- Parc Montsouris
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Le parc Montsouris est un jardin public situé dans le quartier du même nom, au sud de Paris, dans le 14e arrondissement. Pendant méridional du parc des Buttes-Chaumont, ce parc à l'anglaise aménagé à la fin du XIXe siècle s'étend sur 15 hectares. Il est planté de nombreuses espèces végétales et abrite un grand nombre d'espèces d'oiseaux.
Sommaire
- 1 Localisation
- 2 Historique
- 3 Bâtiments et constructions remarquables
- 4 Lieux et observations remarquables
- 5 Le parc et l'art
- 6 Accès
- 7 Notes et références
- 8 Voir aussi
Localisation
Le Parc Montsouris est situé entre la porte de Gentilly et la porte d'Arcueil. Il est délimité par le boulevard Jourdan au sud, les rues Gazan et de la Cité-Universitaire à l'est, l'avenue Reille au nord et les rues Nansouty et Émile-Deutsch-de-la-Meurthe à l'ouest.
Historique
Le parc Montsouris est imaginé au Second Empire dans le but d'offrir aux Parisiens des espaces verts aux quatre points cardinaux de Paris : bois de Boulogne à l'Ouest, Buttes-Chaumont au Nord, bois de Vincennes à l'Est, et parc Montsouris au Sud.
Haussmann décide de sa construction en 1860, et confie sa réalisation à l'ingénieur Alphand. Le site est choisi sur les anciennes carrières désaffectées de Montsouris. L'aménagement de ces carrières posa de multiples problèmes. Ce lieu avait été utilisé, lors de la fermeture définitive du cimetière des Innocents[1], pour ensevelir les restes des défunts. On dut en retirer 813 tombereaux d’ossements.
La principale difficulté technique fut de construire le parc au-dessus des lignes de Sceaux (nord-sud) et de la Petite Ceinture (est-ouest), tout en consolidant les anciennes carrières.
Véritablement mis en chantier en 1867, les travaux dureront jusqu'en 1878. Le parc est malgré tout inauguré en 1869. Le lac artificiel était alimenté à l'époque par l'aqueduc d'Arcueil. Une légende veut que le jour de l'inauguration, le lac artificiel se soit vidé et qu'un ingénieur qui avait supervisé sa construction se serait suicidé[2]. Il semble que le lac se soit effectivement vidé une nuit de mai 1878[3].
Autrefois parc de prédilection du Centre hospitalier Sainte-Anne, ce parc n'est désormais plus accessible aux patients de l'hôpital qui bénéficient d'un parc fermé dans l'hôpital même.
Le parc Montsouris est aujourd'hui un jardin public entretenu par le service des espaces verts de la Ville de Paris. Il est bordé au nord par l'avenue Reille (3 entrées), à l'est par la rue Gazan (2 entrées), au sud par le boulevard Jourdan (2 entrées) et à l'ouest par la rue Nansouty (1 entrée).
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Le lac
Le parc et l'histoire de France
- En 1871 lors de la Commune, le parc fut le théâtre de combats.
- Le 23 octobre 1897, un des acteurs de l'affaire Dreyfus, Ferdinand Walsin Esterhazy, rencontre Max von Schwarzkoppen pour la dernière fois. Un peu plus tard, au parc Montsouris, il a une entrevue secrète avec Charles du Paty de Clam, déguisé, qui l'assure de sa protection.
- La Seconde Guerre mondiale y fit au moins une victime : le soldat Pierre Durand y mourut, victime d'une bombe (une stèle commémore ce fait à proximité du lac).
Bâtiments et constructions remarquables
Palais du Bardo
Cet édifice reproduisait à une échelle réduite une partie de la résidence d'été du Bey de Tunis. Il fut conçu par l'architecte Alfred Chapon[4] pour représenter la Tunisie à l'Exposition universelle de 1867. Racheté à Jules de Lesseps pour 150 000 francs par la Ville de Paris[5] en 1868, il fut remonté par Davioud en 1869 dans la partie sud du parc. Les ouvriers tunisiens mirent quatre mois pour l'installer au point le plus haut du parc.
Prévu à l'origine pour servir de logement au personnel de l'Observatoire chargé de l'étude et du climat parisien, il eut à souffrir du siège de Paris en 1870 puis de la Commune en 1871.
