
L'Université compte plusieurs sites d'enseignement et de recherche en dehors du campus où sont rassemblés la majorité de ses pavillons.
- CHUQ (1995) : Le Centre hospitalier universitaire de Québec est un regroupement d'établissements de soins de santé avec des rôles dans l'enseignement et la recherche. Il assure la formation des stagiaires en sciences de la santé.
- Édifice de La Fabrique (1993) : Dans le quartier Saint-Roch (arrondissement de La Cité, à Québec), cet ancien bâtiment industriel construit en 1886 a servi de manufacture de sous-vêtements féminins pour la Dominion Corset jusqu'en 1988. L'École des arts visuels de l'Université s'y retrouve.
- Édifice du Vieux-Séminaire-de-Québec : Situé dans le Vieux-Québec, cet édifice fait partie du site originel de l'Université avant son déménagement sur le campus actuel. C'est là que fut créé le Séminaire de Québec par Monseigneur de Montmorency-Laval en 1663. On y retrouve l'École d'architecture.
- Forêt Montmorency (1964) : La Forêt Montmorency est située au cœur du massif des Laurentides, dans la Réserve faunique des Laurentides à une soixantaine de kilomètres au nord de Québec. Son territoire est un laboratoire à ciel ouvert en matière d'aménagement forestier et fait partie de la Faculté de foresterie et de géomatique en tant que station expérimentale. En plus des activités d'enseignement et de recherche qui s'y déroulent, le site est ouvert au public et on y retrouve quatre sentiers de randonnée pédestre en saison, ainsi que des sentiers de ski de fond et de raquette en hiver. On peut également y pratiquer la pêche à la mouche et le vélo de montagne. L'été, un camp d'été pour les jeunes de 12 à 16 ans sur le thème de la forêt est également organisé [3].
- École internationale d'été de Percé (2002): Dépendant de la Faculté d'aménagement, d'architecture et des arts visuels, cette école située à Percé en Gaspésie, dans la Villa James et la Maison Biard, offre des formations intensives d'été en art visuel, en architecture, en philosophie et en design graphique [4].
- Bureau de Montréal : L'Université Laval possède un bureau à Montréal (630 rue Sherbrooke Ouest, Montréal). Diverses unités de l'Université ont leur bureau à Montréal pour se rapprocher de la clientèle de cette région. La Direction générale de la formation continue, la Fondation de l'Université Laval, le Service de placement, l'Association des diplômés et le Bureau d'information et de promotion de la Direction des affaires publiques ont pignon sur rue au bureau de Montréal de l'Université Laval.
Bibliothèques
Les collections de la bibliothèque de l’Université Laval se situent principalement à deux endroits : à la Bibliothèque des sciences humaines et sociales au Pavillon Jean-Charles Bonenfant et à la Bibliothèque scientifique au Pavillon Vachon. À la salle de lecture de l’école d’architecture située dans l’Édifice du Vieux-Séminaire de Québec, on retrouve une petite collection de volumes, de revues et d’ouvrages de référence spécialisés en architecture.
La Bibliothèque de l’Université Laval possède environ 5 millions de documents. Le nombre d’abonnements à des journaux et des revues spécialisés s’élève à plus de 24 000 dont près de 18 000 sont en format électronique. 450 banques de données sont accessibles par le Web. On y trouve près de 5 000 atlas et 125 000 cartes, plus de 160 000 photographies aériennes, et plus de 16 500 films, vidéos et DVD[7]. La collection de livres en format électronique se développe rapidement. En date de juin 2009, on en retrouve dans le catalogue Ariane plus de 80 000.
Les collections de cette bibliothèque se distinguent de plusieurs façons. Ces distinctions sont le reflet des particularités et des besoins d’enseignement et de recherche de l’institution. En philosophie, la collection aristotélicienne est l’une des plus importantes au Canada. Dans la section des livres rares, on retrouve une collection très complète de manuels scolaires utilisés, imprimés, édités ou publiés au Québec au cours des deux derniers siècles. Le Centre d’information géographique et statistique, créé en 2005, regroupe un important ensemble de cartes, d’atlas, de photographies aériennes, de données géospatiales, de données d’enquêtes et de statistiques[8].
