- Quézac (Lozère)
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Quézac
Le centre du villageAdministration Pays France Région Languedoc-Roussillon Département Lozère Arrondissement Florac Canton Sainte-Enimie Code commune 48122 Code postal 48320 Maire
Mandat en coursJosseline Longepée[1]
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes des Gorges du Tarn et des Grands Causses Démographie Population 309 hab. (2007) Densité 11 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 479 m — maxi. 1 080 m Superficie 26,91 km2 Quézac est une commune française, située dans le département de la Lozère et la région Languedoc-Roussillon. Ses habitants sont appelés les Quézacois. En languedocien, on dit Quesac, même prononciation.
Sommaire
Histoire
Héraldique
Le blasonnement de Quézac est : parti de gueules et d'azur au monogramme de la Vierge AM entrelacé d'argent accompagné de douze étoiles d'or ordonnées en orle et, en pointe, d'une fontaine jaillissante aussi d'argent, le tout brochant sur la partition ; au chef émanché d'or de quatre pièces
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires de Quézac Période Identité Étiquette Qualité 2001 Josseline Longepée Intercommunalités
La commune de Quézac appartient à la Communauté de communes des Gorges du Tarn et des Grands Causses dont le siège est situé à Sainte-Enimie. Cette communauté a été fondée en 2002 et regroupe cinq communes des Gorges du Tarn, centrées autour de Sainte-Enimie.
Découpage administratif
Le village appartient au canton de Sainte-Enimie.
Conseiller général Canton Code cantonal Population (1999) Communes François Gaudry Canton de Sainte-Enimie 48 21 1 164 hab. 5 Canton de Sainte-Enimie Démographie
Économie
Industrie
La source de l'eau minérale gazeuse de Quézac est actuellement exploitée par le groupe Nestlé, dont on peut d'ailleurs visiter toute l'année l'usine d'embouteillage[4]. Cette usine produit jusqu'à 19 200 bouteilles/heure en rendement maximum.[réf. nécessaire]
Les recherches archéologiques faites au XIXe siècle ont montré que la source était utilisée depuis l'époque celte. Une stèle gallo-romaine a confirmé l'occupation du site depuis deux mille ans.
Au XVIIe siècle l'eau de Quézac commence à faire l'objet d'une attention médicale. Mais c'est en 1860 qu'une notice du docteur Commandré de Florac donne une analyse de l'eau.
La première utilisation commerciale de l'eau de Quézac sous la marque "Diva" commence en 1901 et dure jusqu'en 1931. L'eau de source est déclarée "bicarbonatée, calcique, sodique, magnésienne, ferrugineuse, qui ne trouble pas le vin, a une saveur aigrelette, piquante et des plus agréables".
Des études géologiques ont révélé que la source est alimentée par le massif de l'Aigoual[5].
Monuments et lieux touristiques
Bâtiments et lieux publics remarquables
Articles détaillés : Pont de Quézac et Collégiale de Quézac.Datant de la même époque, le château de Rocheblave (« roche bleue ») impressionne par son implantation à flanc de gorges. Il tire son nom du roc gris bleuté auquel il est adossé et qui forme l'un de ses murs intérieurs.
Notes et références
- Site du conseil général de la Lozère
- Données Cassini
- INSEE
- (fr) Le site des eaux minérales de Quézac et d'Ispagnac
- Panneau d'information sur le site du parc de la Source
Voir aussi
Lien externe
Catégorie :- Commune de la Lozère
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