Après restauration on le transforma pour en faire un observatoire météorologique dirigé jusqu'en 1886 par Marié-Davy. Puis il fut doté en 1876 d'un observatoire astronomique pour la Marine (voir infra) et d'un service consacré à l'étude des eaux et des cimetières de Paris et de la plaine de Gennevilliers, irriguée par les égouts. À partir de 1893 il abrita également un service des analyses chimiques et bactériologiques de l'air de la capitale.
En 1974, il fut définitivement évacué et laissé à l'abandon.
Se dégradant rapidement, et nécessitant une restauration, il fut racheté pour une somme symbolique par le gouvernement tunisien qui se chargea de le rénover. Il était aussi inscrit à l’inventaire des monuments historiques et était en cours de réhabilitation. La mairie de Paris venait d’affecter 15 millions de francs pour restaurer ce monument original quand il brûla entièrement le 5 mars 1991[6].
Vestiges de l'observatoire de la Marine puis du Bureau des longitudes
En 1875, le capitaine de vaisseau Mouchez, membre du Bureau des longitudes depuis 1873, fait approuver son projet d'un observatoire chargé de compléter les connaissances astronomiques des officiers issus de l'École navale. Le projet est appuyé par plusieurs institutions et ministères, la Marine, l'Instruction publique, le département de la Guerre, et surtout la Ville de Paris, qui assurera pratiquement à elle seule, le fonctionnement de l'observatoire, quand, en 1900, la Marine se désengagera du fonctionnement de cet observatoire.
Entre 1875 et 1910, l'observatoire est dirigé essentiellement par des officiers de Marine ayant tous évolué dans le cercle des amis proches de Mouchez. Ce dernier sera devenu entre-temps, en 1878, le premier marin directeur de l'Observatoire de Paris.
Les directeurs seront successivement Mouchez, son ancien second, Frédéric Turquet de Beauregard, l'amiral Charles de Poidloué, l'amiral Georges-Ernest Fleuriais, le capitaine de vaisseau Octave de Bernardières (qui prendra ensuite le commandement de l'École navale à Brest), le capitaine Émile Boistel, puis le commandant Émile Guyou. Quelques intérims seront assurés par des membres du Bureau des longitudes et de l'Observatoire, Félix Tisserand, Maurice Lœwy.
L'observatoire voit passer un public plus large que les officiers de Marine : des voyageurs et explorateurs (dont le lieutenant de vaisseau Matha, de la première expédition Charcot de 1904-05) ; le futur directeur de l'observatoire de Tōkyō, nombre d'officiers de l'infanterie, des ingénieurs français et étrangers, des étudiants, venus s'entraîner aux observations astronomiques, régler et utiliser des instruments astronomiques (cercles méridiens, instruments nautiques).
À l'observatoire de Montsouris, des essais seront faits sur des pendules et chronomètres utilisant un tout nouvel alliage à dilatation presque nulle, l'Invar.
Après 1905, l'observatoire vit comme il peut avec peu de subventions. Il devient un lieu de stockage des archives du Bureau des Longitudes.
En 1983, l'Association française d'astronomie (Afa) et sa revue Ciel et Espace, s'installent dans les locaux de l'observatoire abandonné depuis plusieurs années.
Station météorologique
En 1872, fut fondé l'observatoire météorologique de Montsouris par Charles Sainte-Claire Deville. En 1896, l'observatoire de la tour Saint-Jacques lui fut affecté. En 1947, une tour de relevé a été construite.
Depuis l'abandon du palais Bardo, de nouveaux locaux ont été construits et mis à la disposition du personnel en 1973. Cette station enregistre sans interruption les paramètres météorologiques depuis avril 1872, ce qui constitue l'une des plus anciennes bases de données complètes disponibles en France sur le climat. C'est aujourd'hui un centre moderne qui réalise la prévision pour Paris et la petite couronne[7].
Climat Relevés chaque jour à Paris-Montsouris depuis 1873
Le parc Montsouris fait des relevés depuis 1873 chaque jour à Paris et la station est devenue la station de référence pour Paris. Paris-Montsouris a un climat de type Cfb (Océanique) avec comme record de chaleur 40,4°C le 28/7/1947 et comme record de froid -23,9°C le 10/12/1879. La température moyenne annuelle (1971/2000) est de 12,1°C.