Dans le secteur scientifique, la présence de longue date de la seule faculté de foresterie au Québec a eu pour effet la constitution du plus intéressant corpus de documents dans ce domaine parmi les bibliothèques universitaires de la Province. En biologie, plusieurs axes de recherches s’orientent vers la biologie aquatique. De plus, le département de génie civil a développé une expertise en génie des eaux et offre depuis quelques années le seul programme au Québec en génie des eaux. Pour ces raisons, la Bibliothèque de l’Université Laval a dû développer une importante collection de documents sur le thème de l’eau, autant sur le plan de la biologie, de l’ingénierie que de la gestion.
À l’Université Laval, les recherches en optique, photonique et lasers ont cours depuis les années 1950. De cette longue tradition de recherche émerge le Centre d’optique, photonique et laser (COPL) reconnu internationalement. Afin de répondre aux besoins de recherche et d’enseignement en optique, photonique et lasers, la Bibliothèque scientifique a dû constituer une imposante collection de livres et de revues spécialisées dans ce domaine. À la Bibliothèque scientifique, on trouve aussi une petite collection d’environ 300 ouvrages très spécialisée sur l'histoire de la chimie industrielle et de la métallurgie extractive. Cette collection a été constituée en partie par un don de M. Fathi Habashi, professeur émérite du département de Génie des mines, de la métallurgie et des matériaux de l’Université[9].
Notons également que des rénovations sont prévus jusqu'à l'été 2011 dans la bibliothèque du pavillon J-Charles Bonenfant au 4e étage. Ceci apportera un laboratoire de géomatique, un laboratoire de littérature jeunesse et une salle de formation pour étudiants et professeur. Également, à la bibliothèque scientifique, de nouvelles salles pour les travaux en équipe seront construites puisque la bibliothèque scientifique du 1er cycle (pavillon Vachon) a été fermée définitivement le 1er mai 2010 dû à la rénovation majeur de ce pavillon. Ceci fait donc en sorte que tous les services seront regroupés dans un seul et unique endroit, soit la bibliothèque scientifique.
Facultés, départements, écoles et instituts
Facultés
L'Université compte 17 facultés :
- Aménagement, architecture et arts visuels
- Droit
- Études supérieures
- Foresterie, géographie et géomatique
- Lettres
- Médecine
- Médecine dentaire
- Musique
- Pharmacie
- Philosophie (Article Wikipédia sur la Faculté)
- Sciences de l'administration
- Sciences de l'agriculture et de l'alimentation
- Sciences de l'éducation
- Sciences et génie (Le site web de la Faculté)
- Sciences infirmières
- Sciences sociales
- Théologie et sciences religieuses
Départements, écoles et instituts
Parmi les 66 départements, écoles et instituts, on retrouve :
- Actuariat
- Aménagement du territoire et développement régional
- Anatomie et physiologie
- Anesthésiologie
- Anthropologie
- Architecture
- Arts visuels
- Biochimie, microbiologie et bio-informatique
- Biologie
- Biologie médicale
- Chimie
- Chirurgie
- Comptabilité
- Économie agroalimentaire et sciences de la consommation
- Économique
- Éducation physique
- Études sur l'enseignement et l'apprentissage
- Finance et assurance
- Fondements et pratiques en éducation
- Génie chimique
- Génie civil et génie des eaux
- Génie des mines, de la métallurgie et des matériaux
- Génie électrique et génie informatique
- Génie mécanique
- Géographie
- Géologie et génie géologique
- Histoire
- Information et communication
- Informatique et génie logiciel
- Institut d'études anciennes
- Institut d'éthique appliquée
- Institut des affaires électroniques
- Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF)
- Institut québécois des hautes études internationales (IQHEI)
- Institut sur le vieillissement et la participation sociale des aînés (IVPSA)
- Kinésiologie
- Langues
- Langues, linguistique et traduction
- Littératures
- Management
- Marketing
- Mathématiques et statistique
- Médecine
- Médecine familiale
- Médecine sociale et préventive
- Microbiologie
- Obstétrique et gynécologie
- Opérations et systèmes de décision
- Oto-rhino-laryngologie et ophtalmologie
- Pédiatrie
- Physique, génie physique et optique
- Phytologie
- Psychiatrie
- Psychologie
- Radiologie
- Réadaptation (ergothérapie, physiothérapie, orthophonie)
- Relations industrielles
- Science politique
- Sciences animales
- Sciences comptables
- Sciences des aliments et nutrition
- Sciences du bois et de la forêt
- Sciences géomatiques
- Service social
- Sociologie
- Sols et génie agroalimentaire
- Systèmes d'information organisationnels
Centres de recherche
- Centre de Recherche sur les Infrastructures en Béton
- Regroupement québécois de recherche sur la fonction, la structure et l'ingénierie des protéines
Personnalités liées
Corps professoral
- Étinne Frapper - 1er homme fort Canadien
- Pierre-Joseph-Olivier Chauveau - 1er premier ministre du Québec
- Edmund James Flynn - 12e premier ministre du Québec
- Adélard Godbout - 17e premier ministre du Québec
- Jean-Marie De Koninck - Mathématicien, sportif et fondateur de l'Opération Nez rouge
- Thomas De Koninck - Philosophe
- Rodolphe De Koninck - Géographe
- Jean-Paul L'Allier - Ancien maire de la Ville de Québec
- Claire L'Heureux-Dubé - Ancienne juge de la Cour suprême du Canada et actuel Ombudsman de la Ville de Québec
- Marcel Bélanger - Poète québécois
- Henri-Raymond Casgrain - Historien, critique littéraire et homme d'Église québécois
- Claude Cossette - Spécialiste de la publicité et écrivain québécois
- Jean-Baptiste-Antoine Ferland - Homme religieux
- Claude Morin - Parlementaire et professeur
- Neil Bissoondath - Écrivain québécois
- Alain Beaulieu - Écrivain québécois
- Jean-Noël Pontbriand - Poète québécois
- Louis-Albert Vachon - Recteur de l'Université Laval et ensuite archevêque de Québec
- Claude A. Simard - Artiste-peintre canadien
- André Latreille - Historien français
- Henri Dorion - Géographe
Anciens étudiants
Premiers ministres du Canada
- Louis St. Laurent - 12e premier ministre du Canada
- Brian Mulroney - 18e premier ministre du Canada
- Jean Chrétien - 20e premier ministre du Canada
Premiers ministres du Québec
- Pierre-Joseph-Olivier Chauveau - 1er premier ministre du Québec
- Edmund James Flynn - 10e premier ministre du Québec
- Simon-Napoléon Parent - 12e premier ministre du Québec
- Louis-Alexandre Taschereau - 14e premier ministre du Québec
- Jean Lesage - 19e premier ministre du Québec
- René Lévesque - 23e premier ministre du Québec
- Lucien Bouchard - 27e premier ministre du Québec
Autres
- Roberto Andorno - juriste et bioéthicien argentin
- André Arthur - Animateur de radio et ancien député fédéral de la circonscription Portneuf - Jacques-Cartier
- Chrystine Brouillet - Écrivaine québécoise
- Esther Delisle - historienne et auteure
- Stéphane Dion - chef du Parti Libéral du Canada de 2006 à 2008 et député de la Chambres des communes
- Lawrence Cannon - ministre fédéral des Affaires étrangères
- Carme Chacón - Ministre de la défense espagnole
- Claude Cossette - spécialiste de la publicité et écrivain québécois
- Jean-Paul Desbiens - écrivain, enseignant et religieux québécois
- Nicolas Dickner - Écrivain québécois
- Madeleine Ferron - écrivaine québécoise
- Louis-Honoré Fréchette - poète, comédien et écrivain québécois
- Jean Hamelin - historien québécois
- Pierre-Luc Lafrance - écrivain québécois
- Pauline Marois - chef du Parti Québécois et députée à l'Assemblée Nationale
- Pierre Morency - poète, romancier, animateur de radio québécois et ornithologue
- Claude Morin - parlementaire et professeur
- Jacques Ouellet - docteur en histoire
- Marcel Pépin - syndicaliste
- John R. Porter - Directeur général du Musée national des beaux-arts du Québec
- Jean Provencher - historien, essayiste, animateur de télévision et historien québécois
- Monique Proulx - écrivaine québécoise et scénariste
- René Racine - astrophysicien
- Abdelaziz Rebbah - Maire et député de la ville de Kénitra au Maroc et cadre du Parti de la justice et du développement (PJD)
- Louis J. Robichaud - 24e premier ministre du Nouveau-Brunswick, le premier Acadien élu à ce poste
- Adolphe-Basile Routhier - écrivain et juge québécois
- Adrien Thério - écrivain québécois
- Anne Vallée - biologiste
Diplômés à titre honorifique
En date de 2008 et depuis 1864, l'Université Laval a décerné près de 1 100 diplômes honorifiques[10].