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 2,5 2,8 5,1 6,8 10,5 13,3 15,5 15,4 12,5 9,2 5,3 3,6 8,6 Température moyenne (°C) 4,7 5,5 8,4 10,8 14,8 17,6 20 20 16,7 12,6 7,9 5,7 12,1 Température maximale moyenne (°C) 6,9 8,2 11,8 14,7 19 21,8 24,4 24,6 20,8 15,8 10,4 7,8 15,5 Ensoleillement (h) 59,4 85,6 127,8 165,6 197,6 200,5 227,4 230,7 174,3 125,5 79,8 50,6 1 724,6 Précipitations (mm) 53,7 43,7 48,5 53 65 54,6 63,2 43 54,7 59,7 52 58,7 649,8 Nombre de jours avec pluie 10,2 9,33 10,4 9,37 10,3 8,63 7,97 6,87 8,47 9,47 9,73 10,7 111,43 dont nombre de jours avec pluie ≥ 5 mm 3,77 2,83 3,17 3,6 4,57 3,53 3,9 2,67 3,77 3,47 3,83 4,17 43,26 Nombre de jours avec gel 7,5 6,5 1,57 0,23 0 0 0 0 0 0,03 2,63 6,17 24,63 Record de froid (°C)
(année du record)-14,6
(23/1/1940)-14,7
(2/2/1956)-9,1
(3/3/1890)-3,5
(13/4/1879)-0,1
(7/5/1874)3,1
(10/6/1881)6
(3/7/1907)6,3
(29/8/1881)1,8
(26/9/1889)-3,1
(27/10/188729/10/1890)
-14
(28/11/1890)-23,9
(10/12/1879)-23,9 Record de chaleur (°C)
(année du record)16,1
(5/1/1999)21,4
(28/2/1960)25,7
(25/3/1955)30,2
(18/4/1949)34,8
(24/5/192229/5/1944)
37,6
(26/6/1947)40,4
(28/7/1947)39,5
(11/8/2003)36,2
(7/9/1895)28,4
(6/10/1921)21
(2/11/1899)17,1
(16/12/1989)40,4 Record de pluie en 24 h (mm)
(année du record)31
(21/1/1995)35,3
(2/2/1941)31,3
(13/3/19807/3/1989)
29
(30/4/1993)68,2
(31/5/1992)57,5
(24/6/1960)104,2
(6/7/2001)95,7
(24/8/1987)40,2
(14/9/1942)74,1
(17/10/1920)38,7
(20/11/1965)44,4
(6/12/1904)104,2 Source : Le climat à Paris-Montsouris (en °C et mm, moyennes mensuelles 1971/2000 et records depuis 1873)[3]Matérialisations du méridien de Paris
La mire du Sud
Article détaillé : Mire du Sud.Le méridien de Paris traverse le parc Montsouris. Une stèle, mire sud du méridien de Paris, matérialise approximativement son emplacement. Achevée en 1806, cette œuvre de Vaudoyer, haute de quatre mètres, est appelée la « mire du Sud », ou « mire de l'Observatoire », car elle était placée à l'origine dans le jardin de l'Observatoire de Paris. Sur la stèle, désormais classée, on peut lire l'inscription suivante :
« DU REGNE DE ... [le nom de Napoléon a été gratté] MIRE DE L'OBSERVATOIRE - MDCCCVI »
Une mire du Nord est située à Montmartre, dans le parc privé du Moulin de la Galette.
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La mire du Sud (du méridien de Paris).
L'Hommage à Arago
Pour la commémoration du bicentenaire de la naissance de François Arago, Jan Dibbets remporte le concours de l'Hommage à Arago. Entre 1989 et 1994, cent trente-cinq médaillons sont placés le long du méridien de Paris par l'artiste, dont neuf dans le parc entre l'avenue Reille et le boulevard Jourdan.
La ligne du méridien de Paris tracée dans le parc par les médaillons de l'Hommage à Arago montre que la mire du Sud n'est pas sur cette ligne. La raison en est que la mire ne servait pas à matérialiser précisément le méridien de Paris mais à calibrer l'alignement nord-sud d'instruments (quart de cercle et lunette méridienne) ; ces instruments n'étaient pas placés exactement sur le méridien mais installés dans l'aile est de l'Observatoire de Paris. Par conséquent, la mire a été installée dans le parc en tenant compte de ce décalage.