- Janette Bertrand - journaliste, comédienne, écrivain et féministe québécoise
- Lise Bissonnette - Journaliste, écrivaine et administratrice québécoise
- Marie-Claire Blais - Écrivaine québécoise
- Henri-Raymond Casgrain - Historien, critique littéraire et un homme d'église québécois
- Céline Dion - Chanteuse populaire de renommée internationale
- Maurice Duplessis - 16e premier ministre du Québec
- Germaine Guèvremont - Écrivaine québécoise
- Adélard Godbout - 15e premier ministre du Québec
- Marc-André Hamelin - pianiste de concert, compositeur
- Guy Laliberté - Créateur du Cirque du Soleil et de la fondation One Drop[10]
- Jean Légaré - Action bénévole pour la recherche sur l'arthrite rhumatoïde[10]
- Jean Lesage - 19e premier ministre du Québec
- Julie Payette - 1re astronaute québécoise dans l'espace
- Paul Sauvé - 17e premier ministre du Québec
- Hamida Skandrani - Doctorat en sciences de l'administration
- Gilles Vigneault - Poète et un auteur-compositeur-interprète québécois
- Yoav Talmi - Chef d'orchestre, directeur musical de l'Orchestre symphonique de Québec
Pour une liste complète des récipiendaires, voir : Docteurs honoris causa
Vie étudiante
Équipes sportives
Article détaillé : Rouge et Or.Les équipes sportives d'élite de l'Université sont appelées Rouge et Or. Actuellement, il y a quatorze clubs Rouge et Or :
Le club de football Rouge et Or génère un fort engouement, notamment pour avoir remporté six fois la Coupe Vanier, au terme d'une saison parfaite et la Coupe Dunsmore huit fois d’affilée (pour un total de 9)[11]. Les matchs à domicile sont joués au PEPS devant une foule qui dépasse souvent 15 000 personnes[12].
Associations étudiantes
Il existe près de 200 associations étudiantes à Laval.
Coopérative universitaire
Article principal : Zone Coopérative de l'Université Laval.La Coopérative de l'Université Laval (souvent désigné par son diminutif commercial « Zone ») est une entreprise coopérative œuvrant dans la vente de produits destinés à toute la clientèle universitaire, tels que les livres, les notes de cours et le matériel informatique.
Elle est composée de 6 points de vente dont un principal situé dans le pavillon Maurice-Pollack.
Elle opère également la Boutique de l'Université Laval et du Rouge et Or.
Faits variés sur l'Université Laval
- L'Astéroïde (14424) Laval est nommé en l'honneur de l'Université.
- Selon la revue Québec Science, trois des dix découvertes scientifiques de l'année 2006 au Québec ont été réalisées par des chercheurs de l'Université Laval, soit Barbara Papadopoulou et Serge Rivest, de la Faculté de médecine, et Simon Rainville, du Département de physique, de génie physique et d’optique. [5]
- C´est à Laval qu'ont été créés, en 1996, les Jeux de la communication, tournoi entre plusieurs universités canadiennes.
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des recteurs de l'Université Laval
- Liste des associations de l'Université Laval
Liens externes
- Site officiel
- Bibliothèque de l'Université Laval
- Jean Hamelin, Histoire de l'Université Laval: les péripéties d'une idée , Sainte-Foy, Presses de l'Université Laval, 1995, 341 p. (ouvrage en ligne)
Notes et références
- Site web de l'Université Laval, consulté en ligne le 26 mai 2010 Notre université,
- [1] École de langues de l'Université Laval - Français langue étrangère
- Miles, Malcolm (1997). Art, Space and the City: Public Art and Urban Futures, Routledge, 266 p.
- L’art public sur le campus de l’Université Laval » sur http://www.cameo.ulaval.ca/, mars 2008 Comité d’aménagement et de mise en œuvre (CAMEO), «
- Le Parcours sur http://www.art.ulaval.ca
- Le Soleil (Québec), 18 mars 2008, p.11 Mathieu, Isabelle, Des souterrains qui font peur,
- (fr)À propos - Quelques statistiques, Bibliothèque de l'Université Laval, 20 juin 2009
- (fr)Dialogue avec l'histoire. Les collections de la Bibliothèque de l'Université Laval, Bibliothèque de l'Université Laval, 20 juin 2009
- (fr)Collection historique en métallurgie extractive et chimie industrielle, Bibliothèque de l'Université Laval, 20 juin 2009
- Le Soleil (Québec), 17 septembre 2008, p. 4 Dion-Viens, Daphnée, Laval décerne un doctorat honoris causa à Guy Laliberté, journal
- consulté en ligne le 27 septembre 2011. Rouge et Or - Titres remportés, Université Laval,
- [2] Magazine Contact, automne 2005: Dix ans de football Rouge et Or
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