Le pavillon Montsouris
Ce restaurant, créé en 1889, habillé d'une verrière en 1930, a reçu de prestigieux clients tels que Lénine et Trotsky, Beauvoir et Sartre, Jouvet et Carné, etc.[8].
Gare de Cité universitaire
La ligne B du RER traverse le parc Montsouris. La gare de Cité universitaire, enclave sur le parc, est une ancienne station de la Ligne de Sceaux construite dans les années 1840. Son accès se fait exclusivement par le boulevard Jourdan.
La traversée du parc par la ligne se fait pour partie en remblai, pour partie en tranchée à ciel ouvert. Deux ponts permettent aux piétons de passer d'une partie du parc à l'autre.
Depuis 2006, la gare est desservie par une station de la ligne 3 du tramway : Cité universitaire.
Ligne de Petite Ceinture
La ligne de Petite Ceinture, voie de chemin de fer désaffectée depuis 1934, passe par le parc Montsouris. C'est d'abord une tranchée de 150 mètres[9] qui sort du tunnel passant sous la rue Gazan. Puis la voie emprunte un tunnel d'un kilomètre est-ouest qui passe sous le parc.
La gare Parc de Montsouris se situait en bordure est de la rue de l'Amiral-Mouchez[10], et a été détruite lors de l'urbanisation de la partie ouest de la gare de la Glacière-Gentilly, au début des années 1980.
Lieux et observations remarquables
Ce parc, calme et ombragé qui possède de nombreuses essences d'arbres, est aussi le refuge de plusieurs espèces d'oiseaux. Il est traversé par le sentier de grande randonnée GR1.
Arbres remarquables
Plus de 1 400 arbres sont plantés ici, dont la plupart centenaires. On peut y admirer notamment :
- près de l'esplanade du Pavillon Bardo, un arbre rare, l'arbre-parasol de Chine, dont les feuilles ressemblent à celles des érables ;
- à l'entrée nord du parc, un kaki, arbre exotique dont les feuilles se parent d'une couleur lie-de-vin à l'automne.
Autour du lac :
Oiseaux à observer
- Le Héron cendré
- La Bernache du canada
- La Bernache cravant
- La Bernache nonnette
- L'Oie à tête barrée
- Le Tadorne de Belon
- Le Canard colvert
- Le Canard mandarin
- La Perruche à collier
- Le Troglodyte mignon
- Le Gobe-mouche
- La Corneille noire
- La Mésange huppée
- La Poule d'eau
- La Perruche ondulée
- Le Cygne
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Oies à têtes barrées Bernache nonnette et Oie à tête barrée.
Statuaire
De nombreuses sculptures réalisées entre 1878 et 1960 ornent le parc : œuvres d'Étex, de Lipsi, de Desca, Valsenis, etc.
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Monument à la mémoire de la mission Flatters. -
Georges Gardet : Drame au désert (1891).
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Les Naufragés, marbre (Antoine Etex, 1859)
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Costas Valsenis : Grèce (1955, bronze), statue offerte par les Hellènes (Grecs) de France à la ville de Paris pour son bimillénaire.
Le parc et l'art
Bande dessinée
- L'Affaire du collier, volume de la série Blake et Mortimer, se déroule en partie au Parc Montsouris.
Cinéma
De nombreux films ont une ou plusieurs scènes se déroulant dans le parc Montsouris. Par exemple :
- Le silence est d'or de René Clair (1947) ;
- Cléo de 5 à 7 d'Agnès Varda (1962) ;
- Dernier domicile connu de José Giovanni
- Stan the Flasher de Serge Gainsbourg (1989) ;
- Paris je t'aime, épisode 14e arrondissement, d'Alexander Payne (2006).
C'est aussi, depuis plusieurs années, pendant le mois d'août, un des sites de projection de la mairie de Paris pour son animation culturelle « Cinéma au clair de lune. »
Chanson
En 1988, Jacques Higelin écrit et interprète une chanson intitulée Parc Montsouris, consacrée au parc éponyme, dans l'album Tombé du ciel :
« Le parc Montsouris c’est le domaine
Où je promène mes anomalies…
Où j’me décrasse les antennes
Des mesquineries de la vie. »Littérature
- Le Jardin, poème de Jacques Prévert :
« Des milliers et des milliers d'années
Ne sauraient suffire
Pour dire la petite seconde d'éternité
Où tu m'as embrassé
Où je t'ai embrassée
Un matin dans la lumière de l'hiver
Au parc Montsouris à Paris
À Paris
Sur la terre
La terre qui est un astre. »- Le 2 juillet 1923, le journal littéraire Le Divan fêta son quinzième anniversaire avec un dîner au parc Montsouris, Louis Thomas et son épouse étaient présents et s’y trouvèrent en la compagnie non seulement des auteurs et critiques habituels de la revue, mais également de « vedettes » telles que Henri de Régnier, Edmond Jaloux, Roland Dorgelès, Francis Carco, Jean-Louis Vaudoyer, Henri Ghéon et François Mauriac, pour y écouter les félicitations éloquentes que Paul Valéry, empêché, avait fait parvenir.
- Jaya Ganga, le Gange et son double (Ramsay, 1985. Ginkgo éditeur 2005) par Vijay Singh, écrivain, cinéaste et scénariste indien basé à Paris (né en 1952). L'action commence à Paris, principalement au parc Montsouris. Ce livre a été adapté au cinéma sous le titre Jaya, fille du Gange. Il est sorti en France en 1998.
- Léo Malet, le père du détective Nestor Burma : Les rats de Montsouris ; NMP-14e (23 août 1955)
- L'Histoire d'O y commence…
- Le roman de Robert Brasillach, Le Marchand d'oiseaux, est centré autour du parc Montsouris.
- Le roman de Michel Audiard, La nuit, le jour et toutes les autres nuits, y fait longuement référence.
Peinture
- Marche dans le Parc Montsouris, peinture de Henri Rousseau
Accès
Le parc Montsouris est accessible en transports en commun par :
- Cité universitaire ;
- tramway Cité universitaire et Montsouris ;
- bus : RATP 21 88 Traverse Bièvre
Notes et références
- Arrêt du Conseil d'État du 9 novembre 1785, décret du 16 novembre 1786.
- Sous le parc Montsouris sur explographies.com
- historique du parc Montsouris sur le site web de la creperie du parc
- Raymond Dartevelle, Françoise Hildesheimer, Les archives: aux sources de l'histoire des entreprises, Editions de l'Epargne, 1995 (ISBN 9782850152689), p. 58, voir [1] consulté le 13 novembre 2008.
- conseil municipal du 8 mai et arrêté préfectoral du 10 juillet 1868. Délibération du
- Agnès Varda, Cléo de 5 à 7, en 1962. On aperçoit ce bâtiment intact dans le film d'
- Souvenir du site de Montsouris et CIDM, sur le site des Anciens de la météo. M. Lagadec,
- Clip vidéo de présentation, sur le site du restaurant.
- Vérification facile sur GoogleEarth.
- [2] Voir carte postale d'époque sur ce site
Voir aussi
Bibliographie
- René-Léon Cottard, Vie et histoire du 14e arrondissement, Montparnasse, Parc de Montsouris, Petit Montrouge, Plaisance : histoire, anecdotes, célébrités, curiosités, monuments, musées, promenades, jardins, dictionnaire des rues, vie pratique, Paris, Hervas, 1988, 155 p. (ISBN 2-903118-34-5)
- Sur l'observatoire de la Marine puis du Bureau des longitudes, créé en 1875 par l'amiral Ernest Mouchez : Guy Boistel, Instruire les marins avec les moyens du Bord : l'observatoire de Montsouris, Les Génies de la Science (Pour la Science), n°28, août-octobre 2006, pp. 28-33.
- Guy Boistel, 2010, L'observatoire de la Marine et du Bureau des longitudes au parc Montsouris, 1875-1914, Paris, I.M.C.C.E./E-Dite (avec une préface de Nicole Capitaine, Présidente du Bureau des longitudes). (ISBN 978-2-846-08283-9)
- Pour l'œuvre de Jan Dibbets: Le Méridien de Paris, Une randonnée à travers l'Histoire de Philip Freriks, EDP Sciences.
Articles connexes
- Quartier du Parc-de-Montsouris
- Jean-Charles Alphand
- Jardin public
- Transformations de Paris sous le Second Empire
Lien externe
- Le parc Montsouris sur le site de la mairie de Paris
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- Patrimoine du XIXe siècle
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